Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Hoche la tête à sa proposition, acceptant de boire un peu avant de se remettre à danser. Venant juste de quitter la piste avec Oblivion, une pause n’est pas de refus. Ainsi il confirme ses soupçons quant à son frère, il l’a bien eu juste avant.
C’est un rire léger qui traverse ses lèvres.
« J’espère qu’il ne s’est pas montré trop… Brutal dans ses mots. Il n’est pas méchant, mais il n’a pas pour habitude de tourner autour du pot quand il pose ses questions. »
Des fois, il serait difficile de dire qu’ils sont frères et sœurs vu leur façon différente de faire. Et pourtant, elle n’aurait pas voulu de quelqu’un d’autre. Elle se demande parfois, si lui aurait voulu d’une autre sœur. Peut-être plus comme lui, plus brutale, plus forte pour le soutenir… Une ombre traverse ses prunelles avant de s’éclipser pour laisser de la curiosité face à ses questions.
« Bien sûr, mais si je peux en faire autant. »
Elle se saisit d’un verre de cocktail sans alcool une fois arrivés au buffet et elle écoute toutes ses questions avant de prendre une mine pensive.
« Hm… Je regarde en premier les mains. Elles en disent beaucoup sur la personne. La qualité qui m’attire serait… L’envie d’apprendre. De savoir, enfin de ne pas rester ignorant et d’être ouvert à tout, d’accepter qu’il n’y ai pas qu’une seule vision des choses. »
Elle ne sait pas si ça fait une ou plusieurs réponse pour le coup.
« Ce qui me rebute ce sont les personnes enfermées dans le manière de faire, qui n’acceptent pas le changement ou bien qui sont trop fières pour admettre leur tort. »
Sirotant un peu de sa boisson, elle a une moue appréciative quant aux saveurs fruités qui se font sentir.
« Et toi ? Quel genre de personne t’attire ? … Est-ce que tu crois aux coups de foudre et… Est-ce que tu es quelqu’un d’impliqué dans une relation amoureuse ? »
Il a posé les trois questions, normal qu’elle en fasse de même.
event st valentinavecla populasse round 2 : Oblivion
Il reste, et t’es même plus sûr que ce soit pour l’IA. A cause de l’IA ? Toi tu veux juste qu’il se casse, ne plus le voir. Que sa vision immonde d’un intérêt et d’un contact sans ton alter te révulse au plus haut point. C’est même plus sa vase, qui te dégoute, c’est pour dire. C’est juste ses actes à ton égard. Son intérêt pour la conversation, ils peuvent juste se regarder dans le blanc des yeux, t’as déjà posé tes questions et...
T’inspires profondément. Tu dois te calmer, calmer cette peur qui grandit et qui ne semble avoir aucun sens, puisqu’il ne daigne plus s’approcher. Tu ne veux plus que ton alter s’active non plus, donc tu y veilles promptement. T’allais pas lui donner une excuse pour te sauter dessus sans remords, visiblement. Grand malade, lui.
“Non.”
T’avais répondu du tac au tac. Pourquoi ? Parce que c’était une question qu’on te posait souvent. Dont tu avais la réponse automatique. Mais à laquelle tu n’avais jamais réfléchis. Ca ne se faisait pas, ça n’était pas bon pour les regards, c’était dégoutant. Ça, c’est ce que t’avais appris. Par tes parents, par ton entourage quand tu ne répondais pas, ou encore quand t’avais 10 ans et que tu répondais “Oui, et on se mariera plus tard.”, et que ça avait cessé d’être mignon. Que c’était juste dérangeant.
Alors ça restait ta soeur. Puis, peut-être que ce non, valait aussi pour l’autre question. Car comme elle était là, t’avais jamais eu besoin de personne d’autre à tes cotés.
