Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Ne pas se soucier de l’avenir. C’était pourtant la cause pour la quelle tu te battais tout les jours, l’avenir. T’en soucier était donc ta motivation, tu ne pouvais pas y soustraire. Si ça faisait rêver Lime, et qu’il s’y accrochait pour vivre, tu ne pouvais pas lui en vouloir cependant. Cela avait quelque chose de séduisant, mais d’inaccessible pour toi.
“Effectivement. Tu as eu de la chance.”
De ne pas avoir croiser ta route. Que les choses ne se soient pas terminées en bain de sang. Tu ne pouvais pas imaginer le nombre de fois où tu coupais tes émotions pendant ces HS, juste pour les remporter, juste pour en sortir vivant toi et les autres. Juste pour que tu puisses grimper les échelons et prouver que tu étais capable.
“Mes oreilles ?!”
Cela te surprend réellement alors que ton regard se plante dans le sien. Les concernées se plaquent en arrière sous l’effet de surprise, avant que tu grognes et tourne la tête à l’opposée du blond.
“... Elles sont pas douces, tu dis n’importe quoi.”
Tu n’avais pourtant pas dit non.Tu lui offrais même une vision sur ton crâne et tes oreilles, et tu instaures un silence, comme si tu acceptais tout simplement sans mettre de mots là dessus. Après tout, tu étais le premier à l’avoir touché, alors tu considérais que vous seriez quittes après cela. Un mauvais moment à passer pour ne plus avoir de dettes.
Ft. Titania et les autres Event Saint Valentin Troisième rencontre
Oh ! Celsius croit comprendre : Titania n'a pas les mêmes envies. Elle n'a pas besoin de quelqu'un pour la combler. Cette vérité soutire dans les yeux de la major un éclat muet mais compréhensif face à l'évidence : une maigre excuse pour ces questions qu'elle venait de creuser, toujours sans savoir...
Et du reste, Titania n'était pas sans ressources non plus. De quoi surprendre sa major pendant quelques secondes...
"Une pipe ? Il faut déjà le mériter voyons, ma petite poule. T'aurais plus de chance d'obtenir un cunni de ma part, entre nous."
Un rire cristallin et teinté d'ironie déroba ses lèvres ; doux mensonge, doux roucoulement qui ne fut ni offusqué ni familière avec leur conversation actuelle. Ce n'était pas son jargon habituel : de manière assez claire, Celsius avait parfois sale caractère. Mais l'expérience en valait la chandelle et...Ce franc parler lui plaisait peut-être bien, tout compte fait.
"Mais ça peut changer vite. A choisir, j'opterai pour monsieur le "mec ensorcelant", d'instinct. "
Son regard perdu dans la tignasse d'ébène, et puis sur ces lèvres et le ton de voix chaleureux d'Hystéria, Celsius est absente ; d'une absence fort inhabituelle pour cette rousse si terre à terre en temps normal. Et si elle y prêtait attention, Titania pourrait le constater.
"Mes préférences ? C'est une question de goût, de conjoint et d'envie." Ses ongles se portèrent brièvement à ses lèvres, puis à son menton. "Par exemple, ici...69 avec le mec ensorcelant, il m'a l'air d'avoir une sacré langue, il ne refusera pas un peu de compétition. Missionnaire pour le soldat, je fonds pour mettre à nu les sentiments des hommes sérieux avec un contact visu, et levrette pour les yeux vairons ; je les imaginerai mieux dans mon esprit comme ça."
Cet aveu, néanmoins, soutire une légère rougeur sur les joues de la jeune femme.
"Mais ! Je réfléchis trop..."
Et pour trop réfléchir, la vision de deux beaux éphèbes en pleine palpation lui dérobe un papillonement de cils. Une incompréhension plus que visible, aussi. Si cette proximité entre deux hommes est agréable de fantasme de prime abord, Cupidon fait son office dans son coeur. Et Cupidon, Cupidon la maltraite et la jette dans un flot de questions dont elle se serait bien passée. Questions qui, à leur venue, ne peut soutirer qu'une parole sèche.
"Vous avez l'air de bien vous connaître."
