Silence a voulu la taquiner et il est en train de s'en brûler les ailes. Pas grave, pense-t-il lorsque Dolly le force à se pencher en attrapant son visage. Il est celui qui doit se plier un peu, mais il sait que sa cavalière de la soirée, avec son audace et son regard hypnotique, est celle qui mène la danse entre eux.

Ça lui convient très bien comme ça, et il laisse leurs souffles s'entremêler un instant, le temps de prendre la mesure de l'étrange chaleur qui l'envahit face à la jalousie assumée de Dolly. Les alarmes qui résonnaient dans sa tête ont toutes disparu, remplacées par la jeune femme aux cheveux roses et sa bouche qui est si près de la sienne.

Ce n'est pas normal, mais au diable la normalité.

"Mh... Encore des menaces, Dolly?"

Il murmure, son air taquin contredit par son coeur qui bat trop vite et ses joues trop rouges. Il est conscient qu'il se passe quelque chose vers le bar à côté d'eux, mais trop captivé par Dolly, il est désormais incapable de détourner son regard.

Cependant... voilà trois fois qu'elle menace, et Silence a presque envie de savoir si elle mettrait ses avertissements à exécution. Alors... il se recule très légèrement - pas assez pour quitter l'espace personnel de Dolly, mais juste ce qu'il faut pour que leurs bouches ne soient plus sur le point de se frôler - et penche la tête sur le côté sans la quitter du regard.

"Qu'est-ce qu'il se passerait si je regardais ailleurs là tout de suite?"

@Dolly

En voyant sa mine décomposée, Hope était plus ou moins certaine qu'il allait faire l'effort de ne pas la vouvoyer une nouvelle fois ! Mais cela l'amusait, car au pire des cas, elle aurait tout le loisir de lui donner un gage qui l'amuserait énormément. A moins qu'elle profite de ses sentiments pour passer un cap... Elle n'avait rien décidé encore.

- Je ne sais pas ce qui se passe aussi. On m'a dit qu'il y avait une grosse soirée, donc je suis venue. Mais je suis bien contente de ne pas avoir refusé finalement...

Elle souriait a son interlocuteur, qui begayait toujours autant. Insomnia refusait son verre. Dommage. Mais cela ne l'etonnait que très peu au vu du caractère... Tant pis ! Ça en fera plus pour Hope ! Encore et toujours cette histoire de pouvoir. Elle n'avait pas envie d'en parler, donc elle ignorait tout simplement le sujet.

Hope acceptait avec un mélange de plaisir et de surprise la veste de son amoureux du soir. Un très joli geste qu'elle appreciait grandement, et qui l'a décontenancait un peu.

- Je... Merci. C'est très gentil de ta part. Je t'attends ici, tu as intérêt de revenir ! Ou j'irais te chercher, je te préviens.

Elle lui souriait en le regardant s'éloigner, tout en mangeant quelques petits fours. Hope balayait la piece du regard. Winter. Bien sûr qu'il était la. Elle souriait sans trop le vouloir, avant qu'Insomnia revienne et fasse ressortir Hope de ses pensées et de ses souvenirs, acceptant le verre après avoir finit le sien.

- Très serviable. Est ce que tu danses, Insomnia ?

Une question directe. C'était d'habitude le garçon qui proposait a la femme. Pas cette fois.

Alors que tu t'apprêtais à répondre à celle sur qui tu es assises, tu sens quelque chose arriver sur tes genoux. La chemise. Cet air hautain, et cet ordre si froid. Ça te sort un peu de ton humeur envoutée, et tu te lèves, les deux sourcils levés. Tu avais l'impression d'être retournée à la sobriété en une fraction de secondes, bien que tu en étais en réalité loin. C'était plutôt l'euphorie qui était retombée.

