Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Ce sourire qu’elle ancrait sur son visage, elle le savait véritable. Elle était heureuse, heureuse d’oublier, de nier les faits et les conséquences. Naïveté qu’elle trouverait abjecte, qu’elle rejetterait en d’autres temps, mais ce n’était pas pour elle. Le bonheur est contagieux, Érinye le savait. Comme tous, elle pourrait le transmettre. Une infection loin d’être aussi violente, aussi fatale que l’était son don, plus longue à administrer, plus diffuse. Pourtant, l’excitation ressentie était semblable à celle des fureurs, affaiblie, mais d’une nature commune. Pour une nuit, elle pouvait se nourrir de cela plutôt que de la folie, mais au contraire de celle-ci, le bonheur était factice.
Si factice qu’il ne courrait pas sur les visages malgré l’allégresse de l’évènement. Si elle l’avait toujours su, la concrétisation était brutale. Tous étaient des vétérans, traumatisés d’affrontements qui avaient pour seul but la survie des leurs, mettaient fin à celle de leurs voisins. Vive, elle ferma cette réflexion à son esprit, n’en ressentit alors aucune peine. Leur monde était ainsi, le sien était précieux. Qu’importe les cicatrices qu’elle pourrait encore dévoiler dans une robe festive, tant qu’il ne s’arrêterait pas de tourner, elle se battrait. Or, ce soir, le temps suspendait son cours.
De ses yeux, elle rassurait ceux à qui elle était venue imposer le bonheur. Avait-elle le droit ? Elle en doutait, mais elle devait essayer, se faire soutien autrement que lors d’un combat. Lâchant les mains qu’elle tenait, son regard se tourna vers la silhouette qui s’était approchée des mariées, croisa le bleu clair de celui de Silence. Une seconde, infime et son sourire s’estompa. Elle le regarda, s’éloigner avant de se tourner vers ses proches. De ses échanges avec le trapper, elle ne retenait que l’opposition, le sarcasme et, difficilement avoués, les pleurs. Pour elle, il n’avait été qu’une ombre apparue dans un quotidien qui n’en manquait pas. Pourtant, il l’avait sauvée, par souci de régler ses dettes, peut-être, mais elle estime que, par sa résilience dans la forêt morte, il avait déjà réglé son dû. Il avait veillé sur elle, s’était imposé dans une rixe qu’elle avait elle-même créée par simple irritation. Pour tout cela, elle ne l’avait gratifié que d’un regard exaspéré. Elle soupira, considéra Crystal et Hysteria dans un sourire triste alors que sa voix se fit douce.
« Pardon. » Comment justifier l’abandon après la promesse ? « Je reviens, c'est promis. » Et son ton se fit plus dur. « C’est un peu brusque, mais je vous aime. »
Ces mots si lourds ne pesaient pas tant dans le cœur de la vigilante. Elle savait qu’elle pouvait les perdre, en avait déjà fait l’expérience. Alors qu’ils lui pardonnent ses erreurs, qu’ils lui permettent de leur dire ce qu’elle regretterait de ne pas leur avoir assez assuré le jour de leur trépas. Elle recula de quelques pas avant de se retourner à nouveau, leur promettant dans un rire.
« Ne faites pas cette tête, tout ira bien ! »
Quittant leur visage, elle marcha à la rencontre de Silence, de celui qui semblait fuir. Un sourire mince avant que sa voix ne tente de l’arrêter sans crier, elle était donc de ses démons qui jamais ne lui permettent de tourner le dos.
« Silence. »
Érinye arriva à sa hauteur, hésita lorsqu’elle vit la neutralité de ses traits, trop prononcée pour être sans arrière-humeur. Les siens avaient repris leur naturelle sévérité, assumant l’absurdité d’un acte qu’elle ne parvenait plus à justifier. D’un signe de tête, elle lui indiqua le rebord de la terrasse, reprit son chemin pour l’atteindre en silence, s’accouder à la rambarde. Ses pensées se perdirent un instant sur les fleurs qui couraient le long des murs sur les parterres, nombreuses en cette saison. Enfin, dans une voix absente, elle parla sans quitter le paysage floral.
« Lorsque tu m’as aidée, cette nuit des Hunting Sports. Tu avais un lapin n’est-ce pas ? » Elle sourit dans un soupir. Boule de Poils n'était sûrement pas celle blanche qu'elle avait vue entre ses bras, mais aucune autre explication ne lui était venue malgré les interrogations. « Enfin, je l’ai peut-être imaginé. »
Si cela n’était pas le cas, il finirait de la considérer comme folle, inventant un bestiaire en plus de noms.
Allez on respire et on sourit:
- Érinye remarque Silence, quitte alors Hysteria et Crystal pour le rejoindre (la bonne amie…). - Elle indique au trapper le bout de la terrasse avant de s’y rendre. Après quelques secondes, elle lui demande si elle n’a pas imaginé Buisson aka Boule de Poils.
Elle avait le don de l’énerver. Cette femme, cette folle. Elle venait l’agresser et maintenant elle semblait totalement désintéressée. S’il ne la connaissait pas autant. Il aurait pensé qu’elle se moquait de lui en ce moment même. Fort heureusement, il savait qu’elle était Moon. C’était dans sa nature de se comportait de la sorte.
Pourtant, elle avait beau avoir le don d’être insupportable. Il ne la détestait pas totalement. C’est étrange. Il l’apprécie autant qu’il la déteste. C’était loin d’être normal. Mais ça lui convient, une vie normale, des relations simples. Tout ça n’est pas digne de lui. Il refuse d’avoir quoi que ce soit de normal.
Elle voulait rire. Une chose qu’il allait lui offrir avec plaisir. Il n’était pas en mesure de se ridiculiser. Mais il pouvait lui offrir ce petit cadeau. Ce simple présent qu’est le rire. Il n’était pas égoïste. Il savait partager certaines choses. Il ne pouvait pas donner sa puissance, mais il pouvait apporter une bonne dose de rire aux autres. Allons rire Moon. Allons-y.
Tu veux un spectacle ma chère Moon ? Tu ne seras pas déçu, crois-moi. Il la dévisagea avec un léger sourire. On va rire toi et moi.
Il était l’heure pour lui de rentrer sur le devant de la scène. Sortir de l’ombre, ça ne lui convenait pas de toute façon. Il n’était pas fait pour rester silencieusement à l’écart comme un fragile. Il devait être sur les devants de la scène. Pas assez pour occuper la place centrale du stage, ce n’était pas son évènement après tout, et il voulait faire ce cadeau aux mariés. Cependant, il n’allait pas non plus rester à l’écart en silence.
Il attrapa par la taille Moon avant de s’avancer au milieu de l’assemblée. Juste devant l’estrade. Il n’allait pas monter, il était bien là où il l’était. Et s’il prenait la peine de rejoindre les mariés, il risquait d’éclipser leur moment par sa seule présence. Il n’avait pas oublié qu’il n’était pas là pour ça. Le voilà, son moment. Celui où ils vont tous graviter autour du soleil. Et de la lune pour le coup. Il jubilait à l’idée d’imaginer le visage de la jeune femme. Elle était probablement sur le point de lui souhaiter la mort.
Il chercha du regard les mariés avant d’entonner d’une voix claire, sa chevelure, comme pour répondre à son appel, se mit à briller de plus belle, attirant naturellement et malgré lui les regards des autres. A croire que quoi qu’il fasse, même en cherchant à rester sobre, il était condamné à briller plus fort que les autres.
