Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
C’est réellement épuisant, Aconit se rend compte, de parler autant ; d’essayer de trouver des mots pour parler de celle boule de fils emmêlés que sont les émotions. Connaître leur mécanisme, les mettre virtuellement en ordre est une chose - les verbaliser une autre. Aconit soigne. Il écoute, agit avec méthode et patience infinie. Ce n’est pas normal qu’il soit de l’autre côté du scalpel. Alors il laisse Seven parler pour eux deux, l’oreille attentive à ses paroles, acquiesce avec une trace de rire parfois. Et si les silences s’allongent, il le font sans se tendre. Il y a toujours eu une confiance mutuelle entre ces deux là mais, la distance ce soir avait été assez diminuée pour qu’Aconit ne le voit pas seulement comme un frère, comme un homme qu’il voulait voir vivre mais comme un ami.
Enfin, le cliquetis du verrou se fait entendre. Aconit n’a pas du tout vu l’heure passer mais toutes les bonnes choses ont une fin. On a le droit de faire des le sentimentalisme, mais pas dans le fatalisme. La phrase est notée dans un petit coin de sa tête même si Aconit n’est pas de ceux qui baissent les bras. Parfois, ça fait du bien de se le rappeler.
Il étire ses jambes, se lève à son tour sans avancer vers l’encadrement de la porte dans lequel Seven se trouve - il lui adresse un sourire, un signe de tête.
« Ouais. Fais bonne route. »
Puis la silhouette disparaît, ses pas resonnent dans le couloir et pour la deuxième fois de la soirée, Aconit se retrouve seul dans cette petite pièce rouge. S’il ne tarde pas trop à prendre le chemin vers le pupitre pour y remettre sa clef attitrée, il prend quelques minutes pour reprendre contenance, combattant l’inévitable embarras de s’être livré comme ça. L’idée lui échappe vite alors qu’il trouve une autre clef à son nom. Cligne des yeux quelques fois. Il y a quelqu’un d’autre ? Il avait laissé la porte ouverte derrière lui pour aérer mais la referme derrière lui une fois de nouveau entre les murs rouges. Il ne s’assied pas, à la fois décontenancé et curieux. Mais pas nerveux.
Résumé : il dit au revoir à Seven, va pour rendre sa clé pour se rendre compte qu'il a un autre rendez-vous. Donc il retourne dans la chambre 6 et attend en se demandant de qui il s'agit.
Alastor
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Alastor
Lun 8 Mai - 18:50
La fin d'une première entrevue
Quelle histoire. Cela t'a mis sans-dessus, sans-dessous.
A la sortie, ton regard presque pourpre se laisse glisser sur la silhouette de Thanatos avant qu'un sourire amusé ne vienne fendre tes lèvres. Qu'allait être la prochaine proie. Oh... mais bien-sûr.
Le nom que tu as susurré au Très-Haut. Tu t'attendais peut-être à passer tout de suite la porte, ou à retrouver le logis, mais la clé annonce une heure qui te fait souffrir d'impatience.
- Vraiment ... ?
Tu avises le numéro, et tu t'accroches à la maigre consolation de profiter de la toute première des loges.
Du regard tu cherches Celsius. Qui n'est pas dans les parages. Grincement caractéristique des dents. Cette mascarade devait mettre a mal les tiens, et nos alliés. Et tu avais beau les estimer pour leur force, tu connais le poids des sentiments.
Lorsqu'enfin tu daignes retrouver la nouvelle loge, nul doute qu'il s'agissait de Cerbère. Tu pénètres les lieux, et avises la grosses bête faites de muscles avant de lui adresser un sourire pernicieux :
- Ô Cerberus. Je prie pour toi que tu aies dit mon nom. Car mon courroux sera sans appel.
Pourtant, au fond de toi, nul doute qu'il s'était entiché d'une demoiselle en détresse. Ton animal fou.