Puis le charnel, c’était pas ton truc, alors. Les comptes étaient vite fait. Dans ce monde de brutes, qui accepteraient d’avoir une relation platonique sans se faire soulever contre un mur ou offrir une parcelle de fesses dodues à l’accueil ? Rares étaient ces personnes. Il fallait bien se “défouler” quelque part, en dehors des HS.
Ses mots continuent. Ses mots fusent encore. Ses remarques, ses conneries. Ta gueule. Ta gueule. Ta gueule.
“Ta gueule.”
Tes poings se serrent à nouveau, et ta rage grimpe, mais n'explose pas. Ton regard ne le quitte pas. Tu veux juste que cela cesse. Vraiment. Et pour de bon.
nous sommes outrés par cette dernière phrase et plus que tout, nous comprenons presque ce que les non-dits ont fait traverser dans notre tête ! tellement que nous ne réagissons pas tout de suite alors que l'individu nuisible part vers d'autres cieux - nous saisissons quand nous voyons son dos de loin, nous nous baissons pour prendre une de nos armes entre nos mains : les talons peuvent être meurtriers. nous sommes prêtes à le jeter sur cet insecte ; nous sommes interrompus par une voix - nulle autre que l'IA.
nous rouspétons fortement ; notre sifflement sommaire mais strident est preuve d'un agacement énorme. nous pourrions presque lui courir après pour lui faire manger la godasse : nous nous retenons à grande peine - nous sentons que la punition serait trop énorme pour notre pauvre pauvre coeur.
le temps passé à imaginer mille et une manières de nous venger ne nous permet pas de regarder proprement notre second partenaire ; nous n'en avons que faire mais la flagrance sommaire fait détourner notre regard. nous regardons de haut en bas la femme en face de nous ; celle-là même qui était avec notre biche - nous prenons notre stylo pour écrire sommairement des questions "toi ! t'étais avec calliope."
nous rayons la phrase furieusement - au point que des déchirements se font entendre. nous tournons pour avoir une autre page blanche et nous essayons de nous calmer ; montrer que nous connaissions bien la bichette pourrait porter préjudice - cette femme semblait avoir un charisme aussi naturel que le tien. à la place nous réfléchissons à des questions "personnelles liées à l'amour" - nous n'en savons rien, fichtre alors !
pris d'un élan de désespoir, nous enchaînons trois questions pour être fixés et nous détournés - nous souhaitons qu'il ne tombe pas sur notre agneau du moment. "vous trompez votre compagnon ou compagne ? vous êtes plutôt top ou bottom ? plutôt devant ou derrière ?"
la subtilité n'est pas notre fort - un tant soit peu plus digne que d'autres sans aucun doute mais ... nous devons au moins finir cette basse besogne. nous retournons le carnet pour le montrer ; notre sourire disparut, un air dépité sur notre visage - pitié pour cette femme et dépit de subir cela.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 2 : Calliope
Tu ne t’attendais pas à une vision si positive de cette jeune femme. Elle semblait tenir à coeur que les propos sombres soient trop disproportionné par rapport à la norme, et capte ton attention, un bref instant.
Tu cessais alors doucement ta danse, pour la mener vers le bar où tu attrapais une coupe, plus calme à présent. Peut-être que les paroles de la douce, t’avaient atteint, d’une certaine manière. Pas forcément en profondeur, mais assez pour ne pas que tu sombres dans cette noirceur décrite, au moins pour l’instant.
“Vos paroles sont justes, j’y porterais attention.”
Attention que tu tentes de garder sur la jeune femme, bien que celle-ci soit accaparée par le fond de la salle, ou le milieu, mais sur la jeune femme et son “ami”, qui semblaient avoir des rapprochements plus qu’amicaux. Ce qui confirmait tes doutes sur Décember, et ce qui ne t’enchantait pas, bien que tu ne montres rien, comme à ton habitude...
A part peut-être ta descente fulgurante de ton troisième verre en quelques minutes. Peut-être que finalement, être bourré était devenue une option.