Félicitations, félicitations. Je vous admire mes chers mariés. Vous êtes bien les premiers d’ailleurs. Il afficha son plus beau sourire. Vous avez accompli un tel miracle, je ne pensais pas voir une cérémonie aussi belle de mon vivant ici. Il inclina légèrement la tête, plus de manière théâtrale que par respect. Moi, Starlord, je vous bénie. Puisse le sort vous être à jamais favorable
Si avec ça il n’avait pas réussi à attirer l’attention de tous, alors l’assemblée autour de lui devait réellement être aveugle. Il se pencha en suivant vers Moon, lui murmurant à l’oreille.
- Shall we dance ? Mylady ?
Elle voulait jouer avec lui ? Pourtant elle devait savoir qu'on ne joue pas avec lui, c’est lui qui joue avec vous.
Résumé:
-Il passe à l'action -Et embarque MOON MDR -Il fait le show - Il propose à Moon une dance quand elle commencera (la dance)
T o u t e s t p a r f a i t. Flesh à son bras. Flesh aux côtés de Strife. Crystal à côté de lui, une fois assis sur le banc. Son coeur joue au grand 8 depuis sa présence à ses côtés. Son parfum, entêtant. Il est obligé de fermer les yeux. Ou se concentrer sur elles, au choix.
Le mariage. Un concept qu'il aurait apprécié vivre un jour dans sa vie mais dont le destin le lui interdisait.
La saint tractopelle a réuni Erin à ses côtés. Un doux sourire se dresse sur ses lèvres, il ferme les yeux. Apaisé. Ce sentiment de légèreté sont des bulles qui pétillent dans son corps. .... Le sourire semble immuable, imperturbable. Profond.
Main dans la main, il fixe la scène avec cette chaleur au coeur, et son regard ne peut s'empêcher de glisser d'abord sur sa soeur... puis sur Crystal. Le coup à la poitrine le ramène à la réalité ; et Erinye se levant pour s'extirper met fin à cet instant de bien-être ultime. Ce respect et amour immuable... Il a peur. De ressouffrir encore. Mais il accepte tout à fait son absence.
Il inspire profondément, porte son regard sur les promesses de mariage faites l'une à l'autre, Strife dans sa masculine attitude, Flesh dans son charisme délicieux... Il entend. Le couperet tomber.
La- Voix - de- quelqu'un. Percu tel un sifflement aux oreilles. Ca sssserpente jusqu'aux trefonds de son esprit ; il se lève d'un coup. Il croit rêver.
STARLORD. ICI ?!? Il oublie tout. Tout ce qui peut se retrouver ici ; seule la silhouette de Crystal l'inquiète un tant soit peu, il lui attrape la main avec une poignante fermeté et la rapproche près de lui, la peur aux aguets.
Hysteria inspire profondément et entraîne avec lui Crystal de force, loin de cet endroit, avant d'attraper son couteau. Les pouvoirs sont interdits ; les armes non.
Cette fois-ci, il fonce vers l'autel en courant. Il peut pas se téléporter ? No problemo ; ce résidu de capote trouée allait voir que la lune était là pour lui faire de l'ombre à cette enflure de soleil !
Peu importait Moon à ses côtés, il se jette sur lui pour le poignarder..
Resumé : - Hysteria passait un bon moment avec sa family. - Hysteria ne passe plus un bon moment quand Starlord fait son come back. - Hysteria se jette sur son meilleur ennemi pour le poignarder
Elle tourne la tête et elle se fige. Elle le regarde, ses yeux agrandis par la surprise très rapidement suivit par un choc. Son corps réagit plus vite qu’elle n’aurait jamais pu l’imaginer. Il est immobile, refusant toute action, alors qu’une énorme boule dans l’estomac montre jusqu’à lui couper le souffle. Une peur grandissante envahit ses membres, paralyse son être entier alors même que sa gorge se serre et que ses yeux s’humidifient.
Elle est morte de peur. Ses mains tremblent furieusement, ses larmes coulent sur ses joues mais surtout, son esprit se révolte. Deux batailles se livrent, l’une dans sa tête où quelque chose commence à se faire, l’autre sur son être qui reconnaît ce jeune homme.
Et c’est en le voyant s’approcher, en voyant son visage qu’une image lui revient.
Ses yeux bleus et son air mauvais alors qu’il se tient en face d’elle Sa lance de lumière ayant transpercée son corps Et la Douleur. Elle ravage son existence S’accapare de sa vie et ne laisse qu’un froid derrière elle … Il ne reste qu’un cri Qu’elle entend au loin Un cri qui veut la retenir Mais il est déjà trop tard.
Elle s’éteint Crystal. C’est lui. Lui qui l’a tué. Lui qui a arraché sa vie.
Tout se passe très vite dans sa tête, mais tout se passe lentement dans la réalité. Son corps incapable de bouger se fait pourtant entraîné par Hysteria mais ses yeux n’arrivent pas à se détacher du blond. Starlord. Son nom résonne dans sa tête comme un glas.
Elle ne se rend plus compte de rien, le monde s’efface alors qu’Hysteria s’éloigne, un couteau à la main.
Elle reste là, les yeux vides. Tandis que ce souvenir lui remplit la tête Et que tout le reste menace de refaire surface.
Spoiler:
• La pls.
TENUE (merci Erinye d'avoir dessinée la tenue ;; <3)
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Dim 25 Avr - 3:40
Power vivait un rêve éveillé…
Pendant une partie de la cérémonie, il buggua devant une femme à l’aspect familier. Mais c’était impossible, cette femme était morte plusieurs mois auparavant. Il mit cela sous le compte de l’émotion qui appelait l’émotion. Après tout, ce mariage le remuait dans tous les sens et il était sur le point de déborder devant l’échange d’alliance. Il ne cessa de répéter à voix basse des « c’est trop beau », « je vais craquer », « Strife va emménager chez nous ? », « elles en jettent », « l’arbitre est un vendu », « c’est quand le buffet ? »,…
Serrant fort contre lui un mouchoir brodé avec ses initiales, « FTP », il n’en eut pas l’usage avant que December passe du registre romantique à celui du comique. Entre les deux, il n’y avait qu’un pas pour le Wild. Ce qui fit rire une bonne partie de l’assemblée, dont Power qui put ainsi évacuer une partie de ses émotions. Les larmes de joie finirent néanmoins par couler et il se mit à applaudir les mariées après s’être vivement levé de sa chaise.
- GIRL snif… POWER !
Scanda-t-il fièrement avant de se moucher et essuyer les larmes qui mettaient en péril son eyeliner. Puis il vit une ombre déterminée s’approcher de la scène. Sa mâchoire resta de marbre lorsqu’il reconnut les traits d’un homme dont la réputation n’était plus à faire auprès de l’Empereur des vigilantes. Un homme blond qui extirpa tout émerveillement de son regard dès l’instant où il fut identifié… Starlord.
Les paroles de l’homme, pourtant bienveillantes en apparence, glacèrent le sang de Power. Il sentit sur ses épaules le poids de l’Empereur qu’il était et la menace que représentait cet homme pour sa famille. Sans s’en rendre compte, il s’était crispé. Totalement raidis en écrasant entre ses doigts le si beau mouchoir de soie, qu’il finit par laisser tomber en assistant à une scène qui ne devait en aucun cas se produire.
