Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
nous ne nous pavanons pas ; nous ne renvoyons même pas le compliment, nous pourrions dire que nous sommes un peu odieuses si ce n'est méchante. nous ne faisons que hausser les épaules - un simple sifflement (agacement ?) face à ce genre de remarque ; nous ne sommes pas friands des individus louches qui ouvrent la bouche pour ce genre de phrase.
la réponse nous parvient et nous hochons la tête sans le quitter du regard ; un champ de bataille d'une manière différente mais tout de même - pourrions-nous perdre la tête ? nous nous la couperions-nous même si cela devait arriver, la faiblesse n'est pas permise pour notre envolée - clac.
nous nous attendions à des questions d'ordre un tant soit peu romantique ; mais nous connaissions déjà la réponse depuis belle lurette - c'est que notre alter ne permettait nullement que ses sentiments s'ouvrent à nous. alors tout aussi naturellement nous nous sommes juste rendu compte que nous n'en portions pas à l'espèce humaine ; des formes possédant un visage et un physique, tout simplement. cependant une chose nous rebute plus que tout, quand ledit individu commence à entrer dans l'espace presque intime. nous n'apprécions guère son audace et une note aiguë sort de nos lèvres comme avertissement ; la seule et unique qu'il y aura avant que s'abatte l'ordre.
nous ne reculons pas, nous n'admettons pas de montrer une faiblesse à un futur ennemi potentiel ; à la place, nous utilisons son torse comme table en lui souriant toujours plus. ce sourire est toujours de mauvais augure. si nous jouons, nous pourrons tuer - notre prétendue folie est fictivement associée à notre prénom.
pour répondre à sa première question, nous dessinons rapidement une croix ; ainsi qu'à sa deuxième - pour la troisième nous laissons un point d'interrogation (nous ne le laisserons pas cibler la biche). à la quatrième nous dessinons plutôt un livre - référence à notre curiosité insaisissable (nous ne lui donnons pas la raison première). enfin pour la dernière ; nous levons les doigts, les croisant un court instant avant de lui faire une forte pichenette sur son front - nous n'aimons pas ce qu'il sous-entendait.
nous lui montrons les réponses unes à unes ; avant de reprendre son torse - nous écrivons les questionnements suivants : "les vigilantes apprécie donc ce genre d'évènement ? quand est-il de l'avis de votre reine ? veux-tu réellement que je devienne ton ennemie ?" et pour cette dernière, nous retournons encore une fois ce carnet en lui pointant furieusement celle-ci. elle fut soulignée. s'il ne comprend guère le sous-entendu, nous ne pourrons plus rien faire pour son intellect.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 1 : Celsius
Malgré la permission offerte, tu ne te le permettrais pas. C’était contre ta propre nature d’avoir une telle familiarité avec une personne supérieure de rang.
“Merci pour la proposition, même si je ne peux l’honorer.”
Tu ne souris pas à la suite, ayant finalement compris que ton sourire faisait peut-être plus peur qu’être agréable, un coté aliéné à celui-ci peut-être, disposé à être utilisé qu’avec un rire dément... Ce qui ne te collait pas du tout à la peau, il faut l’avouer.
“C’est avec plaisir que pour ce soir, je prendrais donc soin de vous guider comme il se doit.”
Tu avouais ainsi, à demi-mots, que tu ne tenterais rien d’hostile à son égard. Un privilège que tu ne pourrais pas honorer si l’un.e de tes supérieur.e.s feraient le plaisir de le contrer, mais ce n’était pas le cas, car tu n’en voyais l’ombre. Elle pouvait donc être soulagée, même si elle l’ignorait, car ta parole est valable pour bien des univers, et au delà des factions.
“Je comprends l’aspect que vous y portez. Je n’y vois cependant qu’une distraction contre un véritable but. Celui de la survie. Simplement “vivre”, pour une nuit, n’est pas un but dont il faut se satisfaire. Il faudrait “vivre” en tout temps, et pour cela... Certaines choses doivent être suivies, et d’autres doivent cesser.”
Son regard ne quittait pas le sien, nullement menaçant, il la berçait dans sa danse, et dans ses paroles qui reflétaient ses pensées. Nul besoin de mentir, il n’était pas visionnaire à ce point. Manipulateur quand l’occasion se présentait, pour un but précis, mais ce soir il n’en avait aucun. Aucun, à part profiter d’une présence qui lui était offerte.