Suffisamment pour que l'un puisse chercher jusqu'aux parties les plus intimes qui soient. Celsius n'en dit pas plus ; par lucidité mais aussi par pointe de jalousie, inavouée à la vue d'Hysteria. Ou de déception, de trahison ; sont-ils en couple ? N'est-elle qu'un simple steak aux yeux de ces deux loups ?
Souhaitaient-ils régler leurs différends au travers de sa personne et à la vision de tous ? Ce choix n'aura pourtant -évidement- pas l'effet escompté initialement. L'expression de glace de Nothing n'a pour seule réponse qu'un sourcil haut : elle ne comprend pas. Ou plutôt, elle comprend très bien. Deux idiots leur font face, et elle lutte de toute ses forces pour que son expression détachée ne soit pas trop entachée par des sentiments dont elle a désormais honte. Dont elle se sent presque coupable, aussi. A ses côtés, la colère montante d'une petite étoile maléfique l'interpelle et fait écho avec ce qui bouillonne au plus profond d'elle.
Une menace qui a désormais toute son attention.
"Titania." Pas de Tita, pas de surnom de petit oiseau ailé. Juste Titania, dans sa plus grande fermeté. Celle d'un major avec sa caporale. Comme un ordre pour la ramener aux réalités des choses et de leur mission. "Laisse donc ce talon tranquille. Il ne te résistera pas, j'en suis certaine mais pour ce qui concerne notre bel ami...C'est mon affaire, tu ne crois pas ?"
Celsius n'est pas en mousse ; envoutée et quelque peu rendue naïve par le toucher de Cupidon, mais elle sait se défendre par elle-même.
"Quant à cette coupe, j'aimerai la récupérer.", explique-t-elle gentiment mais sans sourire en tendant la main, dans l'attente de son dû. Celsius s'approche alors de la jeune femme, lui fait face en connaissance de cause et de risques, mais sans crainte. "As-tu vu un Wild agir ainsi ? Un Legendary se battre pour son ego ? Non. Si tu veux exprimer ton ressentiment contre ce monsieur, je ne te l'interdis pas, tu auras d'ailleurs toute l'occasion durant une chasse à l'homme, mais il y a d'autres moyens de le faire avec plus de...subtilités et d'efficacité. D'intelligence, aussi, que dans cette salle qui meurt d'envie de percer nos secrets à jour...L'I.A n'attend d'ailleurs que ça. Que tu craques. Tu vaux mieux que cela, et je le sais. J'aimerai éviter de perdre l'un de mes meilleurs atouts pour des problématiques de...eh bien, de baise."
Sa main sur la sienne et sur cette coupe pour la lui dérober. C'est l'image qu'elle a appris à renvoyer, grâce à celui qui l'a précédé. Si le miroir est flagrant, Celsius n'y porte aucune insulte. A la place, un calme olympien et une fatigue qui, somme toute, a probablement eu raison de toute excitation qu'elle avait pu ressentir en dansant avec Nothing ou en flirtant avec Hystéria.
Ce dernier d'ailleurs, pourra percevoir ce même conflit qui valse au plus profond de cette fausse sérénité qu'elle affiche en tout temps. L'amour est douloureux. L'amour fait mal par expérience. L'amour trahit et ne la met pas en confiance. Celsius craint s'être embourbée dans une affaire qui la dépasse, encore une fois, trop de fois, alors elle l'observe en silence, visiblement témoin de leur petite altercation -Hystéria pourra aisément le deviner, ses pupilles d'émeraude la montrent blafarde- et exprime ce qu'elle a sur le coeur.
"Quant à toi, tu ferais mieux de rejoindre Nothing. Je crois...que vous ne vous êtes pas tout dit, dans votre couple."
