Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Il ne peut boire les paroles d'un homme qui des minutes plus tôt, l'avait agressé et malmené. Au détriment d'une humiliation torchée, un sentiment amer repose sur sa langue. Entre une injustice viscérale d'être la cible d'un ours rouge et le desaveu de sa propre attirance bancale.
D'étranges réflexions Oblivion se laisse bercer le temps que l'accalmie le cueille. Aux mots proférés par le tres-haut, il prend un temps pour inspirer, et expirer toute forme de sentiments éprouvés, étonné par ailleurs d'avoir tenu jusque là sans souffrir de la moindre amnésie.
Calme. Il vogue dans les eaux troublées de personnes jusqu'à trouver celle dont on avait soufflé le nom : Calliope. Comme Oblivion était proche secrètement d'un trapper, certains surnoms ne lui étaient pas étrangers.
- Bonsoir Calliope, c'est bien toi ? Je suis Oblivion.
Il n'est jamais evident de connaître à tout va les habitants de Carcosa, surtout lorsqu'ils se livrent bataille génération sur génération. Enfin épris de l'idée savoureuse d'un instant de candeur, fors d'une mauvaise surprise, l'homme se relâche complètement à ses côtés, épaules lâches, et profite des convives tout contre elle, sans former l'image d'un couple. Au contraire, il semble aimer donner l'intention d'un partenaire amical.
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
“Justement.”
Tu comprends sa réaction. Tu l’encaisses. Tout comme ce regard qui te sert physiquement la poitrine.
Si quelqu’un pouvait te tuer sans te toucher, c’était elle. Tu n’avais aucun doute sur ce fait.
“Il te protège, il t’aide, il te tient compagnie... Quand est-ce que mes absences ne te seront plus pénibles ? Quand est-ce que tu finiras par juste me saluer de loin, avant de reporter ton attention sur lui ? Quand est-ce que je n’existerais plus à tes yeux, au détriment d’un autre, Jup ?”
Trop de questions. A défaut de satisfaire ta soeur, au moins l’IA pouvait être comblée. Tu n’avais plus envie de boire, ni de faire la fête.
Tu voulais lui dire qu’il ne s’était rien passé, ne serait-ce que pour la rassurer. Tu te rappelais alors que ses lèvres s’étaient posés sur les tiennes. Plusieurs fois ? Tu avais envie de vomir à nouveau. Blême.
“... On peut sortir prendre l’air?”
Tu étouffais, ici. Tu voulais retrouver les étoiles avec elle. Tu voulais oublier les autres. Tu voulais qu’elle te pardonne, et te sourit à nouveau. Parce que ça te terrifiais de te dire que tu pourrais ne plus la voir te sourire.
Ses bras se croisent, elle secoue la tête à ses propos.
« Tu es jaloux ? »
C’est pour ça qu’il lui a infligé ça ? Qu’il l’a forcé à avoir des sensations qu’il n’aurait jamais pu avoir ? Jupiter sait que le pouvoir de Mars peut être un fléau, que ce soit pour lui ou les autres. Mais l’utiliser sur Oblivion, lui qui est aussi quelqu’un qui la protège, qui reste proche d’elle… Ce n’est pas quelque chose qu’elle comprend.
Qu’elle accepte si facilement.
« Mars… Oblivion n’est pas quelqu’un de méchant, combien de fois vais-je devoir te le dire ? Il ne me veut pas de mal ! Et je ne l’aime pas de cette façon ! »
Pourquoi il ne comprend pas lui aussi ? Pourquoi il s’obstine à être aussi possessif alors qu’elle a déjà si peu d’amis ? Pourquoi il rend tout compliqué ?
« Non, je ne veux pas sortir ! Tu n’aurais pas dû faire ça Mars ! Oblivion est mon meilleur ami, comment tu peux croire que je ne vais plus te voir comme mon frère ? Qu’est-ce qui t’est passé par la tête ! »
Elle recule.
« C’est mal ce que tu as fait… C’est très mal ! »
Elle lui tourne le dos, sentant ses émotions exploser dans sa poitrine. Et elle se met à courir pour sortir de cette pièce remplie de monde. Ses émotions prenant le dessus, elle devait reprendre son souffle pour mieux garder le contrôle. Ne sachant pas vraiment où elle allait, elle ouvre la première porte vitrée pour accéder à un balcon et se mettre en boule dans un coin.