Il appuya doucement sa poigne contre le bas-dos de la jeune femme, rapprochant avec aisance et discrétion leurs corps. Ses lèvres parvenant à son oreille avec naturel, un brin de curiosité bien qu’absente de visibilité.
“Votre coeur bat-il pour une autre raison que la danse que nous pratiquons ou pour le métier que vous exercez avec autant de grâce et fermeté, à n'en pas douter, que vos pas ?”
Une femme froide et secrète est toujours plus gérable lorsque le son de sa voix ne se fait pas entendre. Mais, aussi étonnant que ça puisse l'être, tu es presque rassuré qu'elle te rappelle à l'ordre sur ton rapprochement. Tu te souviens ô combien les femmes sont d'un compliqué déboussolant et que ça creuse des cernes au pied.
Une véritable prise de tête, mais le tout en étant grisant. ... c'est ça... t'es grisé par elle. Par le refus. le rejet.
T'as un grain, c'est sûr. Tu regardes ailleurs et elle te ramène à elle en dessinant sur ton torse. Et tu arrives à comprendre avec aisance tous ses réponses, surtout la dernière.
- Et rosière, contre toute attente.
Intéressant. Mais tu regardes ta vieille montre avec la pression d'en finir. Quelque part, elle avait attisé une curiosité dont tu te ferais plaisir à mettre un terme par un autre rendez-vous, orchestré par tes soins et à l'abri des regards. En attendant, tu daignes lui donner des réponses on ne peut plus nonchalantes :
- Que sais-je de ce qu'aiment les vigilantes, ma gente dame, ils ne sont pas moi et je ne suis pas eux. Quant à notre reine, elle nous fait confiance, n'est-ce pas la même chose pour celui qui vous gouverne ?
Tu t'éloignes finalement, toi et ta chaleur corporelle, avant de dresser un regard sur les autres participants à l'évènement. Peut-être serait-il judicieux de partir ?
- Quant à devenir mon ennemie, ce serait avec plaisir. En espérant que tes alters puissent me punir. ...
Ton visage est tourné vers les autres, mais ton regard, lui, la couve d'une intention insidieuse :
Now's your moment Floating in a blue lagoon Boy, you better do it soon
  Elle avait ses réponses. Déjà, sa partenaire n'était assurément pas une soldate. Et elle aimait respirer. Shocking.
▬ si l'inspiration vient je ne manquerais pas de vous les partager par pigeon. Et, oui, j'apprécie écrire. Nos actes et nos paroles se meurent le moment où elle se termine mais nos écrits restent bien après nos morts. Je trouve cette pensée apaisante.
Elle prit un peu de temps pour réfléchir aux questions suivantes.
▬ Hmmm, l'IA l'a demandé, je ne vois pas vraiment besoin d'autre justifications a ma présence ici.
Même si elle venait de réaliser que "empêcher mes subordonnés de reprendre leurs germes n'importe où" était une raison potentielle.
▬ Ce que je recherche... Ici ? Ou bien en général ? Je dois avouer que les deux se rapprochent. L'honneur et la galanterie sont les seules valeurs auxquelles devrait aspirer l'être humain, gratifier nos pairs de l'éclat des Legendary et honorer l'IA me semblent être des objectifs suffisants. Bien qu'il soit toujours appréciable de rencontre charmante compagnie par la même occasion.
Même si cette même compagnie pourrait périr de sa main un jour où l'autre.
Il la couve d'un regard tendre. D'une réponse offerte dans la grâce de sa sincérité, qu'il acquiesce ; et il la fait tourner d'un mouvement de main levée vers les cieux, avant de la récupérer tout contre lui.
Quelle étrange situation reposante que de danser avec son amie, dont les mots sont à chérir langoureusement tant il apprécie voir une reciprocité de sentiments platoniques.
Lorsque la musique s'épuise sur leurs pas entrainés, Oblivion semble être submergé par la qualité de sa propre réponse. Peut-être parce qu'il ne sait pas ce qui en ressortirait s'il mentait, ou disait la vérité.
- ... J'appellerai plutôt ça de l'émoustillement. Et un attachement certain, sans parler du véritable et grand amour.
Enfin, tout semble s'arrêter lorsqu'on lui chuchote sa deuxième partenaire. D'un mouvement de chef qui acquiesce, il la libère de leur étreinte, murmure à peine :
- A tout à l'heure.