Ces trois derniers mots plus insistants que les autres, un mouvement de tête suffit pour exprimer ses volontés ; non, elle n'est pas navrée. Sa colère est silencieuse mais si quelqu'un est la victime de son ire, c'est bien elle-même.
nous nous perdons dans le maelstrom de notre ressentiment amer - nous n'aimons pas amoureusement comme autrui mais nous pouvons au moins apprécier assez une personnalité pour ressentir une haine ; c'est que nous ne sommes pas inhumaines : juste incomprise. nous enserrons dans nos ongles notre propre gorge - nos hypothénars se posent entre eux, nos doigts frôlent notre nuque - nous serrons un peu plus pour que l'air ne s'échappe plus. c'est que nous écoutons et nous fixons notre attention sur notre major ; nous entendons ses propos, nous entendons notre prénom qui nous fait poser la question.
sommes-nous titania ?
sommes-nous monstres ? sommes-nous adulées ou craintes ? sommes-nous autre chose ? que sommes-nous et que souhaitons nous être ? l'air se raréfie et nous enlevons nos mains - nous aspirons une goulée d'air doucement et surement ; les sons d'haine et d'incertitude ne sortant plus de ce qui nous sert à (non) parlementer. nous penchons la tête, nous laissons néanmoins une simple griffe sur notre clavicule - glissante griffe qui accompagne les marques sur notre cou, à n'en point douter nous finirons avec des bleus. nous écoutons sans vraiment le faire, nous n'avons jamais brillé par l'insubordination mais nous avons horreur de suivre aveuglément les ordres comme les propres toutous de notre major - grand bien leur en fasse. nous pourrions nous rebiffer, nous pourrions user de ce qui nous sert de pouvoir - nous pourrions tous les endormir si ce n'est plus ; nous ne sommes pas complétement stupide. l'IA n'apprécierait guère ce comportement et la punition en serait sans nul doute terrible - elle ne fait que confirmer nos pensées.
ce secret est ce qui nous défigure toujours plus d'années en années - ce qui est né avec nous et qui nous poursuivra jusqu'à notre tombe ; et quand nous deviendrons muettes nous ne servirons plus. et ne nous en servirons plus. nous posons plus fortement notre griffe sur notre clavicule avant qu'elle ne glisse jusqu'à la naissance de notre poitrine - le sang perle et le petit pic de douleur nous rappelle à cet instant présent. le temps file et défile et notre haine s'évapore comme neige au soleil - elle n'était que passagère et n'est pas notre amie régulière ; nous posons simplement main sur table en hochant la tête. une moue nous colle - si nous aurions pu peindre cette salle en cramoisi, l'aurions-nous fait sans remords ? avec le sourire au visage et notre propre sang dépeint ?
Tes lèvres s'entrouvent automatiquement lorsqu'il te sort une phrase dont tu étais certain de comprendre le sens, d'en deviner le mot manquant. Evidemment, l'idée t'amuse autant qu'elle te grise, et ca t'a effectivement frôlé l'esprit de vous téléporter pour le déchirer dans une chambre. Mais une ombre flottante enrobe ton coeur, et t'empêche d'agir de la sorte. Tu n'es pas en couple, tu n'es pas non plus à elle. Mais perdre l'opportunité de développer une relation saine avec la belle rouquine te semble plus important que de palper ses couilles pleines. Bordel, t'es vraiment pris entre deux feux. Mais tes pas t'ont déjà guidé jusqu'à Celsius et Titania. Comment pourrais-tu leur faire faux bond dans cet instant où tes onyx cherchent le regard de ses jades.
C'est sans compter Nothing qui s'éloigne finalement.
- Traitre.
Cette manière de fuir, tu allais lui faire payer. Tu te retrouves au final entouré par les trois conquêtes de la soirée, si conquête êtait le bon terme en fixant Titania un instant. Pour sûr, cette demoiselle était indifférente à toi, au détriment du souvenir lancinant de vouloir initier le jeu de la séduction avec elle. Mais là tout de suite, Hyste, tu ne peux pas être sur plusieurs fronts. C'est intéressant, mais trop perilleux.
Tu notes dans un coin de ta tête les questions de Noth, desquelles tu prendras le temps de répondre lorsque vous serez de nouveau en face à face, et tu recentres toute ton attention sur la jeune femme. Qui te pose une question toute sauf innocente.
- C'est vrai. On se connait.
Tu ne vas pas plus loin, tu ne te justifies même pas. Tu aimerais le faire, mais dans d'autres circonstances. Seule à seul. Le panache et l'éloquence de Celsius te ravit davantage le coeur. Sa prestance n'a d'égale que sa beauté.