Tu imites son sourire arrogant de façon exagérée, et lui tend le vêtement d'une main. Tu finis le contenu de ton verre de l'autre et le pose sur le bar. Attendant sa réponse, tu en profites pour te retourner vite fait et lance un clin d'oeil à Strife. Ce que tu veux, honnêtement, c'est terminer cette embrouille stupide dans laquelle tu t'es fourrée de part ta propre stupidité encore plus profonde. Même si au fond, tu pourrais te battre. Tu aimerais te battre, même, cela fait remonter des instincts chez toi. Mais mieux que la bagarre ou l'alcool, la Wild qui t'a réservé une place toute chaude sur ses genoux. Alors tu surmontes l'envie de verses toute la bouteille sur la chemise, ou de la découper en confettis sur le tas. Tu tapotes l'épaule de l'homme, sa chemise dans tes mains.

" Bon, on va la refaire sinon ça va me souler, commence par me parler poliment -"

Tu te retrouves coupée dans ta phrase par l'apparition soudaine du barman, qui repart en un clin d'oeil, avec le malpoli cette fois-ci. Tu soupires et repose la chemise sur le bar avant de reprendre ta place sur Strife.

" J'imagine que demain je serais de corvée de lessive, du coup. "

Tu reprends la bouteille et cette fois-ci, commence à boire au goulot, replaçant ta tête sur l'épaule de ta partenaire, encore un peu énervée par la scène.

 @Strife

Elle le sent Dolly, qu’il va profiter de cet aveu de sa part. Qu’il allait la provoquer, comme elle le provoquait. Mais elle ne pouvait pas céder Dolly, elle ne voulait pas le céder à qui que ce soit. Alors elle le laisse reculer tandis qu’il pose sa question et le sourire de Dolly devient plus grand encore, comme si elle n’avait attendue que ça.

« Oh… Si tu détournes ton regard, je vais simplement faire plier la pauvre personne qui a parcouru ton champ de vision jusqu’à ce qu’elle n’existe plus. »

Et le sérieux de son ton est une promesse. Car jamais elle ne pourrait utiliser son pouvoir sur lui, il était trop précieux, trop important pour risquer de le blesser. Son don ne sert qu’à soumettre, qu’à rendre les gens aussi distrayant qu’un jouet qu’on finit par jeter.

« Donc je t’en prie, fais donc. Essaie de fixer une personne dans cette pièce autre que moi. »

Elle se rapproche, une aura dangereuse se faisant soudainement sentir, avant qu’elle ne saisisse son menton pour que leurs regards s’ancrent de nouveau.

« Je n’aurais aucun regret à la détruire si cela me permet d’avoir ton attention. »

Dolly se fichait éperdument de ce qu’il se passait au bar, elle se fichait éperdument des autres qui se renversaient des verres dessus. Tout ce qui comptait, c’était Silence et rien d’autre. Silence et son sourire, Silence et ses yeux si beaux, Silence et sa voix si entraînante. Pourquoi ce nom alors que sa voix était si agréable à écouter ?

@Silence

Il n’avait même pas eu le temps de voir le feu dans le regard d’une de ces dames. Cette présence l’enlace, celle qui ne faisait jamais de bruit, qui le surprenait toujours. Il aimait son contact.

Après une vision des plus… spéciales, ils se retrouvèrent au calme.
Dans une chambre.
Seuls.

Et Hysteria se mit à ouvrir les placards sans un mot. (Et personne n’eut l’air aussi parfait en le faisant) Mais pour être honnête, Renart ne s’attendait pas exactement à ça. Il ne savait pas trop d’ailleurs ce qu’il attendait, parce que Hysteria l’attirait autant qu’il l’effrayait.
Mais au diable tout ça.
Il fallait être brave.
Surtout ne pas montrer qu’il était gêné. Comment faisait-il d’habitude ?

Observant au-dessus de son épaule, Renart y posa le menton. Il n’arrivait pas à poursuivre le moment, se coller à lui, murmurer d’une voix taquine.

“...... um…. qu’est-ce que tu fais …?”

Le sang afflua comme pour une tomate un jour de grand soleil. Se détachant un peu brusquement, il se retourna pour se prendre la tête entre les mains.