Mars
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Mars
Lun 8 Mai - 19:00
Ton dernier “date”, s’était terminé suffisamment... étrangement, pour que tu restes silencieux. Que dire, au fond, si ce n’est que... Tu étais perturbé. Muet. Tu ne savais quoi dire, quoi répondre, alors tu n’avais juste rien dit. En prenant ta clé, tu avais juste fuis dans la pièce pour soupirer et poser ta tête entre tes mains tremblantes encore. Tes émotions ne t’avaient pas quitté.
Alors quand la chevelure rousse entre, tu ne peux que te conforter dans l’idée que tu passeras un bon moment... Non? Tu oses espérer. Tu espères, oui. Que les chose se passent mieux qu’avec Lime. Cela ne pouvait être pire.
“Jupiter...”
Tu inspires et tends la main vers elle, qu’elle vienne s’asseoir sur ou à coté de toi. Tu ne peux pas te lever, tu es encore sous le choc. Tu avais des choses à lui dire, et tu ne savais pas comment elle les prendraient.
Résumé : Mars accueille Jup. Il lui tend la main. Viens faire calin.
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Invité
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Lun 8 Mai - 19:06
Stréssé, au fond, oui. Tu ne savais pas ce que cette journée donnerait, et au fond, tu ne savais pas si tu allais même être présent.
Mais...
L'espoir.
Tu ne savais pas à quoi t’attendre. Tu espérais, que ce soit elle. Tu te demandais, si ça serait elle. Malgré votre tourment, vos différents. Tu espérais toujours, maintenant que tu étais entiché. Tu étais... perdu. Tu avais une nouvelle peur, ancrée. Que tu refusais de voir et d’admettre. Une peur de perdre quelqu’un qui est cher.
Alors, lorsque tu passas la porte pour la voir, ton visage n’exprime rien, mais tes yeux supplient. Ils supplient que ce ne soit pas vos derniers instants.
Tu t’avances pour combler le vide léger entre vous. La laisse faire ce qu’elle veut de ton corps, il lui appartient. Depuis que tu lui as dis ces mots importants pour toi, elle possède tout les droits sur ce qui est tient. Mais le dire à voix haute était autre chose. Tu plisses légèrement le regard, et de ta main libre, tu redresses son menton pour poser silencieusement tes lèvres contre les siennes.
Comment pouvais-tu rester faché. Ce que tu ressentais était bien plus fort que la rancoeur, ou la peine. Et ces adieux, n’en seront pas. Toi aussi, tu ne voulais pas perdre ça.
Résumé : Nothing entre et embrasse doucement Cel, la pardonnant et essayant de se pardonner aussi.
Cerbère
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Cerbère
Lun 8 Mai - 19:15
Tu te réveillais doucement par l’ange. Tu grognais, mais la reposait. Il fallait changer. Tu étais fatigué, peut-être. Tu la regardes alors et souris, retrouvant ta bonne humeur. Prenant une autre clé, et tournant dans une serrure, tu attends. Sage. Presque. Impatient.
“Maître!”
Tu l’accueilles avec un sourire qui n’appartient qu’à toi dans ce genre de moment. Heureux, comme si tes derniers instants étaient plaisants.
“Votre nom? Evidemment.”
Un sourire taquin, alors que tu te lèves et t’avances, si proche de lui, le regard pétillant.
“Mais vous n’avez pas partagé ma première loge, et j’en suis triste... Presque. Qui donc était votre premier choix pour que je sois ainsi... céder au rang de deuxième ?”
Et là, ton regard change. Mauvais, brutal. Tu n’aimes pas ça. Tu n’aimes pas l’idée d’être remplacé, qu’Il te remplace. Même si toi, ton coeur vibrait pour Elle. Lui, c’était ton Maître. A toi, et rien qu’à toi. Avait-il trouvé un autre ? Une autre ?
“Maitresse. Me remplacez-vous?”
Un sourire dément sur tes lèvres, Tes doigts qui s’étirent, prêt à l’étrangler. Tu ne te gênerais pas, l’impuissance des alters n’y change rien. Le tien n’avait jamais fait la différence dans une bataille.
Résumé : Cerbère mitigé entre haine et respect. Animal perturbé des occupations de son maître.