Hysteria s’élança armé d’un couteau en direction de l’individu perturbateur. Power ne pouvait le permettre et conscient qu’un rappel à l’ordre ne suffirait pas à stopper son frère en colère, il bondit à sa rencontre, se jetant contre lui et provoquant leur chute sur le bord de l’estrade. Immédiatement, il cloua les bras du téléporteur au sol avec les siens et usa de tout son poids pour le maintenir au sol autant que possible. Hysteria était fou de rage, Power le comprenait, mais il ne devait pas se laisser aveuglé par ses sentiments.
- HYSTERIA ! Reprends-toi !
Le ton léger habituel de l’Empereur s’était évanoui, comme si une autre personne avait pris possession de lui. Son regard était dur, froid et fermé à la discussion. En s’y plongeant, il était possible d’y apercevoir un soupçon de rage, la même qui animait Hysteria, bien que leurs raisons soient différentes. A plusieurs reprises, il dut raffermir sa prise pour éviter qu’Hysteria ne trouve une échappatoire. Toutefois, l’Empereur ne tenait pas à ce que Starlord et tous les autres convives entendent ce qu’ils se disait, c’est pourquoi il descendit le volume, afin que seuls Hysteria l’entende. Sa voix restait ferme mais s’adoucissait au fur et à mesure qu’il parlait, reprenant lui-même conscience de la situation.
- Tu as toutes les raisons du monde de faire la peau de cet abruti de première et ce n’est pas moi qui viendrait t’en demander des comptes. Cependant, rappelle-toi où nous sommes. A un mariage !
Fit-il en tournant les yeux vers Flesh et Strife.
- Il est hors de question que tu viennes leur gâcher ce moment. Est-ce que tu le comprends ? … Réponds-moi, Hysteria. Penses à Flesh et Strife…
En tordant légèrement le poignet d’Hysteria, Power le fit lâcher le couteau qu’il tenait.
- Aucune arme n’est autorisée ici. Tu auras ta vengeance en temps voulu.
Power lui fit un signe de tête avant de le libérer en douceur et se relever. Il était encore tourné vers la scène, mais son regard était fixé sur le vide.
- Hey, toi avec le sourire de Bugs Bunny !
Appela-t-il ainsi Starlord en se retournant, ayant retrouvé toute sa fermeté dans la voix. Entre le saut et l’immobilisation d’un Hysteria en furie, sa robe était fichue, complètement déchirée sur la partie basse. Il s’approcha de l’individu, chopa son épaule avec pression pour qu’ils puissent ainsi se rapprocher et créer une atmosphère plus conviviale à la conversation. Power se mit donc à lui souffler quelques mots doux.
- Tu n’es pas le bienvenu en ces lieux, donc je te laisse le choix. Repartir comme tu es venu en un seul morceau ou avec mon assistance, les pieds devant. Décide-toi, rapidement.
HRP:
Power pleurt devant le mariage. Il a ensuite le sang glacé par Starlord et intercepte inextremis Hysteria (non sans peine). Il propose gentiment à Starlord d'aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs.
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Dim 25 Avr - 4:10
Et c'est nous les sauvages après... Feat Hysteria ? More like Psychopath
Finissant de m'essuyer le visage et jetant le manteau sur l'invité rouspétant mais fermant bien sa gueule après mon levé de majeur majestueux, je tâche de reprendre composition en cherchant à voir ce que j'ai bien pu louper. L'air bovin, j'observe le duo au centre de l'aile. Moon d'un côté, une des nombres. Et une potiche blonde ayant un air de valise sans poignée. Vous savez, ce genre de personne à qui, quand vous faites la bises, vous entendez la mer tant la boîte crânienne est vide. Un putain de Legendary. Impossible de le reconnaitre puisque bon, telle la légendaire méduse, j'évite de les regarder pour éviter tout relent. M'enfin bref. Roulant les yeux, je m'apprête à lâcher mon plus gros "Bouuuuuh" quand il commence à parler de lui jusqu'à.. Et bien, jusqu'à ce qu'il mentionne son nom. Starlord... Starlord... Une potiche camée pétant plus haut que son cul inexistant... Ça me dit un truc. Star-.. OH PUTAIN C'EST TARDLORD !
Ecarquillant les yeux, je rive mon regard vers l'individu avec la bouche entre ouverte, choqué qu'il ose ramener ses os ici. Et encore plus en sachant que Meth est dans les parages. Sans réfléchir, je viens donner (voir jeter) mon verre à Dolly et me redresse au même moment où un cri guttural vient déchirer le silence awkward après l'annonce pitoyable du déchet humain.. .... Oui, même dans les moments critiques, je sais reconnaître la priorité de dire la vérité sur un Legendary. C'est mon talent. Ouai, je sais. Acclamez moi. .. .. Bref. Où on en était ? Ah oui. Putain. L'ex de Meth ! Et merde. Enfin.. Et merde et merde.. Franchement, un concours de couteau entre un bogosse et une raclure, ça devrait être au menu d'un mariage avec le lancer de bouquet, le traiteur à chier et l'oncle bourré. Mais là n'est pas la question. Regardez plutôt ce spécimen. Sa course. Ses cheveux soyeux volant au vent. Sa bouche déformée par le cri et ses petits jets de salive comme autant de jets de. ... ... .... Tu sais que je sais que tu as pensé à un truc coquin. Coquinou. Bref. Je dois admettre qu'il marque des points bobinours. Je le veux dans mon équipe.
Avant même que je ne puisse dire ou faire quoi que ce soit, la fusée orange bleu et sexy s'écrase sur grand dadet en esquivant malheureusement le sac à fiente à ma plus grand déception. Lâchant même un petit "ooh.." triste pour l'occasion. Venant à lâcher un bref soupir, je recrache tout mon esprit joueur et perfide pour rejoindre mon rôle initial. Après tout, en l'absence de Tharanis techniquement je suis plutôt bien placé. Un Empereur vient de tacler l'un des siens pour éviter un meurtre de Legendary qui m'aurait arrangé mais qui aurait salit ma robe et ma réputation si j'avais laissé faire ça aussi. I guess. I don't care. Secouant doucement ma robe pour en ôter les plis, je rejoins rapidement l'estrade, saluant brièvement Strife d'un petit clin d'oeil. Je ne lui ai jamais parlé mais j'espère au moins qu'elle sait que je veille aux miens. J'aime pas les mariages mais personne d'autre que moi ne peux les foutre en l'air. Avec un regard à mi chemin entre consterné et dégouté, je dépasse Tardlord et la traîtresse qui lui sert de compagnie et me dirige vers le combat au sol qui ne manquerait que de boue pour me rendre un peu ému. N'écoutant aucunement la conversation chuchotée, je ne me penche silencieusement que pour ramasser l'arme et l'éloignée de l'individu une fois défaite de l'étreinte blanchie de sa main. Offrant au passage à toute l'audience la joie de pouvoir mater mes petites fesses moulées dans ma robes. Eh. Autant exciter la libido détraquée du public quand on peut hein.
Avec un petit signe entendu envers l'Empereur Vigilante, bien que je doute CLAIREMENT qu'il m'ait prêté la moindre attention.. This bitch... Je viens à prendre le relais auprès de l'hystérique, l'aidant à se relever à premier coup. Puis, voyant son regard fou presque prêt à me reprendre l'arme des mains, goujat qu'il est, je viens coller mon visage près du sien en déposant mes murmures dans le creux de son oreille. Le tout en "jetant" passant le couteau discrètement à la première personne venue présente sur l'estrade. Autre qu'Hysteria, je suis pas demeuré non plus.