Dans le silence et dans la nuit, juste quelques minutes.
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Jaloux. Cette affirmation et ce mot sonnaient comme un reproche. Tu en fronçais les sourcils. Tu avais vraiment l’impression de revoir les paroles qu’on te disaient plus jeune. Ce n’est pas bien d’être aussi jaloux de l’entourage de sa soeur, n’est ce pas Mars ? Ta colère frappait d’une rage monstre dans ta cage thoracique, hurlant de tout foutre en l’air, y comprit ce pourquoi tu te battais chaque jour. Tu n’aurais jamais pensé qu’une telle phrase sortirait de la bouche de Jupiter, agrémenté de reproches.
Tu te savais en tord, donc tu te muets dans le silence plutôt que de dire des choses qui rajouteraient du mal-être. Mal-être qui était déjà suffisamment présent dans le corps de cette petite femme que tu essayais de préserver.
Ce “Non” brutal alors que la nausée te prenait, avait au moins le mérite de t’enlever l’envie de vomir. Peut-être même aurais-tu mieux fait de ne rien dire, au final, si c’était pour ce résultat.
“Je sais, il s’amusait à me provoquer.”
Que pouvais-tu dire de plus. C’était la vérité. Il aurait simplement campé ses positions sur le fait que tout allait bien, t’aurais rassuré au lieu de jouer les imbéciles à ta provocation, peut-être juste que... Tu soupires, et lorsque tu la vois reculer, tes yeux soubresautent légèrement, trahissant ta peur.
C’est mal ce que tu as fait, c’est très mal.
Gifle mentale en la regardant te fuir. Jupiter te fuit. C’est uniquement de ta faute, et cette vision, te marque. La vision de ta soeur qui te fuit.
Tu fermes alors les yeux. Tu fermes les yeux pour ne pas exploser, pour ne pas devenir fou. La seule chose que tu redoutais, arrive enfin. Qui pourrait te contrôler maintenant. Cette souffrance est présente. Tes pas s’avancent enfin vers là où a disparu ta soeur. Enfermant ta colère hurlante, tu t’accroupis à coté d’elle.
“Je suis désolé, Jup.”
Tu tendis une main pour toucher son dos, son genou, son bras. Hésitante et tremblante. Tu sentais que tu perdais le contrôle, mais tu n’avais pas envie que ça arrive.
Tu ne voulais pas encore la décevoir en gâchant cet événement... Alors tu donnais une dernière chance à ta possible rédemption.
Recroquevillée dans son coin, le dos contre la pierre du bâtiment, elle laisse sa tête sur ses genoux en essayant de calmer ce flot d’émotion qui traverse son corps trop fragile. Trop intense pour Jupiter qui fait ses exercices respiratoires afin de reprendre le contrôle, qu’elle calme cette colère soudaine qui n’a peut-être pas lieu d’être.
Elle l’entend approcher, lui et ses pas lourds. Elle les reconnaîtrait entre mille, ne comptant plus le nombre de fois où cela l’a rassurée qu’il soit proche, où elle a attendue de pouvoir les écouter toutes les fois où il est parti. Annonçant son retour, sa présence à ses côtés, elle ne bouge pas.
Toujours en boule, laissant ses excuses flotter autour d’eux.
« … M-Mars… »
Son bégaiement trahit cette violence qu’elle contient, qui menace d’exploser en de nombreux cris.
« P-P-Pourquoi tu as f-fais ça ? »
Est-ce que Oblivion l’a cherché ? Est-ce que la situation exigeait de l’utiliser ? Est-ce qu’il devait vraiment lui donner une leçon de cette façon ?
Pourquoi en arriver là ? Pourquoi les deux personnes qui lui sont le plus chères ne s’appréciaient pas ?
« Q-Qu’est-ce qu’il s’est p-p-passé ? »
Expiration sur le dernier mot, fermant les yeux avec force sans bouger de sa posture. Elle devait se calmer. Sinon sa soirée allait s’arrêter.
