Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
you trying to punish me back, and it was horrible because, really I’d die for you
MUSIQUE – Son nom, sur une clé. Un prénom donné. Mais voir l’espoir s’envoler. Carbone ne se fait aucune illusion, depuis ce jour où t’es parti sans te retourner en l’abandonnant dans cette chambre avec pour seul comparse son désespoir. Il sait qu’en passant la porte, il se retrouvera très certainement devant Dolly, ou peut-être même Howlite, le deuxième choix le tuerait sans doute à petit feu, bien qu’il espère pouvoir un jour retrouver sa confiance totale. Une main dans sa tignasse en pétard pour l'ébouriffée ; l’amnésique ne sait pas ce qu’il fout là, il ne sait pas ce qu’il attend, il ne sait pas ce qu’il souhaite. C’était trop dur de garder espoir. La mâchoire est serrée, il peut sentir l'émail de ses dents se fissurer ; alors pour décompresser, il dégaine un paquet de cigarette des poches de son long manteau rouge ; lui qui était censé avoir arrêté de fumer avait replongé.
Ton absence, il l’a comblait en s’intoxiquant. C’était à ni rien comprendre.
Un soupir, profond, opaque ; la fumée entre mais ressors aussitôt alors que sa clé elle reste dans la serrure un brin trop longtemps. La peur d’ouvrir ; la peur d’être le spectateur d’un nouveau drame. Il prie intérieurement, avant d’ouvrir ; pitié, faites que ça soit Dolly. Non, faites que ça soit lui. La porte est ouverte sauvagement, les paupières closes, la cigarette suspendue aux lèvres ; quand il les rouvres et entre en collision avec tes iris, c’est un monde qui s’effondre et un gonflement au coeur qui le fout un peu plus sur le carreau. J’étais persuadé que tu ferais comme ce jour là, que tu me choisirais pas, que tu fuirais la queue entre les jambes. Son regard d’un bleu perçant vient se heurter à l’un des murs ; te regarder, c’est difficile.
Quand la porte se referme, Carbone colle son dos à la parois en face de toi ; cherche par tous les moyens à éviter un contact physique. Rien que ton souffle qu’il peut sentir vu votre proximité lui brûle la peau. Des réminiscences de cette nuit ; pour une fois depuis qu’il se tape des amnésies chroniques, il n’a rien eu besoin de consigner dans son carnet. Il se rappelle de tout. Absolument tout. Et pour une fois, une seule et putain de fois, j’aurais préféré tout oublier. La gorge se serre, les incisives pénètrent dans le filtre de sa clope, la mâchoire est encore plus serrée. Ne pas craquer, ne pas flancher ; ne pas faire taire cette colère qui le ronge depuis ce soir-là. Pourquoi moi ? Pourquoi tu m’as choisi aujourd’hui ? Pour mieux me torturer ? Encore ?
Cette dague que t’as laissé, si tu savais Hysteria, comment il s’en est servi. Succomber au manque et le combler avec de la douleur ; rien de pire. C’était déplorable, à en mourir. J’étais persuadée que j’tomberais sur Dolly, même en te choisissant… C’est risible. La tête est basse et sa main à demi ganté vient cacher le bleu de ses yeux ; ce bleu que tu semblais exécrer… Et maintenant, on est bloqués ensembles pendant une heure. On se dit adieu maintenant ?
Être horrible, hautain, exécrable. Être mesquin, distant, pour sauver la face. J'veux pas te perdre, mais j'dois m'rendre à l'évidence, t'es déjà loin, c'est déjà le cas.
// ♡
@AZRIA
Essentia
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Essentia
Lun 8 Mai - 14:22
05
“Every new beginning comes from some other beginning's end.
Disons nous au revoir
FT. Lime
THEME ★ Un appel, une mission, un regroupement. Pourquoi lui, pourquoi cette demande ? Essentia n’en savait rien, la curiosité guidait ses pas dans cette pièce qui faisait frissonner son épine. Dans cette pièce, la clé était maintenant entre ses mains, un numéro qui, si on le retournait, montrait l’infini. Un chiffre que le Trapper appréciait, un léger rire sortant de sa bouche.
