Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Le soleil est haut dans le ciel. Il lui brûle les yeux mais son corps frissonne. Il a froid, mais le feu lui lèche les côtes.
Silence tourne son regard fiévreux vers la personne qui est en train de le manipuler pour tenter de panser ses blessures.
Érinye. Il est reconnaissant, elle l’a sauvé, continue de l’aider.
Face à eux, cinq personnes. Son équipe.
/Hysteria.
Le souffle déjà saccadé de Silence se fait plus erratique pendant un instant et il gigote - mais il s’arrête vite parce que la douleur revient au galop. En fait, il se rend compte qu’elle n’est jamais partie.
Hysteria va-t-il attaquer ses coéquipiers comme il l’a fait avec lui?
Le soleil lui répond que non, et c’est étrange parce que le soleil ne devrait pas pouvoir parler. Pas plus que Strife, qui est morte et dont le cadavre gît un peu plus loin. Et pourtant c’est bien la voix de Strife qui lui dit “ferme-là et écoute.”
Alors Silence referme les yeux et écoute.
“Explique-toi.” King. La voix est menaçante. Silence frissonne plus fort.
“On sera à égalité.” Hysteria. Traître.
“À égalité?” La voix est douce, légère. Moon. “Tu abandonnes si vite?”
La voix de King retentit de nouveau mais Silence est traversé par une langue de feu lorsqu’Érinye le bouge de nouveau, et il perd le fil. Souffrance.
“L’égalité?” Cette voix, Silence la connaît. Malgré ses yeux fermés, le visage de Dolly s’affiche dans son esprit. Il entend le sourire dans sa voix. “Parce que tu crois qu’ils vont te l’accorder? Si tu as quelqu’un à perdre, il fallait pas t’inscrire.”
De nouveau, la voix d’Hysteria. Silence souffre. Il a chaud et froid en même temps.
“C’est vrai. Mais tout ça me regarde. N’y a-t-il personne du camp adverse à qui vous tenez par hasard? Ou il n’y a que votre nombril que vous avez à lécher actuellement?”
Le coton revient peu à peu, les voix se déforment. Silence réouvre ses yeux brillants de fièvre et les tourne vers les trois corps attachés. “Concentre-toi” lui dit Strife, alors, péniblement, il tourne de nouveau la tête vers le groupe.
Silence sent que le monde tangue un peu, mais il sait que Moon rétorque qu’il n’y a que d’elle dont elle doive se préoccuper. “ce sont les règles du jeu, t’es stupide ou quoi?”
Dolly parle. Silence le sait parce que sa bouche bouge. Ses oreilles se sont remplies de bruit blanc. “Tu vas trop vite” a-t-il envie de dire, “je comprends rien”. Et puis soudain il entend de nouveau. “Et s’attacher aux gens est la pire erreur.” Elle a les sourcils froncés Dolly. Est-ce que le soleil lui parle à elle aussi? “Une égalité n’est pas envisageable. Tu ne fais que te mettre une cible au dos pour ta connerie.”
Silence sent le feu dans son dos. Il a une sensation bizarre dans les poumons et pendant un instant, la tête lui tourne. La douleur est si forte qu’il a envie de vomir, mais le bruit sourd d’une pierre qui heurte le sol, lâchée par King, le force à se reconcentrer. Le soleil se met à pleurer.
“Tu penses que PM va nous accorder cela? Regarde les équipes. Simplement.”
Un instant, Silence pense aux Trappers dans l’équipe ennemie. Il espère que le soleil ne leur pleure pas dessus parce que ça fait mal.
“Aucune règle ne sanctionne mon idée ou ne stipule qu’elle sera punique. Si nous sommes à égalité, il n’y aura aucune perte et on baise son système.”
Silence revoit la scène où il se fait poignarder. C’est douloureux. Son souffle se fait de plus en plus difficile, mais la voix de Moon l’ancre dans la réalité.
“S’il n’y a ni perdant ni gagnant de manière naturelle, P.M. va aller les chercher de lui-même. Tu es beaucoup trop optimiste sur ce coup-là.”
Les mots de King finissent d’attacher son corps au monde réel alors que son esprit est consumé par les pulsations brûlantes dans sa jambe et dans son dos.
“De toutes façons, il est maintenant trop tard pour y faire quelque chose. Je ne peux espérer que tu aies raison.”
“Exactement. Il faut des gagnants et des perdants, ça a toujours été comme ça.” Dolly s’impose alors qu’Érinye se relève pour aller soigner Strife, qui ne parle plus, et attacher les deux autres corps ensemble. December? Moon bouge, s'approche du corps inconnu, le regarde. Silence la voit panser des plaies, se relever, donner un coup de pied discret. Il est perplexe, et Moon repart vers le groupe.
“On a gagné dans tous les cas. On est l’équipe ayant le plus d’otages avec nous, dont un mort… Mais ce n’est pas qu’une histoire de sauver tout le monde, je veux juste que P.M. arrête de nous manipu-”
Hysteria se plie en deux. Silence se demande vaguement ce qu’il a et c’est le soleil qui lui dit qu’il souffre. Il n’a pas le temps de comprendre pourquoi, un vertige le prend. King, Dolly et Moon continuent à parler.
“Si c’est ce que tu veux, on est pas sortis de l’auberge.” King, voix de la raison.
“Je me fiche bien de l’égalité, je joue pour gagner.” Dolly, celle qui ne courbera pas l’échine
“Hmm, et qui avertir les autres restants? On va tous les voir main dans la main?” Moon, gentiment sarcastique.
Hysteria bouge soudain et Silence veut partir. Ne m’approche pas, ne m’approche pas. Les blessures saignent et il tousse un peu de rouge.
King continue à parler. Silence ne sait plus où il en est mais il entend les mots “défense impénétrable”, qui se mêlent aux grommellements de douleur de celui qui l’a poignardé. Les yeux bleu fiévreux se tournent vers Érinye qui s’avance vers Hysteria.
N’y va pas, il va te faire du mal. S’il te plait n’y va pas!
Les voix de Mad et de King grondent dans le crâne de Silence alors qu’il regarde, paniqué mais incapable de bouger, son alliée se rapprocher du danger.
“Bah sinon, on écoute pas le téléporteur et go attaquer?”
“Ils sont sûrement sur le qui-vive et l’endroit doit être bourré de pièges.”
