Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Tu ne savais pas à quoi t’attendre, mais tu sais déjà que ce ne sera pas forcément des retrouvailles appréciées, qui sait. A part ta soeur, qui pourrait bien vouloir te dire au revoir?
Tu soupires en prenant la clé, et ouvre la porte. Tu restes un moment à le regarder.
“Tu vas user tes chaussures.”
A faire les cent pas. Réellement, t’as rien de mieux à dire ? Tu refermes la porte et le regarde, puis soupire.
“Vraiment, Lime? D’accord. Disons nous adieu.”
Tu serres la machoire, et détournes le regard. La proximité du lieu te mets mal à l’aise. Tu n’aimes pas être si proche de quelqu’un. C’est dérangeant. Tu stresses un peu. N’oses pas le regarder.
“Bah, adieu.”
Tu ne sais pas quoi dire. Troublé.
Résumé : Mars est triste. Mars est surprit de voir Lime. Mars est stressé de la proximité des lieux.
Bjorn
Wild
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Bjorn
Dim 7 Mai - 17:50
Tu ne savais pas pourquoi t’en doutais. C’était lui, de toute façon. Quelle évidence. Tu t’avances et l’attrape dans tes bras, suite à ces mots. Tu le serres, sans aucune pression ni douleur, mais avec force. Tu le respires et souris un peu. Tu es soulagé de le voir, en forme et bien portant. Il en aura besoin pour les jeux.
Tu t’éloignes et gardes tes mains sur ses bras alors que tu cherches son regard.
“Je suis soulagé, tu es en forme, c’est bien.”
Tu inspires. Tu n’as que une heure, pas le temps de déballer toutes tes émotions, ce serait trop court.
“J’suis pas content, pour ces négociations, mais j’ai pas mon mot à dire. Sache juste une chose, mon frère.”
Ton regard devient sérieux, et ton ton plus dur. Tu captes le sien.
“Je te jure de te protéger, quoi qu’il arrive.”
Et tu tiendrais parole. Celui qui blesserait ton frère, allié ou ennemi, n'était pas encore né.
Résumé : Bjorn le prend dans ses bras. Il est soulagé de le voir, et triste de l’issue des négociations. Il jure de le protéger quoi qu’il arrive.
Spring
Roi des Pirates
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En couple : Non
Spring
Dim 7 Mai - 17:58
I can hear the sound of a heartbeat before it goes out Won't ever leave my memory of bloodshed all around
disons-nous au revoir
salle 15 - 21h10
C'est long dix minutes sans rien faire, vous savez. On tente de s'occuper l'esprit, en vain, obnubilé par l'attente. On compte les secondes. On ne respire plus. La poignée s'ouvre. Le verrou claque et se referme. Sekhmet dans sa robe blanche et d'or contraste avec les murs rouges comme un ange. Et comme à son habitude, d'un sourire, elle illumine la pièce en appelant son nom.
Il fait chaud ici non?
Tiens, peut-être que tu n’éviteras plus mon regard vu la taille de la pièce.
Elle se prête aux plaisanteries. Et curieusement lui aussi est d'humeur, et se tourne à 180° sur l'autre mur.
▬ Défi accepté.
Comment il se sent. Drôle de question, parce qu'il n'en a pas la réponse. La même apathie que d'habitude, comme résigné, et pourtant il a peur. Peur de devoir se tenir aux côté de celui qui la mutilé. Peur de devoir affronter sa famille. Peur de devoir la perdre, même s'il ne lui dira pas tout pas. Il hausse les épaules nonchalamment.
▬ Meh. J'ai du mal à comprendre ce que l'IA essaie d'accomplir. Le mélodrame et les adieux déchirants, ça n'a jamais été mon truc.
Il n'y avait pas grand-chose qui était "son truc", d'ailleurs.