- Je sais qui a ramené Crystal. Tuer Tardlord ici va juste détruire ta vie et celle de Cry. Encore.
Ne cherchant pas à savoir si sa réaction était positive ou négative, je donne un léger coup de jambe dans ma robe pour la dégager de mon passage, écartant l'instable de la scène afin d'éviter de nouveau élan. Une poigne ferme mais douce sur son bras, les pas délicats mais décidés afin de s'extirper d'une situation qui ne menace que d'exploser. Alors que mes pas l'emmène là où la voix de Power n'est plus qu'une vague information mais d'où je suis toujours en capacité de voir ce qu'il se trame pour intervenir au cas où. Cela dit, Dollilith sont présentes, elles peuvent s'en charger aussi. Elles gèrent les poupettes. Elles sont sy-.. Hein ? Ah. Oui. Un grand dadet sexy me fixe avec ses yeux sévères. Je lui demande si il veut aller dans une chambre ou.. Ta gueule Opium, soit sérieux deux minutes. Une fois à l'écart, je tâche de prendre une pose un peu plus sérieux, les yeux légèrement froncés.
- T'es vraiment pas malin de te jeter sur cet abrutis comme ça. Tout le monde veut lui faire la peau, mais en l'attaquant en public, tu fais de lui un martyr. Il faut faire ça proprement en privé ou pas le faire du to-.. Hm.. Non. Merde. T'es Vigilante. Le meurtre c'est pas bien.
Lâchant mon plus gros soupir consterné, je me met à masser ma tempe en cherchant à garder mon calme face à mon moment d'égarement.
- Bon, clairement, tu es Hysteria sinon, tu n'aurais pas réagis comme ça à sa vue. Laisse Power gérer la chose, tu n'es pas en état. Bon. ... .... Maintenant, je prends les questions, tu as l'air aussi paumé qu'en colère. Balance, je suis prêt.
J'aurais bien voulu tout lui révéler en privé, autour d'un verre et le faire tourner en bourrique, mais on a besoin d'une diversion là. Donc bon.. J'espère juste qu'il va mordre à l'appât maintenant.
Obnubilée, il n'y a pas d'autre mots. Même les paroles de December lui semble venir de loin, très loin alors que sa main viens saisir celle de la vigilante au cheveux neige, celle qui aujourd'hui deviens complètement sienne. Pour le meilleur et pour Sakhaline. Elle occulte tout, même l'entrée fracassante de l'Empereur vigilante en robe, même l'apparition du colosse trapper dans l'allée. Plus rien ne compte, il y a Flesh et seulement Flesh. Lorsque vient le moment elle prononce ses voeux, plus solennelle que jamais, car elle le sait c'est tout ce qu'elle désire.
"Moi, Strife, je te prends toi, Flesh, comme épouse tel que tu es. Je promets de t'aimer, de te respecter, et de t’encourager à travers les triomphes et les embûches de notre vie à deux. Je m’engage avec amour et loyauté à partager avec toi le reste de ma vie."
Elle sent son coeur battre à tout rompre, ses oreilles grésiller, sa tête presque tourné sous l'effet de ses paroles à elle, ah qu'elle a envie de l'attraper et de l'embrasser là, tout de suite, de ne plus attendre. Mais elle doit encore dire...
"Oui, je le veux. Oui, oui, oui."
Elle en perdrait presque ses moyens, ses mains tremblent un peu quand elle vient lui passer la bague au doigt. Plus tard elle devra penser à remercier la brune. Elle ne sait pas qui est ce saint tractopelle et ne désire le savoir pour le moment. Elle se contente de venir retirer ce voile du visage de sa chère et tendre, voile qui les sépare depuis trop longtemps à son goût. Il est temps de déguerpir monsieur le voile. Et sans plus attendre, elle vient réclamer son baiser, un baiser dans lequel, elle met son amour sans compter. Ah, elle a presque envie de danser là tout de suite alors qu'elle serre délicatement sa main dans la sienne. Et finalement il lui faut rompre le baiser, retourner un peu à la réalité, les grosses galoches ce serait pour la nuit de noces. Elle plonge son oeil gris dans les siens un sourire bien trop large, bien trop fort pour qu'elle ne puisse se retenir. Ça y est Strife est mariée.
La douceur du moment ne dure cependant pas. Car si les invités applaudissent, y compris l'empereur en robe, si l'apparition du blond à la coiffure digne d'un plat de tagliatelles fait un petit discours fort joli. Le demoiseau d'honneur qui se rue sur lui arme blanche en main, refroidit tout de suite l'atmosphère. Ça, pendant leur mariage. Intolérable. Et c'est le visage maintenant tourné vers les belligérants que l'ombre de la colère passe, fugace sur son visage, au fond de son oeil acier. Avant de retrouver son flegme habituel face aux interventions destinées à calmer le jeu. Elle relâche la main de sa maintenant épouse pour l'attraper façon princesse disney, les conflits n'ont pas leur place ici, pas aujourd'hui. Un sourire se peint de nouveau sur son visage.
"J'espère que tu sais danser chaton parce que moi... Pas trop."
Espérant que l'ouverture de bal, réchaufferait les coeurs elle se dirige vers la piste de danse pour y déposer sa cavalière pour la vie avant que leur DJ tout de rouge vêtu ne lance la musique. Bouquets soigneusement déposés, elle enlace sa taille, lui prend de nouveau la main et de nouveau elle se laisse transporter, essaie de danser de manière acceptable. L'oeil dans les yeux, avec la ferme intention de profiter de cette journée jusqu'au bout, et toutes celles qui restaient à venir.
Résumé:
- Strife prononce ses voeux, dit oui & embrasse sa femme. Elle est pas contente que ça dégénère, et STrife en colère c'est assez rare pour être souligné. Mais elle est déterminée à ne rien laisser gâcher leur moment à elle et Flesh, alors elle l'emmène sur la piste de danse en espérant que l'ouverture de bal, le buffet et le bar fasse retomber les tensions
Balayer la colère aussi rapidement n'est pas possible et surtout pas par sa voisine. Pour autant, elle ne s'emporte plus. Elle ne commet pas l'irréparable. King, c'est peut-être ces menottes dont il a eu besoin de s'infliger pour ne pas répondre aux ressentiments et ne plus réagir.
Parce qu'après tout, n'était-il pas plus en sécurité, il y a quelque mois, quand il ne répondait à rien si ce n'est simplement aux ordres qui lui sont transmis ? Ces derniers mois, la situation a changé comme lui et son monde ont eux aussi basculé. Violemment. Comme ce qui se passe actuellement devant ses yeux alors qu’hypocritement, on se dit oui. Hypocrite. Hypocrites.
Si ce n'est pas lui, quelqu'un aurait donc cherché à ruiner l'événement à peine commencé. Il devient comme ces gens-là. Pourtant toujours assis, proche de King une fois les voeux et les poings prononcés, ils fixent peut-être ensemble la situation dégénérait mais pour lui, sans réellement d'avis. Les autres ne devraient pas l'intéresser. Son opinion n'est pas intéressant.
P-Pour… quoi ?
Après plusieurs minutes et sans réamener correctement le sujet, il s'adresse à nouveau à King. Ça le concerne directement. Mais pourquoi, toi, ça t'intéresse, que je parle ? Que je donne mon opinion ? J'en suis même pas capable.
(Je) s-s-sais. Pas parler.