Silence respire trop vite, trop mal. Érinye a atteint Hysteria. Ils discutent, lui s’excuse, dit qu’il n’a peut-être pas assez réfléchi au plan. Elle, sévère, lui répond que non, qu’il a eu raison, qu’elle lui fait confiance.
Envie de pleurer. De hurler. De partir. Malheureusement, Silence ne peut rien faire, à part fermer les yeux quelques minutes.
Et lorsqu’il les réouvre, encore brûlant d’une fièvre provoquée par les blessures pour lesquelles ils n’ont pas de soins, la nuit est tombée.
Le calme est terminé, voilà la tempête: il est temps de reprendre les armes.
- Silence, en plein délire fievreux, entend son équipe discuter: Hysteria a laissé l'équipe adverse prendre le drapeau pour arriver à une égalité, afin que personne ne soit pénaliser au final. - À part Eri', 'équipe 2 n'est pas convaincue par la stratégie. - Strife et le soleil parlent??? - Silence s'évanouit à la fin de la conversation et reprend ses esprits (plus ou moins, la fièvre est encore là) une fois la nuit tombée. - Silence et Nightmare sont soignés (à peu près, l'équipe 2 n'a pas de matériel de soin à part des bandages et de l'eau, mais au moins ils crèveront pas), Eri' panse également les plaies Strife. C'est Eri' qui s'occupe de Silence, tandis que Moon le fait pour Nightmare.
Il est temps de reprendre le combat.
SILENCE EST TOUJOURS HORS-SERVICE POUR LE RESTE DE L'EVENT MDR
Inventaire actuel: deux couteaux, une jambe niquée et un trou dans le dos.
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Jeu 4 Mar - 1:52
Tu roules. Elle a l'air de tenter quelque chose, la reptilienne, mais sans réel succès. Et tu la vois récupérer un caillou. Pardon, une pierre. Pardon, une roche. Une grosse roche. T'as peur, alors tu commences à faire des zigzags. Comme si t'en faisais pas déjà avec ta conduite de dégénérée. D'un coup, le véhicule disparaît. T'es prise de court et le choc entre toi, le sol et le drapeau est tout sauf agréable.
Tu sens la terre et les pierres s'incruster dans tes plaies récentes, qui t'arrachent une douleur dépassant n'importe quel anti-douleur que tu aies pu ingérer dans le passé. Le sang coule, coule, et coule. Tu te retournes, priant pour que l'autre n'ait pas lancé sa roche. Mais, elle n'est plus là. Bizarre. Tu sors les bandages que tu avais amené et les enroule grossièrement autour de ton épaule déchirée. L'os n'est pas visible, et tu peux encore bouger, mais loin d'être sans douleur.
Allez, plus que quelques temps. Tu marches jusqu'au point de ralliement, t'appuyant sur le drapeau pour tenir le reste du chemin. La chute est ce qui a enfoncé le clou dans ton cercueil. Ton dos tire tellement, marcher est un calvaire, et les petites pierres plantées dans ta chair nue amplifient l'effet. Ta toux est toujours irritée par le coup de tout à l'heure. L'attaque était désordonnée. Une morte, un blessé grave, et tu ne sais pas ce qui a pu arriver à December. Et toi, dans ton état piteux. De la terre mélangée à du sang incrustés dans tes vêtements. Tes muscles du dos et de l'épaule découverts, sans parler de cette nausée.
T'as l'impression de voir la lumière au fond du tunnel en voyant la zone de ralliement, et le mécanisme s'y trouvant. Bien que tu t'apprêtes à perdre ta canne, c'est un point pour ton équipe, une égalité. Mais vous êtes dans la merde pour la suite. Allez, plante le manche. Celui-ci rentre, et ton regard suit le tissu du drapeau qui s'enfonce doucement dans le sol. Tu ne peux t'empêcher de célébrer ça à ta façon, levant la tête vers le ciel et soupirant comme si tu n'avais pas respiré depuis le début de l'attaque.
Allez, dernière ligne droite vers ton camp, t'espères que quelqu'un pourra te soigner correctement. Le plus con, c'est que ton état, c'est à cause de toi. Le pire que tu ai pris, c'est un coup de pied de biche dans l'estomac, qui t'empêchera sûrement de digérer correctement pendant quelques temps. Tu ne peux t'empêcher de poser ta main sur tes bandages récents. Ça te fait horriblement mal, c'est sûrement une des plus grandes douleurs que t'as connu jusqu'ici. Et tu marches, lentement. L'adrénaline est redescendue, tu souffres. Tu n'as plus de force, mais tu n'es pas arrivée. Le chemin est difficile, et tu tombes à genoux. Puis, ta tête cogne le sol feuillu, tes yeux se ferment. C'est toute la force que tu avais, il est temps de se reposer, Flesh. Le réveil ne peut qu'être pire.
euh fatiguée:
- Flesh fait une sale chute à cause de la disparition de la moto - Son adrénaline redescend, elle est agressée par la réelle douleur de ses blessures - Elle arrive à rentrer le drapeau dans le mécanisme - Elle rentre vers son camp, et s'évanouit de douleur, fatigue, perte de sang, tout ça en même temps à mi chemin entre la zone de ralliement et le camp. Flesh est très mal mdrr, le réveil risque d'être compliqué.
I.A. Carcosa
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I.A. Carcosa
Jeu 4 Mar - 17:09
Lancement des Hunting Sports
Je veux GAGNER
Joyeux Hunting Sports, et puisse le sort vous être favorable !
▬ Le drapeau bleu a été placé sur le socle du point de ralliement.
• 10 points pour l'Equipe 1
Il disparait et réapparait trois minutes plus tard à son positionnement initial. (A l'instar des billards, le système du retour du drapeau reprend celui des boules de billes qui retournent à leur endroit initial. Ou de bowling, as you wish)
Un signal est envoyé aux puces électroniques. Vous recevez donc l'information, tous autant que vous êtes. Une voix fourmille en vous :
"Vous êtes invités à continuer vos actions dans la mesure du possible"
▬ La situation actuelle est la suivante : Flesh semble s'être effondré sur le chemin du retour. Du côté des deux équipes : l'équipe 2 est rassemblée dans son camp de base avec à sa merci deux otages (December & Nightmare) et une morte (Strife). Le reste de l'équipe 1 est rassemblé dans la base de départ. ▬ Vous êtes invité à prendre en compte une ellipse car la nuit tombe sur les deux camps.