Attendre n’était pas maître mot ce soir, c’est alors que la clé ouvrir cette serrure, pendant que la sienne restait toujours aussi fermée. Peut-être que les barreaux allaient en cette nuit céder ? Le bruit d’une porte qui se ferme, un soupir légèrement relâché comme si une pression ne reposait plus sur ses épaules.
Un regard sur la droite, puis sur la gauche. Les couleurs de la pièce étaient de mauvais goût, une horreur sans nom. La couleur du sang que vous aviez bien assez l’occasion de voir couler entre vos mains.
Et enfin, ta silhouette sur un banc qui semble attendre.
Le cœur du soigneur ne sait comment battre depuis votre derrière rencontre, car il savait que culpabilisé n’était pas maître mot, Essentia n’avait rien fait dans cette histoire. Peut-être que cette pièce sera son tombeau et que les adieux seront plus tôt que prévu ?
On arrête de réfléchir, on est de toute façon coincé, nous verrons bien.
« Bonsoir Lime, je ne m’attendais pas à te retrouver ce soir. » S’approcha-t-il en affichant un sourire, la tête légèrement penchée. « Me permets-tu de m’assoir à tes côtés ? »
Généralement, Essentia n’aurait même pas posé la question, mais… Quelque chose en lui voulait que cette heure se passe plus positivement que négativement. Mais les cartes n’étaient pas qu’entre ses mains.
Résumé : Ess' entre, il aime pas la déco..... Surpris de voir que c'est Lime qui l'attend et tente une approche amicale.
No.
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Lun 8 Mai - 14:24
Le souffle court. Osiris semblait si fatigué. Il avait des cernes, il avançait pourtant d’un pas déterminé. Léger soupire qui s’échappe entre ses lèvres, il se demande bien pourquoi il participe a cette mascarade. Pourquoi il s’embête a se rendre dans ce genre d’endroit en ce moment précis. Sa clé est posée là sur la table. Il sait où il doit aller. Il ne regarde personne, il fonce vers la salle qu’on lui a assigné. Qu’on en finisse : vite.
En entrant dans la salle, il n’est qu’à moitié surpris de voir Sekhmet. Elle est radieuse sa sœur, elle rayonne. Lui n’est plus si radieux que ca, il pense a ceux qui lui manquent déjà. Il soupire doucement.
« Sekhmet. »
Quelle agréable surprise. Qu’est ce qu’il aurait aimé pouvoir dire ca. Mais c’est faux, complètement faux. Il s’installe dans un coin. Croise les bras, prend son air habituel, insupportablement fier.
« J’espère que tu n’as pas trop attendu, bien que je me doute que l’IA n’aurait aucun intérêt a faire subir pareil supplice. »
Il roule les yeux. Reprend. « Ah. Assied toi petite sœur, assied toi et accroche toi, écoute ce que je vais te dire car c’est bien parce que tu es en droit de savoir que tu vas entendre cette information. Nous sommes encore de la même famille après tout, et ce, malgré ta trahison évidente. »
Il doit le dire. Il ne peut pas la faire plus attendre. Il est insupportablement froid Osiris, comme s’il avait fermé son cœur comme réflexe d’auto défense suite aux pertes récente.
« Les parents sont morts. »
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résumé : - bon en gros Osiris est pas au mieux de sa forme, il arrive dans la salle, capte Sekhmet et balance tout direct
C’est surement la curiosité qui l’avait poussé a venir jusqu’ici. Savoir ce que prévoyait l’IA et surtout, se délecter du possible spectacle, c’était bien le genre de December.
Mais cette fois, il était aussi acteur. Alors en prenant sa clé en main, il comprend bien vite ce qu’il doit faire. Se diriger vers une salle. Il espère qu’une chose que la personne derrière cette porte soit réellement quelqu’un qui tient a lui. December ne cesse d’être dans le floue vis-à-vis de ses relations : toute plus chaotiques les unes que les autres. Difficile de dire s’il y a réellement une personne qui l’aime.
