Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
nous ignorons superbement l'individu qui comptait fleurette à notre major - nous n'en avions cure et nous étions de toute façon bien trop occupée à zieuter l'entrée des w.cs des femmes. n'allaient-ils jamais sortir de là-bas ? il fallait bien croire que nan quand murmure l'IA pour notre prochain pseudo partenaire - un nouveau nom et puisque nous avions entraperçu approximativement le monde, cela voulait dire que nous allions tomber sur un individu encore plus louche.
nous pressentions que cela allait déjà nous donner une belle migraine - nous partons vers notre prochain en saluant de la tête notre major ; se penchant pour ramasser notre stylo tombé par terre plus tôt. nous laissions sur cette table nos talons, n'en ayant plus l'utilité - nous préférions de toute façon sentir les dalles fraiches. nous étions ainsi, libre des contraintes habituelles et des convenances féminines qu'on pourrait imposer - nous ne rentrons pas dans ce moule et nous nous en contentions avec énormément de plaisir non contenu.
arrivée à cette table en avance comparée à notre partenaire ; nous laissions nos dents arracher les lambeaux de nos lèvres asséchés - nous étions de par nature un tant soit peu soupçonneuse et nous ne voulions pas obscurcir notre jugement par l'alcool. quand tout le monde se détend, nous préférons au contraire renforcer notre attention - même si cette soirée était prétendument là pour renforcer des liens (douteux) ; nous pouvions nous permettre de rester en alerte. surtout en voyant les comportements des uns et des autres - et de nous-même.
nous tapotons du doigt en fixant toujours cette entrée des chiottes - ils faisaient quoi ? se torcher sévèrement ? nous aurions pu aller jeter un oeil - mais nous risquions de hurler à la mort si la vue ne nous plaisait pas ; et nous sentions un regard appuyé du côté de notre supérieure. nous préférerions éviter de se faire manger la cheville par un cabot - encore une fois. ce n'était ni la première ni la dernière - nous préférons juste éviter pour ce soir tout du moins. un souffle qui s'échappe de nos lèvres - si notre partenaire pouvait se dépêcher, cela nous arrangeait. nous commencions à piétiner pour nous contenir.
Oblivion aspire à une accalmie solitaire, où il saurait trouver le repos sans les perturbations émotionnelles émulsionnées par toute forme de friction sociale. Pensif un brin,il s'adonne à quelques méditations secrètes quant à la réponse que lui avait fourni Calliope. Si peu démonstratif en expression, l'homme n'a fait qu'acquiescer au besoin de soutenir Jupiter... et les voilà devant l'inéluctable peine dont il était certain d'en connaître la source.
Tout le long il s'adonne au silence. Lorsque résonne au creux de son oreille le nom de son ultime partenaire, son coeur rate un battement. Il la fixe droit dans les yeux, elle dont les tourments la poussent à s'excuser sans modération. D'un pas devant l'autre, il ne perd pas de temps pour enrouler un bras derrière son dos, et le glisser de manière à l'inviter à se redresser.
- On ne laisse pas Jupiter dans un coin. Tu ne mérites pas ça.
Un regard soucieux porté sur Calliope, de peur qu'elle n'échoue la mission imposée par la grande I.A. - Je m'occupe d'elle.
Oblivion prend les choses en mains en aidant Jupiter à se relever. Il va s‘occuper d’elle, sous-entendu qu’elle n’a plus rien à faire ici. C’était évident. Ils sont de la même faction, il semble totalement logique que se soit lui qui veille sur elle.
Tu n’as rien à faire là, Calliope, tu n’es pas des leurs.
Elle chasse les mauvaises pensées avec un sourire et un petit hochement de tête. Elle doit rejoindre son nouveau partenaire. Lui poser ses questions avant que l’I.A. ne décide de mettre fin à son jeu. Elle s’approche tout de même de Jupiter et passe ses bras autours d’elle pour lui offrir un peu de réconfort. Elle serre légèrement comme pour lui dire qu’elle n’est pas seule, même si elle doit partir.
