Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Elle n’avait aucune idée de pourquoi elle avait accepté de participer à cet évènement. Peut-être pour le vain espoir de rencontrer quelqu’un. Peut-être pour récolter quelques informations au passage.
Elle reconnait quelques personnes en arrivant, les différentes factions sont représentées ce soir et elle n’est pas à l’aise. C’était déjà compliqué d’être trop entourée dans son propre QG avec uniquement les siens, alors ici son cœur battait bien trop fort dans sa poitrine.
« Gloire à vous, I.A. de Carcosa. Vous qui êtes au-dessus de nous, et nous qui sommes en-dessous de vous. » Elle attrape rapidement un verre pour se donner du courage avant de partir à la recherche de son premier rendez-vous. Calliope parcourt la salle du regard, pose les yeux sur certains couples qui se forment déjà et fini par trouver la personne avec qui elle va devoir passer les prochaines minutes.
La première question et la justification qui suit lui arrache un petit rire et lui permet de se détendre légèrement.
« Dans la mesure où respirer est une activité assez importante pour la survie de manière générale, je pense qu’on peut dire que j’aime ça oui… Et j’essayerais du mieux que je peux de ne pas voir vos sourcils froncés dans ce cas. » Elle prend une petite gorgée de son verre alors que la deuxième question tombe. Elle n’avait pas encore réfléchis aux siennes et espère que la conversation lui offre une possibilité.
« Rester en dehors des Hunting Sport aide à l’entretien, je dois bien l’avouer. Mais ne vous en faites pas, les cheveux court vous vont parfaitement je trouve. » Un autre sourire et la voila totalement détendue, finalement tout se passe bien et elle en oublie presque qu’elle ne voulait pas être là à la base. Elle rougit légèrement lorsque sa main fini dans celle de son interlocutrice et encore un peu plus lorsqu'elle évoque l’idée d’écrire sur leur rencontre.
« Je- j’aime la lire mais je ne pense pas être assez douée pour l’écrire. , elle baisse légèrement la tête avant de reprendre. Si vous veniez à écrire ces vers, je serais ravie d’avoir l’occasion de les lire. » Les trois questions sont posées du côté de son rendez-vous, c'est à elle de jouer. Elle hésite à les poser les unes à la suite des autres pour en être débarrassée. Et fini par décider que c'est la meilleure option pour être certaine d'avoir le compte avant que l'I.A. ne sonne le changement de partenaire.
« Vous écrivez depuis longtemps ?, et de une. Pourquoi être venue aujourd'hui ?, deux. Etes-vous à la recherche de quelque chose en particulier ? » Le compte y est. Peut-être la conversation sera-t-elle plus naturelle maintenant. Elle ignore si c'est le contexte qui rend que la conversation agréable mais étrangement, elle appréciait la compagnie qui avait été décidé pour elle.
Espérons que les prochaines le seront tout autant.
Février 2142 - feat @Quixote & les participants tenue du jour : www.
Tu l’observes, et il attise ta curiosité. Il sait y faire, visiblement. Avec toi, en tout cas. Tu plisses légèrement les yeux, avant de prendre un réel plaisir à cette conversation, plaisir insoupçonné jusqu’à lors. D’autant plus que tu remarques qu’il cesse le contact, et tu apprécies ce geste.
“Deviner, hm...”
Tu l’observes de haut en bas, avant d’esquisser un léger sourire.
“J’ose espérer qu’il s’agisse d’une occupation... noble, ou flatteuse.”
Mais ton regard suggère tout autre, surtout avec sa phrase qui suit. Tu es happé. Par la conversation, par son regard. Il te titille beaucoup trop pour ton propre bien-être, et t’avais absolument pas envie de te retrouver dans une situation où tu allais devoir expliquer qu’il fallait stopper un rapprochement quelconque à moins qu’il souhaite être frappé, vomi dessus, humilié, ou une réaction dont tu n’aurais pas le contrôle. A croire que tu étais phobique de ton propre alter, et cette colère que tu as cette fois qui te fait froncer les sourcils, elle est envers toi même.