▬ Et toi? Nos deux anciennes factions sont nos ennemis. Moi, je vais juste faire semblant de bosser dix minutes pour qu'Alastor me lâche la grappe et me cacher dans un buisson, mais toi tu seras sur le front. Ça va aller?
résumé ▬ Il se tourne à l'opposé d'elle pour la blague d'éviter son regard car c'est un petit con et répond à ses questions.
bonus tenue (artiste @__SHIYE__) www (oui il a une épaulière et un demi plastron. vous savez jamais quand vous allez être attaqué ok)
Invité
Invité
Invité
Dim 7 Mai - 18:15
Elle le regarde se retourner, une moue s’installe sur le visage alors qu’elle s’assoit juste à côté de lui. Yeux vairons pourtant amusés de voir que la tension ne semble pas le gagner même si elle ne peut pas le voir clairement sur son visage, seulement avec le ton qu’il emploi quand il parle.
« C’est justement ce qu’elle cherche j’imagine, du drame. Après tout, la mort est si vite arrivée, il serait dommage de ne pas dire ce qu’on a à dire avant. »
Fait qu’elle a acceptée. Elle sait que ces HS seront les plus mortels. Et qu’elle risque aussi d’y rester.
Un coup bien placé, quelques secondes et une vie de plus à être arrachée. C’est une occasion que l’IA apporte.
« Tout le monde n’a pas la chance de prononcer ses derniers mots à une personne qu’elle apprécie. »
Haussement d’épaule, elle croise ses jambes avant de regarder le plafond. Rouge. C’est une couleur lié à la passion, à la fureur, la colère. Au sang.
« Je m’y attendais. Donc je ne suis pas surprise de savoir que je vais affronter mes frères et sœurs ou que je vais encore mourir de leur main. »
Le ton est détaché. Elle annonce sa future mort comme quelque chose d’inévitable. Parce qu’elle se sait faible, que si sa famille entière lui fait face, elle ne fera pas le poids.
Repose ses yeux sur Spring, sourire toujours aux lèvres.
« Fais attention à ne pas rester toujours dans le même buisson. Rester caché c’est une idée mais si quelqu’un a un alter comme le mien en face, ça peut très vite se retourner contre toi. »
Et si jamais lui devait mourir… Non, il survivra. Il est bien trop borné pour mourir.
Résumé: • Tenue : ici on tient de la madre en terme de tenue extravagante et voyante merci beaucoup • Mais quel gosse, c'pour ça qu'on l'aime après • Elle va s'asseoir à côté de lui tout en lui parlant • Clairement elle accepte l'idée qu'elle puisse mourir tout en lui disant de faire gaffe de son côté.
Elle a compté dix minutes exactement avant que cette porte ne s'ouvre de nouveau. Elle sursaute lorsque la porte claque et elle en fait tomber la clé qu'elle tenait toujours. Son regard se pose sur Cerbère alors que son coeur, lui, manque de sortir de sa poitrine - autant à cause de la peur que de la personne maintenant en face d'elle.
Il ne lui laisse pas le temps de réagir, mais ça a le mérite de la détendre. Le surnom, sa manière d'avancer, le baiser et la phrase qui suit. Elle est sonnée quelques secondes, mais fini par lâcher un petit rire.
« Heureuse de voir que les circonstances ne te troublent pas plus que ça. » Elle croise les bras et prend un air un peu plus sérieux.
« Ce sont des adieux pour si tout ne se passe pas bien, il faut les faire correctement pour ne pas avoir de regrets ensuite, elle fronce les sourcils. Puis je ne suis pas si brillante que ça et tu dois rester en vie aussi, c'est pour ça qu'on passe autant de temps à travailler sur une stratégie. »
Résumé:
- Elle est content de voir Cerbère qui arrive à la dé-stresser - Elle est trop sérieuse, aidez là
Tu ne comprends pas pourquoi elle semble si contrariée. Si impliquée. Tu poses tes mains sur ses joues et tires un sourire avec tes doigts.
“Smile, la vie est belle !”
Tu souris à nouveau, essaye de la faire rire avec le tien. Tu ne comprends pas, pourquoi parler guerre et stratégie, pourquoi des adieux doivent être faits si solennellement.
“La mort n’est pas effrayante, ni une fin en soit. C’est le début d’un commencement, tu sais ?”
Tu l’attrapes alors par les cuisses pour la soulever et coller son dos au mur, venant manger son cou de baisers.