Nouvelle fois son front épousé par la soierie souillée, qu'il s'invite à nettoyer en rejoignant les seules toilettes du bar. Sa tenue : lien ici
Les couples tournent. Lorsque 21h30 sonne durant cette soirée mémorable du 14 février, vous entendez alors à vos oreilles, comme si la voix avait pénétré votre esprit, et n'était entendu que de vous :
« Bravo à tous pour votre implication, et pour avoir joué le jeu. J'espère que votre tout nouveau ou toute nouvelle partenaire vous plait. Gloire à Carcosa. »
Ft. Nothing Event Saint Valentin Première rencontre
Vivre pour une nuit. Une distraction, une futilité. Ou un manque d'ambition. Un mouvement vers la gauche puis la droite donne un instant d'intimité qui, pour autant, ne se voile pas d'illusions. Ils savent où ils sont. Ils ont tout deux l'esprit froid pour l'heure.
Et Celsius sait qu'elle n'a pas le droit à l'erreur, elle non plus.
"C'est absurde, n'est-ce pas ?"
Carcosa est cruelle. La philosophie de Nothing résonne avec bien des pensées et des Hommes mais elle n'y voit qu'un mental brisé, fracassé puis reforgé par les mauvaises expériences. Ce contre quoi sa lutte se porte quand elle tente d'apporter des solutions scientifiques.
Petite fille, elle songeait que ces malheurs ne la toucheraient jamais.
Alors ces propos la touchent plus que de coutumes. Celsius serre la manche de Nothing tandis qu'ils virevoltent. Elle prononce le même discours pour ne pas se trahir, mais songe à lui porter du réconfort. C'est ce que signent la préoccupation dans ses orbes éméraudes et ses lèvres entrouvertes qui se prêtent au silence.
"Toute chose à une fin. C'est inscrit dans la vie et dans l'histoire de nos soldats." Elle ne lui apprendrait rien. Ces mots sont pourtant adressés pour révéler le dégoût qu'elle porte à l'IA et à la notion de survie. "Mais j'aurais voulu qu'il en soit autrement. Je pense que nous ne sommes pas faits pour être éternellement tenu en laisse. Même la plus docile des créatures finit par mordre son agresseur. Cette fête nous manipule sur ce dont nous avons besoin pour ne pas devenir complètement sans coeur. C'est à la fois une nécessité humaine et un rêve. Ou plutôt...une illusion."
L'amour est affaire compliquée. Affaire de soldat, mais pas de haut gradés. Pourtant, la chaleur et la proximité de son corps contre le sien dans un dernier mouvement penché lui tire un soupir. Un frisson lui parcourt l'échine et un aveu s'échappe de ses lippes, sans pour autant s'échapper de son emprise.
"Les deux. Je prends à coeur mon rôle parce que c'est ce qu'on attend de moi. Mais d'un autre côté, je vois devant moi quelqu'un de plus tendre et honnête que prévu, sous ce visage sérieux et décidé. Mon coeur bat encore pour les énigmes et vous en auriez été une, en d'autres circonstances."
Ses doigts caressèrent un bref instant sa manche, coulant finalement le long de son bras avant de prendre un pas en arrière. Un dernier regard sans mot mais appuyé exprime néanmoins le remerciement qu'elle lui adresse pour ce moment partagé.
(déso je publie avec dix minutes de retard pour conclure )
event st valentinavecla populasse round 2 : Oblivion
Tu écoutes la réponse de Lime, mais les cloches sonnent déjà. Du moins, tu comprends que le “date” est terminé, et qu’il te faut un nouveau partenaire. C’est alors que ce que tu entends, te donne un frisson.
L’IA aurait-elle entendu tes prières silencieuses ? Diable que cette satisfaction a un gout de plaisir.
C’est donc d’un regard serpentin et changeant, que tu repères ta proie qui glisse aux toilettes. Un rire interne te berce, te prélasse, te rend fou, ta paresse s’augmente alors que tes pas se font lourds dans la salle. Comme si ton champ de vision s’était rétréci sur cette porte, que tu franchis et refermes derrière toi.
Tu ne laisses pas l’homme s’affairer, Ni se laver, Ni même respirer et comprendre ta présence, Que ta main agrippe déjà l’épaule de ton “partenaire” pour quelques minutes, le retournant face à toi.
Le regard planter dans le sien, alors que ton torse s’impose une distance millimétrée pour ne pas le toucher, et pourtant, tu en serais capable, parce que dans ton regard, c’est de la haine et de la tension qui y règnent en maîtresses. Tu le surplombes de quelques centimètres, mais ils sont suffisants. Tes lèvres s’ouvrent, tes paroles sifflent comme la mort qui s’avance, alors que tu fais pression pour le faire reculer, sans qu’il ne se défile. Tu y veilles bien.
