Strife ne perd pas de temps et dès son arrivée elle se dirige vers le bar. Exceptionnellement, elle porte une jupe noire et un haut blanc le tout surmonté d'un veston noir des plus sobres dans la poche duquel on été glissé trois petites roses. Abandonnant ses compagnons sans remords elle va se présenter face au barman et commande sans sourciller un grand verre du meilleur whisky des légendary, sec, pas de glaçons. Parce que les glaçons, c'est pour les filles. Son verre en main, elle hume vaguement histoire d'être sûre de la qualité de la marchandise avant de tourner les talons. Oui, elle porte des talons et marche très bien avec.

Elle quitte la salle pour se rendre sur l'un des balcons, glissant entre ses lèvres une cigarette qu'elle allume une fois exposée à l'air frais. Elle se doute bien que guindés et coincés comme ils sont les légendary ne toléreraient pas une moquette qui sent un peu la clope. Au moins elle pouvait profiter du vent frais pour autre chose que de se rafraîchir une fois qu'elle se sera mit la mine du siècle. Elle se demande tout de même vaguement ce qu'a prévu leur petit Cupidon pour rendre cette soirée mémorable.

Strife ressemble à ça ::

Clic. Clac. Clic. Clac. Tes talons résonnent alors que tu arrives dans le château des Legendary. Quatre roses formant un losange sur le torse de ta chemise blanche. Un long pantalon de costume donnant sur tes chaussures, que tu es prête à enlever à tout moment si quelque chose tourne mal, accompagne ta tenue. On ne sait jamais, après tout, même si jusqu'ici rien ne semble suspect. Les quatre clans ensemble pour une soirée, c'est assez anodin. Tu ne peux pas t'empêcher d'être sur tes gardes pour le moment, bien que tu ai hâte de rentrer et que tout ce que tu souhaites est passer une bonne soirée. Tu as tout de même gardé ton bandeau sur tes yeux, par simple préférence personnelle.

Tu arrives enfin à l'étage. Il y a beaucoup de monde. Beaucoup de beau monde. Tu te demandes bien ce qui est prévu pour la soirée, si ce n'est un thème spécial saint-valentin. Tu n'es pas vraiment expérimentée niveau amour, et l'idée à la fois t'excites et t'angoisses. Mille-et-une idées te passent par la tête alors que tu voles discrètement un petit four, avant de te diriger vers le bar. Qu'est-ce qu'une bonne soirée sans alcool, après tout ? Tu salues le barman et demande un shot de tequila pour commencer, que tu prends sur le tas. Peut-être une mauvaise idée, te dit ton estomac. Tu suis ta commande par un verre de Jägermeister dilué, avant de t'adosser au bar et de déguster le petit four subtilement prit une minute plus tôt. Tu as hâte de savoir qui sera l'heureuse élue, et un sourire se dessine sur ton visage sans que tu t'en rende compte.

la tenue de fleshou:

Il est le barman.
Il a fini par se téléporter chez les légendaires trou du cul du coin.
Parce qu'on le mue vers ce lieu.
Ca le contrarie.
Alors il s'est enfoncé dans un coin des lieux, vêtu d'une simple chemise à ligne, d'une belle montre et d'un pantalon noir en toile.
Masque sur le visage
Une rose blanche dans la poche de ... ses fesses.

Et quand, malheureusement, la barmaid semble préoccupé par des amourettes, Hysteria s'est fait happer derrière le bar pour le tenir.

Tout affairé à servir, la téléportation aide pas mal à se montrer... productif. Rapide.
Il sert le meilleur whisky des legendary, sec. pas de glaçons.

Il salue une nouvelle, les yeux bandés. Puis, il cherche la bouteille de tequila et sert, là encore. Il tique au nom de  Jägermeister dilué et se frotte la tête, le deuxième barman, fin connaisseur, assure cette fois-ci la commande.

Et en voyant le petit four devoré, son ventre gronde.

Spoiler:

Silence arrive au château des Legendary, pas vraiment sûr d'avoir envie d'être là. M'enfin, il a fait l'effort de venir, d'enfiler un jean noir et une chemise tout aussi noire, qui ne sont pas quatre fois trop grands pour lui pour une fois. Il n'a pas de cravate parce que bon, faut pas pousser mémé dans les orties non plus.

Ses deux roses accrochées à la poche de sa chemise, il s'avance dans la salle, repère le bar derrière lequel Hysteria semble avoir pris place. Il décide d'y passer demander un verre de whisky avec glaçons, lui fait un sourire de remerciement en recevant son verre puis repart.