Il le tenait sous férule, ayant renversé d'un mouvement le tempo. Plaqué au mur, humilié, et maintenant émotif. Oblivion jette un oeil à son propre reflet dans le miroir. Est-il inhumain ?
La seule raison qui le pousse à quitter les lieux est Jupiter et son désir de ne souffrir d'aucune conséquence. Car il l'estimait aveuglément.
- Si c'est ce que tu souhaites.
Ni une, ni deux, il quitte enfin cet endroit dans lequel il ne reviendra pas de si tôt, en proie à un étrange tourment lorsque ses yeux se font percer par les lumières rouges du bal. Jusque là il avait su entretenir une vie au faste tranquille, mais aujourd'hui, quelque chose le bousculait, sans savoir mettre de mot dessus.
Par de grandes enjambées il se cherche un endroit où la solitude serait plus profitable que la compagnie de toute personne, affairé alors à se détacher les cheveux pour mieux les nouer en arrière.
event st valentinavecla populasse round 2 : Oblivion
Tu déglutis en le voyant quitter les lieux. Il semble avoir reprit ses esprits, et ça te rassure. Tu claques tes fesses par terre, alors que tu rapproches tes genoux et que ta tête se pose dessus. Tu inspires, expires, cherche à réellement te calmer. Typiquement, le meneur d’escouade que tu es, serait bien ridicule en public, là tout de suite.
Tu inspires, expires encore. Tu te redresses, et va voir ta gueule dans le miroir. Qu’est ce que dirait ta soeur. De ce que t’as fais. De ce que tu aurais fais.
Ta main sent quelque chose. Tu baisses les yeux vers le chiffon de l’autre, là. Tu regardes à nouveau le miroir.
“... Tu m’emmerdes, Jup.”
Tu serres tes doigts sur le tissu et sors des toilettes, cherchant du regard Oblivion. Tu le trouves, et te ramènes à coté de lui. Sans un mot, tu tends juste son mouchoir oublié.
Tout à sa nouvelle solitude, Oblivion profite de cette accalmie pour chercher du regard Jupiter, en compagnie d'un être inconnu. Les raisons de sa présence en ces lieux sont nombreuses, la sécurité de tout à chacun en était une.
Le désir cuisant et irrespressible de fumer court dans ses veines, son regard bleu acier porté sur une fenêtre de l'extérieur située à l'opposé de lui. Un pas devant l'autre, la présence à peine massive de Mars le coupe totalement dans son élan, aussi surpris que lassé d'avoir encore à brandir l'arme dans un instant fugace de trêve.
Il amorce le mouvement de machoire pour initier un reproche, mais le bout de tissu qu'il lui tend le surprend. ... Oblivion suspecte avoir fait tomber un morceau de tissu tout àl'heure, dans une maladresse toute relative.
Une fois de plus, il est desarçonné. Il ne pourrait même pas l'être agréablement tant l'impulsivité de Mars est mortifère. D'un mouvement preste est récupéré son mouchoir de soie, tandis qu'il confronte droit dans les yeux son rival :
- Merci.
Mouvement de tête, toujours refroidi devant le coup de colère de cet être doublé de son alter dérangeant.
- Je te rassure, tu n'es pas assez important pour que je parle de notre interlude à Jupiter.
Et pourvu que tu chasses cette amertume étrangère à tes yeux, ou le regret de ne pouvoir le connaître davantage.
Ft. Hysteria Event Saint Valentin Seconde rencontre
Hysteria hésite, lui aussi. Ses yeux furètent ailleurs, s'égarent car il n'est pas insensible. Pourtant, il trouve la force de chercher une simple bière, de se montrer dans ses vraies habitudes.
"Jolie téléportation."
Un talent qui ne fait pas petite impression à ses yeux. Quant à son aveu, il a tout le mérite de lui faire avaler sa salive, distraite par quelques images qu'elle n'ose visualiser mentalement plus longtemps.