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Ven 5 Mar - 13:28
Hunting Sport
CAPTURE DU DRAPEAU LETALE
notes here!
y a des mots pas jolis jolis dans ma réponse, alors je la mets en spoiler
Tu étais resté un moment dans les bras de Morphée. Tu étais heureux, aux anges, rien ne pouvait te sortir de ton sommeil. Tu avais même fait un rêve merveilleux. Ton cerveau avait imaginé que Sakhaline était devenu encore plus le bordel qu'elle ne l'était déjà. Il n'y avait plus cette histoire de district. Tout le monde ne pensait plus qu'a lui maintenant, plus personne ne venait en aide à qui que ce soit. Tuer était limité devenu la solution ! Et bien évidemment, toi dans ce genre de monde, ne pouvais que ton combler. Un rêve que tu aimerais voir réel. Sauf que comme tout ! Chaque chose avait une fin. Et ton sommeil en bonne compagnie commença peu à peu à disparaître pour laisser place à une douleur qui te faisait de plus en plus de mal. À tel point qu'à peine tu avais ouvert un peu les yeux, tu retombas aussitôt dans les pommes. Tu n'avais vraiment plus la moindre force pour bouger. Tu avais perdu trop de sang à cause de cette furie. Tu laissas ton amant venir te chercher, sauf que ce n'était pas ton heure, pas encore ! Il te repoussa pour que tu sortes de cette lumière, pour revenir sur terre.
Tu ouvris de nouveau les yeux avant d'essayer de bouger. Tes jambes ne répondaient toujours pas. Donc ce n'était pas un rêve, elle t'avait bien rendu handicapé. Tu la maudissais au plus profond de toi. Un jour tu pourras te venger et la faire souffrir comme jamais. Tu lui feras subir pas mal de chose, allant à la torture comme au viol. Et au lieu de la tuer à la fin, tu la laisseras vivante pour qu'elle souffre encore plus. Qu'elle devient un petit chiot peureux rien qu'à l'idée d'entendre ton prénom. Tu voulais ruiner sa vie, comme elle venait de le faire pour toi.
Il t'a fallu quand même quelques minutes avant d'émerger complément et de te rendre compte que tu étais attaché, tu étais leur prisonnier. Heureusement pour toi, tu n'étais pas seul. Ton merveilleux camarade décembre était avec toi. Pour un court instant, car il fut très vite embarquer. Tu aurais pu en profiter pour frapper la personne qui t'attacha de nouveau et fuir. Mais étant handicapé, tu ne pouvais plus que faire une chose, rester planté et attendre la fin des HS. Tu grognas venant te mordre la lèvre à sang. Tu étais mécontent de ce qui t'arrivais. Que tu sois déjà hors jeux. Tu aurais aimé continuer de planter des couteaux par-ci par-là. Tu gigotas énormément ayant une idée qui te traversa l'esprit. Ils ont voulu te prendre en otage, il allait le regretter. Tu regardas Erinye d'un mauvais œil avant de venir lui montrer ton sourire le plus flippant.
« Alors connasse, tu s contente ! Tu es fière de m'avoir rendu handicapé . Ne crois pas parce que tu as gagné là, que ça fait de toi quelqu'un. Tu n'es rien, tu n'es qu'un insecte que j’écraserai un jour. Crois-moi qu'une fois rétabli, je vais venir te hanter, te faire des choses auxquelles tu ne penserais même pas. Tu as intérêt à surveiller le moindre recoin où tu iras te balader. Car je serais là, prêt à venir te sauter à la gorge. »
Tu te mis à rigoler avant de venir regarder le reste du groupe. Même si tes blessures te faisaient mal. Tu restas de marbre, tu ne voulais pas leur montrer qu'ils avaient gagné. Tu n'étais pas encore mort. Tu soupiras te fichant complètement de December. Tu avais même aperçu le corps de Strife. Et ça ne te faisait rien qu'elle soit morte. À part que la prochaine fois elle réfléchira à deux fois avant de foncer dans le tas. Quoi que ça risque pas cette conne est morte. Tu fixas la première personne qui se trouvait en face de toi.
« J'ai envie de pisser ! »
Tu fis une petite pause avant de venir gueuler.
« Et comme la pouffiasse là, elle m'a niqué les jambes, je vais avoir besoin de l'aide de quelqu'un ! Et pourquoi pas aussi de ses mains. Parce que bon, attaché j'aurais du mal à tenir ma queue. »
Tu avais fait un clin d'oeil à Erinye avant de venir lui parler de nouveau.
« Tu en fais pas bébé, un jour tu auras cet honneur ! De la tenir ! Et voir même la sentir. Je te donnerais de très violent va et vient et tu crieras de plaisir car tu aimeras ça, ou peut être pas. Mais je continuerais car je me régalerais de voir ta souffrance sur ton visage de pute! »
• Nigthmare rêve et finit par se réveiller • Il po content d'être attaché et va le faire savoir • Il devient le mec le plus relou qui soit • Il n'hésite pas à menacer encore et encore Erinye (quitte à s'en prendre une)
Equipement :
• Un tanto (Couteau Japonais) • Des provisions • gourde d'eau • de la corde • une arbalète • flèches arbalète x5 • Et son expérience de la survie ? mdr
Etat physique :
• blesser au niveau des côtes (des deux côtés) • Blesser à l'arrière de chaque genoux
Hysteria
Vigilante
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Hysteria
Ven 5 Mar - 15:43
Shall Never Surrender
I never surrender
Never Surrender
Est-ce qu'il s'attendait à ce qu'on n'accepte pas son plan ? C'était évident. En revanche, comment aurait-il pu prévoir le coup dans la tête. Cette décharge indicible, ce rappel au manquement des régles. De Sakhaline. Il sait que derrière tout ça, il n'y a qu'une ombre pour gronder : P.M. Il ravale sa salive, jette un oeil en arrière, avise ses pairs d'une journée; s'éloigne encore. Près. Tout près de Silence. Dans un état aussi pitoyable.Qui lui a fait ça. Ce type, maintenant attaché à un tronc d'arbre, aussi minable qu'un cadavre d'apparat ? La seule à croire en lui se manifeste, enfin. Il se soulage de l'avoir à ses côtés, accuse le spectre des protestations, une fois de plus. Puis ; il doute.
Ton pire ennemi.