« On en reparlera plus tard dans ce cas, elle s’éloigne doucement avant de la lâcher complètement N’hésite pas si tu as un problème. » Elle plante son regard dans celui d’Oblivion. Au fond, elle est peut-être un peu déçue que ça se termine aussi vite.
« Je compte sur toi. » Ne me déçois pas.
Puis elle quitte les toilettes. Elle lâche un soupire une fois la porte refermée derrière elle et scanne rapidement la pièce du regard. Les nouveaux couples sont formés pour la plupart et elle commence à chercher son partenaire - ce qui n’est pas facilité par sa petite taille - en se baladant dans la foule.
Elle fini par le trouver au bout de quelques minutes et elle affiche un nouveau sourire.
« Bonsoir, Lime c’est ça ? Je suis désolée pour le retard, j’ai eu un petit soucis à régler et un mal fou à vous trouver. Votre soirée ce passe bien ? »
Février 2143 - feat Lime & les participants tenue du jour : www.
Petit four à peine remis que le grand roux s'enfuit. Tu le regardes, désarçonné. Il avait pourtant bien aimé le moment sur le balcon. Du moins, tu le penses. Alors pourquoi maintenant il te fuyait ? Simplement parce que ton rendez-vous était autre ? Tu lèves la main pour lui saisir la manche...
... Mais ton geste reste en suspens. Un murmure à ton oreille t'annonce le nom de ton dernier rendez-vous... Ah... Tu n'auras même pas le droit de revenir auprès de Quixote. Tu pousses un soupir et parcours la foule du regard. Tu ignores où se trouve ta dernière partenaire de la soirée.
Au lieu de la chercher, et d'être potentiellement deux à vous chercher en vain, tu restes tranquillement à grignoter près d'une table, quand enfin un petit bout de femme vient vers toi avec un sourire aux lèvres.
- Bonsoir. C'est bien moi, oui. Tu dois être Calliope alors ?
Tu hoches ensuite la tête.
- Pour moi, oui, pour d'autres moins on dirait... Mais pour toi ? Qu'en est-il ? Oh, d'ailleurs ? Tu es plutôt sucré ou salé ?
Une question existentielle, pour savoir quoi lui proposer à la dégustation.
Mars
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Mars
Sam 18 Fév - 20:01
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu n’avais aucune envie de continuer ce moment. Tu avais plusieurs options. Rentrer, et subir les forces de l’IA. Subir encore une fois quelqu’un, et garder ton calme. Mourir. Les trois options, aucune n’allait dans ton sens.
Tu étais donc aller vers ton prochain nom murmuré, Et voilà qu’une godiche t’attendais sagement. C’était donc ça, ce qui se trouvait derrière ce nom si peu gracieux.
Elle avait le mérite d’être bien habillée. Toi, tu avais ta chemise noire maintenant ouverte quasiment jusqu’en bas, mais cela t’importais peu de faire bonne impression.
Tu te poses lourdement en face, et poses ton verre. A peine un regard, que tu grognes ton nom, pour confirmer qu’il s’agisse bien de toi.
Tu te rappelais maintenant que l’IA voulait que tu poses des questions. Personnelles, en plus de ça. Tu ne voulais rien savoir de personnel sur elle, quand bien même elle était apprêtée pour se taper le premier mec venu, ce serait pas toi.
“T’as l’air superficielle, tu l’es vraiment? Tu t’intéresses qu’à l’apparence, ou tu cherches ce qu’il y a derrière ? J’espère pour toi que t’as quelque chose derrière aussi, ce serait dommage pour tes prétendants.”
Boisson avalée, et reposée sur la table. Tu ne la regardes toujours pas, tu ne regardes personne en particulier, tu es d’une humeur à tuer des chats.
“Quoi que t’as peut-être ce nom parce que t’as un énorme boule, digne d’un titan, donc forcément, ça colle.”
Ton regard se pose enfin sur elle, perçant, agressif. Plissant le regard, tu débitais tes paroles comme du venin.
