Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
La première question a du mal à se faire comprendre. Son cerveau ayant encore un peu de mal à encaisser toutes ces émotions d’un coup, plus encore le pouvoir de son frère, elle le fixe en penchant la tête. Est-ce qu’elle a bien comprit ?
« Comment ça ? … Pourquoi c’est bizarre que tu sois mon frère ? Tu trouves que c’est bizarre ? »
Elle a mal compris, elle le sait, mais elle n’arrive pas à saisir le sens de ses paroles. Mais tout s’éclaircit à sa question suivante. Autrement qu’un frère ?
Son regard est fixe, tellement qu’elle ne cligne pas des yeux. Elle a peur de ce qu’il sous-entend. Elle a peur des idées qu’elle peut se faire alors qu’il enchaine sur la dernière question.
Elle sait, Jupiter, que parfois leur relation peut être perçu comme bizarre par les autres, parce qu’ils sont trop proches et que c’est mal vu.
Elle le sait.
« Mars, je… »
Silence. Elle ne s’était pas attendue à ça. Elle ne s’était pas attendue à ces questions.
Est-ce que tu as aimée Mars autrement qu’un frère ? Elle sait que « comme un ami » n’est pas ce qu’il attend. Il attend une implication plus profonde de sentiment.
Ça serait mentir qu’elle ne s’est pas déjà posée la question, car ils sont tellement proche et depuis tellement longtemps qu’elle ne peut pas imaginer son existence sans lui à ses côtés. Et elle a conscience qu’elle a tout aussi de l’importance aux yeux de son frère. Mais est-ce qu’elle l’a aimé ? Est-ce qu’elle l’aime encore ?
C’est mal, Jupiter. C’est très mal. Arrête de laisser tes émotions t’envahir. Il te connaît par cœur, il va voir si tu mens Jupiter.
Sa tête bouillonne, son cœur bat à tout rompre. Et parce que c’est trop, elle se met à pleurer en secouant la tête. Pourquoi ? Elle n’en sait rien.
C’est mal, Jupiter.
« Les gens trouvent ça bizarre… Parce qu’on est frère et sœur Mars. Et… Et on est pas censé ressentir ce genre de chose… Pour son frère ou sa sœur… »
C’est dégoûtant. Ce n’est pas normal. Après tout, vous avez la même mère, le même père, vous partagez le même sang dans vos veines.
Alors pourquoi tu pleures Jupiter.
Pourquoi ?
« Je suis désolée je… »
Elle se redresse. Et pour la deuxième fois, elle fuit ce soir pour rentrer de nouveau dans la grande salle remplie, courant vers les toilettes pour se cacher au fond d’une cabine.
Pourquoi tu pleures, Jupiter ? Pourquoi ton coeur se serre aussi fort ? Pourquoi... est-ce que tu te sens coupable ?
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
C’était donc ça, se sentir vide.
Elle s’excuse, Elle te fuit encore. Tu avais donc dis ou fais quelque chose de mal, c’est ça ?
Tu baisses légèrement les yeux, tes paupières te semblent lourdes alors que pour la deuxième fois de la soirée, elle s’échappe à toi.
Tu ne lui courras pas après cette fois. La douleur dans ta poitrine t’en empêche, et de toute façon, ton corps ne te répond plus. Tu fixes l’extérieur, redressant ton genou pour appuyer ton bras dessus, toujours assis par terre.
Elle avait fuit pour ne pas voir ta réaction, pour ne pas te répondre, et puis aussi, pour ne pas te faire face. Mais elle n’avait pas eu besoin de te répondre pour que tu comprennes tout seul les réponses qui étaient données, les silencieuses, celles que l’ont ne dit pas.
Surement que pour la première fois depuis que tu étais petit, depuis la mort de vos parents, tu espérais ne plus rentrer des Hunting sports pour soulager la pression que tu mettais sur Jupiter. La “saleté” que tu lui donnais...