Tu reposes ton verre à moitié plein, et te mords la lèvre. Tu observes ton verre dont le liquide bouge encore de l’action.
T'y étais certainement pas pour te farcir deux poignets de peau en pleine partie de jambes en l'air. Quoique t'aurais pas été contre l'idée de te vider l'esprit pour un soir, si ce n'est que les hommes et les femmes vigilantes ont eux-même assez d'argument pour que tu n'aies pas envie d'agir en chien ce soir. En revanche, c'était plus fort que toi, Hysteria. Le désir de voir ta soeur ou ce traîte résonnait en toi depuis la présentation de cet évènement et les tuer te caressait par trop l'esprit.
Sans hésiter tu t'y étais rendu d'un claquement de doigt, sans prendre la peine de sortir le bétail. Par ce biais, tu n'avais même pas de cheval attribué. et de fait, tu ne savais pas faire de cheval.
Une fois sur place, tu cherches d'un regard vigilant tes deux cibles, sans accorder la moindre attention à ce qui t'entourait. Et la frustration te gagne en constatant que les deux proies brillent par leur absence. Sans même t'en rendre compte, tu venais de fêler en deux le pied d'un verre à champagne.
Que prevoyais-tu de faire, s'ils avaient été présents ? Vous regarder en chien de faïence ? Dextre dans ta poche, tu lèves une chope de biere pour te l'enfiler cul sec, avant que ton regard ne coule sur le côté et capte une belle brune. Et pour être belle, elle l'était. Sans quitter tes lèvres du rebord du verre, tu continues à observer la jeune femme d'une oeillade descendante.
Puis tu reposes le verre avec vigueur, le nom de ta partenaire étant susurré à ton oreille. C'était elle. ...
- ... bah voyons.
I.A. Carcosa avait dû ne pas apprécier que tu oublies de la citer pendant que tu buvais. Saloperie.
- Gloire à vous, I.A. de Carcosa. Vous qui êtes au-dessus de nous, et nous qui sommes en-dessous de vous. Putain...
Tu te rapproches d'emblée de jeu de Titania et, tu soupires déjà. Trop de questions tournoyaient autour d'elle. A commencer par comment aborder une femme à l'alter d'ordre absolu.
Tu sens à son regard que... tu l'as attiré d'une manière ou d'une autre ? Ton sourire s'agrandit.
- Je trouve cela assez noble. Et j'ai souvent droit à de jolies vues ....enfin, ça dépend. Parfois elles ne sont pas si belles, mais une fois que je suis passé par là, c'est mieux.... mieux que sans mon intervention.
Tu esquisses un nouveau sourire et retires une nouvelle fois ta main de son bras quand il pose son verre. Tester quelque chose avec toi ? Tu hausses un sourcil, un peu hésitant.
- Cela dépend... Mais je suis d'humeur joueuse... C'est quoi ?
Tu lèves toujours le regard vers lui, intrigué.
Jupiter
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Jupiter
Sam 11 Fév - 23:08
Quand on a que l'amour
event st valentin rip le kokoro
Il semble s’amuser, du moins il en donne une très forte image. Elle est à l’aise, même si danser n’est pas quelque chose qu’elle a l’habitude de faire. Non, elle aurait été certainement avec ses livres à cette heure, en train de languir dans son lit. Finalement elle est joyeuse, à être ici. Danser est plus agréable qu’elle ne le pensait, pour le peu de fois où elle en a eu l’occasion.
« Oui, tu as raison. J’admets que sortir de mes habitudes n’est pas une chose que je fais facilement, mais c’est plus facile avec des personnes que l’on connaît. »
Elle le regarde d’un œil presque nouveau, appréciant de le voir plus à l’aise lui aussi. Plus loquace aussi, habituellement n’échangeant des mots que quand il le fallait, maintenant qu’il parle plus c’est comme si elle lui découvrait une nouvelle facette.