Tu préfères une mort lente, ou rapide ?
Un sourire lent, carnassier, presque dévorateur de tout son être lorsque son dos percute ; tu l’espères ; le mur des toilettes derrière lui.
A moins que tu préfères une mort orgasmique ? J’ai les capacités de te faire jouir autant de fois que tu puisses respirer, et ce, sans lever le petit doigt.
Et ainsi soit-il. Ton alter fut libéré brutalement entre lui, toi, ce mur et ces toilettes.
Les réponses à ses questions ne tardent pas, mais elle n’a pas le temps de continuer la conversation. L’I.A. à reprit la parole, elle doit changer de partenaire.
« Je suis ravie d’avoir eu mon premier rendez-vous avec une personne telle que vous. J’espère que ma compagnie à été agréable. , elle lance un dernier sourire avant de s’éloigner pour aller vers son prochain partenaire. J’espère recevoir un pigeon de votre part avec ces fameux vers. » Elle scanne la foule du regard et adresse un signe à Titania lorsqu’elle l’aperçois un peu plus loin et finalement, elle le trouve.
« Bonsoir, il semble que nous devions passer les prochaines minutes ensemble , elle était bien plus détendue qu’à son arrivée. Je suis Calliope. J’espère que vous passez une bonne soirée. » Elle devait poser deux nouvelles questions, plus osées que les premières pour contenter l’I.A.. Elle hésite, avant de finalement se jeter à l’eau une nouvelle fois.
« Quelle sont les qualités indispensable à votre partenaire idéal ? Pensez-vous repartir avec quelqu’un ce soir, même pour une nuit ? » Est-ce que c’était suffisant ?
Ses réactions étaient amusantes. Il était comme en train... d'apprendre ? Alors tu lui laisses le temps. Tu n'es pas non plus là pour lui forcer la main. Cette soirée devait être plaisante avant tout. Pour tout le monde. Peu importe la faction. Pour une fois qu'on pouvait échanger sans effusion de violence ou de sang.
Il lève sa main vers toi et te caresse la joue. Tu laisses le contact se faire. Il n'avait vraiment pas l'air à l'aise. ... Serait-ce un peu de gêne ? D'un homme pareil ? Enfin, tout le monde n'a pas le même rapport aux sentiments.
Tu es resté silencieux tout le temps de l'échange tactile, mais un sourire amusé se dessine plus franchement quand il reprend son verre et change le sujet.
- Non, je n'en ai pas...
Oh. On dirait que le changement doit s'opérer.
Tu offres un doux sourire à ton premier Valentin. Tu t'approches de lui, mais évite donc le contact. À la place, tu lui murmures quelques mots.
- Je vais devoir aller trouver ma prochaine partenaire, mais si tu veux réitérer plus tard, je ne serais sans doute pas trop loin.
Tu t'éloignes en lui faisant un clin d'oeil et le pas léger.
Et tu vas trouver une autre personne rousse, tout aussi jolie que l'homme que tu avais quitté à l'instant. N'y aurait-il pas un air de famille ?
- Bonsoir ? Puis-je vous inviter à danser ou boire un verre ?
Tu marques une pause, car la sensation de déjà-vu est bien présente.
- N'auriez-vous pas un frère ?
Jupiter
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Jupiter
Dim 12 Fév - 14:53
Quand on a que l'amour
event st valentin rip le kokoro
Elle se détache de son partenaire, lui fait un signe de tête avant de le regarder partir. Tout en réfléchissant à sa réponse. Un émoustillement ? Il va falloir qu’elle lui demande plus de détails à l’avenir, bien curieuse de savoir qui a pu provoquer ne serait-ce qu’un début d’étincelle dans le cœur de son meilleur ami. Un regard rapide pour voir où est son frère, savoir s’il s’amuse ou bien s’il s’ennuie mais elle n’en sait pas plus vu qu’il lui tourne le dos.
Cependant vu son pas rapide, il n’a pas dû passer un bon moment. Moue concernée sur le visage, elle se laisse à un petit soupire avant qu’une autre personne vienne lui parler, ayant presque oubliée l’espace d’un instant qu’elle devait converser avec quelqu’un d’autre.
Un sourire l’accueille, aussi chaleureux que sa crinière de braise.