“T’es douce, je te protégerais. Personne touchera ta douceur, pas même le roi.”
Oh ça non, jamais. jamais plus. Ta jalousie était trop présente, contre toi et en toi ; Tu ne pouvais partager ton joyaux, et sa mort n'existait pas. Dans aucun univers, jamais de ton vivant. Qu'ils osent te défier, tu les brulerais tous.
Résumé : Cerbère ne comprend pas pourquoi ne pas être joyeux. Il essaye de la faire rire. Il la soulève dans ses bras. Encore un bisou.
Avant, lorsque le regard d’Aconit se posait sur Seven, sa poitrine se gonflait de fierté. Fierté de le voir debout sur ses deux jambes, la tête relevée, la rage au creux du cœur et des étincelles au fond des yeux ; la tête pleine de tourments mais le sang chaud. Seven là, en vie. Et il entre dans cette petite pièce, et le cliquetis de la serrure est sourd et Aconit se lève d’un seul coup parce que cette fois c’est comme un nerf que l’on pince, une côte que l’on casse. Seven ne le rejoint pas, regarde le sol, croise les bras. La chambre est trop petite pour que ses mots résonnent et c’est comme si sa voix venait de partout à la fois. Ses lèvres se sont étirées dans un sourire narquois et Aconit se demande ce qu’il fait là. De tous les Vigilante, c’est vrai, s’il y a bien quelqu’un qu’Aconit a envie de voir vivre, c’est lui. De ce qu’il reste des Vigilante du moins.
« Seven. »
Il aurait pu être roi Seven. Il aurait dû l’être. Leur faction n’est que l’ombre d’elle-même et Seven aurait pu raviver la flamme, aurait su agir sans peur. Seven - aurait pu imposer ses décisions. D’Aconit il n’aurait rien eu à gagner car il a déjà de lui tout son respect.
« Tu avais raison, tu sais. Pour l’IA. »
Long soupir. Aconit se rassoit, se pince l’arrête du nez. Rire sans joie. S’ils vont mourir, autant ne rien cacher. Sa main se glisse dans la poche de sa veste et en ressort avec une boite en carton qu’il ouvre pour en sortir une cigarette qu’il cale entre ses lèvres et allume. Ah, c’est une rareté de voir le soigneur avec du tabac entre les doigts. Il remet le feu à l’intérieur et lance le paquet en direction de Seven. Inspire. Expire. La fumée monte en volutes blanches et la silhouette de Seven se brouille un instant derrière un rideau de brume.
« Si tu es déçu de me voir ici, je suis navré. Mais tu ne devrais pas être surpris. »
Résumé : Seven arrive, Aconit n'est pas vraiment surpris de le voir. Il lui partage son point de vue, regrette certains de ses propres choix et lui file une cigarette
Invité
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Dim 7 Mai - 19:03
it's time to say goodbye
THÈME – La gêne, c'est le sentiment qui le tire ; par amour pour sa sœur et par la douleur de sa perte, il avait commit l'irréparable ; avait souhaiter la suivre dans la mort. Toi, Aconit, t'es au courant. Tu sais ce qu'il a fait. Et te voir, croiser ton regard, lui rappelle cet acte pitoyable. C'est horrible de se sentir aussi vulnérable, de se sentir aussi redevable. La gorge est nouée, le sourire demeure, mais il se meurt dès lors que tes paroles tue le silence de l'habitacle. Il avait raison ? Pour l'I.A ? Vraiment ? Et le choc ressenti à la suite de sa "propagande" ? Tu ne lui en veux pas ? Son bras se décroise et attrape le paquet en plein vole, en sort une du dit paquet et la coince entre ses lèvres, avant d'attraper son zippo de sa poche arrière. Avec lenteur, son dos se décolle du mur et c'est avec nonchalance qu'il prend place à tes côtés sur ce banc.