Il ouvre la porte et cligne des yeux en voyant Dolly. Oh. C’est incroyable comme d’un coup il se sent soulagé.
Inconsciemment, il se détend, entre dans la pièce. La porte se ferme derrière lui.
« Oh quelle surprise haha ! »
Non December. Ca ne peut pas être une surprise. Car au fond, il devrait l’admettre, Dolly est bien plus qu’une simple partenaire de faction. Il reste béat un court instant, puis enchaine.
« Ca va ? Quand je pense que c’est une entrevue pour se dire au revoir, c’est bizarre non ? Enfin je ne sais pas trop, je n’ai jamais pensé que j’aurai le temps de le dire tu vois … et toi tu vas bien ? »
Il se répète. Parle beaucoup. Il est indéniablement gêné par la proximité.
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résumé : - December est un peu stressé de voir Dolly derrière la porte - Il parle beaucoup trop car il est gêné
À la notion de Bob, elle se met à rire. Ainsi lui aussi en a entendu parler, comme quoi.
« En vrai il a réussi à l’avoir le Eude, tu te rend compte ? Au moins je ne crains rien de mon côté, il risquait pas d’essayer ! … Après vu le costard, j’aurais peut-être été sous le charme, qui sait. »
Haussement d’épaule. Elle prend ça à la légère, mais son cœur est lourd. L’évocation de Bob lui rappelle sa soirée avec Viviane et même si elle aurait souhaité oublier certains passages, elle est malheureusement restée lucide tout le long. Ses paroles sont encore en mémoire, cette profonde tristesse lui broie les poumons, lui coupe le souffle.
Écoutant Sam et ses mots qui en rajoutent une louche même sans le vouloir. Un silence passe, pas assez long pour qu’il y ai un malaise mais suffisamment pour qu’on comprenne que quelque chose lui est passée par la tête.
« Ton égo n’a pas besoin de plus de flatterie. »
Pause.
« … Pourtant vu cet évènement, je peux pas m’empêcher de penser que cette fois, il y vraiment y avoir des morts. Et beaucoup plus qu’avant. »
Et qu’il pourrait être l’un d’entre eux.
Résumé :
- tenue : www - BOB MDR OUI - coup de blues en souvenir de la soirée pourtant, un léger bad mais fais comme si de rien n'était - même si bon ça marche pas trop aled
Ft. Nothing Un jeu de clés et de politique Le calme avant la tempête
C'est dans le secret d'un visage fermé et d'une arrivée remarquée sur talons hauts que la jeune femme s'avance. D'humeur volontairement coquette, Celsius a tout préparé pour cette dernière nuit de Paix: Une robe noire aux dentelles travaillés, Ainsi que quelques parures sobres mais élégantes, similaires à celle du bal de février...
Ô, elle ne se serait pas enquiquinée d'arborer pareilles parures et tenue pour les beaux yeux de Carcosa, avant cette Valse qui opposerait Légendes et Valeurs à l'Ordre et l'Anarchie... Mais cette fois-ci, c'est différent.
Cette fois-ci, Celsius déplore la punition de l'I.A. qui leur est faite et en porte le fardeau dans l'ébène de son ruban noir comme si elle avait perdu une proche amie ; la Paix. Cette fois-ci, elle se réjouit des jeux d'alliance bousculée, inhabituelle et changeante et d'un quelque chose de changeant qui donnerait du sens à ses inexplicables envies de sensations fortes. Cette fois-ci, elle fête sa victoire tout comme sa défaite.
Dans un calme olympien, la Major s'avance et saisit de ses doigts graciles la clé qui lui est désignée, et se dirige vers la salle désignée au numéro 10. Pour l'heure, tout se passe exactement comme elle l'espérait ou plutôt, comme elle le souhaitait. En payant le prix d'une I.A. qui s'affole face aux jeux des fomentations, ses peurs avaient eu le temps de mariner durant ses nombreuses nuits à penser pour ses soldats et s'étaient lentement mais sûrement dissipées.
Au final, elle était prête et Les Hunting Sports à venir ne lui faisaient plus peur ; elle entendait bien exécuter la meilleure des danses pour préserver le Savoir des siens par le biais de cette nouvelle alliance.