Bruyamment, il expire. Tout l'exaspère. C'est évident qu'une discussion entre eux n'est techniquement pas possible au vu de son problème d'élocution et faire comme si ça n'était pas là, comme si tout allait bien, ça l'exaspère.
Finalement, est-ce que ça n'exaspère pas également le restant du monde, de faire comme si tout allait bien, qui finit lui aussi par à en venir aux mains ?
Il reste là. Lacrimosa n'a plus envie de participer à ça et obéit juste aux ordres, bras croisés. L'instant de paix n'aura pas duré mais King a, quelque part raison et il préfère l'admettre qu’être dans la même attitude que ces hypocrites : c'est simplement un instant. Au fond de lui, il veut juste être tranquille et allonger cet instant aussi, mais pas de la même manière. Ça suffit la justice.
résumé:
▬ il en a littéralement rien à carrer de ce qui se passe, en passant de la cérémonie au reste ▬ il reste véner et trouve King idiote (ou elle le fait exprès) de lui demander une discussion alors qu'il sait autant s'exprimer qu'un gamin qui s'essaie à la flûte avec seulement deux doigts ▬ il reste sur son banc, bras croisés, pingu style
tenue:
Invité
Invité
Invité
Dim 25 Avr - 9:25
La muraille ne s'ébranle pas face aux perturbations. Cependant les questions germent. Comment peut on autant dénigrer le peu de répit qui est offert. Elle salue la vivacité du jeune Empereur Vigilante, l'audace de sa tenue également. Elle garde un oeil sur le colosse espérant que cet événement en contradiction avec ses paroles ne vienne pas le chambouler d'avantage. Elle reste immobile, elle entend son pourquoi, cette affirmation sur ses difficultés à aligner les mots.
"Parce que tous les fardeau ne sont pas bons à être portés seuls."
Il y a certains fardeaux qui ne sont faits pour une seule paire d'épaules. Des fardeaux qui entraîneraient vers le fond l'homme imprudent en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Avant même d'en prendre conscience, il est parfois déjà trop tard. Et les conséquences finissent par arriver. Doucement, elle incline la tête sur le côté alors que commence à résonner la musique de la première danse derrière eux.
"Si tu as des difficultés à parler, alors peu importe la forme sous laquelle tu désire t'exprimer, je m'y plierais. Mais je ne regarderais plus personne se perdre sans rien faire."
Résumé:
- King joue la nounou pour Lacrim. Elle le pousse à s'ouvrir à la discussion même si c'est pas en parlant c'est pas grave. Elle essaie lui montrer que dans un sens, le voir dans un état pareil, l'inquiète.
Il n’a pas le temps d’arriver jusqu’à son objectif, quel qu’il soit, qu’une voit qu’il commence à bien connaître force ses jambes à s’arrêter, comme un réflexe inconscient.
Érinye est là, Érinye semble hésiter, Érinye a repris son air sévère, perdu face au bonheur des mariées. Elle lui fait un signe de tête avant de se diriger vers la rambarde de la terrasse. Silence l’observe un instant avant de la suivre - ça ne le dérange pas, il y a moins de monde là-bas, et puis pour une fois, leurs échanges semblent saupoudrés de calme, alors pourquoi pas. À pas lent, il s’approche, pose un coude sur la rambarde, son menton dans sa paume, son regard sur les fleurs qui ont pris possession du lieu.
Calme, tout va bien.
Au départ, il ne regarde pas la Vigilante lorsqu’elle parle, mais ses mots impriment une image au fond de ses yeux, celle d’une forêt dont le sol s’imbibe de sang bleu, de cheveux roux contre un tronc rugueux et d’une fourrure brune entre ses doigts. La vision ne dure qu’une fraction de seconde avant que les fleurs ne reviennent.
Silence se tourne vers Érinye, un éclat de surprise illuminant le vide en lui. Le lapin, celui qu’il n’a pas eu le temps de récupérer avant d’être sorti de force de l’arène. Une moue chagrinée froisse ses traits avant qu’il n’ait le temps de contrôler son expression. S’il se fichait d’avoir perdu son sac et son contenu (même s’il aurait aimé garder le caillou doré), il s’était attaché au petit animal et la pensée de le savoir blessé au milieu de la forêt, incapable de s’échapper en cas de danger, lui causait des pincements au coeur. Il s’astreignait d’habitude à ne pas y penser, à se convaincre que, de toute façon, Buisson était un lapin et que la loi de la nature ferait son œuvre, mais l’image de la petite boule de poils entre ses mains ne cessait de remuer son inquiétude. Juste pour cela, il regrettait presque d’être intervenu dans la bagarre avec les arbitres. Presque.
Hochement de tête lent, un nom - stupide, mais un nom quand même, lui échappent.
“Buisson?”
Et soudain, un cri étrange qui brise la mascarade de calme. Silence se tend brusquement, il a cru reconnaître… Il pivote pour regarder vers l’autel et ses yeux s’écarquillent alors que les mots “tout va bien” continuent de résonner dans son crâne avec la force du désespoir. Sa tête se tourne si vite vers Érinye qu’il sent les os de son coup craquer.
Il sait qui sont Hysteria et Crystal pour elle, il sait que la scène qui se joue à quelques mètres ne la laissera pas indifférente, il le /voit/ à sa réaction face à ce qui se déroule sous ses yeux, alors sans réfléchir, il décide d’y aller en lui faisant doucement signe de venir. Chaque pas les rapproche d’un tableau qui n’a pas sa place lors d’un mariage. Hysteria à terre, d’abord plaqué par Power, puis emmené par Opium. Crystal, le visage blême et les yeux vides - le voile de calme factice se déchire un peu plus, l’inquiétude s’échappe de la brèche -, un homme blond à l’air snob et satisfait qu’il ne connaît mais qui, étrangement, tient Moon par la taille. Et puis Strife, que le Trapper a juste le temps d’apercevoir avant qu’elle n’attrape sa femme pour s’éloigner. Silence a la tête qui tourne, trop d’informations d’un coup. Il détourne les yeux de la scène pour les poser sur Érinye, et un éclat de colère froide continue d’agrandir la brèche dans la quiétude pourtant si soigneusement construite. Il se remémore ses pleurs dans la forêt morte, les jambes brisées et les coups des arbitres et la colère monte, monte, monte. Il se rappelle de ce “tout va bien” prononcé au début de la soirée, et même si pour elle aussi il n’était qu’un mensonge tendre, ils avaient voulu y croire et échapper, ne serait-ce que quelques heures, à des évènements qui les dépassent, à la mort de leurs proches et aux remises en questions trop violentes. Et tout ça pour quoi? Le regard bleu se fait de glace. Silence aurait voulu s’accrocher à ce semblant de paix et à des vérités forcées, mais le monde en a décidé autrement. Le “demain” devient soudain “maintenant” et Silence ne peut désormais que s’y plier.
- Sisi est retenu par Éri', qui lui fait signe de venir avec elle - Il l'accompagne sans faire d'histoires, est surpris à la mention du lapin mais il n'a que le temps de prononcer son nom avant qu'ils ne soient interrompus par le cri d'Hysteria - Éri et lui se dirigent vers l'autel et Silence est en colère Bonus: la tenue: https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/23/210423085553266563.png
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Dim 25 Avr - 11:32
Le temps est arrêté. Tu n'aurais pas pu demander mieux pour cette journée. Même l'empereur, habillé de cette magnifique robe orangée avait fait son apparition. Les paroles de December sifflent dans tes oreilles, alors que tes yeux ne se détachent pas une seule seconde de la Wild. Le moment des voeux vient. Comme à ton habitude, tu n'avais rien préparé. Tu pensais juste réciter les premières choses qui te viendraient en tête. Ce seraient des paroles honnêtes, pures, et dignes de ton attitude qu'elle doit maintenant assez bien connaître.