T'es bien le seul qui pense que j'avais raison. Ce que j'ai entendu ce jour là, j'pourrais pas l'oublier. Il sait à qui faire confiance, de qui il doit se méfier ; il ne pensait juste pas devoir un jour se méfier d'un Vigilante. Mais je note qu'encore une fois, je peux te faire confiance. Son soupir enfumé l'empêche de discerner quoi que ce soit devant lui. Accoudé à sa jambe, la joue posée sur son poing serré, il cherche ses mots Seven, cherche quoi dire. Mais vu que votre avenir est incertain, autant jouer la carte de l'honnêteté, celle qui le valorise si bien et qui le discrédite pour certains. Déçu de voir celui qui m'a sauvé de ma tentative de suicide ? Non. Sans toi, je serai plus là. Donc non, je suis pas déçu. Je suis seulement gêné, car quand j'te vois et que j'te parle, j'me rappelle de cet événement. Et aujourd'hui j'en ai honte.
Les paupière se ferment, le sourire s'élargit. Mais je sais que tu me juges pas et j'te remercie pour ça.
// @aconit seven est surprit et touché des confidences d'aconit attrape le paquet de clope, en allume une s'assoit à côté d'aconit et lâche sa vérité et heureux d'partager ce moment avec lui
De sombres echos Oblivion se gorgent à l'annonce de cette fin. Et de partenaire à une doucereuse amitié, il ne l'avait que rarement croisé ces derniers temps. En dehors des entraînements et des nombreuses réunions de crises qui tiennent compte de la conjoncture actuelle, l'enfant sans alter n'était plus qu'un spectre d'adulte aux ambitions insignifiantes.
Ce n'était pas la première fois qu'elle profitait d'une vie sans lui. Et cette fois encore, elle ne l'avait pas attendu pour rejoindre l'évènement. Peut-être alors que son esprit s'enlise dans un dédale de tristesse dont elle ne souhaite accabler son allié de toujours.
Résolu d'un calme olympien, il époussette ses épaules, et reforme son chignon avec la conviction d'être flambant neuf suite à cette chevauchée trépidante d'appréhension. Il pénètre les lieux et d'un mouvement leste, guide ses pas mesurés jusqu'à la loge 16. Il avait omis, sciemment, sa veste. D'une chemise blanc agrémenté d'une bretelle noire en souvenir de ses échappées secrètes aux côtés de Lucifer, il toque et entre.
L'appréhension semble le ravir un instant, avant de percevoir d'un oeil argenté la silhouette de Jupiter.
- Jupiter.
Oblivion s'annonce, et loin des ombres humaines, joint à la fermeture de la porte le mouvement respectueux du menton.
- Je suis ravi de te retrouver.
De toute évidence, c'était lui qui avait donné le nom de sa partenaire à la glorieuse I.A.
T'es encore pétri d'une hésitation qui te bouffe, et te gangrène jusqu'à la moelle. Tu sais très bien qu'en y allant, tu serais déçu. T'en est même venu à regretter le choix de la personne à protéger. Car t'as ces doutes qui te bouffent jusqu'aux tréfonds de ton être.
Tu traines la patte, parmi toutes ces têtes que pour la plupart tu dépasses, tu lances un regard mauvais à la clé qui affiche la loge 14.
D'un souffle, t'expires la tension qui t'habite.
Comme un bourrin, tu tues la distance jusqu'à la porte à grandes enjambées, déjà bien agaçé d'être vierge de ta précieuse téléportation avant d'ouvrir brutalement la porte. Le regard figé sur.... ... - Viviane ???
Tu n'as pas retenu ta surprise, mais tu as le reflexe de bien regarder le numéro de la porte et de la clé.
- Viviane, mais ? ...
Tu refermes derrière toi en claquant de la porte, puis le cliquetis s'imbrique dans cette trop petite pièce pour que tu te sentes à ton aise. D'un coup oeil tu avises les murs et te râcles la gorge :
- Et pourquoi pas plus près, I.A. Un collé-serré n'a jamais tué personne apparemment.