La frustration t'a gagné. Tu te redresses, du peu que tu te sois penché sur elle, sans la lâcher du regard. Les yeux fixes, avec l'envie ferme de lui dérober ce baiser, ou simplement de fantasmer des instants plus intimes. Pour ne pas dire peu catholiques. On te sait tout sauf chaste.
Elle s'éloigne de toi à l'annonce du partenaire, et même si tu appréciais la compagnie de Nothing, la voir s'éloigner de toiétait un vrai tourment. de douleur, de manque. Tu aurais aimé tellement plus, au moins la découvrir et parler avec elle des heures durant. Tu soupires bruyamment, sans même le cacher.
La tête dans les nuages, tu pivotes du talon et marches au gré du hasard, trop aux prises de tes pensées pour tout de suite vouloir le rejoindre. Seulement voilà, tu arrives nez à nez jusqu'au blond et tu ne saurais dire si "le hasard fait bien les choses". Car il t'accueille dans un concert de sarcasme, dont tu étais éperduement ignorant des raisons de son amertume. Jusqu'à comprendre. Tu te retournes pour capter Celsius, le coeur battant à l'idée que vos regards se recroisent, et tu reportes ton attention sur Nothing.
Un sourire malicieux réhausse le pli de ses lèvres. Tu aurais pu faire preuve de jalousie, de possessivité, de territorialité, ou encore de colère, mais la situation était trop amusante pour toi. Déjà parce que tu avais conscience de la nature de ces sentiments, factices à ton grand regret, mais aussi parce que demain il n'en serait plus. N'est-ce pas ? T'allais pas continuer à l'aimer ? .. N'est-ce pas ?
Tu te le répètes sans être sûr de toi. Tes pulsions t'empêchent de te concentrer sur lui, et encore une fois tu l'admires, elle.
Quand soudain il t'accuse d'être une grosse blague. Ton menton se tourne vers lui, lentement. Ton sang ne fait qu'un tour, et la colère monte très vite. T'es impulsif, t'as le sang chaud, et il le sait très bien, ce connard.
- Va te faire foutre, noth, c'est toi la blague à chouiner comme un gosse parce qu'on te vole "ton amoureuse". Si tu veux, on peut la courtiser à deux, et on verra qui elle choisira. On verra bien si elle t'aime bien, toi et tes couilles à plat.
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Elle te parle, et déjà, ton coeur s’apaise. Cependant, tu reconnais ce qu’elle contient, et tu n’aimes pas cela du tout. Tu veux la préserver d’elle-même, et s’il faut que tu sacrifies tout ce que tu es, ce que tu as, pour ça, tu le feras.
“Jupiter...”
Ta voix est plus grave, plus posée. Tu ne rompts pas le contact avec elle, mais tu n’en grandis pas l’intensité. Tu n’as pas envie de lui infligé plus de ta présence qu’elle ne le souhaite.
“Oui, j’ai été jaloux. J’ai voulu lui montrer que j’étais plus fort. Et puis, j’ai cessé. Tu sais ô combien je n’aime pas utiliser mon alter...”
Tu marquas une pause. Les mots étaient durs, mais ta franchise pour elle, était supérieure.
“... Alors j’ai arrêté de l’utiliser, et j’ai voulu qu’il parte. Il n’est pas parti. Il... Il est resté et il a continué de me coller, il m’a même...”
Tu serres les dents. Te ressasser tout ça, ça te redonne vraiment un arrière gout acre dans la bouche.
“... embrasser. Je l’ai pas frappé. Il est parti, et je suis parti aussi. Il va bien.”
Physiquement du moins. Toi, pas réellement. Surement qu’il n’était pas bien fier non plus, mais il semblait surtout plus en colère et honteux de votre entrevue qu’autre chose, du moins, que tu pensais.
“... Pardonne-moi.”