Si P.M. décide de se venger de cette tactique anti-réglement, nulle doute qu'il serait désormais responsable de la mort de quelqu'un. En régle générale, ca ne lui aurait fait ni chaud ni froid s'il avait fallu tuer en temps de bataille. Mais.. Il décide de se reposer, dans un arbre. Avec l'intime ambition de développer encore un peu plus son don. Le temps s'écoule ; nulle attaque aux horizons. Il s'amuse à manifester sa présence dans le camp ennemi, perché sur un arbre, aux aguets, en pleine journée. Semble-t-il néanmoins que chaque camp régénère leurs forces en commun. Un regard pour Renart, un seul. Sa jambe recupérée. Hysteria ne peut s'empêcher de rire. Et de disparaitre.
[...] A peine la nuit tombée, qu'une voix étrangère irrite ses oreilles. Il se tourne face au déversement de fiel que dégueule l'ennemi. Et le rythme cardiaque du brun s'emballe, devient lourd. Sombre. A peine eut-il fini que la masse corporelle surgit aux côtés du rouquin ; véhément et vif coup de pied dans la gueule de l'imprudent.
T'espère ne pas lui avoir cassé la nuque.
Mais askip les mauvaises herbes, ca repousse.
Couteau en main, il s'abaisse, lui agrippe la dextre, et fait perler le sang en gravant sur celle-ci quelque chose. Tremblant du désir puissant de l'achever.
Il ne rajoute rien, ne peste aucun mot; il ne le peut. Le mieux est encore de se calmer. Et d'attendre la fin de cet Hunting Sports.
Spoiler:
Résumé : Hyste a recu une décharge de P.M. pour avoir concocté ce plan de merde. Puis il laisse passer la journée, va espionner de temps en temps l'autre équipe, sans rien en retirer à l'exception de voir un renart en meilleur état que tout à l'heure. Si. Des fucking cailloux sur le drapeau, et probablement des pièges à foison, mais tout le monde s'en doute. Puis quand Nightmare l'ouvre, il lui assene un coup dans la face et grave quelque chose sur le dos de sa main. Histoire de marquer le début d'une forte relation entre eux... et accessoirement rappeler que Nightmare est une copie fake.
À l’instant où la lame avait quitté sa gorge, elle s’était retournée pour enlacer Hysteria enfouissant son visage dans son épaule. Nul besoin de voir son masque, elle savait qu’il était lui. Rassurée de le retrouver sans autre mal que la fatigue, tout était terminé, enfin.
Il avait desserré son étreinte, s'était levé pour se diriger vers le corps inerte de l'imposteur. Le sentant dans son dos, lui et sa dague vengeresse, elle savait qu'elle aurait dû l'arrêter mais ne l'avait pas souhaité, aurait préféré accompagner son geste pour qu'ensemble ils s'assurent qu'il ne se relève plus. Qu’il meure.
Le cri du motard lui avait fait lever subitement la tête. Ah oui.. les Hunting Sports. En un souffle laissant la vie au monstre, Hysteria avait arrêté King s’opposant à l’équipe entière. Réaction évidente venant des ennemis qu'elle connaissait pour qui l'égalité n'était pas envisageable. Une attention sur son frère, elle s'étonnait que cette option le satisfasse. Ne prenant part à la dispute, attentive, prête à bondir à la moindre opposition physique contre lui, elle avait pansé le dos de Silence qui semblait par moment fugace, revenir à lui. Un sang sombre coulait de la plaie, profonde. Le peu de bandages dont ils disposaient ne suffiraient sûrement pas à arrêter l'hémorragie mais devrait suffire pour la fin des jeux. Le laissant se reposer contre un arbre, elle s’était approchée de Strife. Muette au-dessus de ce corps inerte, elle s'était accroupie, s'était défaite de sa veste pour la placer sous la nuque, refermer un tant soit peu la plaie à sa gorge. Ses doigts glissèrent dans les plis du manteau de la morte, cherchant le paquet de cigarettes, intact, le briquet, présent. Tant de prévenance pour celle qu'elle avait tuée, une ironie. Un dernier regard pour ce visage éteint, elle était retournée près de Silence. Hysteria l'avait rejoint et elle 'était inquiétée de son apparente douleur à la nuque. Il parlait trop. Son plan, elle ne savait pas s'il allait fonctionner, si P.M. se laisserait berner mais il était le sien et elle le suivrait. Peu importe la sanction.
L’après-midi s’était écoulée, Hysteria disparaissant et réapparaissant. Alerte, elle avait fini par enfouir sa tête dans ses genoux pour fermer les yeux, s’accorder un temps de repos. La douleur à sa cuisse était supportable même si elle l'avait aggravée lors de son combat. Maintenant libéré de la balle, le sang bleu imbibait les bandages précaires. Elle avait soupiré, sachant qu'elle ne pourrait plus courir jusqu'au prochain Hunting Sports, s’interdisant de se morfondre sur cette pensée, elle avait souhaité ne plus penser à rien, s'apaiser.
Mais dès que son esprit fut vide, les images étaient revenues, subites, insupportables. Des yeux jaunes, un sourire difforme, la lame plantée et ce corps qui tombait sur son dos. Son propre visage agonisant, celui de son frère déformé par la rage. Ses paupières s'étaient ouvertes, brusque, son souffle s'était retenu. Ses ongles s'étaient enfoncés dans la chair de ses bras alors qu’elle tentait de s'imprégner de la réalité effacer le cauchemar vécu. Tout n’avait été que mensonge, simple illusion.
L’animation était tombée, l’attente durait. Silence aux prises avec la fièvre, Hysteria revenu à ses côtés, elle fixait l’herbe à ses pieds. Ils devaient se tenir prêts. Soudain, la voix, mauvaise, traversa la clairière. Doucement, elle quitta le tableau champêtre pour considérer l’auteur des insultes. Impassible, elle plongea dans le regard de l’imposteur, il ne revêtait plus aucun masque. Nigthmare, elle retiendrait son visage comme ses promesses. Hysteria se téléporta auprès de lui tandis qu'elle se redressa, péniblement, s’avança en boitant jusqu’au criard, lentement. Cas rare, il était plus sain d'esprit sous l'effet de ses fureurs. Des insultes, elle en avait reçues, rarement aussi violentes elle devait le lui accorder. Toutefois, celui qui les proférait était un homme à terre, les jambes tailladées, une entaille sous la poitrine. Toutes ces blessures, c'était elle qui les lui avait infligées. Alors qu'il lui promette les pires horreurs ne la faisait pas frissonner, elle ne le craignait pas. Orgueilleuse, elle s'était promis de le tuer avant qu'il ne se rétablisse. Alors, si ces idées pouvaient lui faire plaisir, s'il s'en croyait capable, elle lui accordait. Son cadeau d'adieu.