“Peut-être juste que... Tu aimes dominer les autres, t’as bien la dégaine d’une personne qui souhaite écraser le monde, mais que feras-tu quand tu n’auras plus personne à écraser, hm ?”
Tu cherches, Tu espères trouver. Avec de la chance, elle a un alter qui peut te tuer rapidement. Mourir était une option, non ?
« Calliope, c’est bien ça. C’est vrai que certains ont l’air beaucoup moins enchantés que d’autre d’être ici. Je suis contente de savoir que tu passes un bon moment. Ma soirée ce passe plutôt bien aussi dans l’ensemble, elle prend une petite pause avant de reprendre. Je suis plutôt salé en ce moment. » Du coin de l’œil elle capte la silhouette de Titania qui n’a pas l’air de passer un bon moment justement. Elle avait déjà abandonné une amie aux toilettes, alors si sa présence peut un temps soit peu apaiser la soirée elle le fera.
« Si ça ne t'embête pas, j’aimerais me rapprocher d’une amie qui semble passer une soirée compliquée. » Elle l’entraine dans son sillage sans vraiment attendre sa réponse pour s’avancer de quelques tables. Titania est assise face à un roux qui a l’air plutôt bien éméché.
« Bonsoir, ça vous dérange si on se joint à vous ? » Elle peut presque sentir la tension lorsqu’elle s’assoie après avoir attrapé un verre et quelques petit-four. Elle lance un regard à Titania qui se veut rassurant avant de reporter son attention sur Lime.
« Du coup, tu es là par obligation ou dans l’espoir de rencontrer quelqu’un ? » Respire Calliope, tout va bien se passer.
Février 2143 - feat Lime & les participants tenue du jour : www.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 4 : Celsius
Tu étais parti, et honnêtement, la conversation derrière toi ne t’intéressais plus. Jusqu’à ce qu’on susurre son nom à l’oreille. Bien sûr. Pourquoi pas, après tout ? Remuer le couteau, passer du temps avec quelqu’un qui cherche quelqu’un d’autre... Tu attrapes un verre, le descend à nouveau.
Tu te retournes alors, dans le but de chercher la créature divine mais traitresse des yeux. Jusqu’à la trouver. Tu n’as pas envie d’y aller, mais... Il le faut. Tu le dois. Tu ne dois pas décevoir Hadès - bien que ton comportement est à revoir -, et surtout pas l’I.A.
Tes pas se dirigent vers elle et d’une assurance que tu aimerais retrouver, tu dévies légèrement le regard, avant de le poser à nouveau sur elle.
“Je m’excuse de mon comportement puéril de ce soir. Je ne suis pas du tout comme ça, par habitude.”
Tu inspires, remettant bien ta veste et ta chemise, et ta coiffure.
“J’empeste l’alcool, j’en ai conscience, mais je pensais réellement qu’une certaine alchimie était présente entre nous. Cependant, il semblerait qu’aucune résistance de votre part suite à l’utilisation d’un amour factice contre vous et Hystéria, m’a confirmé certains doutes, ou plutôt, m’en a simplement créés.”
Parce que tu n’en avais aucun, gros niais que tu étais sur l’instant.
'Il semblerait que vous eussiez déverrouillé quelque chose en moi qui ne devait pas l’être, créant cette suite d’événements totalement incontrôlables, comme boire une énorme quantité d’alcool.”
Tes mots sortent tout seul. Pour un peu, tu mettrais un genou à terre si on ne te retenais pas. Qui te retiens, d’ailleurs ? Ah, oui. Ton supérieur absent, et une entité qui n’existe que dans l’espace-temps.
“Si vous voulez bien m’excuser pour mes déviances, j’ose espérer que nous puissions continuer à nous poser des questions et éviter d’avoir des problèmes, vous serez ensuite... absolument aucunement obligée de me revoir dans un autre cadre qu’une altercation entre nos deux factions, je respecterais votre choix.”