Pour dire vrai, elle n'a jamais su pourquoi elle se sent aussi proche des Wilds. Leur goût pour l'imprévisible, le chaos et la liberté ? Sûrement. Mais cette explication était trop incomplète. Parce que surtout, il y avait lui. Lui avec qui tout est allé très vite, depuis la Saint Valentin ; ça avait été physique et chimique dans un premier temps.
Toutefois, leur dernière entrevue s'est soldée par une première dispute, une incompréhension et une divergence de projet dont elle se serait bien passée avant tout cela. Alors qu'elle franchit la porte et s'empare de la petite pièce, elle s'attend à ça. A lui faire face. A raison ; il ne fallut pas plus de 10 minutes pour qu'elle l'entraperçoive. Et de nouveau, il y a ce silence. Pas un accueil. Pas un bruit. Il n'y a rien dans cette nouvelle atmosphère pour Celsius, hormis une terrible envie de tout et rien dire à la fois et de s'emparer de ses lèvres, là, maintenant, pour tout oublier.
Mais dans ses prunelles sauvages et émeraudes, règne de la réflexion de sa part. Un peu de peine aussi. Et un soupçon de colère, de manière inattendue. I.A. aime lui rappeler ce qu'elle peut perdre si elle ne porte pas son impitoyable titre de sorcière aux loups durant les jeux. Si elle n'aiguise pas les crocs de ses bêtes en temps voulu...
Nothing pourrait-il seulement supporter de voir la Terreur qu'elle représente ? Cette pensée l'angoisse ; mais elle s'approche et agrippe sa main pour la manifester contre sa joue, souriant légèrement sous la chaleur de la paume de son bien-aimé.
"Quoiqu'il arrive... Je ne perdrai pas. Je te protégerai."
Si elle doit garder un souvenir et s'il peut la pardonner...Ce contact lui suffit.
Résumé : Celsius arrive avec une certaine froideur et assurance sur les lieux, et rejoint la salle n°10 où elle rencontre Nothing. A la suite de leur dernière discussion, elle tente de passer outre leur dispute, non sans avoir quelques questions en tête.
December. Quand elle le voit rentrer dans la pièce, elle a l’impression d’entendre son cœur exploser dans sa poitrine. Il parle de surprise, Dolly elle ne sait juste pas quoi en penser. Elle le fixe, de haut en bas.
Puis quand il parle d’un coup, elle sent un poids se lever de ses épaules. Parce qu’elle comprend qu’il est lui aussi nerveux. Peut-être plus qu’elle encore.
Alors elle s’approche, lui fait face. Son regard toujours d’un rouge aussi profond que celui de la pièce planté dans le sien.
« Tu espérais quelqu’un d’autre ? »
Droit au but, elle ne perd pas de temps. Parce que si elle doit lui dire « au revoir » à lui, elle ne veut plus tourner autour du pot. Parce que demain, tout pourrait se terminer avec des regrets.
Et ça, elle en a déjà eu beaucoup trop. D’occasions manquées, de secrets et d’émotions cachés.
« Je suis contente que ce soit toi, December. Parce qu’au moins, même si c’est étrange, je peux faire ça correctement. »
Sourire, léger. Le monde semble s’être arrêté, effacé derrière ces murs, enfermés juste dans cette si petite pièce. Pour l’heure, rien ne semblait plus adéquat.
Résumé : - tenue : www - voit dec arriver, c'est le oof - comprend qu'il est aussi nerveux qu'elle et ça la calme - et se dit yolo, on ne vit qu'une fois, donc elle est décidé à ne plus tourner autour du pot - rip dec pour la suite.
Ses sourcils se froncent en voyant son frère rentrer. Et son sentiment d’un peu plus tôt ne fait que son confirmer. Un bon moment avant que la tempête ne se déchaine.
Il est froid, elle fait la moue avant de croiser les bras.
« Contente de te revoir aussi j’imagine, Osiris. »
Alors qu’il s’adosse et commence à parler, elle soupire. Qu’il est doué pour blablater, vraiment. Ses yeux se lèvent au plafond quand il l’appelle encore traîtresse. Bordel mais pourquoi il est là encore ?