"Hmm...Je suis pas difficile, je m'adapte, c'est tout. Je les aime doux, je les aime passionnés, mais surtout authentiques. C'est le plus important." De la fierté. Il lui semble avoir trouvé le mot adéquat. "Mais ce serait compliqué de te trouver des défauts...Peut-être que tu ressens la même chose, toi aussi ?"
Elle manque de peu de répondre à son invitation, avant de porter un doigt sur les lèvres d'Hysteria pour le stopper dans ses avances.
"L'offre est alléchante, mais pas ici. Pas pour un premier rancard, j'ai des principes. Non pas que tu ne me plaises pas mais..." Celsius ne manque pas de souffler plus doucement une toute autre invitation: il lui semble avoir besoin de réfléchir mais tout à la fois, de répondre à quelques désirs inavoués. "Ce soir, peut-être ? Ou durant un autre rendez-vous, en tout cas. L'on dit que c'est meilleur quand on attend et...J'aime me faire désirer."
Ses doigts frôlent et caressent brièvement ses lèvres, avant d'exprimer ses "au revoir".
"A plus tard, Hysteria."
Un clin d'oeil dérobé à son passage, et Celsius se perd de nouveau dans la foule, une coupe de champagne vide à la main.
nous n'avons pas échappé à cet échange tumultueux entre notre major et l'individu nuisible précédent ; cela ne nous fait ni chaud ni froid mais nous préférerions éviter un rapprochement entre les deux - ne pas revoir l'un serait bénéfique pour notre taux d'adrénaline. nous enlevons nos talons qui nous compressent la plante des pieds avant de continuer sur notre lancée pour nous placer devant notre troisième partenaire : nulle autre que notre très chère major.
nous posons lesdits chaussures sur la table qui nous fait face ; nous nous fichons royalement de ce qu'elle pourrait penser : nous savons que nous sommes assez nécessaires pour outrepasser quelques délicates règles de bienséance. nous posons notre regard sur elle ; nous croisons les bras avant de poser les coudes ; attablé nous sommes en frottant nos orteils contre notre tendon.
nous aurions pu nous étendre comme monts et merveilles sur notre relation avec cette femme ; nous aurions pu émettre l'avis que nous sommes presque indispensables par notre merveilleux attribut à posséder deux alters. nous ne le ferons pas. nous ne savons guère ce qu'elle pense de nous et nous n'en avons cure ; nous essayons déjà tant bien que mal de lui "obéir" quand la situation l'ordonne : malgré notre capacité à préférer être imprévisible - nous avons du mal à être tenu en laisse et nous nous ne nous contentons pas de cette hiérarchie qui n'a ni queue ni tête.
nous pourrions déjà entamer nos questions que la très chère IA nous demande de faire ; nous ne le faisons pas de suite, nous préférons attendre qu'elle parle premièrement. elle le fera sans aucun doute car nous la regardons assez pour le savoir et le deviner - un petit sourire qui se promène sur nos lèvres carmin - nous ne sifflons aucune note.
Ft. Titania Event Saint Valentin Troisième rencontre
Prendre du recul est un moindre mal ; un laps de temps constitué de secondes, minutes et chicaneries à réfléchir au pourquoi du comment elle, Celsius, major et tête de groupe de sa faction, se retrouve à assumer ce genre de minauderies. Hysteria, Nothing ; ces danses et ces paroles s'entremêlent et empoisonnent son esprit. Alors la Belle calcule la faible et improbable probabilité d'enchaîner les coups de coeur en si peu de temps.
Une seule conclusion s'impose alors : l'Amour rend bête, dit-on.
Pour autant, Celsius n'a jamais eu un cœur d'artichaud. Elle entend qu'un soldat efficace est un soldat en bonne santé, aussi bien physiquement que mentalement. Alors elle ne s'oppose pas toujours aux relations entre les siens, tant qu'ils ne sont ni secrets et ne nécessitent ni coups de crocs pour rentrer les brebis égarés dans le troupeau.
"Titania. Tu es très belle ce soir. Une vraie rose ; charmante mais épineuse."