" Moi, Flesh, je te prends toi comme épouse, Strife. Je promets de t'aimer, de te suivre dans tes idées farfelues telles qu'attaquer les arbitres de P.M., de te soutenir, peu importe les épreuves que nous pourrons traverser ensemble. Et ce, jusqu'à la fin de mes jours. Je m'engage à être, et à rester la flèche qui transpercera ton coeur d'immortelle avec amour. "
Discours spécial. Toi qui t'inquiétait de la tradition, on en est assez loin. Cette dernière phrase était digne de ce qu'elle pouvait te dire lors de votre rencontre à la Saint-Valentin, tu avais bien fais de ne pas chasser ces souvenirs et la fuir, au final. Mais vient le moment. La grand moment. Le clou du spectacle.
" Bien sûr que je le veux, oui. "
Impatiente, tu n'attends plus que la bague au doigt et le baiser. Tu la vois légèrement trembler, rappelant votre visite au lac, et en baissant les yeux sur l'anneau, tu remarques de magnifiques pierres, de magnifiques cristaux arborant le bijou. Tu fais le lien assez vite, et pense à Crystal. Les larmes te viennent aux yeux, ta joie déborde. Tu lui lances un regard, un sourire éternel fixé sur ton visage, avant de revenir à ta femme. Enfin, elle ne l'est pas encore, mais ce n'est qu'une question de secondes. L'autre bague est également passée, et December s'apprête à conclure. Dans l'émotion, il arrive à t'arracher à toi et à quelques personnes dans la salle un rire en citant la Sainte Tractopelle.
Le voile se soulève, la borgne l'enverrait presque valser à l'autre bout de la terrasse. Tu en profites pour retirer ton bandeau rapidement alors que les larmes coulent, offrant tes prunelles noircies à ta partenaire, puis te laisses emporter par ses lèvres. Main dans la main, le plaisir est plus grand qu'au lac. Et comme à ce moment là, le temps semble arrêté. Ce n'est pas sans compter les applaudissement qui retentissent -et les émotions de Power-, mais tu ne sembles plus rien entendre, pour le moment. Et puis, l'embrassade prend fin. Envieuse, tu penses à la nuit de noces, qui reprendra cette courte danse que vous veniez de lancer. Et alors, c'est officiel. Tu es à elle, elle est à toi. Vous êtes mariées. Tes yeux perdus dans le sien, il n'y avait qu'elle dans ta pensée.
Enfin, ça c'était jusqu'à ce que le blondinet fasse son apparition. Il fait un petit discours. Tu le méprises déjà. Tu ne le reconnais pas de suite, peut-être as-tu entendu parler de lui, mais son visage ne te dit rien sur le coup. C'est ce dont tu avais peur. Que quelqu'un se décide à ruiner la journée, tout en attirant l'attention sur lui. Regard sur tes camarades, tu vois ta témoin terrifiée et ton demoiseau d'honneur prêt à ouvrir les entrailles de l'homme. Tu t'apprêtais à dire un mot, mais l'empereur intervient, toujours dans sa magnifique tenue. Il semble reprendre contrôle de la situation, ça te rassure. Et alors que ton attention était tournée autre part, tu sens la main de Strife te lâcher, et à peine as-tu le temps de tourner la tête que te voilà au dessus du sol. Elle est en train de te porter, et te voilà presque en fou rire par la surprise. Elle te demande si tu sais danser.
" Tu déconnes ? Bien sûr que je sais danser, j'te rappelle que c'est moi qui a mené la danse à la Saint-Valentin. "
Et alors que vous vous éloignez pour revenir à nouveau dans la salle principale, lorsque tu passes à côté de Power, tu te permets tout de même un mot.
" Merci, Power. D'ailleurs, je demande une danse tout à l'heure ! "
La musique lancée par l'homme en rouge résonne dans salle, et tes pieds retombent au sol. Les bouquets déposés, elle commence à mener la danse. Regard dans son oeil, puis vers vos pieds, tu observes ses mouvements peu à peu. Tu serais presque capable de lui donner un cours de danse sur le tas, mais c'est clairement pas le moment.
" Franchement, c'est pas trop mal. Déjà, tu me marches pas sur les pieds donc ça c'est cool. Et puis, tu t'es améliorée depuis la dernière fois. "
résuméx:
- Flesh récite ses voeux et est amoureuse - Flesh dit oui et pleure de joie en voyant que, en plus que c'est un jour magnifique, Crystal a personnalisé les bagues - Elle remercie Power d'avoir maîtrisé le drama et se laisse emporter vers la piste avec Strife - Leur danse commence, voili voilou
Friday s’est installé vers les premiers. Il observe calmement.
Et il voit Lacrimosa et Silence. Il sent la tension. Il aimerait vraiment les voir sourire ne serait-ce qu’un peu.
Mais il sait mieux que personne qu’il ne peut pas les obliger. Alors il ne peut que constater. Constater que ca risque de dégénérer car King vient a la rencontre de Lacrimosa. A deux doigts de se relever pour aller à leur rencontre.
Mais tout va bien. Rien ne dégénère. Les ondes sont mauvaises mais aucun accès de violence est a souligner.
Finalement tout le monde s’assoit et la cérémonie commence. Friday écoute religieusement le discours du maitre de cérémonie. Tout es bien dit. Mais le tractopelle est de trop clairement.
Enfin bref, pas grave ca ne gâche pas ce moment émouvant.
Il finit par se relever, il doit trouver un moment pour déposer son cadeau.
Sauf que ça dégénère. Un blondinet se présente sur l’estrade. Friday hausse un sourcil. Et Friday voit un dégénéré se jeter sur la scène ?!
Il cligne des yeux. Fronce les sourcils. Prêt a intervenir mais fort heureusement l’empereur des vigilante gère.
Oui il gérera très bien, c’est sa faction après tout.
Voyant que malgré tout la première danse commence, Friday se décide enfin. Il bouge et va déposer son cadeau dans un coin où semble-t-il la plupart des convives aient décidé de se délester de leur présent.
Et là. Il la voit.
Les regards se croisent, le rythme cardiaque augmente. Bouche bée.
- Friday assiste a la cérémonie dans le plus grand calme - et puis il constate le désastre qui est finalement maitrisé - et du coup il se décide à déposer son cadeau dans un coin & là il croise le regard de Jupiter
La question qu'elle avait posée, si elle se révélait absurde, ne soulèverait aucune mésentente. Certaine de cette vérité, le calme qui les entouraient lui parut soudain immuable. Laissant courir ses mains sur le métal, elle ne put masquer son étonnement devant l’interrogation qui lui vient en réponse. Elle lui parlait d’un lapin, non d’un arbre. Ses lèvres commencèrent à s’étirer sous l’amusement. Si éloignés dans leurs réalités, ils ne savaient que s’échanger des phrases sans sens quand ils ne s’opposaient pas.
Cependant, ses lèvres, comme son corps, se figèrent au cri qui se répandit sur cette terrasse en fête. Ils osaient. Vraiment ? Elle connaissait l'écho de cette haine, savait à qui il était destiné. Il était venu, troublait une paix qu'elle s'était efforcée de construire.