« Si c’est une boisson sans alcool, j’accepte avec plaisir. La danse est aussi une bonne idée, je vous laisse donc choisir. »
Tête curieuse quand il demande si elle a un frère. Le fixe avec plus d’intérêt. Mars est si grand qu’elle n’a pas pu voir avec qui il était auparavant, le cachant complètement de sa personne. Était-ce lui ?
« Oui… Peut-être étiez-vous avec lui à l’instant ? Il s’appelle Mars. »
Regard circulaire pour essayer de le trouver des yeux, mais impossible de voir. Cherche aussi Oblivion pour savoir avec qui il était à présent, mais hors de son champ de vision aussi. Tiens ? C’est curieux… Mais elle ne cherche pas plus Jupiter.
« Je m’appelle Jupiter. Enchantée de vous rencontrer… Lime, est-ce bien ça ? »
Sourire amical. Clairement pas le même effet que son frère peut faire aux gens.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 2 : Calliope
Nier l’évidence d’une attirance.
Tu l’étais, attiré. Attiré par elle. C’était étrange comme cela rentrait en contradiction avec ce que pouvait penser ta faction. Car avant toute chose, tu étais égoiste. Tu vivais pour toi, avant de vivre pour les Wild en second temps. C’est ce qui faisait ta force, mais aussi, préchait dans ce genre de moment car rien ne te retenait d’y voir la lueur de quelque chose.
Lorsque le départ était lancé, tes doigts glissèrent dans les siens pour la retenir, quelques secondes, la regardant encore. Des mots silencieux. Tu relâchas ensuite l’emprise pour te retourner vers le bar, lui tournant le dos. Comme tu avais tourné le dos a beaucoup de choses ces dernières années, pour d’autres solutions. D’autres voies.
C’est donc le regard légèrement perdu, qu’une jeune demoiselle... encore plus jeune que la précédente, s’impose à toi.
“Ma soirée fut agréable jusque là. Et la votre?”
Il se concentrait sur le présent, essayant de mettre de coté sa précédente rencontre.
Les questions ne tardèrent pas, comme une bouteille jetée dans la foule. Tu haussais un sourcil avant de finalement comprendre cette finalité, réfléchissant en attrapant un verre qui passait par là, y trempant les lèvres, rentrant la main libre dans une de tes poches.
“Rigueur, honnêteté, contrôle de soi, respect de l’ordre hiérarchique... Une personnalité plus expansive dans le cadre privé.”
Tu y réfléchissais vraiment, car tu ne l’avais pas fait depuis quelques années. Tu soupirais alors.
“Mais, je ne cherche personne. Donc, non. Je ne pense pas “repartir” avec quelqu’un d’autre que moi-même.”
Tu redressas ton regard bleuté sur la demoiselle. Deux questions, plus intrusives... Ce n’était pas ton genre d’être directement irrespectueux, surtout envers une jeune femme, tu cherchais donc des questions plus adaptées, tout en étant poli. Un minimum.
“Avez-vous des préférences sexuelles quelconque ? Si cette question vous gêne, je m’en excuse d’avance. Vous pouvez répondre en étant vague, il n’y aucun soucis à cela. Je suis également curieux de savoir... Comment s’est passé votre dernière relation amoureuse, ou ce qui s’en rapprochait ?”
Un calme d'olympe pour l'accueillir lors de son entreprise avisée, s'apprêtant à nettoyer l'écume de son tissu de soie, quand soudain la présence inopportune d'un être l'emprisonne dans une pudeur momentanée. Il l'espérait fugace, d'ailleurs, car d'un coup d'oeil au miroir, il perçoit la silhouette ô trop jugée par son esprit affûté, de celui qu'il maudissait chacun de ses jours. Ceux d'un homme qui s'enrôle d'une mission absurde d'étouffer sa soeur à chaque instant.
Qu'à cela ne tienne.
Tu ne fais pas le poids.
L'habitude de cette excécration délètère le tend à accuser ce pivotement des talons pour planter son regard orageux dans celui de son interlocuteur, nullement effrayé ni même anxieux de le confronter ici et maintenant. En découle alors avec une insolente facilité le fiel dans ses mots :
- Je n'oublierai jamais ô combien il t'est difficile de réflechir, ni l'écart diamétral qui vous sépare Jupiter et toi en terme d'éducation. Peut-être est-il de bon ton de continuer ce jeu, si tu désires perdre en crédibilité aux yeux de ta soeur.
Oblivion n'a jamais été aussi bavard qu'en cet instant. Parce qu'il a beau ne faire montre d'aucune réticence à être malmener, s'agrémentant à la triste vérité qui l'incombe d'être aussi faiblard, l'idée même de ressentir un linceul de désir pour cet être aurait alors tendance à le faire sortir de ses gonds.