Tu étais sale, Mars. Tu l’avais suffisamment compris en une soirée.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 3 : Hysteria
Tu ne t’attendais pas à ce qu’il fasse ce genre de remarques. Il n’avait cependant pas tord. Tu étais même amusé de la situation, au final. Bien que tu devais l’avouer, ça faisait un moment... voir... Toujours...? Que tu n’avais pas eu de femmes dans ta vie. Tu étais assez flou sur la question, en fait.
“Tu veux pas te téléporter qu’on...”
Tu allais dire quoi; au juste ? Même tes pensées t'ont abandonnées quand il parlait de partir en direction des demoiselles. Mais tu es interrompu par ses propres paroles qui n’attendent pas de réponse de ta part, et vous voilà tout deux, face à face, avec celle qui faisait battre ton coeur légèrement plus vite quelques minutes précédentes, avant qu’il ne redevienne de glace.
Cette action avait fait redescendre de moitié ton taux d’alcoolémie, ne souhaitant peut-être pas être plus ridicule que tu ne l’étais déjà, avec tes joues rougis par la substance et le regard parfois trop insistant, bien que déviant.
En réalité, tu ne voulais pas assister à cela. Tu savais qu’ils étaient tout les deux... “installés” confortablement dans leur idylle, pour ce soir si ce n’est plus, et tu ne voulais pas vivre ça. Encore. Tu avais même bu, pour ça. Hystéria ne faisait que te rappeler que tu étais encore trop sobre, au final.
“Laisse-tomber, je vais y aller.”
Tu n’étais pas du tout à l’aise, dans cette situation.
“Ah... Quel est ton plus grand fantasme, et pourquoi ne l’as-tu jamais réalisé ? Et que serais-tu prêt à faire, par amour ?”
Toi, tu serais prêt à sacrifier des choses que tu n'avais pas connu pour quelqu'un que tu estimais. Tu posas une main sur l’épaule de Hyst.
“Je suis pas fâché, profite de ta soirée.”
Et tu tournais les talons vers le buffet, préférant te préserver et préserver ce qu'il y avait de présent entre toi et Hystéria.
De testostérone dégoulinante à la candeur d'un ange, Oblivion ne saurait que trop gratifier de sa reconnaissance l'I.A. Carcosa pour le choix de sa partenaire. Un calme d'olympe qui le cueille et l'extirpe au delà des affres du vice. Avant de lui répondre, il ressasse le même mouvement à chaque heure pour essuyer sa tare noirâtre dont il aspire à ne jamais la savoir se consolider, comme à chaque matin. Un combat de moyenne haleine ou l'homme doit chasser son bandeau de terre brune sur le haut de son visage.
Comment a-t-il bien pu jouir d'un tel embarras au détriment d'un alter brillant par sa cruelle absence ?
Je suis là.
Se faisant pensif, il reporte toute son attention sur une exquise nymphe à qui l'on peut confesser sa vie entière qu'elle baignerait quiconque d'un amour bienveillant et inconsidéré. D'un clignement de cils, il se laisse bercer par la pertinence de ses questions. Tout à son accompagnement de dégustation savoureuse où il était bon de se sustenter, le temps ne lui permet que peu de le prendre ; alors il répond :
- Ma première partenaire est mon amie la plus chère. Elle se prénomme Jupiter.
De nature méfiante il lui est difficile de donner plus de détails.
- Et mon second partenaire est un membre de la garde royal, notre meneur.
Oblivion est terriblement bon acteur dans la mesure où son faciès ne témoigne d'aucun frisson de colère à l'énonciation de cet être - d'une stupide affligeante.
- Quant à choisir, je ne le peux, malheureusement, alors, permets-moi de t'inclure dans l'équation, et te dire que je jette tout de suite mon dévolu sur toi s'il fallait choisir.
D'autres mots s'apprêtent à quitter le balcon de ses lèvres, mais ses orbes acier se font happer par le passage et l'attitude devastée de Jupiter. Sans même réfléchir, Oblivion prend la main de la jeune femme dans la sienne, et scande, prêt à la rejoindre.
- Jupiter ?!
Entrainer sa partenaire d'un éphèmere instant au coeur de toilettes dans lequelles il avait confronté Mars ne le convaint pas tout à fait. Il s'abandonne alors tout entier au rationnel, ne souhaitant embraser de peine Jupiter et ainsi lui laisser un temps de réflexion ...