Tu reprenais ton souffle. Interminable, comme tu étais ennuyant surement pour la population. Tu avais au moins le mérite d’avoir essayé de reprendre tes esprits quelques instants. De tenir également droit. Pour le moment.
nous n'eumes pas à attendre bien longtemps que l'individu apparaisse ; aussi louche que les deux premiers que nous eussions eu de toute façon dans notre soirée - un de plus ou un de moins ne changeait donc rien à notre situation. un grognement dont nous comprime difficilement un nom. en même temps tu voyais mal la sainte IA se dresser devant toi puisque tu attendais un prétendu Mars - la réflexion et l'intelligence n'avait pas l'air d'être son fort.
et il le prouva merveilleusement bien par la suite avec ses questions toutes plus débiles les unes que les autres - nous ne cachâmes même pas notre déception d'avoir eu juste sur la personne. même pas étonné de ses oreilles - non, lasse nous étions, au point que nous posâmes notre menton sur notre paume. avait-il fini son manège ? était-ce vraiment des questions personnelles ça ? ça ne volait pas haut.
voulions-nous vraiment prendre le temps d'écrire pour lui ? non - nous ne fimes même pas attention à la bichette qui s'engouffra à notre table ; elle avait dû percevoir notre air. étions-nous plus effrayantes souriante ou non ? nous nous penchâmes toujours plus sur cette table pour venir chuchoter à l'oreille de cet individu. « aboie. » rauque nous avions cette voix si peu utilisée - d'un ton calme et sinistre. cependant, nous ne réussîmes pas à activer notre pouvoir. quel dommage n'est-ce pas ? au contraire, cela nous réjouissait.
car cela voulait dire qu'il nous penserait encore plus idiote que nous étions - possiblement que nous avions un alter commun et nullement dangereux. peut-être même continuerait-il son petit manège pour qu'à la prochaine réponse ; nous puissions lui clouer le bec littéralement. nous nous remettons à notre place en souriant - l'un de nos fils sur notre joue droite se détache ; laissant entrevoir une petite partie de la plaie béante qu'était notre visage.
Ft. Nothing Event Saint Valentin Quatrième rencontre
Il la nargue. Il sourit à Celsius et ne lui dit pas tout. Il joue avec ses croyances, avec les non dits. Avec ses sentiments, également.
Il est difficile de garder la tête froide malgré les évidences. Celsius en a pourtant envie : Hystéria est tant et si bien dans son élément qu'il va plus loin que n'importe qui a pu aller dans cette salle avec elle. Il se fiche des conventions, de sa colère. Il brave les interdits et lui propose la chose la plus osée qui soit, sans ciller.
Comme une moquerie.
Alors la major répond à un instinct ; agit au quart de tour. Elle veut vérifier pourquoi un tel comportement qui l'aurait naturellement horripilé peut soudain se montrer si attirant. Sa main attrape alors le poignet d'Hystéria, l'arrête dans ses pas. Ses lèvres sur les siennes et car ça lui est égale d'initier les hostilités, elle l'embrasse passionnément.
Le baiser a le goût du risque et elle ne tarde pas à l'approfondir davantage sans attendre les mouvements du Vigilante, avec autant de conviction que de désespoir. Une main placée sur sa nuque, les secondes ont leur importance et leur attirance ne fait aucun doute. Il a raison sur un point : entre eux, ils feraient sûrement des étincelles.
Mais pour autant, ce baiser n'est pas agréable. Alors elle s'arrête, et recule de quelques pas. Car Celsius pouvait désormais placer des mots sur ce qu'elle ressentait : Hystéria n'était pas si différent d'elle, en cela qu'ils cultivaient une apparence charmante. Mais dans le fond, leur lien ne tenait que sur une chose : la malice. La destruction. Parce qu'ils font parti de ceux qui jouent dans un rapport de conflit, et qui emportent les autres dans leur charme et manigance.
Et c'était si grisant, de se brûler les mains avec un semblable. Un loup dans la bergerie.
"Je crois comprendre, maintenant." Elle ferme les yeux. Le constat est difficile à tolérer parce que ses doutes étaient fondés : elle est une idiote. "Tu es enivrant, Hystéria. Naturellement amusant. Mais tu es dangereux, pour toi et pour les autres. Tu...as réveillé une part de moi que j'avais oublié, que j'aurais préféré oublier et qui aurait pu te faire du mal. Présente mes excuses à Nothing, si tu le croises avant moi."