Tu baisses la tête, un genou à terre, et ta main tremble à nouveau contre elle, dont tu ne peux te résoudre à couper le contact. Dramatique, tu l’étais peut-être, mais personne ne pouvait imaginer à quel point elle avait un contrôle sur toi. Par ailleurs, ton alter commençait à s’impatienter en fond, bouillant de colère et de perte de contrôle. Vous étiez tout deux, deux bombes prêtes à exploser.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 3 : Hysteria
Tu te mets à rire, tel un homme qui semble en proie à des paroles amusantes qu’on vient de lui lancer. C’est d’un ridicule pour toi d’être en compétition. Ce n’est pas ton genre, tu ne brilles pas dans des combats de coq, tu exécutes des ordres. Tu n’es pas là pour montrer qui a la plus grosse, car de toute évidence, cela t’importes rarement.
Pourtant, les paroles de Hysteria ont le mérite de te faire rire, jusqu’à sa dernière insulte. Heureusement que l’alcool t’empêchent d’autres comportements trop violents et te rends plutôt mélancolique, et revanchard, te donne des éclats de rire dont tu ne te vanterais jamais en temps normal.
“Des couilles à plat ? Tu les a touchés pour dire ça, au moins ?”
Pourquoi parler, quand on peut montrer. C’est d’un geste presque automatique que tu attrapes sa main pour la plonger dans ton pantalon et sur ton intimité, sans aucune expression.
“Toujours aussi plates?”
Pour le consentement, on repassera visiblement. T'avais trop d'alcool dans le sang pour y réfléchir, et ton toi sobre serait complètement outré de ton comportement actuel. C’est que t’es fier de toi, en plus, avec la proximité de vos corps à présent, et cette scène plus ou moins cocasse. Tu le fixes avec une fièvre montante et une rage profonde. S’il y a bien quelque chose que tu détestes, c’était les insultes qui n’avaient pas d’appuis de vérité.
Oui, elle le sait. Elle sait qu’il n’aime pas les contacts. Que la seule personne qu’il peut supporter, c’est elle.
La preuve encore de sa main posée sur elle, dans un geste qui se veut réconfortant mais surtout, qui montre sa culpabilité. Alors qu’elle continue de l’écouter, elle fronce les sourcils au point d’en avoir mal au front.
Elle redresse doucement la tête quand alors il dit que Oblivion l’a embrassé. Son regard est fixe, brillant par des larmes qui menacent de couler de par les nerfs à vif qu’elle essaie de calmer.
« … Q-Quoi ? »
Oblivion. Embrasser. Mars. Son cerveau s’arrête, comme si cette information ne passait pas. Quand Mars a stoppé, lui a continué. Il a forcé au point d’embrasser son frère. Oblivion a embrassé son frère.
Oblivion. A embrassé. Son frère.
Il a osé embrassé son frère. Quelque chose lui pince le cœur, elle se mord les lèvres en serrant les poings.
Il faut se calmer Jupiter. Toutes ces émotions ne sont pas bonnes pour toi, tu sais ?
« … Il a f-fait ça… B-Bon sang… »
Elle se redresse pour se mettre face à lui, prenant sa grande main dans l’étau des siennes avant de poser son front contre le sien en ouvrant ses yeux clairs, plantés dans le regard de son grand-frère.
« J-Je te p-pardonne… M-Mais ne rec-commence p-plus s’il t-te p-plaît »
Parce que c’est son frère. Que c’est la seule famille qu’elle a. Qu’il est la seule qui ne l’abandonnera pas, quoi qu’il arrive. Et qu’elle ne pourra jamais imaginer en dehors de sa vie.
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu attends. Comme un prisonnier condamné, dans les couloirs de la mort. Tu attends qu’un miracle arrive et qu’on te sorte de là, que ta peine soit acquittée, que finalement, ce fut une erreur.
Les secondes sont longues. Intenses et pénibles.
Elle prend enfin ta main, et ta lumière s’allume à nouveau. Tu relâches la pression lorsque son front touche le tien, et que tes yeux se ferment. Tu verses une larme sous toute la tension accumulée, et malgré toi, tu libères ton alter dans un soulagement.
“Jupiter, merde... Bien sûr...”
Tu la serres contre toi, l’enveloppant de tes phéromones alors que tu laisses ton corps sombrer vers l’arrière, assis par terre à présent et l’être le plus cher entre tes bras.
“Tu es tout ce que j’ai de plus précieux.”
Tu ne remarques pas pendant quelques secondes, mais finalement, tu t’en rends compte avec la sensation de vertige au bout d’une bonne minute. Tu stoppes alors ton alter, ouvrant à nouveau les yeux, tes oreilles félines se redressant légèrement sur ton crâne.