Jupiter
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Jupiter
Lun 8 Mai - 19:18
[Pré-Event] Disons-nous aurevoir
d r a m a
Elle reste secouée. Par son moment passé avec Oblivion. Qui a changé, qui n’est plus le même depuis qu’elle a détachée ses cheveux. Il avait cette aura menaçante, il… était complètement changé. Elle ne comprenait plus rien. Ses yeux étaient un peu rouges pour les larmes qu’elle avait versées, culpabilité qui s’était montrée grande en plus de son cœur qui avait ce poids en plus depuis que…
Qu’elle a juste retiré cette élastique. Pourquoi elle n’est pas capable de faire les choses correctement ? Elle reste un moment à attendre, à se dire qu’elle a fait une énorme connerie. Sans comprendre sa dernière insinuation. Ils n’ont jamais su qui il était…
Se redresse pour saisir sa clé, allant ensuite vers la pièce où elle était destinée à rester pour la prochaine heure. Priant pour ne pas avoir quelqu’un qui pourrait…
« Mars… »
Ses émotions sont mixées entre la joie et la tristesse. Entre l’envie de lui faire un énorme câlin et tout lui raconter et juste s’approcher pour l’écouter. Parce qu’elle le voit sur son visage qu’il a un air épuisé. Sachant qu’il n’aimait pas la proximité ni encore les…
S’approche doucement pour lui saisir la main, elle hésite avant finalement de se poser sur ses genoux et le serrer contre elle.
« … Dis-moi ce qu’il se passe. »
Résumé:
• tenue : www • sous le choc encore de son entrevue avec Obli aled • pls mentale quand elle prend sa clé, elle retrouve mars ensuite • elle voit qu'il est pas bien, elle le hug et lui demande ce qu'il y a.
Tu étais stressée. Tu voulais voir ton frère. Il te manquait terriblement, et tu avais envie de lui dire adieu :
Pourtant... Tu n’avais pas croisée son visage, par ici. Aucune trace de Raziel, et alors que tout le monde se réunissaient, toi, tu étais restée seule. Assise dans un coin, tu aurais aimé caresser ton chat, mais il restait à distance pour ne pas disparaitre sous les effets des manques d’alter... Tu espérais du moins ; ça t’inquiétait beaucoup cette histoire aussi. Tu voulais le revoir en sortant. Priant pour sa survie et qu’il n’est pas bougé.
Tu devrais peut-être rentrer ? Si Raziel était ici, tu avais bien une idée de qui voir, mais... Peut-être que cette personne ne voudrait pas te voir non plus? Tu étais perturbée et inquiète, pour beaucoup de choses.
Lorsque ta clé arriva, tu la pris et la serrait contre toi avec appréhension. Déglutissant, tu ouvrais alors la porte et... Tu fus soulagée de voir Aconit, un grand sourire sur les lèvres s’affichait avant de réaliser la situation. Des adieux. Ce sont des gens que tu ne reverras plus jamais... Alors ton sourire se fend en deux, et tu lâches ta clé, ne faisant pas attention à la porte qui se referme dans un clic, que tu es déjà entrain de te précipiter vers lui pour le prendre dans tes bras.
“S’il te plait ne meurt pas.”
Qu’il était dur d’imaginer la mort des siens, une vie sans les croiser à nouveau.
Résumé : Calypso est stressée. Elle caline Aconit en le voyant et réalise la gravité de la situation.
Hysteria
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Hysteria
Lun 8 Mai - 19:29
Shall Never Surrender
I never surrender
Never Surrender
Quand bien même tu appréhendais sa réaction, tu n'étais pas prêt à tout ça. Lorsque tu avais choisi Carbone, tu t'étais dit lâchement qu'avec un peu de chance, tu ne tomberais pas sur lui. Et pourtant, il est devant toi, à supporter, accuser même, le poids de tes paroles. Car tu as tout lâché, déballé. Ou presque.