Lorsqu'elle s'adresse une fois de plus à toi, t'es un peu comme un chien qui remue la queue, trop heureux qu'on lui accorde un tant soit peu d'attention que tes yeux pétillent d'un intense intérêt.
Et puis... ses propos te font voguer sur des eaux plus troubles. Plus dangereuses, plus fourbes.
AU lieu de la fustiguer des yeux ou de jouer la carte de la provocation, ton regard s'aiguise d'un désir indécent. Tu brûles d'envie de l'embrasser, là, tout de suite, de ravir ses lèvres, de la faire taire... Mais tu prends une grande goulée d'air, Hyste, et tu lâches la pression qui t'habite. Au final, tu rétorques, malicieux :
- Tu peux tout autant nous rejoindre, Celsius. Tous les trois, ça peut faire un cocktail détonnant.... à moins que .. tu ne partages pas.
T'es obligé de t'éloigner. A reculons, mais tu t'éloignes. C'pas elle ta partenaire du soir. C'est Nothing. Et il t'a lâché ce con.
Un rire léger t'échappe. La chance... ah douce chance, ou peut-être simplement une bénédiction de l'I.A.
- La chance du débutant ! Mais oui.... j'espère vraiment ne pas devoir y retourner, je suis très bien dans le confort de mon infirmerie...
Mars s'exclame. La surprise ? L'incrédulité ? ...La gêne ? Il dément leur douceur. Et toi, tu l'observes, un sourire amusé, le regard rieur. Ce qu'il ne voit pas, puisqu'il détourne la tête. De même qu'il ne dit pas non. Il n'y a aucun refus. Tu hausses les sourcils... C'est donc un oui ? Qui ne dit mot consent. C'est adage.
- Je me permets de tester par moi-même alors.~
De la main sur laquelle tu n'es pas en appui, tu viens lui en caresser une. Le geste est lent et précautionneux. D'abord le contact se fait du bout des doigts avant de prolonger le contact avec ta paume.
- Elles sont douces.
Une affirmation.
- Douces et chaudes. Mon pronostic est rendu.
Mars
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Mars
Ven 17 Fév - 20:49
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu pensais que cela s’arrêtera là, en réalité. Tu ne pensais pas qu’il irait jusqu’à te toucher, bien que tu te disais au fond que vous seriez quittes. Toucher tes oreilles, en plus. Qui faisait ça ? C’était bizarre non ? Est-ce que tu lui touchais les oreilles toi ? Tu grommelais intérieurement, mais restais pire que stoïque en apparence.
Lorsque ses doigts touchent du bout, tu frémis en automatisme. Tu n’as pas l’habitude d’être touché sans pour qu’on te frappe, encore moins les oreilles. Un contact qui se veut doux et lent. Tu restes cependant crispé comme s’il venait de te faire pire que cela.
“... S’tu le dis.”
T’as pas envie d’argumenter là dessus, en vérité. Tu fixes droit devant toi et finis agiter les oreilles brutalement, mettant fin au contact, avant de les plaquer à nouveau vers l’arrière.
“... Ca se passe comment tes rendez-vous après le notre?”
Tu fais l’effort de conversation. Il semble réellement dénué de haine ou de déception envers toi, et ça te change de ton entourage récent.
Now's your moment Floating in a blue lagoon Boy, you better do it soon
  Après une première rencontre relativement charmante et un interlude de vulgarité qu'elle avait décidé de rayer à tout jamais de sa mémoire, sa troisième rencontre paraissait plutôt encourageante. Gentil, courtois, c'est un deux sur deux. Quoique il faut se méfier. Alors qu'elle s'amorçait de dire qu'elle n'était pas la meilleure danseuse, son partenaire s'excusa pour prendre l'air. Elle le suivit d'un œil distrait. Bah, au final cela ne la dérangeait pas, elle même était plus introvertie et comprenait parfaitement le besoin d'être un peu seul dans ce trop plein d'interactions sociales. Elle jeta un œil distrait dans la direction du balcon vers lequel il se dirigeait, sur lequel elle semblait apercevoir la tignasse rousse de Mars.
...
Une
petite
seconde.
Flashback.