Étonnée de sa question pourtant, elle penche la tête. En pleine réflexion.
« … Je ne me souviens pas beaucoup de mes rêves. Mais ça ne serait pas étonnant que tu ai fait des apparitions. Donc je dirais oui. »
Elle rougit un peu à cette réponse. Un peu embarrassée tout de même.
« De… De quoi est-ce que tu as peur Obli ? »
Le regard ancré au sien, intense. Se demandant si la réponse allait être sincère ou non. S’il allait fuir ou dire la vérité.
Des jolies vues. Des interventions. Ton cerveau fonctionne correctement, et tu émets alors des hypothèses.
“Dans le service médical ou bien mental ? ‘fin, ça regroupe, je suppose...”
Tu t’es un peu emmêlé les pinceaux, mais bon. Tu inspires doucement. Voilà qu’il te demande, et c’est ultra dérangeant pour toi. Tu le regardes, un moment, quelques secondes. Tu redresses alors la main. Main peu assurée, faut le dire, vers son visage. Le geste n’est nullement agressif, et même lent. Jusqu’à toucher sa joue, sauf s’il recule, évidemment. Tu en caresses du bout du pouce, si c’est à ta portée.
“...”
C’était pas ce que tu voulais faire. Tu voulais faire plus, que ça. Mais tu inities jamais les contacts, et ce pas, il est pas mal, étonnant. Il faut l’avouer. T’as pas ressenti de choses bizarres, à part une sensation étrange dans le ventre. Tu détournes le regard et ramène ta main vers le verre, dont tu vides le contenu, beaucoup trop rapidement. Montrer de la gêne, c’est pas ton truc. Ouais, ça non plus.
Il se niche dans l'embrassade de la volupté musicale, en compagnie de ce qu'il considère être au plus proche d'une amie. Rien de moins qu'une alliée. Mais la question était de savoir si il pouvait y avoir plus. Droit comme un cou de zèbre, et solide comme le pilier mouvant du guide qu'il incarne, sa concentration est scindée en deux parties : une pour mener à bien cette danse ; l'autre pour lui offrir toute son attention, même si d'un coup d'oeil involontaire, ses orbes nuiteux accrochent au regard de Mars, dont il se languit presque de ses ires incessantes.
Enfin. A l'idée de jalonner les rêves de Jupiter, même si cela est rare, Oblivion fait montre d'une unique timidité. Peut-être que le sujet ne le met pas forcément à l'aise. Ou peut-être s'agit-il de Jupiter. Ou alors encore, il n'est pas habitué à une telle intimité entre eux. De ses pensées labyrinthiques il n'a pas manqué toutefois de voir les deux pommettes se rougir à ses intentions joueuses.
Et alors qu'il s'amuse réellement de la situation, la question de sa partenaire lui jette un froid total. Comme en proie à une réponse déjà réfléchie auparavant. Une réponse à laquelle il ne désire donner de convictions.
- ... .. Je présume que j'ai peur de moi-même.
Tu ne crois pas si bien dire.
-.... d'être impuissant face au danger. J'ai peur de me dégouter.
L'une de ses mains d'ailleurs, se glisse jusqu'aux poches, pour en sortir l'éternelle soierie destinée à nettoyer la sombreur de son front. L'homme dévie intentionnellement la conversation pour la recentrer autour du thème de la soirée. Question d'arrangement.
Sa réponse la laisse pensive, mais c’est surtout une expression concernée qui apparaît sur ses traits. Peur de lui-même ? De se dégoûter ? Elle se rend compte qu’au fond, elle ne le connait pas si bien malgré le temps qu’ils passent ensemble.
D’un geste lent, elle lève une main qui se pose doucement sur sa joue, le bout des doigts effleurant sa peau.