LA HONTE. MAIS POURQUOI ? IL VOULAIT DISPARAITRE.

Il n’arrivait même plus à agir comme avant. Ce pouvoir était bien plus sadique qu’il ne l’avait pensé. Et s’il le trouvait ridicule à présent ?

@Hysteria

Elle rit doucement face aux paroles de son interlocuteur et pose sa main sur la sienne avant de la serrer fortement. Sans lui répondre plus, il l'emmène dans un coin à l'écart, toujours son verre dans son autre main. Un fois dans un coin sombre, elle le plaque contre un mur et vient chuchoter quelques mots dans l'oreille de l'homme face à lui.

-Tu n'as pas besoin de le connaître.

Jamais elle ne dévoilerait son identité si facilement. Elle posa l'index de sa main à présent libre sur les lèvres de sa proie. Le fixant toujours de son regard froid, elle chercha à attirer son regard, jamais satisfaite.

- Tu m'intéresses.

Un léger sourire vint prendre place sur les lèvres rosées de la jeune fille et elle vint déposer un doux baiser sur la joue de l'homme qui hante ses pensées depuis quelques instants de trop. Le baiser était presque trop doux pour être réel.

Un frisson parcourt son échine.
Le silence est d'or ; ils n'entendent que la fête battre son plein dans un brouhaha feutré, lointain.

... Et les criquets dehors donnent l'illusion d'un soir d'été.

Il n'a pas ressenti ça depuis la mort de Crys. Ce bien-être égal à celui de l'être qui, lui seul, a une emprise sur son coeur.
Il avait su avant même de mettre le pied à cette fête qu'il allait tomber dans le piège de December mais son arrogance l'avait fait croire à une possible échappatoire.

Grossière erreur.

La brûlure du contact de son torse contre son dos, de ses cheveux contre les siens, s'estompe, cruellement, pour ne laisser qu'un champs de froideur...
insupportable.

Il se retourne lentement, chemise en main.
Il ne sait pas si c'est la bonne taille, il ne sait si... sa réelle préoccupation se porte sur l'habillage d'un rival ou de l'envie irrepressible...

... de l'embrasser.

Alors, pas lourd, il se rapproche de lui. Augmente la tension.

Hysteria ne doute que rarement. Si les signaux sont là, il fonce. Et c'est ce qu'il fait maintenant.

Sa main glisse dans la sienne, et l'autre se couve contre la joue du brun, pour ensuite venir écraser ses lèvres contre les siennes, et les mouvoir dans un baiser fiévreux.
Salvateur.

Son souffle se fait plus court, ses yeux s'écarquillent légèrement. Elle lui parle de "faire plier" la personne qu'il décidera de regarder d'un ton si sérieux.

Cette menace, elle la mettra à exécution. Désormais, Silence le sait, ce n'est pas un jeu et quand elle s'approche en le mettant au défi de poser son regard sur quelqu'un d'autre avant de se saisir de son menton pour le faire plier, lui.

Je n’aurais aucun regret à la détruire si cela me permet d’avoir ton attention.

Le danger et la réalité le frappent, le faisant presque trembler, mais il est incapable de la repousser. Silence ne veut pas qu'elle lui échappe et s'il ne prendra pas le risque que quelqu'un soit blessé, il ne lui en veut pas de son agressivité latente, même si au fond de son esprit, une nouvelle pointe gelée fait son apparition.

Parce que lui aussi sait que si elle donnait son attention à un autre, il en perdrait probablement l'esprit.

Alors de nouveau, il l'attrape par la taille pour l'attirer à lui et reprendre leur position précédente dans un geste plein de déférence et de possessivité.

"J'ai compris, je ne te quitterai pas des yeux."

Ses lèvres s'étirent en un sourire amusé, mais ses yeux sont sérieux.

"Inutile de détruire qui que ce soit, je ne vaux pas tant que ça voyons."