Un regard sur cette robe élaborée et parfaitement soignée. Il est vrai que sa caporale ne peut que difficilement passer inaperçu. L'artifice et ses couleurs prêtent ici à autant d'attention que de méfiance...
Méfiance non partagée pour autant ; son regard brille d'un peu de curiosité à l'égard de la jeune femme dont elle s'attend à tout moment de voir en action ; sa plume décochée, et sa personne criblée de sa calligraphie à double tranchant...
"Tu t'amuses bien, ce soir ? J'espère que tu n'as pas trop malmené ces messieurs..."
Ou ces dames, d'ailleurs. Mais quelle que soit la réponse, le ton de sa voix montre un certain amusement vis-à-vis de sa caporale ; la preuve qu'elle n'a pas besoin de serrer la laisse pour obtenir les résultats escomptées. Après tout, la major se sait être elle-même un très mauvais exemple d'obéissance.
" Mais soit, s'il faut poser des questions. Si tu devais choisir quelqu'un dans cette salle pour passer la nuit, qui choisirais-tu ?"
Titania peut tout aussi bien gribouiller un dessin de wild avec des grandes dents ou l'un de ces truands de Legendary, il est clair que Celsius ne tiendrait pas sa langue cette fois-ci.
Tout pour détourner son attention de Nothing et Hysteria ; en cela, Titania est une présence idéale et "rafraîchissante"...
nous n'attendons pas longtemps pour entendre les premières notes d'une voix féminine ; aurions-nous le même timbre si nous pouvions parler normalement avec autrui - sans devoir réfléchir aucunement au sens de nos paroles ? aurions-nous, nous-mêmes, la possibilité de pouvoir épeler distinctement chaque mot, put utiliser différents types de voix pour paraître ? nous ne le saurons jamais - nous ne le pouvons. notre voix est nuisance ; notre alter est nuisible - notre vie est messie.
nous passons outre les compliments - les sous-entendus liés aux roses tout autant - nous n'apprécions tout simplement pas les compliments avares ; ils sont nullement nécessaires. ils ne sont là que pour flatter l'égo des êtres insignifiants ou réconforter l'inexistant d'autres ; rien d'utile pour nous - nous ne nous plaçons ni dans l'extrême haut ou l'extrême bas. une autre question dans sa voix - il suffit toujours d'attendre pour qu'on nous parle ; l'être humain est ainsi fait et nous nous demandons bien pourquoi.
nous ne faisons que hocher la tête au lieu de prendre notre stylo ; si simple quand cela n'est qu'une question parmi d'autres - la deuxième arrive déjà et nous ne pourrons y échapper avec un simple mouvement de corps. alors nous prenons ce carnet que nous brûlerons à la fin de la soirée - nous dessinons un petit bonhomme avec une tête bien ronde, les sourcils qui se froncent, quelque chose ressemblant à une main qui se pose sur le menton et un point d'interrogation au-dessus - nous ne comptons ramener personne. notre soirée se terminera dans notre chambre - et cela nous convient !
nous renvoyons la balle en lui demandant "et toi ?" référence à sa propre question précédente - son premier, son second ou un autre partenaire ? non pas que cela nous regarde ou nous passionne - loin de là - nous devons juste jouer ce jeu factice pour satisfaire.
Ft. Titania Event Saint Valentin Troisième rencontre
Prendre les devants ou non importait peu : Celsius n'a jamais été particulièrement timide. Titania peut donc s'entendre avec elle sur ces préférences : ça ne gêne pas sa supérieure de s'essayer à initier les questions, quand bien même elles peuvent parfois fâcher les cœurs et blesser les égos.
Ses mirettes d'émeraude se contentent ainsi d'observer la folle danse d'une plume, puis d'écouter le crissement d'une mine contre cette malheureuse page blanche. Les sourcils froncés -l'alcool rend Celsius plus expressive et moins mesurée, en atteste son troisième verre en main-, la jeune femme s'attend à tout.