- Pardon. Je te retourne les questions : qui furent tes valentins et en choisirais-tu un ?
Elle sourit lorsqu’il évoque Jupiter et note dans un coin de son esprit la description du deuxième, peut-être que quelqu’un chez les Trappers pourra lui donner d’autres informations sur ce garde royal.
Puis il cite son nom lorsqu’il doit répondre à sa deuxième question. Le rouge lui monte légèrement aux joues, ce demandant pourquoi la choisir elle quand Jupiter est dans l’équation. Parce qu’elle est belle Jupiter, avec ses cheveux couleur feu et ses yeux bleu, rien a voir avec elle qui doit être mignonne tout au plus.
Elle sent Oblivion prendre sa main et elle relève la tête d’un coup. Son regard s’accroche à la silhouette de Jupiter qui passe en courant et elle entend son partenaire prononcer le nom de son amie sans pour autant bouger. Elle sait qu’il a envie d’y aller. Elle le sent. Alors, quand il se reconcentre sur elle pour lui poser les mêmes questions que les siennes, elle est prise de court.
« … Pardon ?, elle fronce les sourcils. Avant de l’entrainer derrière elle en direction des toilettes. Si tu as envie d’y aller, pourquoi hésiter ? » Elle se fraye un chemin entre les corps et ce n’est qu’une fois devant la porte qu’elle le lâche. Elle se retourne vers lui pour lui répondre et leur laisser le temps à tous les deux de se préparer à gérer le soucis de Jupiter.
« Pour répondre à tes questions, j’étais trop stressée pour vraiment apprécier le premier, mais Quixote avait l’air d’être quelqu’un de bien. Quant à Nothing, je pense que je suis loin d’être son style. Alors à choisir, et vu que tu as triché en premier, je te choisirais toi. » Elle se détourne après avoir fini sa phrase, autant pour cacher le fait qu’elle rougisse et que pour enfin toquer à la porte, si l’un des valentins de Jupiter l’avait blessée et mise dans cet état, elle allait trouver un moyen de lui faire payer, et étrangement, elle se doutait qu'Oblivion serait plus que partant pour aider.
« Jupiter ?, elle toque une fois. Tu es là ? C’est Calliope, je suis avec Oblivion. »
Février 2143 - feat Oblivion & les participants tenue du jour : www.
sommes-nous un tant soit peu étonnée des réponses proposées ? nullement - cela ne nous en boucherait même pas un coin ; c'était même assez prévisible finalement. nous secouons simplement la tête : que pourrions-nous bien répondre d'autres ? nous ne sommes pas comme tout le monde, nous ne le serons jamais ; de par notre face défigurée à nos pouvoirs qui nous rendent particulièrement redoutables. mais nous ne pouvons faire un mouvement de recul et une mine presque dégoutée quand nous sentons que cette femme devant nous commence à répandre des sentiments. de la chair de poule qui nous fait froncer les sourcils - un claquement de langue sonore en réponse. non, cet individu n'est guère séduisant et nous ne comprenons pas pourquoi elle ressentirait cela - nous ne jugeons pas - nous jugeons.
mais nous répondons aux questions posées - la réponse demeure toujours la même et restera toujours aussi efficace que le néant : obscur. elle est négative cette réponse - mais nous ne nous en préoccupons pas, car cela n'a d'intérêt que si on lui en porte : ce n'est pas notre cas. à la place nous écrivons d'autres questions, toutes considérées comme honteusement personnelles : nous n'avons pas accès à ce genre de gênance. "et donc, si tu devais faire une pipe à quelqu'un, yeux vairons, soldat ou le mec ensorcelant ?" (nous n'hésitons pas à dessiner un smiley vomitif après ce mot) "69, levrette ou missionnaire ? avec ou sans les chaussettes ?" nous lui montrons ; nous ne pouvons comprendre pourquoi les individus rougissent d'embarras ou pourquoi ils sont si coincés sur les questions posées - nous n'avons tout simplement pas honte puisqu'au fond, nous n'y connaissons strictement rien. nous ne faisons que réutiliser des termes émis par autrui sans en comprendre aucunement la portée - sans le ressentir.