Il rapproche encore son visage du sien et cette fois-ci, il n'y a plus d'ambiguïté: leurs lèvres se frôlent clairement lorsqu'il souffle ses prochains mots.

"Et puis... il y a des façons plus intéressantes d'occuper ton temps, n'est-ce pas?"

@Dolly

De grands gestes, aucun dérapage, un soulagement. Hysteria disparut, le vampire toujours dans ses bras, une pensée heureuse pour lui malgré son choix.

Seule, au côté de ce garçon qu'elle n'avait pas eu le temps de regarder. Un air réprobateur, mais elle ne put lui en vouloir. Elle avait redouté son don lors des HS, mais maintenant touchée, libérée des évènements, elle ne s'empêchait plus de s'en délecter.

Ne pouvant, ne voulant pas se priver de ce sentiment, elle ne parvint plus à se détourner de son visage brun. Un mince sourire à sa nonchalance, adorable.

- Je commence, oui. Avoua-t-elle dans un soupir.

Ses yeux bruns avides, elle dévorait les traits fins du maître de cette soirée. Étonnée de l'avoir à ses côtés, mais heureuse de le garder près d'elle. Un sourire plus grand, taquin, alors qu'elle frôlait maintenant son bras.

- Et toi, j'imagine que tu es satisfait ?

De ses résultats, de leur rencontre. Elle, elle en était ravie.

@December

Il s’en rend compte, elle le voit dans son regard qu’il sait qu’elle est sérieuse. Car oui Dolly, réduirait à néant la personne qui ose s’accaparer son attention. Elle ne le permettra pas, jamais. Possessive, jalouse, mais elle est comme ça Dolly. Elle ne partage pas ce qu’elle convoite et piétinera tous ceux qui se mettront entre elle et ce qu’elle veut. Et là, malheureusement pour lui, il s’agit bien de Silence. La jeune femme se laisse faire quand il l’attrape, laissant un petit rire s’échapper alors qu’elle sent que son acte est plus… possessif aussi d’une certaine façon. Et ce qu’elle aimait ça, se sentir désirée.

« C’est à moi de juger ça Silence, sache-le. »

Elle le regarde, elle sait qu’elle le ferait. Pour qu’il reste contre elle, pour que son regard reste sur sa personne et uniquement sur elle, Dolly pourrait anéantir toutes les personnes de cette pièce s’il le fallait. Mais la tension monte d’un coup, quand il réduit encore la distance entre leurs visages jusqu’au frôlement de leurs lèvres quand il se remet à parler.

Sa poitrine bat tellement fort qu’elle a l’impression qu’elle va imploser. Elle a chaud, c’est un fait réel et qui ne fait que s’amplifier. Et pourtant Dolly, elle ne cède pas. Oh non, ça ne sera pas la première à le faire. Son sourire malicieux revient sur sa bouche et ses mains glissent alors dans le dos de Silence, faisant coller presque tout son corps contre le sien.

« Oh ? À quoi est-ce que tu penses exactement ? »

Ultime provocation, elle remonte une de ses mains jusque ses cheveux qu’elle tient entre ses doigts, se battant pour ne pas céder la première à cette envie que trop forte que de l’embrasser.

@Silence

Hysteria ne dit RIEN.
Mauvais, très mauvais signe donc. Renart se signe et tire un trait sur son amour, c’était mieux comme ça, adieu monde cruel.

“- Pardon, je ne sais pas ce que j’ai ce soir-

Allait-il dire alors que le vigilante s’approchait vers lui. Mais il n’eut pas le loisir de terminer, ces mains avaient capté toute son attention, il avait perdu ses mots, perdus dans ce regard qu’il aimait.

Ses lèvres se collèrent aux siennes, un sentiment inégalable parcourut son corps. Il n’avait jamais rien connu de la sorte, c’était bien trop parfait, bien trop addictif. La main de Renart se perdit dans les cheveux de son compagnon, approfondit ce baiser dans l’espoir que cette sensation le rende fou.