Un baiser plus chaste, cette fois-ci comme un remerciement, vient se loger sur le coin de ses lèvres, avant de tourner des talons et de rejoindre sa caporale, laquelle lui signa également un mouvement de main. Ô, elle ne peut pas le détester. Pas encore.
*********
Quand le prochain nom est soufflé au creux de son oreille, Celsius resta interdite. Elle ne s'y attendait pas. Etait-ce un jeu pour l'IA, ou l'occasion funeste d'observer ce qu'il restait du soldat ? Allait-elle voir un fantôme, une loque humaine et alcoolisée sous ses yeux ?
Quand il s'approche, la rousse ne fait aucun signe. Sa capacité à rester conscient et à débiter quelques paroles la rassurent sur certains égards, mais elle ne sait à quoi s'attendre en réalité. D'un autre côté, c'était à son tour d'être lâche. D'avoir peur de la confrontation.
"Un amour factice ?"
Sa mine se fait interrogatrice. A raison. Bien que son vis-à-vis soit clair et laconique dans ses propos, cette formalité apparente est un véritable code secret sous certains égards...Quoique ses propos très directs ne tardent pas à lui monter à l'esprit, tout comme il n'est désormais plus difficile de faire des liens et de lever le voile sur la nature de leur relation.
"Oh. Tu n'es donc pas..." En couple, de ce bord là. Et venait-il de lui faire part d'une attirance ouverte ? Qu'il était dans cet état en raison de sa proximité avec Hystéria. Un pas en avant suffit pour placer une main sur sa joue avec délicatesse, mettant de côté. "Hm, t'es un idiot fini. Je peux savoir ce qui t'a pris pour te mettre plus bas que terre pour moi ? Et puis...pour me tourner le dos "afin de préserver mon lien avec le crétin qui me manipule au bout de ses doigts"?"
L'imitation -une voix plus rauque - lui soutira un léger sourire. La question est rhétorique, mais tout ce petit laius plein de formalités est de nouveau si teinté de maladresse. Mais alors, une maladresse attendrissante. Oui, Nothing est un idiot. C'est un fait. Tout comme elle : dans une hésitation, ses lèvres s'entrouvrirent afin de s'excuser sur tout. Sur son inconscience, et sa froideur face à sa détresse.
"Pour autant, j'ai aussi été stupide. Stupide d'avoir cru dans ses propos. Je suis désolée de t'avoir malmené...Je ne comprends pas tout. Pas encore. Mais ce que je sais, c'est que j'ai naturellement apprécié notre échange et notre danse, moi aussi."
Ces derniers mots, en revanche, la major ne connait pas de difficultés pour les prononcer. Dans un geste se voulant encourageant, sa main attrape la manche de Nothing et le mène vers l'un des canapés encore libre. Ici, il serait plus facile pour Nothing de tenir la conversation. Dans leur marche, le coeur léger mais pleins d'appréhensions, des aveux lui échappent à son tour.
"Carcosa n'est pas clémente, mais...mais ce serait avec plaisir de te voir dans un autre contexte que celui-ci, Nothing. De toute façon, je crois qu'on ne pourra pas faire pire. N'est-ce-pas ?"
Celsius croise les bras. Elle ne voit plus la foule et ne sait plus si elle est proche du banquet ou non.
Mais de toute évidence, cela n'a pas d'importance.
Tu ouvres la bouche pour répondre à Calliope, mais elle ne te laisse guère le temps. Elle t'entraine dans son sillage, arrivant près de Mars... tout te ramène à lui ce soir ? Quel est ce destin ou ce jeu auquel l'I.A. se livre avec les fils des marionnettes que vous êtes ?
Au passage, tu avais pris une assiette de petits-fours. Tu la leur présentes, posant l'assiette sur la table proche.
- Peut-être voudriez-vous d'autres petits-fours ?