Puis le temps se suspend. Une seconde. Puis une deuxième.
« … Quoi ? »
Elle a crue mal comprendre. Alors elle le regarde cette fois avec plus d’attention. Ce n’est pas le genre de son frère de faire ce genre de blague. Elle se lève, son expression maintenant désabusée fixe le jeune homme, ses cernes, la fatigue qui est omni présente sur tout son visage.
Il dit la vérité. Il ne mentirait pas. Pourtant son cerveau a du mal à imaginer…
« Comment ? Qui … ? Quoi… »
Sa mère, si forte. Et son père adoptif, si doux. Ils étaient… Non. Elle n’a pas le droit de s’attrister, ça serait hypocrite pas vrai. Elle a trahi, il lui a encore rappelé ce fait il y a tout juste quelques secondes. Elle n’a pas le droit de pleurer. Pourtant elle ne peut pas empêcher ses yeux de s’humidifier.
Résumé: • Tenue : ici on tient de la madre en terme de tenue extravagante et voyante merci beaucoup • Drama.
December n’en revient pas. Dolly est incroyablement calme. D’un calme qu’il jugerait inhabituel. Alors, il l’écoute, se calme lui-même au fur a mesure que les mots arrivent. Elle lui demande : est ce qu’il espérait quelqu’un d’autre ? « Non pas du tout ! »
Et il il cligne un peu des yeux alors qu’elle est si proche. Elle avoue qu’elle est contente que ce soit lui en face. Et il inspire doucement. Se sent étrangement bien a l’entendre. Il se sentirait presque poussé des ailes.
« Dolly… je… »
Il la fixe et alors qu’il ne la quitte pas du regard, il enchaine rapidement. « Je t’aime ! »
Peut être n’est-il pas si calme que ca finalement. Mais autant que toute cette mascarade serve a quelque chose. Autant qu’il parte sans aucun regret, c’est ce qu’il se dit. Il ne la quitte pas du regard, les yeux rouges.
« Je ne sais pas si c’est parce qu’ici on n’a pas nos alter d’actif, mais je pense que ca ne que trop duré. Je t’aime Dolly, j’aime comme tu me laisse le temps de m’expliquer, j’aime comme tu me dis les choses quand ca ne va pas, j’aime comme tu es plus franche que moi. Alors, pour cet au revoir je ne veux pas partir avec des regrets, même si ca signifie ne pas avoir de réciprocité, je veux que tu saches : je t’aime voilà. »
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résumé : - December l'écoute, se calme un peu et lance sa bombe en mode franchise absolue
Osiris a tout dit, sans détour, il a balancé ce qui était arrivé a ses parents. Et il s’imagine bien que sa petite sœur ne va pas simplement acquiescer, elle est sensible Sekhmet, même si elle a trahit, difficile de l’imaginer s’en foutre. Il baisse le regard. Faible face a la possibilité de pouvoir constater a quel point sa sœur est triste.
Il inspire. Calme. Il doit garder son calme.
« Je ne sais pas Sekhmet, je sais rien de plus. »
Il soupire a nouveau. Il va beaucoup soupirer tant il se retient lui-même de lâcher une larme tant la pilule n’est pas encore passé.
« Tout ce que je sais c’est qu’ils ont été empoisonné, tout les deux. »
Il finit enfin par lever le regard vers sa sœur. Son cœur manque un battement a la voir les larmes aux yeux. Osiris poursuit, le plus calmement possible.
« L’enquête est en cours, mais je ne compte pas attendre, le ou les coupables vont mourir de ma main petite sœur. »
Le regard grave, il ne peut que exprimer sa colère pour contenir ses propres larmes. « Si tu veux je mettrai des fleurs en ton nom pour leur rendre hommage. »
Car elle ne pourra pas venir jusqu’au QG pour le faire correctement.
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résumé : - Osiris dévoile tout et ofc il a bien l'intention de venger ses parents
La porte s'ouvre au bout des dix minutes. Essentia, donc ? C'est quoi cette histoire ? Je ne veux pas le voir.... Mais si tôt a-t-il franchi la porte que celle-ci se verrouille, vous coinçant ici pour une heure...