Mauvais, son sourire se fit finalement immense déformant son visage alors que ses mains serrèrent la rambarde à en pâlir. Sans prendre le temps de respirer, elle se noya sous la colère, étouffée par ses aspirations à l'allégresse qui maintenant se riaient d’elles. Ils avaient osé la faire mentir. Elle aussi voulait rire, rire à s’en déchirer les poumons, pleurer à s’en crever les yeux. Pauvres êtres qui s’émouvaient de la folie qu’elle injectait par ses griffes et ses crocs. Mais qu’ils se regardent, qu’ils regardent le monde dans lequel ils baignaient. Ils s’efforçaient tant à maintenir le chaos qu’elle aurait voulu fuir.
À ne pas respecter ceux qui s’aiment.
À ne pas savoir s’oublier.
D’un mouvement, Silence quitta leur appui, bouée à laquelle elle resta accrochée. Tournant la tête, elle le suivit du regard, voulut rejeter sa proposition. Qu’ils s’effondrent seuls sous le poids de leur peine s’ils le souhaitaient. Elle avait tant œuvré pour cacher les siennes.
Or, la douceur de l’invitation au drame rencontra sa fureur. Elle devint froide, ne trembla plus, osa poser le regard sur une scène dont elle connaissait la teneur. Pauvre enfant qui avait souhaité l’éviter. Elle était pourtant écrite. Son sourire n’avait pas disparu lorsque ses doigts libèrent le fer, avec lui l'angoisse et la haine. Où était Crystal ? Les inquiétudes se pressèrent, elle porta une main à son oreille. Son coeur arrachait sa poitrine dans un battement sans rythme, le sang brûlait sa peau blanche, écrasait ses tempes.
Tant de mois de rémission, tant d'énergie à tenir sur ses jambes brisées, parler à l'ennemi, se faire sauveuse, être sauvée, tenter de s'accoutumer à l'effondrement de ses croyances. Tant d'efforts éclater en un cri. Son corps adopta une démarche calme dans cette robe trop légère, sous ces bijoux trop lourds, ces talons trop hauts pour elle qui n'avait pas confondu l'auberge avec le point de ralliement.
Dans leur marche, les contours du tableau se dessinaient peu à peu. Hysteria à terre recueilli par un inconnu, Power en médiateur. Crystal seule. Moon dans les bras de Starlord. Strife qui emmène Flesh loin de l’agitation inopportune, causée par ceux qui ne connaissaient pas le sens du mot "résilience". Dommage, il était pourtant un si joli mot. La voix de l’Empereur avait été forte, apaisante quoique ferme. Heureusement, il était là. D’une habilité telle qu’il était parvenu à résoudre l’assaut avant qu’il aboutisse, à se montrer compréhensif. En temps normal, elle n’avait pas un quart de sa patience, mais aujourd'hui, cela était différent.
Dans ce dernier espace, à quelques pas de l'altercation, elle reprit son air dans un rire sans joie.
« Tu sais, Silence. » Sa voix tremblait sous une rage désespérée. « J’en ai assez. » Une confidence, persuadée qu’il comprendrait. S’étonner de cette certitude ? Vraiment Érinye qu’est-ce que cela pouvait faire ? Rien. Rien comme tout ce qui l’entourait aujourd’hui. Rien était ce à quoi ils étaient condamnés, n’est-ce pas ? Une boucle sans fond, un puit sans fin. Chaque mois la même angoisse, chaque nuit la même douleur. Les hurlements qui résonnent, ceux des morts, ceux des vivants blessés. Les visages qui s’affrontent, se saignent. Le sang qui coule, se répand, gorge la terre et la terre qui les mangent sous les tombes et de ses tombes renaissent des fantômes. Elle qui pensait avoir atteint sa limite venait d’en exploser les barrières.
Elle allait les détruire, tous.
Eux qui ne savaient pas masquer leur peine.
Pourtant cela était simple non ? Il leur fallait simplement sourire, nier, mentir. Cela ne leur était pas difficile en temps normal. Que quelqu’un ose lui désigner dans cette assemblée de monstres lequel n’avait jamais eu recours au mensonge ! Oh, ça, pour tuer, pour trahir, ils excellaient, mais pour se rendre altruistes, ils n’étaient plus que des bêtes. Sa rancœur n’avait plus de cible, elle les détestait tous.
Eux qui ne voyaient que le reflet de leur haine.
Ses pas s’arrêtèrent auprès de Power. Droite, elle toisa le couple qui leur faisait face. Starlord tenait Moon à sa taille, osait faire de son âme jumelle une poupée sans âme. Hommes à qui elle aimerait faire manger leur orgueil, cracher leur vanité, écraser leur honneur factice. Malgré son ressentiment, son envie de le voir disparaître, elle devait corriger l'Empereur qui s'était trompé sur un point quel énonça, sévère.
« Il n’a pas à s’en aller. Tout le monde était invité. » Qu'il ne se trompe pas, elle désirait aujourd'hui plus qu'en tout autre temps le tuer. Or, elle ne le pouvait pas, s'en accommoderait, leur apprendrait à courber comme elle l'échine. Sous un sourire, dans un timbre clair, elle se moqua de l’enfant en plein caprice « Et regarde comme il se plaît à attirer l’attention. »
Ils n'allaient pas le priver de ce plaisir. Alors bout-de-chou, on brille si peu que l’on doit se placer au centre, parler d’une voix altière pour que tout le monde nous remarque. Regarde-les gamins, aucun d’eux ne nécessitaient de tant d’artifices pour paraître. Tu n’étais pas le bienvenu, tu n’avais rien à faire ici, mais ce n’était pas ton jour et, si tu te faisais trop vaniteux pour respecter la joie d’autrui, une assemblée pleine te rappellerait aux leçons que tu peines à retenir.
Comme ce n'était pas le jour de ceux que sa présence faisait souffrir. Hysteria n'aurait pas du, quelqu'en soit la raison, se jeter sur le légendaire. Crystal était vivante, Crystal était traumatisée. Seule, elle aurait dû être sa préoccupation. Toutefois, elle n'avait pas la force de leur rappeler alors que quelques minutes plus tôt, elle leur avait tendu la main. Ironique, hypocrite. D’elle, ils ne retireraient que la rage, incapable d’adoucir ses mots, incapable de se faire compassion. Elle avait tant de choses à leur dire, tant de choses à leur opposer, mais ce n’était pas leur temps.
Un regard pour la salle éclairée de musique, un autre pour Crystal soumise aux tourmentes d'une mort brutale. Elle leva les yeux vers Silence dont la froideur nourrissait la sienne. Sourire effacé, elle avouait que dans le conflit, ils savaient parfaitement s’accorder.
Cependant, elle avait eu tort, n'avait pas le droit de faillir ainsi. Il était là comme se tenait à quelques mètres son amie, il n'était pas temps pour elle de s'écouter. Elle leur avait promis que tout se passerait bien, malgré les aléas qu'apportaient un immature. Abaissant son regard, elle s'en convainquit. Elle irait chercher Crystal, l'amènerait loin de ce désordre, la ferait sourire. Érinye lui ferait oublier ce nouveau souvenir comme elle honorerait la promesse faite à Strife. Elle témoignerait de son bonheur, masquerait les pages d'ombres.
Ils étaient temps pour eux de quitter ce cirque. Alors, ils s'avancèrent, frôlèrent le couple astral pour le dépasser. Érinye ne cacha pas sa déception. Qu’il danse, qu’il s’amuse cet apprenti soleil, mais qu’il cesse d’ombrager la lune à qui elle s'adressa.