Un rare sourire tiraille le coin de ses lèvres lorsque Seven s’avance enfin, s’installe à ses côtés. Epaules à épaules, pied d’égalité. Ils sont tous les deux dans un placard à balais alors Aconit tombe un peu le masque. C’est involontaire, vraiment - lui qui cache toujours ses cernes sous une expression crispée, les sourcils froncés - lui qui ne laisse pas ses épaules affaissées puisqu’il le faut bien, il faut bien quelqu’un pour réparer les corps et les coeurs, recoudre les plaies béantes, fermer la porte et garder la mort en dehors mais, mais il est fatigué aussi Aconit. Il regarde les murs des Vigilante s’effondrer sans qu’il ne puisse rien faire et les voilà au portes de la guerre sans rien. De beaux discours, des trahisons, des couards qui s’enfuient aux moindres obstacles. C’est un sentiment qui n’a pas fait surface depuis des années ; la culpabilité. Les et si.
« Toi et moi, Seven. Tout ce cirque… c’est démoralisant. C’est ridicule. Je suis content de te voir là, tu sais. J’imagine que tu doutes autant que moi sur tout, mais j’ai pas ton courage. Ce que tu as dit l’autre jour… C’était pas discret mais tu as raison sur toute la ligne, du moins pour moi. »
Un nouveau rire bref.
« J’aurais voté pour toi, tu le sais déjà, je l’ai dit. Mais je pense qu’il y a certaines choses qui ont besoin de discrétion si on veut faire changer les choses. Mais c’était un beau discours qui valait bien de se faire zapper. J’espère que tu t’en es remis d’ailleurs. »
Le filtre se cale entre son index et son majeur et il tourne la tête vers son frère d’armes. L’odeur du tabac brûlé se fait déjà forte dans la pièce hermétique, mais ce n’est pas ce qui le fait froncer les sourcils.
« Tu ne devrais pas avoir honte. C’est quelque chose que tu as surmonté et dont tu peux être fier. »
Mimétisme - il s’accoude à se genou pour le regarder en face.
« J’ai été un peu dur avec toi tout ce temps. Je peux pas te juger pour un sentiment que je connais. Tu as simplement fait une étape de plus que moi, celle qui demande le plus de courage. Hah, en schéma se dessine on dirait. »
Résumé : Aconit se détend et se délie un peu lorsque Seven le rejoint sur le banc et développe un peu sur ce qu'il pense de lui avant de livrer sur lui-même parce qu'entre bros ils se comprennent
La porte s’ouvre enfin, elle en avait assez d’attendre. Dix minutes dans un espace si étroit et vide d’intérêt n’est pas quelque chose qui lui plait. Et c’est le visage effaré d’Hysteria qui s’offre à la brune. Elle pouffe doucement et lui adresse un sourire amusé en le regardant vérifier la clef.
- Tu es à la bonne adresse, ne t’en fais pas pour ça.
Se redresse pour se grandir un peu face au géant qui lui faisait face, sans pour autant trop empiéter sur son territoire. Il ferme la porte, elle pose une main sur sa hanche. Sa réaction face à l’espace si restreint dont ils disposaient agrandit encore son sourire malicieux.
- Pas de ça avec moi.
Comme s’ils n’avaient jamais été aussi proches tous les deux… Elle croise maintenant les bras sous sa poitrine et l’interroge du regard, toujours ce rictus sur le visage. Il semblait avoir des questions et elle attendait que celui-ci les pose pour pouvoir y répondre.
Mais oui. Elle l’avait bien choisi. Et non. Elle ne voulait pas le voir mourir.
Recap:
La réaction d'Hyste l'amuse beaucoup, ça la fume qu'il fasse le prude et elle attend qu'il s'exprime sur sa surprise.
La porte s'ouvre et sa voix retentit. C'est bien lui. Et je cesse de tourner en rond dans cet espace réduit. Je sens l'angoisse s'emparer de mon être. Plus rien ne va. Je ne devrai pas être ici.
Pas avec lui.
J'aurai du.... J'aurai du plein de chose, mais mon esprit n'est pas clair. Et sa question me renvoie en plein visage l'illogisme de cette réunion ensemble. Son regard dévie et ses mots sortent de sa bouche.
“Bah, adieu.”
Je fronce les sourcils, mécontent.
Idiot.