Il devait écrire. Ces instants où les émotions se teintent d'amertume, de peur et de colère, le mènent aux affres de l'oblitération.
Mais c'est trop tard, pour le combattre. De deux choix opposés, tu devais décider de la solution la moins honteuse : celle de ne pas perdre la mémoire une fois de plus. Et tu oses espérer que la hargne du plaisir tuerait cette honte, lui seul à savoir la réveler.
Le brun baisse le regard. Il le fuit, aux prises d'un tourment de délices dont le dégoût se mêle. Il ferme les yeux, mais toutes ses pensées ne se tournent que vers ce seul être abêti.
Et enfin. Il se souvient.
Combien l'horreur suinte de son être lorsqu'il se fait toucher. Alors, Oblivion touche. Touche sa main. Se glisse sur le poitrail, l'iris alimenté de la volupté qu'il inspire. S'il veut jouer au plus fort, il accepterait son sort et gagnerait par la sagesse. De toute façon, tu le désires. Sa tenue : lien ici
event st valentinavecla populasse round 2 : Oblivion
Tu t’attendais à de la résistance. Minime, au moins. Il se tait rapidement, et tant mieux. Ses mots te heurtent et t’enrages d’autant plus.
“Ne parle plus de ma soeur comme si tu étais aussi proche d’elle que moi. Tu ne le seras jamais. Personne ne-”
Il te touche. Tu te tais. Automatisme. Tu serres les dents. Tu sais, tu détestes cette sensation. Ce dégoût, car toi, tu aimerais ressentir les effets de ton alter. Parfois. Tu les envies, de ressentir quelque chose que tu penses ne jamais pouvoir ressentir.
Tu le regardes s’agripper à toi, et tes mains quittent les siennes pour se poser derrière le mur. Tu as chaud, tu as froid. Tu grondes, le souffle court. De colère, de dégout, de resistance. Tu luttes pour ne pas vomir ? Pour ne pas souffrir ? Toi même tu ne sais pas. Mais à quoi donc te sert cet alter, si tu n’es pas capable de le tenir au moins quelques minutes ? A quoi sert-il donc s’il ne te fait que souffrir ? A quoi sert-il ?! Tu enrages.
“Tu n’as pas répondu à mes questions.”
La réponse importe-t-elle vraiment ? Ton regard le fuit, mais tu tiens bon. Encore quelques temps. Tu en es capable. Combat d’égo merdique.
Ft. Hysteria Event Saint Valentin Seconde rencontre
Celsius n'aurait pu débuter cette soirée plus en douceur. Le menton haut, ses pensées étaient encore tournées vers sa dernière danse et le contact chaud d'une main dans son dos. Le souffle de Nothing dans son cou, aussi. Tant bien que mal, elle dissimule la rougeur qui s'installe sur ses joues. Difficile oui, de chasser un tel fantôme...
Elle n'y voit d'ailleurs qu'une seule échappatoire ; autant prendre place au milieu du banquet, avec cette montagne de coupes de champagne à portée de main.
Après tout, c'est un luxe que les siens n'ont pas réussi à gagner aux derniers Hunting Sports.
Celsius récite tant bien que mal la formule qui lui arrache la bouche. Non loin d'elle, une silhouette l'interpelle, par sa chevelure noire aux antipodes de Nothing dans un premier temps, mais aussi par l'assurance qui s'en dégage. La major s'avance, sans aucune forme de timidité.
"Je peux peut-être vous offrir un verre ? Vous me semblez un peu perdu, au beau milieu de cette foule."
Dans sa main, une coupe de champagne qu'elle lui tend, comme pour l'appâter.
"Elle n'est pas empoisonnée, si c'est ce qui peut vous effrayer. Je m'appelle Celsius. Enchantée."
Son regard pair s'attarde un bref instant sur sa tenue, comme pour sonder à qui elle a à faire. Un sourire malicieux transperce ses traits tandis que ses lèvres formulent le fond de son esprit.
"On dit que l'alcool délie les langues, et par expérience, je le pense sincèrement ! Mais je vais tenter d'aller droit au but. Homme ou femme ? Ou êtes vous familiers avec les deux ?"
Son nouveau "cavalier" n'a pas l'air avare en information, de prime abord. Mais peut-être se trompe-t-elle ? Dans l'attente et avec une pointe de gourmandise, ses lèvres trempent de nouveau dans son verre.