notre regard dérive pour assister à une scène des plus atypiques au point que nos propres lèvres s'entrouvrent en grand ; du sang perle sur nos lèvres avant de descendre jusqu'à notre menton - nous pourrions simuler des gouttes de vin mais nous goutons le fer du sang. nous voyons ni plus ni moins que les deux individus dont nous parlions plus tôt, se toucher intimement. nous pointons du doigt la scène - nous ne pensions pas que cela arriverait. était-ils de ce bord ? nous ne le savions et voulions-nous franchement le savoir ? nous n'en étions pas certaines.
à la place nous les voyons plutôt s'approcher de nous - d'un soldat qui discute pour s'échapper nous ne pouvons que lancer un regard de déception. il s'était fait palper ce qui lui servait entre les jambes mais les perdait directement face à nous - nous et notre major. la déception fut grande et nous laissâmes échapper même un soupir - un simple mouvement de main pour lui indiquer d'aller voir ailleurs - nous préférions utiliser nos talons pour le garnement à ses côtés. d'un coup bien placé, nous tapons fortement le talon sur la table en souriant. nous n'avions pas oublié l'affront plus tôt dans la soirée et nous étions prêtes à lui faire endosser une responsabilité.
notre colère décuple quand nous voyons des mains jointes et deux individus dont la chevelure ne passait pas inaperçue entrait dans les toilettes des femmes - à deux doigts d'utiliser notre alter, nous prenons plutôt la coupe posée de notre major pour exercer nos doigts. et dans ceux-ci, le verre se casse et se répand dans nos veines - un long sifflement (colère) sort de notre trachée et le claquement à répétition de notre langue se prolonge. nous commençons à échauffer notre voix et prête à déverser notre audible volupté de sons - nous avions même perdu le sourire, oubliez les deux (si ce n'est trois) individu proche ; fixé sur ce but que si nous ne voyons plus la bichette revenir très très rapidement, nous ne répondions plus de rien.
et si nous devions être seules debout face à tous ceux endormis - nous célébrerions sur le cadavre de l'individu entré dans les toilettes des femmes.
Tu te décides pour ta part à prendre l'air. Tu fais un sourire désolé à Quixote et le lui annonce.
- Si vous me cherchez, je serai sur le balcon dehors, mais j'ai besoin de prendre un peu l'air pour le moment.
Alors, tu t'éloignes, prenant au passage un nouveau verre. Quelque chose d'un peu plus fort, mais toujours sucré et qui ne suffira pas à te mettre dans le mal. Tu t'approches de la porte qui mène sur le balcon et la passe.
L'air frais.... Cela fait du bien. Le bruit de la salle semble légèrement plus lointain. Une libération aussi pour les oreilles. Et un mouvement, ou une masse assise au sol plutôt, attire ton regard. Tu hausses un sourcil. Tu reconnais la rousseur et les oreilles. Ton premier rendez-vous... Il s'était passé quoi pour qu'il soit dans cet état ?
- Mars ? C'est bien ça ?
Tu t'approches et t'accroupis pour te mettre à sa hauteur.
- Tout va bien ? Tu te sens mal ? Je peux faire quelque chose pour toi ?
Cela est permis, vous êtes en temps de paix et dans une fête pour l'amour, loin des tensions entre vos factions respectives.
Mars
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Mars
Jeu 16 Fév - 20:32
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu es loin, Mars. Loin de la fête, loin des autres. T’inspires, expires, tu sens tes paupières si lourdes qu’elles pourraient ne jamais s’ouvrir à nouveau. Tu voulais rester là, pendant encore de longues minutes.
C’est ton prénom qui vient te sortir de la torpeur. Rouvrant les yeux, sans le regarder, tu reconnais la voix. Il fait semblant de poser la question sur ton prénom, comme s’il ne s’en souvenait pas réellement. Pour ne pas paraître trop physionomiste, peut-être. Pourtant, il a l’a bien retenue. C’était donc une question qui ne méritait pas de réponse.