Ah, c’était donc ça.

Se détachant pour reprendre son souffle (sans pourtant trop s’éloigner, qui sait, il pourrait disparaitre), Renart scruta son regard, comme s’il n’y croyait pas, comme s’il ne comprenait pas pourquoi chaque expression, chaque mouvement lui semblait parfait.

Il rit.

- Je t-, Tu-, Decemb- …. wow.

Il passa une main dans ses cheveux, à court de mots, ce qui était on ne peut plus habituel pour lui. En osant un nouveau regard sur Hysteria, il vit la lumière céleste, le chant des anges : éblouissement total. C’était trop, trop pour son cœur, sa santé mentale.

Et en même temps...

Renart passa une main sur son visage, cherchant à chasser la fièvre, en quête de sens.

- C’est grâ- la faute à December, tu sais ?"

Est-ce que ça avait seulement une importance ?

La chemise humide vient atterrir sur les genoux de sa moitié suivie d'un ordre jeté comme un fouet qui claque. De son oeil humide, elle observe l'inconscient torse nu. Non, elle n'est pas énervée pour un sou, mais cette gifle qui lui prend la main il la mérite. Cependant, il disparaît. Réminiscence des derniers huntings sports. Un soupir lourd s'échappe de ses lèvres, elle aurait dû reconnaître le masque. Sans barman en vue, elle glisse sa main dans la poche de son veston pour en sortir une cigarette qu'elle cale entre ses lèvres, elle balance la chemise du malotru un peu plus loin à même le sol.

"Nan, tu seras de corvée de rien du tout. S'il veut sa chemise propre il se démerde."

Sa tête reposée sur son épaule de nouveau elle la regarde boire en se demandant combien de temps elle allait tenir à ce rythme là. Flammèche, elle allume son bâton de mort avant d'aller glisser sa main dans les cheveux relevant la tête pour expirer un nuage de fumée qui flotte un peu au dessus d'elle avant de se dissiper doucement.

"Te bile pas pour ça chaton, à mon avis ils sont partis pour la nuit."

Un coup d'oeil aux alentours elle se penche ensuite un peu pour déposer un petit baiser dans ses cheveux en profitant pour humer un peu son parfum mélangé à l'odeur de l'alcool et de l'alcool. Tout ce qu'elle aimait en une bouffée d'air. Un air de ravissement léger pouvait se lire sur son visage. Elle tape la cendre de sa clope dans un verre vide posé sur le bar.

"T'as l'air bien là."

@Flesh

c'est quoi cette merde ? Ah. Ok

Elle rit.
Et ça le fait sourire, il aime la voir si heureuse.
Et il se laisse entrainer sans trop comprendre : tant qu’il reste avec elle c’est le principal.

Contre le mur, Winter hausse un sourcil.
Elle essaie de faire quoi là ?
Mais en même temps, il ne peut la repousser tant son propre cœur s’emballe en l’entendant.

« Quel dommage, je suis pourtant persuadé qu’un si beau visage ne peut avoir qu’un prénom magnifique. »

Il tente un truc, profitant du contact.
Pour l’instant il se laisse simplement faire.
Rougissant a un simple bisou, il finit par prendre les choses en mains.

Il pose une main sur sa joue, penche la tête de côté en la fixant, presque comme si il voulait imprimer son visage dans sa tête, il contemple.

Et il effleure ses lèvres dans un semblant de baiser.
Il ne presse pas les choses, préférant simplement effleurer ses lèvres plutôt que de les plaquer contre les siennes.

Il murmures :

« C’est réciproque. »

Et puis à nouveau, il reprend sa distance.

« J’ai envie de te connaitre. Sache que je n’ai aucun tabou, alors je te donne quand même mon prénom, retiens le bien car je ne me répéterais pas : c’est Winter. »

Peut être qu’on peut y voir ici une nouvelle invitation pour qu’elle lui donne elle aussi une info sur sa personne ?
C’est plutôt bien pensé oui.

@Silver