- Moi non plus, je ne m'attendais pas à te voir....
Mes mots s'appuient avec un mouvement d'épaule. Un soupir est retenu et mon regard dévie, plongeant dans le rideau rouge qui couvre le mur. Mes mains nues sont serrées l'une contre l'autre.
- Oui, tu peux.
Je laisse planer un silence, au moins le temps qu'il s'installe. Plus encore peut être, avant d'enfin confier un ressenti.
- Autant en profiter.... Je ne cautionne toujours pas le passé. Je juge toujours ton père responsable. Je veux toujours qu'il paye pour ce qu'il a fait. Néanmoins... Tu es le dernier lien de sang qu'il me reste... Alors, je n'ai pas envie de te faire la guerre.
Si le début avait la verve de la colère, la fin de mes paroles s'était adoucie pour finir dans un murmure.
Résumé : Accepte la présence de Ess'. Il a pas le choix lol Mal à l'aise. Confidence de ce qu'il ressent.
Hysteria
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Hysteria
Lun 8 Mai - 15:32
Shall Never Surrender
I never surrender
Never Surrender
La porte s'ouvre au bout de dix minutes. Tu restes en suspension. Ton coeur reste en suspens. Et ton souffle n'est plus.
Lorsqu'alors des mèches blondes font leur apparition, les émotions deferlent dans une mécanique instinctive, brutales et renversantes. T'es obligé de serrer les molaires pour contenir le flot qui te submerge.
De toute évidence, I.A. Carcosa était d'un cynisme à toute épreuve. Pourtant tu avais espéré au plus profond de toi qu'il apparaisse. Lui, ou Dolly, mais surtout lui.
Tu ne tuerais jamais Dolly. Tu le savais, elle était ta moitié. Comment mettre fin à sa propre moitié, si ce n'est lui faire subir le poids d'une souffrance jadis ressentie ? Mais Carbone. Tes iris dorés glissent vers un point vide de la loge, le fuyant encore du regard. La bouche résolument close. Prêt à subir cette présence et tout ce que ça implique.
Et tu emmures ton coeur comme tu le peux, tu bloques tous tes sentiments, tout ce qu'il peut faire émerger en toi.
A ses premières paroles, tu entends bien que ton choix le contrarie. Il aurait certainement voulu voir Dolly. Et c'est plus fort que toi Hyste, parce que tu baisses la tête de dépit. Ca t'empoigne au cou, t'as l'étau d'une honte indicible, celle de ne pas être choisie par l'être aimé.
Tu souris.
Tu le sens qu'il est en colère après toi, et c'est peut-être mieux comme ça. Ca te permet, à toi, de puiser aussi dans tes dernières forces et de transformer le chagrin en amertume, et l'amertume en haine. C'est plus facile.
Etre un lâche aux yeux de tous, à ses yeux, ça te laisse de glace. Qu'est-ce que ça peut te foutre. T'es même à deux doigts de t'excuser de l'avoir choisi.
Comment tu pourrais t'expliquer, alors que ta crédibilité est partie en fumée ce soir là. Mais l'odeur de la cigarette te fait froncer le nez. Ou pulvérise juste ton coeur, en te rappelant sans cesse aux souvenirs affectueux, bienheureux.
Tu souris davantage, pour mieux te cacher.
Et le flot de ses paroles coule sur toi, ne prêtant qu'une oreille sur deux à ses propos. Il a juste fallu te ressasser à plusieurs reprises quelques mots qui t'ont paru dissonnants. Pour êtrs dans l'incompréhension, perdu. T'as peut-être mal compris ?
Mais, quelque chose, peut-être un dernier élan d'espoir te fait lever la tête pour ancrer ton regard au sien. Si fort. Que tu as l'impression pour une fois de lire ses pensées.
Imperceptible froncement de sourcils.
Même en ... te choisissant. Même en te choisissant.