Elle posa sa main sur l’épaule de son frère sans quitter des yeux le corps nouvellement marqué. Elle sourirait de cette idée, plus tard, assurée que si cette ordure réussissait à lui faire du mal, sa main ne serait plus seule à porter le souvenir de leur fratrie. Toujours de marbre, elle le considéra sans colère. Dans son état, il trouvait encore la force d’hurler à la vengeance. Quelle pitié.
S'imposant entre lui et Hysteria, elle s’accroupit avec lenteur, prit une lourde pierre entre ses doigts fins, retourna avec précaution son corps pour qu’il la regarde. Elle lui parla avec une douceur sévère empreinte de prévenance.
- Évite de t’agiter, tu vas aggraver tes blessures.
La pierre s’abattit sur son crâne, nette. Forçant sur sa jambe pour se redresser, elle soupira, fatiguée. Qu'il ne s'inquiète pas, il n'avait pas besoin d'en dire plus, elle avait saisi l’image.
Calme astral:
Résumé ◊ - Érinye retrouve Hysteria, le serre dans ses bras, soulagée. - Alors qu'il empêche King d'attraper Flesh, que l'équipe entre dans une opposition, elle soigne Silence et s'occupe de Strife tout en veillant à ce que personne ne s'oppose physiquement à Hysteria. - Lors de l'après-midi, elle tente de somnoler, mes les images reviennent dès qu'elle ferme les yeux. - Entendant les insultes de Nightmare, elle s'approche de lui après qu'Hysteria l'ait un peu calmer pour l'assommer avec une pierre, histoire qu'il ne délire pas plus.
Dolly veut s’amuser avec December, elle ne fait même pas attention à l’autre nana qui l’accompagne en premier lieu, ses mains dirigées vers sa cible sans une once d’hésitation alors qu’il la provoque en parlant de la Saint-Valentin. Il regarde Silence, elle le sait sans même suivre son regard quand il continue sa charade et le regard rougeoyants de la jeune femme se fait brûlant de colère. Oh qu’il va le regretter. C’est une promesse, elle se le jure. Mais son plaisir est très vite coupée court quand l’autre personne avec lui l’assomme. Elle cligne les yeux de surprise Dolly, et peste même contre la lâcheté du Wild.
« Alors ça tu vas le regretter ! »
Mais elle n’a pas le temps de faire plus que l’autre femme enfourche la moto de Mad pour la pousser au passage, lui faisant mal à l’épaule alors qu’elle se fait envoyer balader plus loin. Elle rage Dolly en la regardant partir. Toi aussi, si je te revois, tu vas morfler ! Et elle se redresse, se dirigeant vers December assommée, le regard méprisant mais le sourire presque effrayant.
**
La discussion avec les autres finie, elle soupire en regardant le ciel. Une égalité ? Pourquoi faire ? Ce monde n’est là que pour juger qui est le meilleur, pour vous renforcer. Pourquoi ça ? Elle n’en sait rien Dolly, mais quand on fait affronter des personnes hors-normes dans des combats à mort, ce n’est pas pour rien. Il y a autre chose, et il suffit de voir comment le téléporteur sur patte se plie de douleur pour voir que la rébellion n’est pas toléré. Elle fait mine de rien voir pourtant Dolly et se dirige vers December avant de sourire et de relever sa tête. Toujours assommé, elle ignore royalement celui qui se tient derrière lui pour lever la main et coller une gifle monumentale à December.
« Aller, réveille-toi ! »
Et son sourire s’agrandit en voyant les yeux de son ennemi s’ouvrir et sans hésiter, elle le détache lentement avant d’user de son pouvoir pour le contrôler. Le forçant à se relever, elle ne prête pas attention à l’autre prisonnier qui n’est de toute façon pas en état de fuir.
« On va s’amuser December, tu vas voir que t’assommer n’aura pas servit à grand-chose au final. »
Ses doigts jouent dans les airs alors qu’elle l’emmène un peu plus loin, voulant profiter du calme (et des cris silencieux) qu’allait offrir les prochains instants.
**
Cela n’aura pas durée plus de quelques minutes, après tout il ne faut pas s’épuiser pour la prochaine manche et c’est ainsi qu’elle faite en sorte que December revienne à sa place avant de l’attacher de nouveau, vengeance enfin faite. Se redressant ensuite, elle regarde rapidement l’autre handicapé derrière lui qui n’a pas l’air d’avoir passé un très bon moment non plus et retourne donc vers la forêt, cachée de la vue de tous mais qui veille pour voir qui oserait venir attaquer.
Spoiler:
• Dolly va faire payer Flesh de l'avoir blessée à l'épaule et d'avoir assommée December • Elle n'est pas d'accord pour une égalité, trouvant ça totalement stupide. • Réveille December et s'en balec de Night, elle libère Dec' avant de l'emmener plus loin • Clairement, elle va rendre inutilisable ses chevilles, lui faisant casser l'autre au passage pour être sûre qu'il ne fasse pas de coups fourrés. Et elle lui aura fait faire de la gym aussi, faisant plier son corps dans tous les sens possible. Vous savez, le grand écart ect ect... Elle se trouve plutôt gentille mais elle se dit que le casser tout de suite c'est pas drôle. • Elle revient quelques minutes après, histoire de pas être crevée pour la prochaine partie. • Elle se cache pour ne pas être détectée tout de suite, regardant les alentours.
• Équipement : Sa tenue, donc une robe longue, des talons (elle sait courir avec), un poignard accrochée à une jarretière sous sa robe. Ses cheveux sont ofc attachés et elle a une paire de lunettes de soleil (qu'elle a volée) accrochée à son décolleté.
ft. le groupe event
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Ven 5 Mar - 21:16
HS #2 : En attendant la fin
Ça gigottait, comme des vers, comme des sangsues qui le composaient. Ça tournait, tournait en rond comme des plantes poussant en accéléré, ça semblait presque chercher un sens. Elles l’ignoraient quand il les touchait, elles tournaient toujours en se frappant à lui, inexorablement. Leur quête était bien limitée, au bout du chemin si rapidement atteint, elles n’en auraient plus.
Renart les observait, comme il ne pouvait pas imiter Forgery. Pourtant bientôt, il serait épuisé.