“Pardon. Trop d’émotions pour la soirée, je crois...”
Elle est soulagée de voir que ses paroles n'ont pas envenimé la situation avec Nothing. Elle savait qu'il ne changerait pas d'avis avec une jolie tirade, mais le fait qu'il accepte d'entendre ce qu'elle avait à dire lui suffisait… Et si elle pouvait s'en faire un allié au passage ce n'était pas de refus.
Ils restent ensemble encore quelques instants avant que l'I.A. ne se fasse de nouveau entendre au creux de son oreille. Il est temps de changer de partenaire. Elle s'éloigne doucement après un dernier sourire et un petit signe de la main, cherchant la personne dont on lui avait soufflé le nom.
C'est lui qui l'a trouvé en premier.
« C’est bien moi, enchantée. » Puis elle laisse un petit silence s’installer. Elle ne sait pas vraiment à quoi s’attendre à chaque nouveau partenaire et cette histoire de questions la stressait plus qu’autre chose, mais l’attitude d’Oblivion à quelque chose de rassurant. Il lui pose une question, sa première ?
« Mmh, j’ai dansé, j’ai bu, elle attrape un verre au passage. Et je suis en plutôt bonne compagnie depuis le début, mais je n’ai pas encore eu l’occasion de gouter aux différents plats, alors commençons par cela qui tu veux bien. » Elle lui tend la main pour le mener vers les tables du fond et attrape un petit four.
« Bon, on a tous les deux eu deux rencontres avant celle de maintenant et je suis curieuse. Qui ont été les heureux élus pour toi ? Et si tu devait en choisir un pour finir la soirée, sur qui se porterait ton choix ? »
Février 2143 - feat @Oblivion & les participants tenue du jour : www.
Voir une de ses larmes couler la surprend. Tellement qu’elle en oublie sa colère et son agacement. Qu’elle oublie une seconde que son meilleur ami a embrassé son frère.
La seconde chose qui la surprend, c’est cette vague qui lui envahit le corps d’une sensation étrange alors qu’il la serre contre elle, la tension de son être partant d’un coup alors que celui de la jeune femme monte en flèche. Son cœur bat plus vite, ses idées ne sont plus claires.
Toute sa fureur disparaît d’un coup pour ne laisser place qu’à des envies bien étranges.
« Mars… »
Alors qu’il dit qu’elle est ce qu’il a du plus précieux, les doigts de Jupiter s’enfoncent dans sa peau dans une tentative de résistance. Elle sait que c’est son pouvoir, elle l’a compris dès l’instant où des pensées lubriques ont envahi son esprit.
C’est son frère. Elle doit résister.
Les secondes sont longues, elle les compte en contrôlant de nouveau sa respiration.
« Mars… Ton… »
Un gémissement plaintif, à peine audible. Il se rend compte pourtant de ce qu’il en est et s’arrête en s’excusant. S’écartant doucement, elle le fixe avant de fermer les yeux, une main venant cacher une partie de son visage.
« Fais attention… Tu es mon frère… C’est bizarre… Enfin… »
Secoue doucement la tête. C’est terrible. Terrible.
« … Il faut que tu poses tes questions. Ensuite je poserais les miennes. »
Changer de sujet. Rapidement. Histoire d’oublier cette minute étrange et rempli de sensations qu’elle ne devrait pas avoir.
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu es mon frère… C’est bizarre.
Tu la laisses s’éloigner sur ces mots, le regard déviant sur l’extérieur où la brise vient mordre ton visage. Bizarre, hm?Surement. Tu restes muet quelques secondes, comme si tu pesais le pour et le contre mental, alors que tu digères juste ces mots. Encore. Pourtant, tu devrais avoir l’habitude, non ? Ton visage est posté vers l’extérieur, et tu ne la regardes plus. Tu sembles absent quelques secondes.
“Pourquoi c’est bizarre?”
Tu ne la regardes toujours pas, mais c’est elle qui veut des questions. Très bien, elle en aura donc. Les premières et les dernières qui te traversent l’esprit et que peut-être, tu n’avais jamais osé poser. Peut-être juste que les réponses t’ont trop longtemps effrayé. Peut-être qu’il est temps pour toi de les entendre, une bonne fois pour toute.