Tu regardes devant toi, sans réellement lui accorder de l’attention. Lui, au contraire, pose trop de questions pour ne pas se soucier de toi, ou du moins pour faire semblant. Ca paraissait trop sincère pour être faux.
Prendre soin des autres, même en temps de trêve. Tu reconnais ça, et ça te rappelle votre jeu de devinettes des minutes plus tôt, avant que le chaos ne s’installe en toi, et le vide t’inonde.
“Médecine.”
Ton regard brûlant d'un grand trou noir d'émotions se lève vers lui.
Tu as réussi à avoir son attention quand il relève la tête vers toi. Cependant il semble ailleurs... si loin. Tu notes le fait qu'il ne daigne pas te répondre. Tu fais une légère moue. Au moins, il parle. Au moins, il est capable de réfléchir. Au moins, il semble tout à fait lucide, même si...
Tu préfères l'esquisse d'un sourire sur tes lèvres et un hochement de tête.
- Effectivement, c'est mon domaine.
Tu poses une main sur le sol et, d'un mouvement fluide, tu viens prendre place à côté de lui.
- Si je devais deviner pour toi, je dirais les Hunting Sports... Mais tu n'as peut-être plus envie de jouer aux devinettes...?
Tu ne peux pas le pousser à te parler... Tu n'es qu'un inconnu, un étranger, et un même un ennemi à la base.
Mars
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Mars
Jeu 16 Fév - 20:58
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu le regardes descendre à tes cotés en silence. Tu tournes alors la tête vers l’extérieur à nouveau. La brise te frappe encore.
“Bien deviné. Je ne compte cependant pas m’arrêter là.”
Un jour, ils verront de quoi tu es capable... Si tu reviens vivant, une nouvelle fois. Peut-être que tu ne sais pas encore, si tu veux revenir vivant.
Tu baisses le regard sur tes mains, les écartant doucement, comme pour mieux les regarder. Tes mains, qui t’ont servis à tuer, protéger et défendre, à rompre des nuques, à griffer des joues, à serrer bien des corps pour les briser... Tout cela serait finalement en vain, car ta motivation serait partie dans les bruits de pas de Jupiter, loin de toi ?
Tu esquisses un sourire nostalgique et triste, sans bouger, beaucoup trop silencieux peut-être.
“Pourquoi tu restes à coté de moi?”
Parce que tu es sale, pourquoi voudrait-il rester là ? Ah, surement pour des informations. Après tout, c’était le but, non... Il n'avait pas de partenaire à qui parler? Cependant, ce n'était pas ton problème. Ta partenaire à toi s'était échappée... volatilisée, aussi.
Du coin de l'oeil, tu suis ses mouvements de main. Tu évites de le dévisager, bien que l'envie s'en fasse ressentir. Pour mieux le saisir, pour essayer de le comprendre.
Quoique... Est-ce une bonne idée... Lui seul sait ce qu'il a fait pendant ces jeux, ces jeux qui peuvent être cruels... Pour tous, autant pour les participants que pour ceux qui attendent dans leur faction.
Tu portes ton verre à tes lèvres et bois une gorgée. Ton regard embrasse l'étendue sombre qui se découpe devant toi, paysage difficile à en voir les formes précises par l'obscurité.
- Et pourquoi pas ? J'avais besoin de prendre un peu l'air et tu es là. Et puis... il faut bien dire ce qui est. C'est triste de passer la soirée de Saint-Valentin, dans une soirée, seul, non ? Et puis...
Tu tournes la tête vers lui et lui souris, prêt à lui faire un aveu.
- ... J'avais bien aimé notre rencontre, aussi insolite soit-elle de par nos échanges.
Mars
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Mars
Jeu 16 Fév - 21:16
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Triste de passer la soirée de St Valentin seul... Parce qu’il y avait d’autres fins possibles ? Tu refermas doucement tes mains à l’idée, perdu à nouveau dans tes pensées. Finalement, tu les poses sur le coté, frôlant le flan de Lime, pour t’y appuyer et regarder le ciel, calme. Le vide interne te rendait finalement calme, mais un rien pourrait faire exploser la tempête.