« Depuis la dernière fois, je pensais que tu avais appris à viser plus haut. »
Alors que ses yeux restaient fixes sous la chevelure brune de son amie défaite, tout se déforma. La lumière se fit sombre, les sons sourds, les mouvements immobiles elle s'accrochait au rythme lent de ses pas, à la droiture de son dos, à la sévérité de son visage. Elle aurait droit au soupir, elle aurait droit au remord, mais pas ce soir. Ce soir, ils devaient sourire, ils devaient célébrer.
ET VOILÀ, LE DRAMA. SUPER. :
- Attendant la réponse de Silence, Érinye entend le cri de son frère. Elle ne veut pas se retourner, mais finit par le suivre pour découvrir la scène. - Elle s’arrête un moment à côté de Power, rappelle que Starlord peut être ici en toute légitimité. - Puis, elle entreprend d'aller chercher Crystal pour rejoindre la salle de réception en adressant des derniers mots à Moon.
December est fier de son discours. Et en plus ça fait son effet. Certains pleure sur le coup de l’émotion, d’autre ris… Ouais en même temps Saint-Tractopelle a fait le job.
Et puis, tant que Opium sourit c’est le principal. S’il avait pu December aurait levé son pouce vers Opium pour lui signifier qu’il a géré ok.
Et alors que tout semble bien se dérouler, alors qu’il s’apprête a quitter l’estrade pour laisser place a la fête, un mec blond aux grands airs débarque.
Ah. Ok c’était prévu ça ? Il cligne un peu des yeux. L’entends et entends aussi un cri enragé.
Hysteria. Forcément.
December connait pas vraiment leurs histoires mais il sait qu’il doit pas rester là : il veut pas être au milieu d’une bagarre ok qu’ils se démerdent.
Alors discrètement, il s’éloigne de la pagaille. Il observera de loin, et constatera que c’est rapidement maitrisé : ahok tant mieux ?
La première danse commence. December sait que son rôle est terminé il peut profiter de la fête et il a TOUT PREVU. Il enlève sa toge et laisse entrevoir sa chemise blanche et son pantalon noir en dessous. Le voilà fin prêt pour se mêler à la foule.
S’il avait pu il serait bien allé voir Opium pour discuter un peu de Saint-Tractopelle mais il semble occupé là.
Alors il va simplement s’installer au bar pour se délecter d’une boisson. Il faut dire qu’a force de parler, il a soif.
the moon is trying to hide herself from the wolrd.
this is me trying
Pour ne pas l’avoir vu venir, Moon ne l’a pas vu venir. Starlord était censé la prendre aux mots et commencer son discours devant une assemblée qui le dévisagerait de haut en bas, il devait revenir la voir se vanter de son numéro dont lui seul en serait fier, tandis qu’elle lui rétorquerait qu’il est bien ridicule et que oops sa boisson n’est plus là, tant pis. Mais c’est bien tout autre chose qui se passe. Sans savoir quelle mouche l’a piqué, elle se retrouve alors entraînée vers l’amas d’invités, pas loin de l’estrade, au milieu de tous. Elle tente d’agripper la main du jeune homme qui tient fermement sa taille pour la lui dégager, or c’est peine perdue, elle ne peut qu’être spectatrice et surtout victime de son élan de folie. Elle va rire, oui, elle veut pourtant le faire seule, pas comme ça.
D’humeur plus joueur qu’elle, il s’élance dans ce fameux discours, souhaite le meilleur aux mariées et dans un monde idyllique s’arrêterait à cela. Que cela s’arrête car le visage de Moon se durcit, elle fulmine et si, comme lui, son état d’âme se refletait par la couleur de ses cheveux, les siens tourneraient au noir de jais. Les nerfs à vif, un seul prochain faux pas et ce serait le malheur qu’il sera permis de serrer contre lui.
Son regard fixe Flesh et Strife ne cherchant guère à savoir comment réagissent les autres, la plaisanterie a trop duré. Néanmoins, on ne peut écourter un moment pareil. L’instant d’après, sa vision est perturbée par le legendary qui se penche vers elle et lui propose dans un murmure...une danse. Par pur automatisme, elle se tourne et ne peut qu’exprimer sa surprise par sa bouche entrouverte et l’ombre de sa colère.
« - Ne joue pas à ce jeu avec moi, n’y penses même pa- » elle ne peut finir sa phrase, un énième retournement de situation, la liste sera longue. Hysteria qu’elle ne reconnaît que furtivement court en leur direction et c’est bien un couteau qu’on aperçoit dans sa main. Mais quel débile celui-là, il est complètement con. Moon, regrette d’avoir engagé la conversation et regrette même jusqu’à sa venue à ce mariage.
C’est l’empereur des vigilants qui arrive pour mettre un terme à ce qui allait sûrement être un terrible accident alors que le cadre n’invite qu’à la bienséance et à la paix. Plaqué, emprisonné, l’hystérique n’a que ce qu’il mérite. Et depuis sa place, la wild n’a pour lui qu’un air dépité de voir un comportement aussi peu réfléchi venant d’un ancien champion des hunting sports. Crystal en arrière-plan ne lui parait pas en pleine forme, la lune est intriguée de voir sa poupée se défaire de son angélisme, celui qu’elle a connu et dont elle se souvient lors de leur épreuve ensemble.
Power les rejoint et elle sait que trop parfaitement que Starlord doit dégager de là selon la volonté de beaucoup. Pendant cette interaction, elle réussit à s’écarter, son corps libre, Moon veut voir si la jeune fille va mieux, mais trop de gens arrivent. Trop de personnes les regardent, alors elle se terre dans le silence et est totalement perdue.
La lune aurait mieux du rester dans son coin, c’est ce qu’elle se répète alors qu’elle tente de trouver une issue. Erynie passa près d’elle et Moon sait avant que la rouquine ne fasse l’effort de lui parler. Sa phrase est tranchante, criante de vérité et pourtant elle n’avait pas toutes les informations.
« - Je n’ai pas perdu la main, ne t’inquiètes pas. » souffla-t-elle avant de voir sa silhouette partir accompagnée de la brune. Avant de partir-fuir, elle intime Starlord de se faire plus discret avant que les choses ne s’enveniment davantage, agacée, dépassée par les événements et aussi enragée, l’utopie d’une harmonie lors d’un mariage est la véritable blague qui la fait rire. Surprise ensuite par ses mots qui sonnent presque comme un conseil d’amie, elle fait volte face et déguerpit vers le bar.
Et si elle boit, peut-être qu’elle oubliera tout, vraiment tout.
@tlm
moony:
- Moon est quécho, elle voulait juste se moquer de @Starlord et voilà qu'il la traine dans son délire. - Elle est en train de lui dire qu'il a pas intérêt à aller jusqu'au bout de son geste (danser avec qu'elle), mais Hystéria vient faire son cirque et Moon trouve qu'il fait pitié. - Elle assiste au règlement de compte avec Power, Eryne qui sauve les apparences, aimerait aider Crystal mais dur d'aller vers qqun quand on a pas l'habitude. - Ah @Érinye, elle digère ses mots et lui répond avant de bouillir de rage. - Fatiguée par ce trop plein d'émotions, déjà que niveau forme c'pas le top, là c'est le gros dawa wsh. - Elle pense faire l'impensable, boire, alors qu'on sait que c'est la dernière chose censée à faire jpp.