Bientôt, il se coucherait au fond de la mer. Lové dans le sable froid, bien loin des agitations hautes en couleur, il se reposerait.
Quelque chose attirait son regard dans un arbre. Mais le temps de lever les yeux et ça avait déjà disparu en un rire, insaisissable. Que leur réservait-il, encore ? Une nouvelle fournée d’ennemis ?
Peu importait, pour l’instant Renart désirait ne pas penser, observant bien attentivement le mystère de ce corps qui se créait, hypnotisé par les mouvements asynchrones. Quelle était la vraie partie de lui ? Ici ou là-bas, dans les mains de …
“ - EH ! Tu fais quoi là ?!
Pourquoi elle jetait sa jambe celle-là ? Soupir consterné. Il devait au moins récupérer sa botte avant de la laisser aux charognards.
Renart se recoucha en soufflant, sortit une cigarette et un briquet de sa veste. Quel bordel. Clic, clic.
Inspiration profonde et… on garde. Son corps semblait même combattre l’adrénaline étrangère, car il se sentait moins sous son emprise. Plus serein.
Et alors que sa jambe était presque remise, un corps sanguinolent de Forgery était échoué à l’horizontale, une de leurs équipiers rentrait, à bout de forces et le corps en sang. La clope ne lui faisait plus rien, mais le mouvement l’apaisait.
Renart n’en avait plus rien à foutre de ces putains de Hunting Sports.
Expiration lente, très lente, infinie vers les astres.
Il fumait en silence. Vaguement, il se demandait où était December, mais chassait l’inconfortable pensée d’un peu plus de fumée.
Avant de s’endormir.
Blackout total.
Il insultait la lumière à voix basse, il insultait ce sol trop dur, ces couteaux qui faisaient mal à ses côtes s’il se mettait sur le côté. Et une fois debout, testant sa nouvelle jambe opérationnelle, il insultait sa nouvelle tenue : le pantalon monojambe. Il vint d’ailleurs récupérer celle-là qui trainait au sol, combattant cette sensation désagréable de tenir un morceau mort de soi, la déchaussant au profit de la nouvelle.
Il mangea, il but au milieu de cette zone de guerre, soupirant et le regard dans le vague. Aucune idée du temps qu’il leur restait encore dans ce merdier. Alors il se leva, prit l’arc et les flèches qu’on lui avait confiés et fit un tour, espérant tomber sur du gibier.
Moon n'est pas partageuse et encore moins patiente. Elle veut tout avoir pour elle-même et tout tout de suite. Alors quand elle voit que Dolly s'est chargé de December, elle grince des dents et se dit que la prochaine fois ce sera ELLE. Elle se rappelle que leur rendez-vous, oui bon prise d'otage, a été écourté de plus de quarante secondes. Wild ou pas, le garçon sera sienne lors de la prochaine tentative qui s'ouvrira à elle.
[quelques temps plus tôt, le soleil ne sait pas encore pleurer]
Le groupe s'est rassemblé pour discuter des plans futurs, sa main joue avec le papier épais qui protège ses gâteaux, elle en a l'eau à la bouche rien que de penser à cette faim qui commence à la consumer de l'intérieur. Elle se dit que ça y est, son mal de crâne qui persiste et persistera encore après cet impact, pourra être oublié grâce à ses quelques petites sucreries si précieuses en cet instant-là. Elle écoute ce que tout le monde raconte, le débat devient presque brûlant, elle rajoute de l'huile pour que le brasier s'étende et s'éteeende. Elle adore ça, cela lui permet d'assister aux vrais visages de l'humanité, orgueil et protection qui s'entrechoquent. Sad.
Et voilà que le Histery-Historia – Moon l'appellera désormais Historia- propose une égalité. Le comique. Moon n'en a que faire de perdre ou de gagner, elle veut cependant s'amuser. Et ce n'est pas en serrant la main de son adversaire pour mettre cette option en place qu'elle s'était levée ce matin. Néanmoins, si la jeune femme devait s'en approcher, le toucher alors oui, mais pour le faire souffrir. Ses iris brillent à l'idée de recommencer et elles brillent d'avantage quand elle comprend qu'ils vont défendre le nouveau drapeau de nuit. N U I T. Oh Moon dans son élément, Moon si heureuse, Moon si joueuse.
Je veux la nuit, je la veux entière, dans le cran de ma paume je désire voir la Lune s'y déposer. Ses mimines viendront la coller contre sa poitrine, la caresser et l'englober pour l'éclipser et régner à sa place. Tout ces projets sonnaient si bien.
Avant cela, la solitaire a quand même aidé. On l'a réquisitionné pour panser les plaies des prisonniers. Elle a accepté car pourquoi pas. Mais ce Nightmare la répulse.
« - Pauvre toutou, il a si peu confiance en lui qu'il prend l'apparence des autres pour exister. » et elle rigole de sa propre remarque murmurée pendant qu'elle réarrange sa coiffure. Un coup de pied en guise de c'est fini et elle repart pour replonger dans la discussion.
Ce dernier n'a pas sa langue dans sa poche, il tient des propos totalement outrageux et Moon se dit qu'il devrait ne plus l'avoir dans sa bouche, littéralement. Elle se voit plonger ses doigts dedans, l'attraper et tirer pour qu'elle s'en détache. Et s'il geindrait encore trop, elle se frayerait un chemin dans sa gorge. Oops, trop violent pour ici ? Soupire, ce sera là aussi pour une autre fois.
Et puis, elle n'a pas vu tout le peuple, il reste des noms inconnus pour elle, des pouvoirs dont on se méfie, pas elle, pas encore du moins. Il y a si peu de choses qui l'impressionnent car si la finalité est la mort alors ce sera une étape comme une autre. Loin de savoir qu'on pourrait annuler voire voler le sien, pire, l'utiliser contre sa propre existence. Oh cela est horrible. Ouvrez l'enfer, ce sera moins moche à voir.
Mais ce ne sera pas pour aujourd'hui. La discussion touche à sa fin, - et les HS aussi, bientôt- Moon peut manger.
Oh non.
Sous sa peau, elle ne sent que des...miettes. Ses gâteaux se sont écrasés pendant son voyage en moto avec Mad.
« - Je veux le tuer. »
Si la lune pouvait verser des larmes, elle le ferait, mais pour le moment elle laisse son ami le soleil le faire. Il pleure si bien, si bien pour eux deux.