La personne à qui Mars proférait des insanités de "eeh j'te prend tout de suite krrr krr " (ps : la mémoire de Quixote a peut-être raccourci ou modifié la phrase originale, mais le fond y est)... C'était lui.
OH.
MAILLE
GAUDE.
Elle fonça ni une ni deux, et avant d'ouvrir en fracas la vitre, assista, avec horreur, à la plus grande insalubrité qu'elle avait vu de la soirée. (oui, oui pire que les questions intrusives du second tour.)
DU TENAGE DE MAIN. Oui, cette femme a trente ans, pourquoi ?
Elle repoussa cet échange brutalement en criant haut et fort
▬ PAS. D'ECHANGE. DE GEEEEEEEEEEEEEEEEEEERMES.
Puis en prenant Lime par les épaules lui lançant un regard de maman poule qui l'aurait élevé toute sa vie
▬ OH MON IA, EST-CE QUE VOUS ALLEZ BIEN?? IL NE VOUS A PAS TOUCHE DANS UN ENDROIT BIZARRE? OU FORCE? OU UTILISE SON ALTER? CE FOUTU GARNEMENT.
Tu es presque content d'avoir pu lui caresser les oreilles. Et la réaction de Mars est.... Vraiment, tu lui trouves quelques chose d'adorable, malgré son caractère, malgré ses crispations. Tu souris, fier d'avoir eu le dernier mot.
Sa question.... Tes rendez-vous...
- Hm...
Et soudain, comme une tornade. Pas de quoi ?? Des mains sur tes épaules et tu te fais secouer comme un citronnier. Tes yeux s'arrondissent de surprise. Ton 3e rendez-vous.... A qui tu avais fait galamment faux bond.... Il est vrai que ta sortie en plein air avait pris sont temps... oups.
- Non, non, il ne m'a rien fait... On parlait simplement... Pourquoi ? Je dois vraiment craindre de lui ? Il est cash, mais il n'a pas été méchant avec moi, pas le moins du monde. Et donc non, il ne m'a pas touché, ni forcé... Et je ne sais même pas quel est son alter....
Tu poses tes mains sur les bras de la jeune femme.
- Vous devriez respirer et vous calmer.
Tu marques une pause et les regardes à tour de rôle.
- Vous vous connaissez ? Vous êtes qui l'un pour l'autre ? Je ne voulais déranger quoi que ce soit s'il y a.... un truc...
Car tu ne comprends pas l'exagération de la situation.
Mars
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Mars
Ven 17 Fév - 21:40
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Soudain, on t’enlève la présence à tes cotés et tu te redresses, les sourcils froncés, sur la défensive. Tu reconnais alors ta caporale, qui non seulement balance ton alter sans aucun problème, mais qui en plus te pointes comme le grand méchant de l’histoire. Elle est de quel coté, au juste ? Cela a le don de te remettre sur la défense et de crisper ta machoire. Pour quel genre de pervers on pouvait te prendre ? Toi qui détestait les contacts, tu n’allais pas abuser de ton alter impunément. Tu gardes cependant ton calme, et ne fais rien qui pourrait te porter préjudice pour la suite. Après tout, cet évenement ne durait qu’une soirée, mais ta caporale, elle, semblait trop éternelle à ton gout. Un jour, tu prendras sa place, ou une supérieure, mais ce n’était pas le moment.
Tu ne t’attendais cependant pas à ce que ce soit l’ennemi qui prenne ta défense. Ton regard dévie sur Lime, et tu manques de t’étrangler mentalement avec ses paroles.
“Non.”
Comme si tu voulais couper court à toutes les pensées qu’il pourrait avoir.
“C’est juste ma chef.”
Et tu insistes bien sur le “juste”, qu’il aille pas s’imaginer que tu te roulerais dans l’herbe à ses cotés en riant et mettant des fleurs dans ses cheveux. L’idée même te révulse, comme avec n’importe qui d’ailleurs.
Cependant, toute ce retournement de situation t’as clairement poussé hors d’une zone où tu avais eu le malheur de te sentir bien quelques instants. Tu te renfrognes et les poussent pour passer.
“Bonne soirée.”