Tu ne lui diras pas que tu as fantasmé sur lui, de quelque façon qui soit, ni que tu as détesté ta soeur à cause de cette jalousie insurmontable, ni que cela t'avait fait perdre confiance en toi.
Tu ne peux pas lui montrer tous tes mauvais côtés. Pas tout de suite. Peut-être même jamais quand on sait que demain, tu mourras pour le sauver lui, ou ta soeur. Ou encore Howlite. Tu feras n'importe quoi demain, emporté par la houle de sentiments. Et personne ne pourra te gérer.
Pourtant, quand tu le vois s'écrouler à même le sol, t'es en suspension sur tes jambes, déjà prêt à l'aider. Mais tu te ravises, et te rassieds sans le lâcher des yeux. A ton tour maintenant de l'observer, loin malheureusement du désir de l'admirer dans le secret, au vu de la peine qu'il te cause par son épuisement. Epuisé par toi. Ah ah ah,
que connard tu fais.
Voilà ce que tu fais des gens que tu aimes, Hyste. Ta paume dissimule une partie de ton visage, tout sourire. Mais il n'a rien d'heureux, ce sourire.
La voix de Carbone happe toute ton attention, et à chaque propos, tu te prends de plein fouet diverses émotions : la colère, le découragement, la tristesse, et la tendresse.
Maltraité qu'il dit ? C'était un sujet qui prenait d'office place dans un pan de ton esprit pour mieux le ressortir un jour. Qui, à part toi, osait lui faire du mal ?
D'un mouvement, ta dextre frotte pensivement les traits du visage.
Lorsqu'il réitère son amour, c'est comme un coup violent reçu au coeur. Il fait un bond à chacun de ses mots, et t'es là, en chemise blanche, accoudé à tes jambes, à être sous l'emprise d'un trouble intense, massif, il t'écrase, et d'impuissance tu hurles intérieurement. Tu te sens vraiment bête Bête de l'avoir aimé, et d'avoir été aimé en retour sans que lui et toi n'aient jamais pu en profiter ?
Pourtant l'ombre de Dolly assombrit le tableau. Et tu ne pouvais pas lui en vouloir, à ta soeur. C'était si anormal que des jumeaux aiment une même personne ?
Puis tu lèves brusquement la tête.
- Quoi ? Tu t'es fait du mal ?
Mais il est fou ?! Tu n'aurais jamais dû lui laisser ce vestige, comme un gage de pardon, comme un gage de paix.
Cela ne fait que renforcer ta propre culpabilité.
Et ses dires continuent de te transpercer. Tu sens tes murs se fissurer. Tu es à deux doigts d'abandonner cette guerre. De lui céder. Tu as tellement de questions à lui poser, des millions. ton existence s'imbrique dans mes veines
Tes larges mains dissimulent ton visage. T'as envie de l'embrasser. T'as du mal à y croire, mais la gravité de la situation t'oblige à l'accepter. Et à digérer cette information qui te brûle le visage, l'esprit.
Tes poings se serrent. T'as envie de l'enlacer. C'est toi qui as merdé. Qu'il la ferme et arrête de s'excuser, c'est insupportable.
Tu croises son regard, enfin. Le temps est juste en supsension car plus rien n'existe autour de vous. Cette connexion étrange et intimidante vient de se créer au moment où il te demande d'agir.
Il pourrait te donner le moindre ordre que tu t'executerais comme le parfait petit soldat de plomb que tu es. Et alors qu'il prononce sa requête, tout tourne au ralenti pour toi. Tu te relèves, brusque, et te met directement à genoux devant lui pour l'embrasser, plaquer tes lèvres contre les siennes avec une telle férocite et passion que tu as juste l'impression de revivre. De retrouver ton souffle. Ca te libère un poids entier, et tu presses ce visage entre tes paumes sans t'arrêter. Jamais tu ne veux que ça s'arrête. Tu es vraiment en train de goûter ses lèvres ? Tu es vraiment en train de chercher sa langue avec la tienne ?
Les vertiges te menacent chaque seconde, mais peu importe, d'une main, tu l'agrippes aux reins, et tu lui intimes de se rapprocher :
- Touche-moi, enlace-moi s'il te plait, je ne peux plus supporter une seule seconde d'être sans toi.