Moon et son délire:
Moon peut ENFIN manger ses gâteaux. Elle débat avec les autres. Aurait voulu avoir plus de victimes quand même, surtout Dec tiens. Soigne Night, le tape, du coup p-être qu'il faudrait le resoigner. Est toute contente car la nuit. Mais avant ça, veut son goûter. Et voit qu'il reste que des miettes à cause, involontairement, de Mad. Mad, fais gaffe à tes fesses si tu la recroises. Apparence et équipement : - Cheveux tressées attachés en queue de cheval. - Combinaison noire. - Sac à bandoulière avec : eau, gâteaux secs (rip), épingles à nourrice et tissus (de son armoire) pour de possibles garrots, lacrymo. - Ceinture avec deux dagues.
on peut même plus rêver en paix - quelle indignité ... et j'ai mal
Tu es assommé. Tu penses probablement être sorti d’affaire.
Enfin. Tu te doutes que en te réveillant ce sera pas une partie de plaisir, tu seras dans un sale état.
Sauf qu’il y a un truc que tu as pas prévu Dec. Qu’elle soit aussi obstinée.
PAF. Ca claque sur ta joue. Tes yeux s’ouvrent doucement. Le temps d’atterrir et tu sors un simple.
« Ah. »
Oui ah merde. Tu réalises petit à petit que tu vas pas pouvoir y échapper. En cet instant tu aimerais avoir le pouvoir de dormir sur commande.
Mais tu ne l’as pas. Et elle te détache pour mieux te faire souffrir par la suite. Tu perds le contrôle de ton corps.
Les minutes ont semblé être des heures. Et tu n’as pas pu crier. Elle t’en a empêché. Quand tu reviens de cette séance de torture tu es exténué avec l’impossibilité de te relever par toi-même car évidemment, ta deuxième cheville n’a pas été épargné.
Tu es de nouveau attaché. Tu fermes les yeux. Et tu t’endors car au fond, la douleur que tu ressens au travers de tes chevilles est bien moindre par rapport a ce qu’elle t’a fait subir.
Tu as bien raison December de t’endormir car au fond, Le royaume des rêves est bien plus accueillant que la réalité.
S’en tenir juste au plan, c’est tout ce qui compte. Expirant comme un buffle, il reste focalisé sur le drapeau qu’on pourrait encore voler à une heure aussi peu recommandable. Qu’importe la défaite qu’on lui transmet, qu’importe les remords qu’il éprouve, il fredonne pour rester entièrement concentré.
Tout intrus ne peut franchir la zone. Ça va bien se passer. Il n’y aura plus autant de dégâts. Ils ne causeront plus de massacre. Tout est calme. Il peut se calmer. Quelle est cette figure féminine traversant le champ de la paix ? Brandissant l’arc, sa concentration se resserre sur l’horizon que trace sa flèche prête à être décochée. (Pas sûr qu’il soit si calme.) La silhouette est moins grande. La silhouette s’écroule. Pendant plusieurs secondes, on patiente. Aucune réponse de son alliée à l’autre bout du bois. Déglutissant, il ravise son attaque, plus prudent. Connaissant le terrain miné, sa vigilance se doit d’être maximale. Et pourtant, ses pas ne peuvent s’empêcher de se presser lorsqu’il pense reconnaître l’inconnue.
À sa hauteur, il s’accroupit. Deux doigts dans son cou pour tester la forme de vie encore présente. Tout fonctionne. Mais il y a encore des dégâts, qu’il examine, d’un rapide coup d’œil. C’est flagrant et lui ne peut rien faire pour elle, si ce n’est l’emmener plus loin, hors de là. Avec tout le ménagement qu’il peut, la délicate brute se met à déposer avec le plus de prudence le corps totalement endolori de la femme aux yeux bandés. Il ne se rappelle plus son nom mais se rappellera toutes les blessures dont elle a été victime. Quand bien même elle a dû traverser moult épreuves et crimes pour attraper ce drapeau, elle ne méritait pas ça. La clairière n’est plus sécure pour personne, même pour les alliés. Lui aussi pave le chemin de sang : Le sang de ses pièges, le sang coulant de la femme agonisante. Mais le sang pleure moins que l’homme.
Statique pour ne pas tomber dans les pièges, il se ressaisit. Personne n’a vu le grand saule pleuré et crouler sa réputation. Lui n’a pas vu la dame écroulée au sol du hêtre. Trois persécutés. Désolé, Lacrimosa pose la victorieuse proche de l’autre. Dans le bagage de chacune, il cherche de quoi panser les dommages. Plus qu’un drapeau dont il s’est complètement foutu, elle est notamment reine pour avoir rapatrier plus de bandages en plus de ceux de la trappeuse. Lui n’a rien. Si ce n’est cette modique pâte de fruits qu’il tend à la talentueuse (pour tester sa conscience en supplément). Quelle récompense. De ses deux uniques mains, toujours intactes mais bien trop maladroites pour soigner (parce qu’il n’est aussi bon qu’à tuer, ce fléau), il tente de raccommoder les bandages mal rafistolés de la nouvelle venue, un œil inquiet pour son collègue également mais il n’est pas assez.
Où sont tous les autres ? Son anxiété ne fait que grandir et ses gros doigts tremblent alors qu’il enroule plus de bandages autour du bras plus mince ; bandages qu’il doit en plus conserver pour une Forgery, trépassant peut-être également. Il n’a même pas encore testé son pouls. Son équipe, elle-même, est finalement coupable de son sort. Lacrimosa a bien reproché aux autres tous les dommages mais finalement, lui n’est pas plus innocent.
résumé:
Lacrimosa s'en tient au plan jusqu'à ce qu'il croise Flesh qu'il porte jusqu'à l'hêtre. Il lui fait perdre plus de sang et chiale comme une madeleine. Il n'est pas surpris de croiser Forgery proche du hêtre, couverte de blessures également. Pour le moment, il se concentre sur l'état de Flesh qu'il a sans doute aggravé mais il ne méritait pas d'être laissée là-bas. Il refait ses bandages. Ses compétences en secourisme sont minables, dsl. Il a besoin d'aide. Il s'en veut à mort.
équipement:
Une lourde épée à deux mains.
Un arc.
18 flèches.
Un piège à loup donné à Forgery et dupliqué.
Un briquet et des cigarettes.
Des pâtes de fruit. (2)
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Ven 5 Mar - 22:42
morem Ipsum
Je suis dans mes pensées.