“Est-ce que tu m’as déjà aimé, Jupiter, autrement qu’un frère?”
Tes mots s’envolent dans la nuit, comme un soupir lancé.
“Et est-ce que c’est le cas encore aujourd’hui?”
Voilà, tes trois questions posées. Silence mortuaire.
- Effectivement, il ne tourne pas autour du pot, mais ce fut un moment très... intéressant.
Pour le reste, tu l'écoutes répondre à tes questions. Tu pourrais cocher ses points positifs, mais dans ta modestie et réserve, tu n'en fais rien. Tu hoches seulement la tête. En revanche... ses questions.... hm...
- Ce n'est pas facile comme questions... Je suis facilement intéressé par... tout un chacun, par un détail qui me frappe mais qui pourrait être insignifiant pour d'autres, pour la beauté, pour une qualité précise, pour simplement une question de feeling.... Je suis très vague, désolé. Je ne crois pas au coup de foudre. Peut-être parce qu'il ne m'a jamais frappé ? Ou frappé tellement de fois que je ne le vois plus, mais alors ce n'est pas vraiment un coup de foudre.
La dernière question.... Ton regard se porte sur l'assemblée dansante.
- C'est possible, mais je ne pense pas que je pourrais aimer seulement une personne.... Je suis un peu compliqué, et peut paraitre frivole alors que... pas vraiment.
Tu essaies d'en rire, de faire passer ça avec légèreté. Et finalement, la déesse de la soirée, organisatrice du bal, te vient en aide en te soufflant le nom du 3e partenaire.
Jupiter s'esquive en première et tu la laisses aller. Tu prends le temps pour toi pour souffler un instant. Les questions posées.... étaient bien plus personnelles et intimes que celles que le frère de la belle rousse avaient posées.
... ... ...
Une fois remis, il te faut trouver Quixote... Une ... legendary ? À croire que tout te liait à eux en cette soirée... Tu trouves la jeune femme et l'accoste avec un sourire.
- Bonsoir, il semblerait que nous sommes amenés à nous rencontrer. Souhaitez-vous danser ? Ou peut-être prendre un peu l'air ?
Hysteria
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Hysteria
Mer 15 Fév - 21:38
Shall Never Surrender
I never surrender
Never Surrender
Tu arques un sourcil à sa réaction. Tu le laisses ménager les émotions qu'il doit ressentir autant à ton égard qu'à celui de December. Un instant de flottement, avant qu'il ne semble reprendre ses esprits et se concentrer sur tes dernières paroles. T'es encore un peu chaud à l'idée de le demarrer, mais au lieu de partir dans une rixe probablement indésirée de l'I.A., Nothing se rapproche de toi pour te subtiliser ta main et la plaquer sur ses parties intimes. Si t'avais encore eu le temps de réflechir, tu te serais peut-être téléporté, mais tu les sens ses boules entre tes doigts. Ou presque, lorsqu'on sait que le tissu masque la forme et ne la distingue pas assez. Qu'est-ce que tu vas faire hyste ? T'es pris entre deux feux. Le provoquer ... ?
... ou le palper ? Tu pourrais bien vous téléporter le temps d'une valse, baiser comme des bêtes dans ta propre chambre, et le ramener ici avant l'annonce du prochain et dernier partenaire. Tu le pourrais. Ta main s'extrait de sa prise. Tu choisis la provocation, amusé :
- Je retire ce que j'ai dit, elles sont bien trop pleines pour que ce soit sain pour toi. Va falloir songer à te vider mon gars.
T'as le regard arrogant, le sourire railleur, mais surtout, tu te mesures. Si tu n'avais pas une autre personne en tête, tu aurais sauté le pas avec lui.
- Et si on allait la voir ? Rien n'exclut qu'on doit rester entre nous.
Sans même attendre son aval, tu n'écoutes que toi et amorces un pas devant les filles : Celsius et... Titania. Si seulement tu n'étais pas sous le charme de la belle Major, tu aurais retenté quelque chose avec la brune. Rendez-vous avec tes trois valentins.