Et si tu étais sans doute fait d'un bois massif mais très combustible, tu te retiens juste de le dévorer, et te repais simplement de ces baisers incessants qui, depuis très longtemps, dresse un sourire heureux sur tes lèvres.
Pas de crise de nerfs, pas de coups de coudes, de violence physique ou verbale, elle se contente d'un rire soufflé et bref devant ce flirt enfantin et ses pseudos-compliments, le laisse jouer avec ses cheveux. A quoi bon lutter, il a toujours fait ce qu'il voulait de toute manière.
▬ Et tu serais peut-être charmant si tous tes compliments ne ressemblaient pas à des insultes. Je suis une très grande dame et sans doute une formidable épouse.
Ce n'est pas ce que diraient ses exs. Elle ferma ses paupières un instant, les rouvrir sur ses murs toujours aussi rouge, comme l'était leur futur proche. Des jours meilleurs dit-il. Quand était la dernière fois qu'elle avait eu une bonne journée? Son duel contre Flower? Sa promotion de caporale? Non. Ses plus beaux jours étaient ses jours naïfs, une bleue sur le champ de bataille, pleins de rêves d'héroïsme qui n'avaient encore étaient tâchés de sang. Des moments candides qui existaient encore parfois par brides, le temps de l'illusion d'un faux souvenir ou d'une moquerie venue du paradis.
▬ Et malgré ton manque de charme, tu vas me manquer quand tu sera mort.
To someone who's been with me for my whole damn life?
Il essuie cette larme avant qu’elle ne coule jusqu’à son menton. Il ne veut pas la voir pleurer, pas pour ça, pas pour quelques chose qui n’arrivera peut-être pas. Il passe sa main autours de sa hanche alors que l’autre la tire vers lui pour lui offrir une étreinte dont elle semble particulièrement avoir besoin et lui aussi. Il a le cœur lourd derrière ses traits d’humour.
Si la princesse veut un costard, costard se sera. Hâte de te voir avec un corset si tu portes la robe de princesse.
Il chuchote, pour ne pas la brusquer, pour lui laisser un temps de répit, parce que ces mots là sont rien que pour elle. Comme un secret entre eux. Ils s’attendront à la fin. Il la berce doucement contre lui en dessinant des motifs sans formes réelles dans son dos. Une petite boule de rancœur contre l’IA se forme au fond de lui.
Tu sais quoi ? On va s’en sortir. Tous les deux. Pas de costard, pas de robe. On a encore trop de chose à faire pour crever.
Puis il la repousse légèrement pour lui embrasser le front.
Son contact lui fait du bien. Son étreinte la rassure, beaucoup plus que tout le reste pourrait lui offrir. Parce qu’il est présent, qu’il lui donne encore de son temps à l’enfant qu’elle peut être encore maintenant. Ses mots chuchotés ont le don de la faire sourire même avec son cœur lourd. Elle le serre d’autant plus contre elle en entendant ses mots.
Ce qu’elle aime sa présence. À s’en asphyxier la conscience.
« Un corset… Je note, j’espère que tu n’auras pas trop de mal à l’enlever par la suite. »
Note d’humour. Pour lui prouver qu’elle se sent un peu mieux. Elle sent ses doigts dans son dos, ça a pour effet de détendre ses muscles alors même qu’il reprend la parole par la suite. Changeant de discours, se voulant d’un coup plus optimiste encore.
Ils survivront, parce qu’ils encore trop de choses à faire. Puis elle ferme les yeux alors qu’il lui embrasse le front, un sourire naissant aux coins de ses lèvres.
« Oh ? … Tu as agrandis ta liste ? Qu’est-ce que tu voudrais faire ? »
Pause, regard d’un coup plus intense en ouvrant ses paupières.
« De quoi est-ce que tu as envie Sam ? »
Son alter ne fonctionne pas, elle le sait. Et de toute façon, elle s’est jurée de ne plus jamais l’utiliser contre lui sans qu’il ne le veuille.