« Tu ne devrais pas avoir de telles craintes. »
Elle a une confiance presque aveugle envers son partenaire, savoir qu’il est aussi peu confiant en lui… Cela lui fait de la peine. Elle retire sa main quand il va pour essuyer la vase de son front, un sourire doux aux lèvres.
Sa nouvelle question la surprend, ses sourcils se haussent alors qu’elle enregistre ce qu’il vient de dire tout en réfléchissant à la réponse.
« Si j’ai peur… »
Ses yeux s’assombrissent, elle baisse les yeux.
« Oui… J’ai peur. Parce que je ne l’ai jamais vraiment connu. Et que c’est effrayant de dépendre émotionnellement de quelqu’un. »
L’amour, c’est beau. Mais ça fait mal, très mal. Ça brise la plus forte des personnes.
nous ne pouvions décemment pas laisser notre bichette mourir dans les entrailles des lions. nous ne pouvions donc guère faire autrement que de venir en ce lieu, en cette fête insipide. notre prétendue grandeur mettant le feu à la salle quand nous marchâmes, un pas après l'autre pour entrer en cette étendue. c'est que nous n'avions guère fait les choses à moitié ; nous nous en fichons royalement ; nous avons juste pris une robe qui passait par là sans nous soucier aucunement d'un quelconque code vestimentaire. nous n'étions pas là pour l'amour, nous n'étions pas là pour trouver âme qui vive à nos bras ; nous vivons très bien toute seule, sans aucune personne à nos côtés et cela est bénéfique.
pour éviter de l'embarras, de devoir une énième fois mimer parmi une troupe d'individus, nous avions emporté avec nous un carnet et un stylo ; celui-ci même coincé en notre poitrine, seul endroit pouvant le retenir et laissant libre cours à une de nos mains. nous ne quittions pas notre vigilance malgré les bonbons qui nous faisaient de l'oeil ; les sucreries sont un fléau ! notre fouet nous manque ! notre main, nos ongles pour l'occasion, glissant sur notre cuisse ; rien, strictement rien.
nous neumes pas à attendre longtemps quand on glissa un nom à notre oreille ; la déception fut grande, nous n'avions guère la bichette. un regard vers l'endroit où elle se trouvait, un rapide calcul nous entamâmes pour juger de la personne en face d'elle. cependant, une présence se faisant ressentir derrière nous, nous nous retournâmes - jugeant de haut en bas cet individu qui nous parlait. sans nul doute avait-il tout autant envie que nous d'être en ces lieux. sa première question posée, nos doigts s'accrochèrent à ce stylo (nous nous fichons bien de ce que nous donnions comme image, de ce stylo enfoncé dans notre poitrine) - un sourire se dessina sur la page blanche alors que nous retournions le carnet pour lui montrer.
nous pointâmes alors du bout du stylo la page, puis son torse ; signifiant par cela que nous voulions lui retourner ladite question. cela s'annonçait palpitant, n'est-il pas ? nous pourrions presque sourire ; simple grimace nous portons pour l'instant.
Ft. Nothing Event Saint Valentin Première rencontre
Celsius devait l'avouer : une forme de curiosité venait de prendre le pas sur sa raison. Alors elle était là, aux portes d'une bâtisse bien différente de toutes les autres entraperçue jusque là aux frontières de leur territoire, à fêter toute l'ironie d'une IA qui prônait culturellement et scientifiquement l'Amour avec un grand A, et organisait pour autant ce dont elle était aujourd'hui la maîtresse parmi les siens. Major au nom de la Chasse à l'Homme...
Par chance, la dérision était au rendez-vous. Après tout, n'était-ce pas l'occasion de connaître davantage ses amis comme ses rivaux ? De tester "la marchandise" et leur raison ?
Elle entre alors dans la danse et constate que le milieu mène une valse particulière. L'ambiance est calme, et presque conviviale.