Pourquoi l'ambiance était tendue ? Tu regardes Mars. Avait-il posé des questions osées et indécentes comme avec toi ? Tout le monde ne réagit pas pareil, et encore moins à cette heure de la soirée.... ou de la nuit. Tu ignores tout du chuchotis fait à l'oreille du roux, mais tu observes celui-ci en lui offrant un de tes sourires, un de ceux que tu n'arrêtais pas de lui donner.
- Même quand on est supposé être éloigné, il y a toujours quelque chose qui nous rapproche. Tu crois qu'il s'agit d'un signe ?
Tu te tournes vers Calliope, tu as d'autres questions à lui poser après tout.
- Tu m'avais dit être salée en ce moment. Est-ce par période ? Ou a cause du temps ? Ou simplement par une envie soudaine ? ... Est-ce que tu fais attention à ton alimentation, ce qui expliquerait que tes cheveux ait l'air si doux ?
Tu parles, tu parles, mais ... La qualité de tes questions à diminuer avec le niveau de boisson ingurgitée... OH D'ailleurs.
- Pardon, je t'ai pas répondu ! Je suis là pour rencontrer de nouvelles personnes, et je suis plutôt comblé. Je ne suis tombé qu'avec de nouvelles têtes. Ce n'est pas par obligation... Je souhaitais vraiment venir.
Quixote
Redresseuse des bonnes mœurs
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Quixote
Sam 18 Fév - 22:59
Saint Valentin
Now's your moment Floating in a blue lagoon Boy, you better do it soon
Elle n'avait pas trop compris pourquoi sa couverture d'éboueur n'était pas crédible. Chez les legendary, tout le monde était fait d'élégance et de courtoisie. Peut-être. 50/50.
En tout cas elle avait fait une bonne action. Certainement, Mars verrait ce petit four et comprendrait ce qu'elle avait voulu lui transmettre. Elle n'avait désormais aucun doute sur le fait que son prochain rendez-vous se ferait en parfait gentleman et dans les règles. Elle eu même un petit rictus satisfait pour elle-même, du type "my job here is done". ... Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelait Quixote : elle aimait bien croire en ses rêves, voyez-vous.
L'IA lui donna son prochain partenaire. Vivement que tout cela se termine, elle en avait marre de parler à des inconnus. Elle aperçut au bout de la salle ledit Hysteria, qui visiblement quittait sa précédente partenaire. Qui l'embrassa. GOULÛMENT.
Elle regarda bouche bée la femme en question partir. Son job here n'était pas done.
▬ Vous là-bas! Mais qu'est-ce que c'était que cela? Un premier rendez-vous et déjà vous vous échangez la salive comme cela. Non, non cela ne vas pas. Laissez-moi vous ramener dans le droit chemin. Vous voyez, nous sommes ici sur demande de l'IA mais je pense que vous vous méprenez sur ses intentions. Quand elle dit qu'il faut être "cru" elle parle de l'essence même de notre âme, de se mettre à nu, oui, mais dans le respect des moeurs et des distances de courtoisie pas d'envahir la zone de monoxyde de carbone de tout un chacun. Au final voyez-vous, nous nous devons de respectez la technique nuptiale des trois P.
POLITESSE, évidemment, et je ne doute pas que vous en ayez fait preuve, c'est la base, mais politesse aussi envers soi. Vous POUVEZ refuser ce genre d'avances lubriques, c'est du respect de soi. Prenez confiance en vous! Vous n'êtes pas un objet!
PERENITE, la relation doit s'inscrire sur du long terme : donc prendre son temps. Les ébats courts peuvent sembler intenses et stimulants mais ne mènent jamais à du long terme, alors que commencer une relation sur les goûts uniques de tout un chacun, ou même des sujets plus sérieux, comme la politique, nous aide a bâtir des bases solides.
Et enfin PROPRETE. On ne sait pas où cette langue a traîné. Protégez-vous.
Elle hocha la tête avec satisfaction. Quixote, trente ans, célibataire, experte des relations amoureuses (depuis cinq minutes).