En le voyant se dissimuler, tu percutes trop lentement. C'est lourd dans ta tête, tout avait été emprisonné dans un coin de ton esprit mais il t'oblige une fois de plus à tout déballer.
C'est sa dernière phrase, ses derniers mots qui rendent tes yeux humides.
Tu n'as jamais été aussi triste de toute ta vie. Comment tu peux garder contenance dans ces circonstances.
Tu t'assois finalement sur le banc, et enfouis ton visage dans tes mains, pour calmer le séisme intérieur. Si lui est bavard, toi tu ne l'es pas vraiment. Tu te fais violence alors, pour lui parler. Les coudes sur les genoux, tu redresses la tête pour lui donner enfin une réponse :
- Je t'ai jamais vraiment compris, Carbone. Ca doit être réciproque, mais tu m'as fait chavirer par le passé, plus qu'howlite. Je l'aimais, mais tu as tout ravi sur ton passage. Jusqu'à te voir proche de Dolly. Si proche d'elle que je savais ne jamais avoir de chance avec toi. ... Toi et la couleur de l'océan dans tes yeux. Comment tu crois que je me suis senti tout ce temps. J'étais pétri de jalousie. " Tu chasses d'un revers de main l'humidité de ta joue. " Le jour où je t'ai vu au-dessus d'Ivar, je n'ai pas compris pourquoi tu aurais pu attenter à sa vie. Ca n'avait aucun sens. Et je vous aimais tellement que ça m'a déchiré. De perdre Ivar. De te voir près de lui. Tu étais armé, mais sans doute que tu sortais d'un combat. J'ai vu flou. Et Dolly, s'est dressé devant moi, et t'a défendu becs et ongles, sans me laisser le bénéfice du doute. Je vous ai regardé longtemps, et j'ai définitivement compris qu'il valait mieux pour moi de partir."
Tu le regardes plus. T'es trop loin. Il partirait que tu continuerais ton récit. Fallait juste que ça sorte.
" J'allais devenir fou. A vous aimer tous, sans recevoir la même intensité d'amour que je vous vouais. J'avais juste besoin ... d'être un peu egoïste."
Tu te frottes vivement la tempe pour te ressaisir, et finir ton monologue.
- Je ne sais toujours pas vraiment ce qui s'est passé, mais oui, tu ne l'as pas tué. J'ai tout mélangé, et je me suis protégé ensuite. Les vigilantes m'ont ensuite pris sous leur aile, et ils m'aiment autant que je les aime. ... J'ai préféré te haïr pour que ce soit plus simple. J'ai préféré rêver ta mort. J'ai longtemps espéré que tu t'effaces de ma vie. Comme on le fait avec une encre à cent degrés.
Mais ce soir où tu m'as avoué m'aimer, même si je ne t'ai pas cru. Ca a tout ... "
T'en peux plus. L'émotion t'étrangle la gorge. Pourtant, tu veux aller jusqu'au bout. et ta voix est si tremblante que ta virilité n'existe plus.
- Tu as tout mis en branle, Carbone. Comment tu veux que je réagisse, quand je te vois, et que j'ai envie de t'embrasser. Ou de te choyer, comment, COMMENT TU VEUX QUE JE REAGISSE ?"
To someone who's been with me for my whole damn life?
Il lâche un léger rire lors du commentaire sur l’égo. Laisse le silence s’installer. Il garde son petit sourire en coin, comme si tout cela ne l’atteignait pas. Comme s’ils étaient simplement dans sa chambre et pas dans une salle particulièrement mal foutue.
La mort est plus ou moins présente à chaque Huntings Sports. La seule différence c’est que notre chère IA a décidé d’y mêler plus de gens que d’habitude.
L’éradication de deux factions. C’était une scénario qui semblait invraisemblable et pourtant inévitable. Les jeux, leurs efforts à survivre chaque jours. C’était même étonnant qu’aucune faction ne soit encore tombée aux mains d’une autre après tout ce temps. Peut-être que l’IA était friande des chiffres pair.
Tu as peur ? De te retrouver sur le terrain de nouveau, je veux dire. Il laisse sa tête tomber sur le côté pour la laisser reposer sur celle de la blonde. Tu sais que je te protègerais quoi qu’il arrive de toute façon.