Silver
Quelle était cette sensation désagréable en elle ? L’amertume d’une probable défaite ? Ses dents grinçaient les unes contre les autres tandis que la nuit commençait à pointer le bout de son nez. Elle aimait la nuit par dessus tout, ça la rendait d’autant plus discrète. Cette nuit, elle l’a passa à observer les alentours du camp afin de prévenir en cas d’attaque. Sa paranoïa était à son paroxysme en ce temps de guerre.
Alors que les rayons du soleil faisaient leur apparition, elle remarqua l’homme qu’elle avait sauvé. Sa jambe était de nouveau à sa place et ça l’intriguait tout particulièrement. Elle voulait en savoir plus alors elle descendit de son perchoir pour suivre l'inconnu. Et sans un mot, dans la discrétion la plus totale, elle stalka sa nouvelle proie. Elle le dévorerait presque du regard si elle le pouvait. De puis, elle commençait sérieusement à s’ennuyer alors s’il pouvait la divertir le temps qu’il reste, elle allait s’en servir.
Soudainement, sa patience vint à terme et elle accéléra pour se positionner devant lui. Son regard planté dans le sien. Ainsi, elle pourrait le questionner sans qu’il puisse s’échapper. De nouveau, elle avait tissé sa toile autour d’un inconnu par pure curiosité.
- Qui es-tu ?
Résumé:
-Silver fait le guet Elle se fait chier du coup elle suit Renart. Elle le bloque avec son pouvoir afin de l’intérroger.
La forêt se doutait du chemin de mort qu’on avait créé entre deux drapeaux. La faune avait senti le sang, avait fui les lieux. Ce n’était pas grave, il n’était pas vraiment allé chasser.
La lumière douce était censée l’apaiser, mais ses mains restaient crispées autour de l’arc, il trouvait étrange de s’appuyer sur cette jambe de remplacement. Mais il cherchait quelque chose pour s’occuper, quelque chose pour empêcher une quelconque introspection. Tout sauf ça.
Et soudainement, la dame blanche qui n’aimait pas les jambes coupées se précipitait devant lui, l’agrippait de ses yeux étranges. C’était quoi son pouvoir déjà ? Il voulut se gratter la nuque, sa main n’y monta pas. Ça y est, il se souvenait.
" - Qu’est-ce que tu fous ? Dit-il d’une voix morne.
Soupir, il ferma les yeux un instant.
- Je suis dans ton équipe. Tu te souviens le mec sans jambe, plutôt beau gosse ? Bah... c'est moi. "
Oui, il prenait la question au premier degré. Après tout, il ne s’attendait pas à ce qu’elle le bloque pour autre chose.
L’idiot. Il se foutait de sa gueule, elle en était sûre et elle détestait ça. Elle s’approcha de l’homme dangereusement et prit son visage entre ses mains avant de le serrer. On aurait dit un poisson à présent.
- Je me souviens. Je te demande ton nom. Ton identité. Ton pouvoir. Je veux tout savoir.
Elle le fixait méchamment, le faisant comprendre qu’il n’était pas en position de force. Pour plus pression, elle sortit une de ses dagues afin de lui passer sous le nez. Les feuilles des arbres se balançaient de droite à gauche dans une lente valse, c’était magnifique. Elle aimait sentir le vent glisser sur son visage.
- Tu pourrais me remercier d’ailleurs, ça fait quoi d'être presque mort ? Comment t’as fait repousser ta jambe ?
Discussion, crépuscule, la géante grimpe dans un arbre sans user de sa jambe blessée et s'installe sur l'une des branches semblant la plus épaisse. Elle ferme les yeux ignorant l'animation ambiante. Sommeil sans rêve puis agité, comme entre deux monde, elle entend et comprend mais ne peut assimiler concrètement ce qui se passe autour d'elle, ni le dissocier des images qui lui envoie son subconscient. Comme une plaine immense et bondée, foule sombre, abstraite et pourtant elle reconnaît des visages et des voix. Au milieu de la masse des corps elle se sent vulnérable et soudain tempête, souffle tonitruant, un craquement sinistre retenti. Nuit, elle tombe. Elle tombe.
Le choc de son dos contre le sol lui coupe le souffle, elle se cambre en essayant de reprendre une inspiration qui n'existe plus. Réveil brutal, elle maintient la position avant de se laisser aller mollement à terre, le corps engourdi. Soupir lourd, son avant bras vient frotter ses yeux et son visage avant qu'elle ne se redresse assise, ne se penche en avant, loin. Elle pose ses mains à plat sur le sol, étire son corps endolori. Doucement elle se remet sur ses pieds teste sa jambe endolorie. Rien qui ne se trouve hors de la porter de son ami médecin. Rotation puissante, sa queue s'abat sur le tronc, attaquant l'écorce qu'elle vient ensuite attaquer avec ses mains. Elle a faim.
Il ne lui fait que quelque minute pour détacher le liber, la partie dans laquelle s'écoule la sève et sans appréhensions, elle le porte à sa bouche. Habitude elle ne fait même plus attention à la texture ni au goût. Concentrée sur son met, elle s'égare et se questionne quand au plan du téléporteur. Et si P.M. refusait l'égalité. Elle s'était battue bec et ongles, allant jusqu'à amputer l'un des siens pour ne pas prendre le risque de les perdre. Eux qui avaient toujours été là. Son poing se resserre sur un morceau d'écorce, ses dents se serrent. Inconcevable. Et elle aurait beau se dire qu'elle ne le laisserait pas les lui prendre. Il n'en aurait que faire. Il en est capable et plutôt deux fois qu'une.
Sa queue balaie doucement le sol derrière elle alors qu'elle continue presque mécaniquement de récupérer la partie comestible du végétal pour la porter à sa bouche. Contrariée. Plus que jamais elle aurait aimé qu'Heart puisse lui prodiguer ses conseil avisés. Que Friday la tempère. Qu'elle soit là, simplement. Nouveau soupir, elle avale péniblement une dernière bouchée avant de se redresser. En boitant elle s'avance, traverse le camp et s'éloigne dans la pénombre.
"Je vais faire un tour des environs. Je vous signale si quelque chose ne va pas."
Résumé:
- King fait une sieste dans un arbre. - Après un rêve agité, la branche se casse et King tombe. - King mange l'arbre. (Pour se venger.) - King est pensive. - King va faire une petite ronde en claudiquant.