▬ Par exemple : ma première question est : comment vous portez-vous après cette incident - politesse donc, deuxième question : est-ce que vous aimez le thé ? Au jasmin, par exemple - pérénité, vos petits goûts particuliers! Et enfin : avez-vous besoin que j'aille chercher un verre de cognac fort pour vous rincer la bouche ?
Elle lui fit un petit geste de main qui signifiait "allez, à vous :) ". Pour peu qu'il l'écoutait encore.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 4 : Celsius
Tu aurais vu ce baiser, tes réactions auraient été toute autre. Aucune excuse n’aurait vu le jour, probablement. Tu ne serais peut-être même plus de cette fête. Cependant, tu n’avais rien vu de tout ça, et c’est donc avec la chasteté et l’innocence d’un homme éprit pour la première fois depuis dix ans, que tu étais revenu t’excuser.
Le contact de sa main sur ta joue te fait légèrement fermer les yeux. Ce qui te rassure, c’est qu’elle ne semble pas rancunière, elle semble même comprendre.
“Un alter s’est joué de vous... Je le pense.”
Après tout, tu n’étais sûr de rien. Tu n’avais aucune preuve et tu n’irais pas la demander à December, dans tout les cas. Tu te gardas bien aussi, de révéler son nom et son alter précis. Cela ne regardait nullement les factions ennemis, quand bien même elles arboraient un regard et un visage aussi charmant que celui qui te faisais face.
“Idiot?”
Tu fronces légèrement les sourcils. Jamais on n’avait dit que tu l’étais, même si, en soit, tu ne discutais ni ne réfléchissais des ordres qui t’étaient donné. Tu t’assois sur le canapé présenté à toi, calme. Plus calme que lorsque tu te tourmentais quelques minutes précédentes.
“Vraiment apprécié ?”
Tu avais du mal à y croire. Tu savais pourtant que c’était factice, ce qu’il se passait entre et Hystéria, mais il fallait peut-être mieux pour vous que les effets s’estompent avant de s’avancer dans une voie dangereuse. Après tout... Tu ne voulais pas qu’elle se porte préjudice non plus. Ni qu’elle se blesse, d’une quelconque manière. Tout comme Hysteria, au final. Tu l’estimais, malgré tout. Ce n’était pas de sa faute, tu étais conscient. Malgré la jalousie que tu portais en cet instant. Par ailleurs, tu ne te savais pas si jaloux. Point à méditer.
Tu ne t’attendais pas à ce qu’elle te tutoies non plus, et tu mis du temps à le réaliser. Ca aussi. Cependant, la place était aux questions.
“Celsius. Souffrez-vous d’une quelconque manière ?”
Tu continuais de la vouvoyer malgré toi. Tes doigts viennent alors effleurer les siens, l’hésitation présente.
“Avez-vous un regret ?”
Le bout de tes doigts agrippent les siens, ton regard fixant vos mains comme s’il s’agissait d’un ancrage à la réalité.
“...”
Puis-je vous toucher la main. Tu ramènes contre toi et te racle la gorge, la tête commençant à te tourner.
“Accepteriez-vous que je vous envoie des lettres?”
Elle ouvre la porte sous la demande de Calliope, la tête basse car honteuse de montrer ses joues noyées de larmes. Cela ne lui ressemble pas d’être dans un état pareil à Jupiter mais ses émotions l’ont envahi tel un raz de marée impossible à arrêter.
Ouvre sa bouche pour répondre à sa question mais son partenaire est plus rapide. D’un geste il l’attrape dans ses bras pour la redresser correctement et elle laisse tomber sa tête sur son épaule en fermant les yeux.
« … C’est Oblivion, ne t’en fais pas Calliope… Merci… »
Se veut un petit peu rassurante pour ne pas l’inquiéter plus que ça, sachant qu’elle a des devoirs envers son groupe aussi pour la soirée. Il ne faut pas qu’elle s’attire les foudres de I.A à cause d’elle.
Promesse silencieuse qu’elle la recontactera pour s’excuser.