Il trouve son paquet de cigarette et son briquet dans la poche de son pantalon. Il tend le tout à Neon une fois qu’il s’est servi et que la fumée commence à voler vers le plafond. Il suit les volutes de fumée du regard. Vraiment qu’est-ce que cette déco est moche.
Non pas du tout. Sa poitrine se gonfle d’émotion, elle se sait rougir mais ne change pas d’avis. Elle doit se montrer directe. Dire ce qu’elle ressent, même si c’est dur. Fierté qui lui fout une claque, à se montrer vulnérable.
Mais il faut bien pour qu’il y ai une évolution. Elle a trop fui, trop courue pour maintenant juste laisser encore quelqu’un partir. Et souffrir en silence, encore une fois. Ses sourcils se froncent quand il prend la parole et c’est de la stupeur qui orne ses traits.
Encaissant ses paroles sous son débit rapide. Elle reste là, à écouter ce qu’il aime d’elle. Qu’il l’aime elle. Que ce n’est pas son alter.
Que ce n’est peut-être pas réciproque, mais qu’il l’aime. Alors qu’il a pourtant abandonné l’idée d’aimer.
Elle ouvre la bouche mais aucun mot n’en sort. Dolly au final n’a jamais été douée dans des discours ou déclarations et il l’a devancée sans même qu’elle puisse l’anticiper. Mais le savoir lui fait ressentir tellement de chose que son corps manque de signaux à lui envoyer.
La première chose qui vient, c’est un sourire. Si grand qu’il pourrait envelopper le monde. Et elle s’approche encore, réduisant l’espace jusqu’à coller presque tout son corps contre le sien.
« … Je t’aime aussi December. »
Un murmure, un secret chuchoté contre ses lèvres avant de l’embrasser. Sans retenue, sans aucune pensée pour l’arrêter, sans aucune raison qui lui parasite cette envie qu’elle a depuis maintenant trop longtemps.
De juste l’avoir contre elle. Et de laisser son amour se consumer pour lui.
“Every new beginning comes from some other beginning's end.
Disons nous au revoir
FT. Lime
THEME ★ Un premier pas accordé, une invitation acceptée. Ce fut dans un signe positif qu’il te remercia, venant s’assoir à côté de toi. Tu pouvais sentir une délicate odeur d’herbe coupée émané de lui. Un silence s’installa, la situation était tout de même délicate… Essentia ne savait comment se positionner, car lui-même avait appris cette histoire en même temps que toi. Il n’allait pas te livrer son père, c’était certains, mais… Il y avait cet arrière-goût amer qui ne voulait pas quitter ses lèvres.
Une vie était précieuse, tuer par vengeance… Ce n’était pas quelque chose que le soigneur pouvait concevoir même en ces temps de guerre.
Tu le fis sortir de ses pensées en reprenant la parole, ses yeux émeraudes posés sur toi.
Une tension amenée, le poing discrètement serré, mais une surprise put se lire sur son visage à la fin de ton récrit.
Son sourire devint plus mélancolique, une main posée sur ton épaule.
« Je suis content de voir que tu sais faire la différence entre les actes de mon père et les miens. » Ce n’était pas facile de trouver les bons mots dans une situation aussi... Délicate.
Car vous alliez être ennemi…
« Je ne peux cacher que tes paroles me touchent, je n’ai aussi aucune envie de te faire la guerre. Même si on se connait peu, nous sommes de la même famille, comme tu le dis si bien et nous ne devrions pas avoir besoin de le faire. » Son regard se baissa un peu, son expression ne changea pas, jouant un peu avec le bout de ses doigts. « Bien assez de personnes nous ont déjà quitté, pourquoi continuer d’en voir disparaître ? Je crois que je ne comprendrais jamais. » Soupira-t-il aussi, laissant ses ressentis s’échapper.
Après tout, vous êtes là pour ça, non… ?
Résumé : Surpris des ressentis de Lime en positif Laisse aussi les siens ressortir, il en a marre de voir des personnes mourir Il est un peu perdu sur la situation