La porte s’ouvre sur un éclat rosé, sur une figure qu’il connaît bien maintenant, sur son grand sourire qui se brise et alors. L’étonnement se métamorphose en souci alors que Calypso s’avance vers lui et il écarte les bras pour l’accueillir contre lui. Elle lui demande de ne pas mourir, de s’il te plaît ne pas mourir d’une voix un peu étouffée contre son épaule et il laisse échapper un soupir - pas d’agacement, bien sûr que non, mais de prostration. Ce genre de situation ne devrait pas arriver. Personne ne devrait avoir à demander à prier pour que quelqu’un d’autre ne se fasse pas tuer.
Il lui rend donc la pareille - entoure ses épaules de ses bras, pose sa main sur ses cheveux à l’arrière de sa tête, lui répond à voix basse.
« Je vais revenir, Cal. T’en fais pas. C’est pas la première fois que je participe aux jeux. »
S’il n’est pas sûr de ses mots, ça ne s’entend pas. Il ne pourra jamais en être sûr, ne peut pas faire de promesse parce que ; c’est comme ça. Alors il n’en fait pas, ne peut essayer que de la rassurer.
« Je ne me bats pas. Je reste toujours en retrait jusqu’à ce que quelqu’un ait besoin de moi. Donc ne t’inquiète pas. »
Résumé : il prend Calypso dans ses bras et même s'il n'est pas sûr de ce qu'il dit parce que, bah, les HS sont les HS, il essaye de la réconforter
Alastor
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Alastor
Lun 8 Mai - 20:03
La fin d'une première entrevue
Un soupir douceureux fait son chemin aux abords de tes lippes. Tu le fixes avec intensité, comme on juge un criminel, sans cligner une seule fois des yeux.
- En effet. J'ai partagé ma loge avec un jou-.. une personne. Très dangereuse.
Tu rapproches ton visage du sien.
- Plus dangereuse que toi.
Malice s'invite sur ce sourire que tu lui adresses. Et pourtant, la possessivité de ton chien t'enchante autant qu'elle te contrarie. Car tu te demandes réellement si tu as été son choix. Peu importe. Tu lui caresses du bout des ongles le menton, et longe du doigt la courbe virile de sa machoire.
Tu inspires doucement. Quel dommage qu'avant une possible mort, tu ne puisses t'épancher sur quelques plaisirs charnels.
Tu trouverais bien quelqu'un.
- Tu as une place toute particulière ici, en moi, Cerberus." dis-tu, la main sur le coeur. " Puisque, c'est moi qui t'ai choisi. Je ne veux jamais que tu ne meurs. Et que tu te souviennes à jamais de moi, si le destin n'était point clément avec moi."
Tu redresses alors délicatement son menton, et tu plonges ton regard rubis dans le sien :
- Tu m'as bien compris ?
Celsius
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Celsius
Lun 8 Mai - 20:14
Ft. Nothing Un cadeau Le calme avant la tempête
Il aurait pu ne pas la choisir.
Se tourner vers quelqu'un d'autre...n'importe qui. Mais il avait tout de même déclaré son nom. Et alors Nothing s'était manifesté. Il avait toujours été plus directe qu'elle ne l'était, d'une certaine manière. Lui, il n'attend pas vraiment. Lui il prend son menton et l'embrasse avec un subtil mélange d'amour et de détresse, et ce malgré tous ces événements qui mettent en péril leur idylle naissante.
Et de nouveau, Celsius s'y perd... Dans la douceur de ses lèvres ; Dans ce feu dangereux, normalement interdit et inexplicable qu'il réveille en elle...
Ce goût est comme toujours enivrant.
Lorsque c'est le cas et peut-être ne l'a-t-il jamais perçu, Nothing a beaucoup d'ascendant sur cette tempête sourde, sur ce maelstrom d'émotions contradictoires qui font désormais serpenter ces mains dans ses cheveux de blé et sur cette chemise, d'où elle joue avec un bouton en pure minauderie.