C'est pas tout ça, mais il n'est pas super à l'aise dans ce genre d'évènement alors il cherche un coin où il peut se cacher tout en observant la fête. Il tourne la tête à gauche, puis à droite, remarque une fille qu'il ne connait pas puis voit Strife sur l'un des balcons donc décide d'aller sur le balcon opposé, juste au cas où. Avec ses talons, elle a l'air immense et Silence trouve ça vaguement inquiétant de haut de son mètre 77.

la tenue de Sisi, un peu classe pour une fois mdr:

Agacée. Le maître mot de son humeur, tandis que ses talons claquent sur le sol. Elle rumine Dolly, son expression est fermée et sa mâchoire serrée. Habillée d’une tenue un peu plus… classe que la normale, elle se retrouve donc bien malgré elle à cette soirée de… d’un truc dont elle se fiche complètement. Non, si elle est présente ce soir, avec une rose accrochée dans ses cheveux, c’est bien pour aller casser la figure de quelqu’un.

December.

C’est lui qu’elle cherche, lui qu’elle doit faire payer pour l’avoir encore provoquée une énième fois. Jamais elle ne serait venue ici si ce n’était pas pour aller se venger d’une chose aussi importante. Elle le sait Dolly, que quelque chose cloche depuis qu’il est passé la voir durant la semaine. Alors elle est présente, à cet instant, dans le territoire des Legendarys, dans une soirée dansante ou transpirait ces gens autour d’elle à force de danser. L’odeur de l’alcool, de la sueur, des parfums mélangés étaient des plus désagréable et cela la fit encore plus grimacer.

Vraiment, voir ces gens s’amuser… Elle en est débectée. Non pas qu’elle compte rester un moment, bien au contraire. Dès qu’elle trouve l’objet de sa venue, tout va s’enchaîner très rapidement.

la tenue de dolly:

La vie avait pris un tournant des plus… surprenants. Une drôle de sensation s’était logée bien à l’abris dans sa cage thoracique, quelque chose de chaud, de doux, de dérangeant. Une chose plus handicapante que sa patte trainante, et qu’il savait devoir à December.
Un regret ? Ne pas avoir fui quand il en avait encore la chance.
Une envie ? Lui faire payer la prochaine fois.

Enfin bref, ce n’était pas une chose à laquelle on échappait si facilement. Et il suivait, parfois inconsciemment, un chemin qui l’avait mené chez les legendary. En partant il avait enfilé une chemise noire et un pantalon de costume volé emprunté à un inconnu bon ami.

C’est on ne peut plus naturellement qu’il se cala au bar, à un endroit où il pouvait observer tout ce beau monde. Il avait 5 roses dans sa poche, qui sait ce que c’était. Sa main se leva et il commanda distraitement un Baileys.
Le barman… lui disait quelque chose.

Décidément, il le voyait partout en ce moment. Mais le renard aimait jouer à des jeux, alors il fit comme s’il ne l’avait point reconnu et après un long regard, un “Merci” sulfureux, il se détourna pour siroter sa boisson.

Qu’avait donc prévu December, ce soir ?

ps : tout les couples ont été formés au tirage de dé

Tenue de Dec:

Ton petit four est terminé, c'était rapide. Ton verre, par contre, n'en était qu'au début de sa fin. Tu regardes à tes alentours, cherchant quelqu'un avec qui parler, de quoi te sociabiliser un peu, tant que tu n'es pas encore trop sous les effets de l'alcool. Ton regard traverse la salle, puis les balcons.

Tes yeux s'arrêtent sur elle. Une veste, des talons, une clope et du whisky. Un combo auquel tu peux difficilement résister. Ou peut-être est-ce quelque chose chez elle qui t'attire. Bref, tu la rejoins sur le balcon, verre à la main. Ton shot te brûle encore un peu la gorge, alors que tu tentes d'engager une conversation, oubliant même les salutations.

" C'est quoi ton nom ? "

Perdue dans un énième nuage de fumée expiré la wild préleva de son verre une longue gorgée qui lui chauffa la gorge avant de se diffuser dans l'ensemble de son torse. Léger soupir satisfait, une voix la tire de cette pseudo torpeur où elle ne pensait plus à grand chose. Son regard s'attarde sur celle qui vient de la rejoindre. Quelque chose d'indéniable et d'inexpliqué semble l'attirer vers elle, comme si la gravité avait changé de centre. Elle se sait loin d'être difficile, mais là, c'était trop canon pour être vrai. Léger hochement de tête.

"Strife mais tu peux m'appeler maman si ça te fait plaisir."

Intriguée par ce bandeau sur ses yeux, elle se penche légèrement pour observer son visage de plus près, sans gêne, sans complexe. Elle l'a fort joli, rien que le grain de beauté aurait vite fait de briser les défenses les plus solides. Elle tend ses doigts vers le tissu, l'effleure même.

"T'as eu deux fois mes problèmes ou c'est pour le fun ?"

@Flesh

Encore un whisky avec glacon.
Il rend le sourire à Silence, aurait aimé partager quelques mots, mais son dos l'embrasse finalement.

Il continue son travail, bien heureux que cette tâche l'occupe, lui et son esprit vengeresse d'étriper un certain wild.