Tu retournes à l’intérieur, dans le but d’en finir avec tout ça, encore plus d’éviter à chercher Jupiter et plutôt te focaliser sur les boissons et la bouffe.
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CRISE DE GERMES RÉSOLUE. Quixote se relaxa un peu en entendant les réponses de Lime. Tant mieux, bien, et encore mieux. Même si qualifier quelqu'un qui dit "j'ai envie de te prendre aux toilettes de façon insalubre krrr krr" (oui ce souvenir s'empire un peu à chaque réponse) de "cash" semblait un euphémisme. En y repensant, elle n'avait pas forcément beaucoup entendu parler de problèmes de coucherie ou harcèlement avec leur meneur mais bon, elle n'était pas spécialement friande de ce genre de rumeurs de toute manière. Elle ne put s'empêcher de grimacer quand Lime demande s'il y avait un "truc", mais Mars coupa net à la question.
Quixote se gratta l'arrière du crâne en le regardant partir froidement.
▬ Mh... Tant mieux s'il ne s'est rien passé. Non j'imagine qu'il n'est pas si terrible, même s'il est loin d'un être un gentleman, à mon plus grand regret. Et comme il l'a souligné, il est mon subordonné.
Cela dit elle n'avait pas envie d'avouer au premier venu qu'elle était gradée dans les hunting sports.
▬ ....En tant que... Éboueurs?... Oui, nous sommes éboueurs. Pff j'ai l'impression d'avoir fait quelque chose de mal maintenant.
Elle regarda ses chaussures. Malgré ses airs de caporale inflexible redresseuse des bonnes mœurs, elle avait le cœur mou, elle soupira.
▬ Et merde.
Elle se tourna vers Lime, droite, avec sa prestance de chef (éboueur) et son charisme (d'éboueur)
▬ Vous. J'ai une mission pour vous. Allez le voir et donnez-lui ceci de ma part.
Oh. Il n'y avait donc rien entre eux. Ah. Si. Elle était sa supérieure. Un moment de réflexion... Attendez, sa supérieure ? Ton regard se fixe sur Quixote qui s'était détendue. Mars, lui, s'en allait... Et là, tu ne peux retenir un rire quand la Legendary parle d'éboueurs. Tu couvres ta bouche d'une main, pour couvrir un peu ce fait et ne pas paraitre plus malpoli qu'il n'y parait.
- Je suis navré, mais... je ne vous imagine pas le moins du monde éboueur. Encore moins vous, madame.
Si elle préférait 'mademoiselle', c'était raté. Elle donnait l'impression d'une dame, pas d'une jouvencelle.
Elle stoppa net ton rire en t'apostrophant, en t'ordonnant, en déposant ce petit quelque chose dans ta main. Tu hausses un sourcil, incrédule. Elle vous interrompait et maintenant, elle vous relançait. Il se passait quoi dans sa tête ?
- Vous êtes sûre ? C'est pourtant avec vous que je suis supposé passer ce moment de la soirée... Et je l'ai déjà passé beaucoup trop avec Mars, a vos dépends... Et en prime...
Tu pousses un soupire.
- Je n'ai pas l'intention d'obéir à quelqu'un qui n'est pas mon propre supérieur. Si je lui cours après, ce sera uniquement parce que je l'ai voulu et non pas parce que vous me missionner.
Tu regardes le petit four dans ta main, puis Quixote.
- Mais, merci ? J'espère qu'il n'est pas empoisonné ~
Et tu t'enfuis à la poursuite de Mars, retournant vers l'intérieur de la salle, le cherchant du regard puis t'avançant vers lui.
- Maaaars. Ta cheffe éboueur, elle est sympa. Elle m'a donné un petit four pour toi. Mais... Je ne sais pas si c'est bien ou non, je ne la connais pas, et je n'aurai pas du accepter la nourriture d'une inconnue... Mais comme toi, tu la connais, ça va, je suppose ?
Tu lui souris, lui présentant le petit four. Les boissons de la soirée commençaient à faire effet sur ton organisme.
Mars
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Mars
Ven 17 Fév - 22:48
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
Tu avais eu juste le temps d’attraper une boisson. Ton regard se tourne alors vers la voix que tu aurais presque qualifié d’enfantine à prononcer ton prénom avec autant de longueur. Tu poses les yeux sur le petit four, puis sur Lime à nouveau.