Le résultat d'une telle œuvre d'art ne peut que lui soutirer un rire léger, mais bref.
"Une dure à cuire, j'oubliais." Une qualité honorable comme un vilain défaut pour une caporale ; toujours, Celsius prie pour que le travail d'équipe n'en pâtisse pas de trop. "Et même avec un "si", tu n'aurais pas une toute petite idée ? Enfin, tu as raison : pourquoi s'embarrasser à danser avec quelqu'un quand on sait qu'on va le recroiser avec un poignard à la main dans quelques jours ? "
C'était le plan, pourtant. Récolter des informations, ne pas se laisser bercer par l'adrénaline d'une douce rencontre. Faire un doux sourire, poli, joli mais létal. Celsius est encore lucide sur certains aspects. Seulement, ses sentiments lui font ici défaut et plongent son esprit dans une confusion désagréable. La surprise ne peut qu'ébranler sa confiance quand la question lui est aussitôt retournée : un silence. Puis des ongles portées près de ses lèvres en réponse à cette question somme toute personnelle. Elle ne sait pas si Titania est de celle à juger. Après tout, elle se juge déjà elle-même...
Alors, elle feinte la réflexion.
"Voyons voir. Calliope est fidèle à elle-même, toujours aussi adorable...Il y a cette jolie rousse aussi. Elle a l'air douce et composée. Sans compter le brun que j'ai entrevu en début de soirée. Des yeux vairons, ça ne court pas les rues..."
Rien qui ne retiendra son attention sans un échange ou un réel intérêt pour leur esprit. Son hésitation et sa propension à observer toute cette petite population du haut de leur perchoir montre sa volonté à ne pas plonger directement dans les aveux.
Et pourtant, l'évidence ne peut que tomber.
"Mais il y a lui. Je crois que tu l'as rencontré...Il a son charme, je trouve."
Sa vision se perd alors en direction d'Hysteria, ou en tout cas, ce qu'elle peut entrapercevoir du Vigilante. Il éveille en elle une étrange et dangereuse passion, une flamme insidieuse et jusque-là inconnue du bataillon. Un picotement dans la nuque, un sourire presque bête mais sans fondement, et puis cette sensation d'avoir "presque" trouvé son âme sœur. Mais il faut l'avouer : cela ne repose que sur un instant volé, quelques échanges "tumultueux" mais surtout...la peur. La peur d'aller soudain trop vite. La peur d'être trahie, une fois de plus. La peur qui coule aussi bien dans son alter que dans ses veines. La peur de ne pas savoir dire non et d'être emportée dans les conséquences d'une réponse trop hâtive.
La Peur, sa douce amie qui ne cesse de la tourmenter depuis ses débuts. De nouveau, la Belle soutire une gorgée, afin d'effacer le trouble qui lui mord le visage. Celsius n'aime pas être taquinée ainsi. Habituellement, c'est elle qui veille à mettre ses inquiétudes sous laisse. C'en est troublant d'inefficacité.
"Et puis il y a le soldat presque parfait. Mais lui, c'est différent."
Mieux entendu, plus doux, en quelque sorte ? Cette fois-ci, son attention se pose ainsi sur Nothing et sa silhouette glaciale...
Un raclement de gorge suffit à briser cette alchimie dansante dans ses pensées et à se retourner vers la réalité : Titania.
"Et toi, ma douce, tu as déjà aimé quelqu'un ? Ou hésité entre deux personnes, dans ta vie ? Un ou une trapper, ou même une personne d'une autre faction ?"
Si elle connait sa caporale, c'est aussi l'occasion de creuser dans cette épaisse carapace. De révéler ce qu'il y a sous ce voile de mutisme dans lequel Titania se drape en tout instant.
event st valentinavecla populasse round 3 : Jupiter
T’entendre dire que tu n’étais pas important, c’était ton égo qui l’emportait sur la raison. Un jour, tu le serais assez pour que tout le monde te considère comme tel. Cependant, à ce niveau, il avait tord sur un point. S’il était important pour Jup, il était important pour toi.