Et puis, son regard croise celui de Renart.
Fallait qu'il se montre. Evidemment.

L'embarras prend possession de lui, et il sert le baileys en claquant le cul du verre pour attirer son attention.

La contrariété se lit sur un visage voilé par un masque.
Il le retire.
Trop chaud.
Quand il regarde de nouveau Renart, son coeur balance.
Pourquoi.
Pourquoi soudainement, c'est une blague ?

Putain.
Il sait pourquoi. Il cherche du regard December, prêt à l'étriper, mais il ne parvient pas à penser à qui que ce soit d'autre qu'au brun devant lui. Dans sa belle chemise noire.

Bordel, quand il est dans ses états, il ne sait jamais quoi dire, alors il continue son affaire.
Toujours avec, ce désir que Renart le voit. Le regarde.

Regarde-moi.

Ses yeux bruns reflétaient les lumières, circonspects. Ses ongles parcoururent son avant-bras, glissèrent sous ses manches. Elle était venue, se vêtant en conséquence sans manquer de s’agacer le long du chemin. Enfin était-elle là, dans sa robe crème cintrée de noir, deux roses blanches glissée à sa taille, couverte d’un large gilet. Elle entra lentement. En ses murs, elle aimait ces festivités, mais dans cette salle, en cette assemblée elle réservait son enthousiasme. Se tournant vers le bar, elle sourit. Au moins, Hysteria était là.

Le rejoignant, elle se glissa à ses côtés, sans trop d’attention pour une organisation qui n’était pas du fait de sa faction. Se servant un verre, elle l'accueillit dans un détachement taquin.

- Tu es bien serviable ce soir.

Si son visage était masqué, son port trahissait son agacement. Portant la boisson à ses lèvres, elle s'en étonna avant que son sourire ne déteigne. Un bras noir posé sur le comptoir. Manquant de s'étouffer, elle se maîtrisa. Quelle adorable soirée.

Tenue Erin:

Silence n'a pas vraiment compris ce qu'il s'est passé. Il venait de finir son whisky et était rentré pour aller en demander un autre au bar - autant profiter de la situation.
Et puis soudain, un mec passe, le frôle alors qu'il avait parfaitement la place pour se déplacer. Silence ne dit rien mais est un peu agacé par le contact avec un gars parfaitement chelou. Enfin tant pis. Il reprend son pèlerinage vers le bar - son eden ce soir - et réussit à commander son deuxième verre de la soirée. Il va pour le porter à ses lèvres lorsqu'un drôle d'instinct lui fait tourner la tête vers l'entrée.

Et il a le souffle coupé.

Une femme qu'il ne connait pas a fait son entrée. Lui qui est d'habitude si discret dans ses observations peine à ne pas la dévisager. Il ne sait pas trop sur quoi se concentrer: son coeur qui s'est mis à battre un peu trop fort? Les yeux rouges de l'inconnue? Son verre qu'il serre à s'en faire blanchir les doigts?

Silence est confus, mais dirigé par cet étrange instinct, occulte tout le reste et se met à marcher en direction de la femme. Il s'arrête face à elle, les oreilles et les joues écarlates. Et évidemment, il n'arrive à rien dire parce que.
Eh ben, il est lui quoi.

Mais bon, il faut qu'il fasse un effort. Alors, les oreilles et les joues brûlantes, il incline légèrement la tête et propose son bras à l'inconnue. Dont il aimerait bien connaître le nom, mais ça viendra, pour sûr.

Soudainement, il était plus conscient de la présence d’Hysteria. Soudainement, il appréhendait l’interaction. C’était idiot, c’était idiot.
Fermant les yeux, il essayait de penser à quelque chose, se concentrer sur sa rage, sur D e c e m b e r.
Comment il se vengerait. Ce faux frère. Bon, d’accord, il avait quand même bien joué.
Cette pensée hors-sujet le sortit de sa méditation bouddhiste anti-love.

Et puis… ce claquement en face de lui. Il était là, juste en face de lui. Les poils se hérissèrent sa nuque. Renard posa son regard sur lui et il eut un aperçu du paradis, avec le ralenti, le halo de lumière et les angelots faisant de la trompette en slip.
Renart était… paralysé.
Les mains à plat sur le bar.
Comme un lapin en face des phares approchant à grande vitesse.

Il avait peur.
Il avait plein de petits insectes volants dans le ventre et IL N’AIMAIT PAS CA.
Il REVAIT de se ruer vers la sortie et pourtant il VOULAIT rester.

Est-ce qu’il devait lutter ? Est-ce qu’il pouvait lutter ?
Quelqu’un s’étouffait en arrière-plan, Renart sauta sur la diversion, pour détourner le regard, mal à l’aise. Mais…

“La harpie..?”

Dit-il sans réfléchir. Regard à Hysteria (omg omg), regard moins sympa à la harpie. Qu’est-ce qu’elle foutait là ? Ce n’était pas le moment.