Eboueur ? Petit four ? Pour lui ? Voulait-elle t’empoisonner ? Voulait-elle te punir en te rendant malade ou bien en t’imposant la proximité de cet être ? Tu prends cependant de ta main libre le petit four.
“... Mission accompli. Retourne la voir, c’est ton rendez-vous.”
C’est surement un prétexte pour l’éloigner. Tu es de toute façon ronchon, ton moment de bonne humeur passé, et d’autant plus que.. il est dangereux. Pour toi. Il a déjà réussi à te toucher par deux fois. En une soirée, et sans que vous combattiez. C’était déjà trop.
Tu tournais alors les talons vers le départ, espérant que cela suffirait à le décourager. Voilà maintenant que tu le fuyais comme s’il avait la peste, l’ignorant comme s’il venait d’être indésirable, alors que c’était surement tout le contraire. Tu observais le petit four en marchant, finissant ta boisson, toi qui souhaitait pourtant ne pas boire.... Surement un laxatif.
Les couples tournent. Lorsque 23h30 sonne, et c'est la dernière fois que les couples vont pouvoir faire connaissance. Profitez.... car vous redeviendrez ennemis après cette soirée mémorable. Vous entendez de nouveau à vos oreilles, le nom du tout dernier partenaire :
« Bravo à tous pour votre implication, et pour avoir joué le jeu. C'est votre dernier tour.... soyez crus dans vos mots, soyez impactant, et je vous recompenserai... Vous devrez choisir par ensuite le valentin ou la valentine de votre coeur. Gloire à Carcosa. »
Elle ne fait pas vraiment attention Jupiter. Traversant la foule en s’excusant, se dirigeant le plus rapidement possible vers les toilettes en s’enfermant dans la dernière cabine. En boule, le visage posé sur ses genoux, elle ne fait pas non plus attention quand des pas se rapprochent et que quelqu’un frappe à sa porte.
Calliope et Oblivion.
L’une, trappeur, mais avec qui elle s’entend très bien car d’une douceur incomparable. Et l’autre, son partenaire, celui qui reste près d’elle quoi qu’il arrive.
Qui a embrassé son frère aussi. Mais elle n’est pas en état de faire des reproches. Ça sera pour plus tard.
« Je suis là oui… Désolée… »
S’excuse, d’avoir attirée leur attention. De les inquiéter. De leur prendre du temps quand ils ont leur propre date à gérer.
« Ne vous occupez pas de moi… ça va aller. Vous… Vous avez un date à passer… »
Voix faible, hésitante, tremblante aussi de par les sanglots qui la secouent. Puis elle l’entend dans son oreille, le nouveau nom de son partenaire.
Oblivion.
Au moins, elle n’aura pas à se présenter dans cet état à un inconnu. Non, elle devait juste déranger Oblivion d’être comme ça maintenant.
« … Je suis désolée… »
Qu’elle murmure encore.
Désolée d’être là, Désolée pour ce qu’elle ressent, Désolée de vivre, simplement.
Elle soupire de soulagement en entendant Jupiter de l’autre côté de la porte. Elle l’entend s’excuser et ça lui fend le cœur un peu plus. Elle prend sa voix la plus douce pour continuer
« Tu veux bien ouvrir la porte ? » Et nous dire qui on doit remettre à sa place.
Elle n’aime pas qu’on s’en prenne aux gens qu’elle apprécie Calliope, et si elle doit se montrer moins douce pour faire respecter cela, ainsi soit-il.
« Ne t’excuse pas, est-ce que tu veux en parler ?, mais à la fin de sa phrase, elle entend l’I.A. au creux de son oreille. Qui est ton prochain partenaire Jupiter ? » Elle s’en voulait de devoir l’abandonner comme ça pour un énième rendez-vous, mais elle devait éviter d’attirer la colère de l’I.A. sur les Trappers en ne l’honorant pas.
« Est-ce que tu veux qu'on fasse le rendez-vous ensemble ? »
Février 2143 - feat Oblivion + Jupiter & les participants tenue du jour : www.