C'est donc à son passage qu'un claquements de talons fort assumé envahit le white land et son salon ; terrible dissonance piquante dont seules les roses pourvues d'épines en ces lieux embrassent pleinement leur rôle. Et si Celsius semble esquisser un avis rapide ou un geste, ce ne fut que pour adresser un remerciement pour les compliments adressés quant à sa robe rouge, sur laquelle sa chevelure et coupé au carré la valorisait cette fois-ci plus que le confort d'une chemise blanche et une paire de baskets...
La major était donc une présence pour l'heure froide, subtile, mais mutine. Et pourtant, l'initiative ne vint pas d'elle. A la place, vint un soldat qu'elle crut reconnaître de loin. Car l'homme en question ne se présenta à elle non pas en tant que soldat, mais en tant qu'être humain voilé par un surnom plein...d'humilité ? Un sourire distant se dessina sur ses lèvres à son tour.
"Nothing, donc...Enchanté. Celsius."
Instinctivement, sa main serre la sienne. Brise la glace par habitude ou par diplomatie ; les présentations étaient souvent elle aussi vouée à l'automatisme de son côté.
"27 ans. Et vous ?"
Probablement un peu plus âgé. Elle ne saurait dire en ne jugeant que son physique et ses réactions, oscillant entre perplexité et tendresse face à tant de maladresse en un si grand gabari. Sa gêne avouée, un rire très léger la gagne soudain. Il lui fait penser aux jeunes chercheurs quand ils sont incertains.
"Non, on va dire que vous vous en sortez bien." Car après tout, il y avait pire conversation. "Pour ma part, je n'ai pas le temps de prôner l'amour dans tout les quartiers, non. Je suis plus habituée à parler aux soldats et aux créatures de Carcosa qu'à harponner tous les hommes de l'île au premier venu, c'est certain."
Son attention reste pourtant toute portée sur son binôme et ses questions...
"Je mène mes projets et mes recherches, j'apprécie étudier la faune locale et ses dangers. Tenter de percer leurs mystères, les comprendre au moins..." Son regard prend ensuite le temps d'examiner avec plus d'intérêt Nothing. "Très belle tenue, au passage. Vous êtes très élégant. Je crois déceler un esprit soigné et soigneux, non ?"
Le compliment s'accompagne d'un clin d'oeil subtil, mais pas foncièrement grossier. Au mieux est-ce un conseil dissimulé et adressé à son paire pour la suite ; une piste pour bien démarrer ses conversations.
"Vous avez peut-être déjà pu danser avant ? Ou serait-ce une première si je vous fais la demande ?"
Celsius n'est pas certaine de pouvoir prédire sa réponse, mais qu'importe. C'est déjà une bonne piste pour connaître un peu mieux à qui elle a affaire.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 1 : Celsius
Tu écoutes ses réponses, et ne les analysent pas encore. Tu les gardes dans un coin de ta mémoire pour les moments hors dating, qui seront les plus propices à la réflexion, bien que ce ne soit pas ta qualité première.
“35 ans.”
Elle était donc plus jeune que toi, de presque 10 ans. Ce n’était pas grand chose, en soit, mais tu avais tendance à rabaisser tes cadets sans le vouloir, te disant que l’expérience n’était pas quelque chose à prendre à la légère, et qu’au final, ce n’était pas non plus quelque chose qui pouvait s’acheter ou s’apprendre rapidement. Cependant, si son grade était plus élevé que le tien, tu la tiendrais en respect, ennemi ou non. Tu avais cette hiérarchie dans le sang, et il fallait qu’elle dénote, alors dans le manque d’informations, tu ne fis aucun commentaire.
La suite de ses paroles confirma tes doutes. Elle était donc plus haut gradée qu’un soldat classique, comme toi. Le respect était donc de mise, évidemment. Le vouvoiement serait donc utilisé pour ta part et tu ne t’offusquerais pas d’un tutoiement en retour. Tu étais programmé pour ça.
Un rapide coup d’oeil sur ta tenue, et un léger sourire maladroit à nouveau s’installa.