Ainsi, quand ils ne sont plus que tous les deux, elle ne bouge pas. Tête basse, elle ramène ses mains sur son visage pour cacher ses yeux larmoyants.
« Je suis désolée Oblivion… Je ne veux pas t’infliger un moment pareil… »
Mais c’est dur, pas vrai Jupiter. De faire comme si la discussion avec Mars n’avait jamais eu lieu. C’est douloureux, plus que tu n’aurais pu le croire.
« … Pourquoi tu as embrassé Mars ? »
Première question. Mais elle n’a même plus envie de s’énerver contre lui. Elle veut juste une épaule le temps de pleurer.
event st valentinavecla populasse round 4 : Titania
Tu t’attendais à une réponse enflammée. Un alter qui dénote et te brise brutalement. Quelque chose qui te fasse arrêter de penser.
Au lieu de ça, deux têtes viennent s’installer, mais ton regard est captivé par la femme devant toi dont tu sembles aussi avoir capté l’intérêt.
Un mot, un seul. Tu comprends alors l’essence même qui habite cette femme. Un frisson du bas du dos jusqu’à l’échine et un fin sourire en coin se porte à tes lèvres alors que ton regard dévie sur Lime, qui te parle de destinée.
L’idée t’effraie. L’idée te fait perdre ton sourire. Parce que tu as peur d’être lié à qui que ce soit d’une quelconque manière, il te faut fuir ce chemin, cette voie.
Il faut que tu trouves un moyen. Tu te redresses alors de ta chaise pour venir en faire le tour de table, te postant à coté de la déesse louve qui venait de t’adresser un seul mot, mettant un genou à terre à ses cotés, les mains à plat sur le sol.
“Wouf.”
Les oreilles postées vers l’avant, un sourire carnassier sur les lèvres, tu baisses alors la tête, avant de la dresser pour planter ton regard dans le sien, appuyant parfaitement ta soumission face à cette femme ainsi posté.
ce n'est pas que nous n'avions pas vu que nous avions d'autres invités à notre table ; c'est simplement que nous étions occupés avec cet individu en face de nous - nous ne sommes pas simplement friandes des commentaires désagréables mais nous les préférons à une fausse modestie. c'est que nous n'aimions pas les messes basses sur notre passage - nous n'aimions pas l'attention qu'on nous portait car nous étions différentes. ici, en cette soirée, il ne savait pas à qui il avait affaire - à nous, à la particularité que nous sommes.
il nous croyait complètement et stupidement idiote encore plus quand nous fumes en première loge pour son jeu de théâtre. pour un peu nous l'aurions applaudi - depuis le temps que notre pouvoir s'était déclenché, nous savions quand une personne ou non obéissait à cet alter ; il ne l'était pas. nous n'avions demandé qu'un aboiement, pas toute cette stupide mascarade - il ne connaissait donc pas notre pouvoir. nous aurions pu le féliciter - nous aurions pu faire beaucoup de choses ; non à la place, nous mettons un doigt entre nos lèvres que nous pinçons tandis que notre cheville s'avance vers notre victime.
nous commençons à caresser ses oreilles avec nos pieds ; du grand orteil qui frotte contre le bout, tout en descendant et en remontant doucement mais surement - nous prétendons nous délecter de ce spectacle affligeant qu'il s'infligeait lui-même. nous jouions tout simplement bien mieux la comédie que lui ; nous passons d'un doigt à deux entre nos lèvres qui s'entrouvrent un peu plus - irons-nous pousser la chansonnette jusqu'à laisser un râle de plaisir sortir ? ho ! que oui. il s'évapore de nos lèvres - il l'avait entendu, nos deux invités aussi ; tous spectateurs de cette scène ardente.
que nos invités croient ce qu'ils voient - que ce mars croit ce qu'il souhaite et qu'il s'imagine que nous étions dupes ; nous ne l'étions pas - nous sommes même plutôt intriguées de la suite. et maintenant, que va-t-il faire ? tandis que nos orteils continuent leurs danses lascives sur ses oreilles touffues - c'est que c'est assez doux comme matière. et très facile à arracher sans nul doute.