- Quoi ? Juste ça ? Tu.... t'étais plus éloquent dans ta lettre....
Je me mords la lèvre inférieure que je relâche aussitôt.
- Tu pourrais au moins me regarder quand tu me le dis....
Je pousse un soupir. C'est un désastre...
Je m'assied sur le banc en me laissant aller dessus.
- Tes blessures de la dernière fois... T'as aucune séquelle ?
Ce n'est pas forcément le côté médecin qui intervient, même si j'espère que c'est l'image qui en ressort. Je m'inquiète juste pour lui. Et s'il n'a aucun problème physique, il aura plus de chance de survie demain et c'est tout ce qui m'importe....
Résumé : Envie de fuir +++ Se dit que c'est pas une bonne idée au final d'être là. En colère de juste "bah, adieu". S'inquiète pour Mars.
Moka
Wild
Messages : 55
Date d'inscription : 23/02/2023
Groupe : WIld
,,
Moka
Dim 7 Mai - 20:23
Retrouvailles
"I.A, dans sa grande mansuétude, à organiser de touchantes retrouvailles avant notre mort imminente."
Très drôle.
J'ai quand même choisi quelqu'un. Une personne décente, pas trop conne pour s'offusquer de ce que je vais lui dire. Quitte à passer un dernier instant au calme...Je sais en qui je peux avoir confiance ou non.
Mais tout de même, je n'aime pas ce genre d'intéractions : Je les trouve forcées ; dissonnantes. Ca ne me fait pas plaisir mais qui suis-je pour témoigner? Peu de choses, en vérité, me font réellement plaisir.
Nous arrivons vites en terre peu connue. La White Land a cela d'intérêt qu'elle met les autres à mon égal : sans alter, ils ne sont bien différents de moi, et je sais, au plus profond de moi-même, que je suis toujours aussi létale pour la vie d'autrui. En tant qu'assassin, le poids qui pèse sur mes épaules et me sépare de mon alter m'indiffère...
Ainsi, je saisis machinalement la petite clé sur le pupitre portant mon nom ainsi que le numéro 7. Je n'y porte aucun signe de chance ou de malchance ; j'avance vers la porte à pas rapides, furtifs et dans un cliquettement à peine audible, je me retrouve enfermé face à ... Mon "mentor en médecine", si je peux ainsi le mentionner comme cela. Sans surprise. Dans un petit réduit de mauvais goût, et dont les circonstances auraient pu m'amener à réfléchir à deux fois sur mon devenir en tant que Chasseresse ou médecin.
"Je ne sais pas quoi te dire..."
Ma voix est lasse. Limpide, sans joie ni tristesse. Je ne sais pas si Icarus est lucide, Je ne sais pas s'il est à la recherche d'un peu d'amitié et de réconfort. Moi ? Hm. Moi je suis agacée...
"Tout ce que je sais, c'est qu'il ne faut pas réfléchir bien longtemps pour voir que l'I.A. se fout bien de notre gueule."
T'as envie de sourire peut-être Icarus ? T'as envie de me dire adieu? T'as envie de pleurer ? T'as envie de blaguer avec moi, alors que t'es mis dans un placard comme un vieux jouet démodé ?
Mon regard plein de neutralité et de sécheresse te dit de ne pas le faire. De ne pas jouer ce jeu. Qu'est-ce que tu fous ici, Icare ?
"Pourquoi t'es là face à moi ?"
Ma parole est un acide craché à ta face. Après tout, un mentor ne fait pas l'élève, et j'en suis une très mauvaise, d'élève. Je sais que tu as vu mon évolution, que tu m'encourages à embrasser davantage la douceur de mon alter que le tranchant de mes lames. C'est honorable, vraiment. Mais moi ça ne m'intéresse pas. Je veux défier la vie.
"Tout ça, c'est une mascarade. Tu dois bien t'ennuyer, toi aussi. Demain je serais envoyée en première ligne et je mourrais sûrement là-bas, pour finir dans l'oubli. Comme beaucoup d'autres. C'est tout."
Un sourire froid et pincé, dans ce petit 4m². Es-tu heureux d'être face à moi Icarus ?
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