Comme à la Saint Valentin. C'est l'effet que trahissent ses pupilles d'émeraudes quand ils se fondent de nouveau dans ceux azurés de Nothing, une fois ce baiser interrompu.
"Je ne crains pas les conséquences des prochains Jeux, Nothing. Je ne crains pas la saleté des Hunting Sports et je sais que notre alliance fera de nombreux morts..." Un soupir s'échappe de ses lèvres, comme si elle avait longuement récité ces paroles depuis trop longtemps. "Mais j'ai peur de ce que tu verras, là-bas. J'ai peur que tu ne vois plus la même femme à l'issue de ce combat..."
Car il sera cette fois-ci aux premières loges. A la voir elle, et sa manière de disséminer la peur et la terreur comme une maladie qui s'immisce sous la peau des Hommes. Un sourire s'y glisse. Affectée, peinée car elle sait que ce sera le cas. Qu'elle sera un fléau sur le terrain, à l'image du Major des Wilds. Il n'y a pas de retour en arrière ; elle aurait tant voulu ne plus porter le poids de son titre. Et tout ce qu'elle peut faire, c'est lever ses mains pour les faire disparaitre dans sa chevelure de feu, Retirant alors le pendentif qui trône entre ses clavicules apparentes et fait le charme de sa tenue du soir.
"C'est un cadeau, Nothing. Le grenat se situe aux abords de nos frontières, mais les cristaux qui le composent sont magnifiques." murmure-t-elle en passant ses mains derrière sa nuque, loin d'être intimidée par la proximité de son corps contre le sien désormais. " Certains Trappers le portent pour trouver du courage et de la force en elle. De quoi dépasser les obstacles durant les Hunting Sports...Elle m'a accompagné un temps. Un long moment...J'espère qu'elle te plait."
Ses doigts glissent le long de la chaîne, se perdent un instant sur sa surface argentée puis sur le pendentif qui traine sur une seconde chainette. Son regard de nouveau dans le sien, il y verra toute l'intensité d'une femme qui ne cédera pas avant de rendre son dernier souffle pour eux. Qui place quelques espoirs, oui, sur cet avenir si incertain...
"Même si tout est nouveau, même si tout est allé très vite...Je t'aime tellement."
Elle n'a jamais voulu paraître vulnérable. Mais face à lui et en de telles circonstances, elle l'est peut-être un peu.
Résumé : Celsius ne montre pas de remords à l'idée de participer aux HS, mais elle craint l'image qu'elle dévoilera au grand jour pour la première fois sans couvert de mythes propres aux Trappers. En signe d'amour, elle offre ses deux chaines un peu épaisses, l'une d'acier ainsi qu'un pendentif en grenat à Nothing pour lui porter chance durant les HS.
Mon regard se perd sur sa personne. Lui aussi, il a l'air d'en avoir gros sur le coeur. Lui aussi, la situation est critique entre sa bonté et la situation de guerre.
- Si tu ne te sens pas libre, c'est qu'il y a un problème quelque part oui...
Je dis ça, mais ça vaut pour moi aussi. Je lève les yeux vers le plafond.
- C'est la nôtre actuellement. Je ne sais pas vraiment ce que je ferai de ma vie si tout est calme... Je ne serai sans doute pas devenu médecin. Mais j'ignore ce que je serai devenu.
Mon regard redescend sur le rideau couleur sang qui longe le mur.
- Ne te met pas la pression. De toute façon, c'était qu'une question comme ça. On sera suffisamment surchargé demain.
Mes doigts saisissent un bout du tissus. Dommage que mon pouvoir ne fonctionne pas. Je me demande si ce sont les mêmes doigts de femme qui aurait disposé les tentures, ou bien qui les aurai.... Hm... Je m'évade.
- Ma présence n'est surement pas celle que tu désirais pour ta dernière soirée. J'espère qu'on sortira bientôt pour que tu puisse rejoindre des gens à toi.
Résumé : Divague sur le fait de possibilité autre si c'était des temps calme et s'excuse en demi-teinte d'être son rendez-vous.