“Effectivement. Je tiens à ce que les choses soient respectées et mises en place comme elles devraient l’être, ça passe aussi par une tenue soignée et un comportement irréprochable en public.”
Ton regard remonta pour captiver le sien, sans perdre ce sourire qui s’améliorait un peu... non pas vraiment, en fait. Si bien que tu le cessa immédiatement, retrouvant un faciès naturellement ôté de toute expression possible.
“Vous êtes également charmante, et très élégante. Nul doute que de nombreux regards se tourneront et se tournent vers vous.”
Un compliment sincère, car après tout, c’était le cas.
“Je sais danser, mais je ne l’ai jamais réellement mis en pratique. Si vous permettez?”
Tu reposais alors ton verre, pris le sien si elle en possédait un pour le poser à son tour, et tendis le bras pour qu’elle le prenne. Tu connaissais la danse, les pas demandés, les rythmes et les accords. Tu avais étudié suffisamment de choses pour ne pas commettre d’impair en cette soirée dansante en partie, et tu étais donc millimétré pour cela. Sans place à de la folie, tu guidais la demoiselle dans une danse presque parfaite, seulement inexpérimentée pour ne pas l’être.
Aux mots qu'elle prononce, son regard se fait plus scrutateur, teinté d'une couleur douce-amère de jugement. Sans pour autant désirer la condamner à ses propos tout ce qu'il y avait de plus crédule et surtout, bienveillant. Car il était de ça chez Jupiter qu'Oblivion se nourrissait pour son propre bien.
- Mais ce sont mes craintes.
Et elles ne gênent personne pour le moment. Les mots suivant résonnent davantage à son oreille lorsqu'elle ouvre son coeur sur ses peurs. Le brun salut d'un mouvement de tête favorable sa réponse, tandis qu'il épouse sans grand mal le fond de ses aveux. Car lui aussi, il voit cette peur au coeur de son esprit lorsque l'attachement virevolte devant ses yeux. Mais peut-être est-il aussi aveugle à ce qu'il ressent pour le peu de proches qu'il possède.
- Non.
Sans même faire montre de la moindre réflexion à sa question, il ne daigne faire montre de compassion à l'égard de ce qui est encore considéré aujourd'hui comme de plus beau, de plus galvanisant.
- Je ne souhaite pas aimer. C'est un carcan dont je ne veux m'encombrer.
Au-dela de ses mots, ses pensées se tournent toutes vers une seule entité : Persephone, dont le coeur avait vibré à ses côtés, avant que la fin ne sonne des mois suivants leur amourette.
- ... Dis-moi, tu ne ressens rien pour moi ? Je veux dire, tu n'as ni fantasmé ni espéré une relation plus profonde avec moi ?
Tu ne peux empêcher ton regard mordoré de deriver aux détails qu'elle présente : de parures d'or aux doigts jusqu'au talons délicats. Cette femme a un fort potentiel de prestige et de captivation pour que tu ne puisses céder à ses charmes. Et puis, c'est le thème de la soirée non ? Alors pourquoi resister au moins à l'appel de t'en rapprocher, l'espace d'une heure.
T'es très direct, et tu vas encore le démontrer ce soir :
- Tu es en tout cas ...
Coup d'oeil vers les autres dames.
- ... je dirai très élégante. Pour ce que ca vaut, j'apprécie.
Et tu ne peux détacher ton regard de sa robe et des pans de peau qu'elle laisse découvrir. Aie aie aie, les hommes te manquent, mais quand une femme sait se détacher des autres, c'est un dilemme. Enfin, tu daignes regarder son carnet, le stylo s'agitant et te pointant.
- Ah et pour te répondre, je suis ... plutôt détendu à l'idée de rester ici. ...
Tu soupires une fois de plus, mais cette fois-ci tu te fais discret. Comment aborder une parfaite inconnue, des Legendary en outre, en abordant des questions personnelles.
- Bon, tu m'excuseras belle demoiselle, mais le temps presse. Je n'vais donc pas passer par quatre chemins.