La suite des paroles du blond, te font presque froncer les sourcils. Tu réponds en automatisme.
“Tu ne devrais pas, nous sommes ennemis.”
Ton regard dévie vers lui avant que ta tête ne l’imite, cherchant son regard.
“Je suis probablement la dernière personne que t’aimerais dans ton entourage.”
Parce que tu étais sale, grossier, avec des idées malsaines. Parce que tu étais un tueur, tu avais d’ailleurs surement tué des amis ou des connaissances à lui. Il ne fallait pas qu’il l’oublie, cependant...
“Si malgré ça, tu souhaites toujours aimer notre rencontre... Alors, ouais. Cétait sympa.”
Tu tournes à nouveau la tête vers le ciel, pour finalement laisser ton dos rencontrer le sol, les mains derrière le crâne, observant les étoiles. Tes oreilles s’agitent, et tu remercies mentalement le blond d’être venu au moins te divertir pour éviter de penser à Jupiter constamment.
Ton regard rencontre le sien et ton sourire se fane.
- ... Hm... Je me dis que si l'I.A. nous organise ce genre de soirée, c'est que nous n'avons pas à nous sentir ennemi constamment, que des liens peuvent se faire malgré nos factions. Mes parents n'étaient pas du tout de la même faction par exemple.
Ton sourire revient, légèrement triste.
- Pourquoi tu penses que tu serais la dernière personne que je voudrais dans mon entourage ? Tu as une si basse estime de toi-même ? Mais oui... Je continue à avoir bien aimer notre rencontre.
Tu le regardes s'allonger et poses une main derrière toi, pour continuer à le regarder.
- Dit... Comme tu m'avais demandé pour tester un truc... Est-ce que je peux aussi te demander pour tester un truc ?
Mars
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Mars
Jeu 16 Fév - 21:46
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Des parents de différentes factions. Cela te laisse songeur. Tu n’avais jamais pensé à cela. Comment pouvaient-ils vivre une idylle sereine, jusqu’à en faire des gosses ? C’était assez chaotique comme relation surement.
“J’ai une haute estime de moi-même, je disais ça dans le sens où la prochaine fois qu’on se recroisera, ce ne sera surement pas pour se parler de nos passés.”
Ton regard fixe les étoiles. C'était vrai, tu ne te sous-estimais pas normalement. Pas quand Jupiter ne faisait pas autant de va-et-vient dans ton existence, en fait. Donc les 90% du temps, au final. Tu soupires doucement. Il était juste tombé sur le moment où tu ne t'estimais pas forcément au mieux. Tu devais te ressaisir, et arrêter d'être si transparent.
La dernière fois que tu avais sympathisé avec un ennemi, tu l’avais vu mort sur le champ de bataille des Huntings. Ca te restait en tête, finalement. Peut-être que tu portais la poisse aux gens que tu cotoyais, ou peut-être juste tu les faisais souffrir d’une manière ou d’une autre.
“Tu vas souvent aux HS?”
Ton regard dévie vers lui, et sa demande te fais hausser un sourcil. Tu as cependant un sens de l’honneur bien à toi, et une part d’égalité qui trône quelque part.
Ce n'est donc pas un problème d'estime. Il n'avait pas l'air du genre à vivre mal un rendez-vous qui se passe mal. Mais pourtant tu avais pu constater une certaine... sensibilité (?) profondément enfouie chez lui.
- Alors il faut profiter du moment présent. Et ne pas se soucier de l'avenir.
C'est une bonne idée, de juste profiter du l'instant immédiat sans se soucier du reste. L'idée te séduit toi-même, alors que c'est toi qui vient de le dire. Tu finis ton verre d'une traite et le pose un peu plus loin sur le sol, là où tu ne risquais pas de le faire valser par hasard.
- Hm... Non, absolument pas. Les derniers qui se sont déroulés... C'était ma première fois... On peut dire que j'ai eu de la chance que ce soit quelque chose de... sympathique ?
Tu recroises son regard et tu te fais plus hésitant.
- Est-ce que... Je peux te toucher les oreilles ? Elles ont l'air douces...