Et droit dans les yeux, tu lui demandes :
- Tu as un type d'homme ? Ou de femme ? D'ailleurs, qu'est-ce qui t'a poussé à venir ici ? Est-ce l'appât de la flamme du désir ou tout autre chose ? Et enfin...
Ose, Hysteria. Tu veux casser les codes. Mais t'arrête pas de te lécher le bout des lèvres. Et de te rapprocher d'elle aux limites de l'intimité.
- ... as-tu déjà été submergée par un fantasme d'ordre charnel ?
Sa réponse ne la surprend pas. Elle se contente de sourire, hochant doucement la tête. Elle-même ne souhaite pas tomber amoureuse, du moins pas pour l’instant.
Qui sait ce que demain réserve, peut-être qu’elle changera d’avis ? Mais maintenant non, parce qu’elle ne veut pas se prendre trop la tête avec des sentiments ou des pensées qu’elle ne contrôlerait pas. Déjà qu’elle a du mal à se gérer de base, si en plus ce genre de chose arrive… Oui, ça serait bien compliqué pour elle.
« Non. »
Signe négatif de la tête à sa question.
« Tu es mon partenaire, l’un de mes amis les plus proches. Donc non, je n’ai jamais eu ce genre d’idée à ton égard. »
Honnête. Jamais elle n’a vu Oblivion autrement. Son partenaire, son ombre pendant ses expéditions, son deuxième protecteur derrière Mars. Il a sa totale confiance, elle trouverait ça stupide de tout gâcher avec des sentiments amoureux. Car elle sait qu’elle le perdrait si jamais ce genre de chose venait à naître dans son cœur.
« Est-ce que tu es déjà tombé amoureux ? »
Quand elle y pense, elle ne sait pas grand-chose sur ce domaine le concernant. Peut-être parce qu’il n’y a pas grand-chose à dire ? C’est le moment d’en savoir plus finalement.
Ft. Nothing Event Saint Valentin Première rencontre
Sa réponse la ramène à une certaine réalité. Elle est jeune, pour une Major. C'est un fait. Une succession contestée, peut-être provisoire et morte née, qui sait ? Qu'il n'en tienne pas compte ni rigueur la surprend. C'est étrangement respectueux.
"Et bien, c'est plutôt bien joué...Mais j'ai le sentiment qu'il ne faut pas prendre cette petite fête pour quelque chose de trop important. Profites-en."
Tout au mieux, s'agit-il d'un instant pour soupirer et donner du leste aux résidents de Carcosa pour ne pas les frustrer.
"Tu peux me tutoyer, au cas où. Tu n'en auras peut-être pas l'occasion par la suite, après tout."
Elle aurait pu être plus piquante. Seulement, elle n'en ressent ici pas le besoin. Peut-être parce que Nothing réagissait comme l'un des soldats qu'elle prenait sous son aile ? Cette danse serait finalement la bienvenue pour tenter de s'évader un peu de leur devoir. Son invitation acceptée, elle ne peut retenir plus d'intérêt.
"Eh bien, la pratique parle parfois mieux que les mots." Dans son souffle, Celsius chasse la timidité et prit quelques pas vers la danse. La dernière fois qu'elle avait dansé, ce fut avec...Non, elle n'ose y songer davantage. Se concentre sur son vis-à-vis dont elle ne veut pas savoir l'allégeance. "Nos mains ici, et les sens en alerte. Toujours sur le qui-vive. Vers le tempo et la musique, et nos mouvements. C'est un peu spécial de danser avec quelqu'un. Ca signifie le connaître, le suivre et lui faire confiance...Si tu veux, je te suis."
Son invitation, sa main sur son épaule et sa démarche qui suivent et invitent une première valse trahissent ici une forme de douceur et d'attention.
"Que penses-tu de cette fête ? De cette initiative à nous rassembler ? Je dois avouer que j'y vois un certain intérêt. De quoi communiquer entre nous..."
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