C’était donc sans un regard, que tu répondais à cette affirmation alors que le doux nom de ta soeur était murmurée pour t’inciter à la voir ensuite.
“Tu l’es, à mes yeux.”
Tu repartis comme tu étais venu, calmement, les mains dans les poches. La colère en fond, mais retombée. L’amertume en bouche, mais isolée.
Tu rejoins ta soeur, le visage étrangement fermé. Tu ne la saluais pas réellement, comme si tu étais perdu dans tes pensées, puis finalement, le glas tomba, ne souhaitant pas faire autrement. Tu ne pouvais le cacher, tu n’avais pas envie de le cacher, puis tu n’avais pas envie qu’on puisse l’utiliser contre toi un jour non plus. Avec elle, t’avais envie de rien qui ne pèse, et elle se doutait bien, de toute façon, probablement, qu’un tête à tête entre vous deux, n’aurait jamais fini sur des bouquets de roses envoyés.
Tu poses donc ton regard sur elle, avec toujours ce calme qui contenait tes craintes, comme un chien qui revenait se faire battre par son maître car il avait fait une bêtise.
Elle écoute le murmure à son oreille et a une drôle d’expression avant de sourire et de faire un signe de tête à son interlocuteur du moment.
« Eh bien, le temps nous est déjà écoulé. Ce fut un plaisir de vous rencontrer Lime, passez une bonne soirée. »
Un signe de tête respectueux avant de se saisir d’un verre et d’aller rejoindre son frère. Elle n’aurait pas pensée le voir aussi vite, elle se demande comment il va. S’il a passé une bonne soirée jusqu’à maintenant. S’il est content de la voir aussi.
Et pourtant, le voir revenir avec un air aussi sérieux et calme n’annonce rien de bon. Non, il aurait été plus enjoué, plus content peut-être. Mais là non, elle le fixe, se poste face à lui.
Elle attend. Ses premiers mots.
« … Pardon ? »
Il a utilisé son pouvoir… sur Oblivion ?
« Pourquoi tu as fait ça Mars ? »
Ses sourcils se froncent pour prendre un air sévère, posant son verre sur le premier plateau servit afin d’avoir son attention placée sur son grand-frère.
« Obli est mon meilleur ami, mon partenaire. Il m’aide et me protège pendant mes expéditions, il me tient compagnie quand tu n’es pas là. J’espère… J’espère que tu as une bonne raison d’avoir fait ça. »
Son ton est mêlé de colère et de tristesse. Mais ce qui ressort le plus, c’est la déception dans son regard.
Event St Valentinpourquoije suis ici round 3 : Hysteria
Boire, boire, encore et encore. Les verres passaient et vacillaient, se vidaient entre tes mains plus rapidement qu’un poulet qui courrait pour fuir son ombre. Toi, tu noyais tes émotions. Tu noyais tes espoirs, tu noyais tes rêves, tes pensées... et ta vision, aussi tiens. Quand on te susurra le nom de ton prochain date, tes lèvres se stoppaient au bord du verre, que tu vidais après plusieurs secondes de vide.
Tu attendis qu’il vienne à toi, car tu ne l’aurais pas fait de toi même. Lorsqu’il s’annonça, ne serait-ce que d’ouvrir la bouche, ou même de montrer sa présence... Tu étais prêt à l’accueillir.
Mais qui voilà ? Hm? Tu veux me parler, parlons !
Tu prends un autre verre. Tes pommettes sont légèrement rougies, mais tu tiens encore debout. Tu ne souhaites pas non plus te rendre ridicule, mais ta condition est clairement visible, ne serait que part un détail qui ne te caractérises pas : ton sourire est présent.
De toute les personnes que tu peux... T'envoyer en l'air ici, c’est vraiment elle que tu choisis ?
Tes sourcils se haussent avec le ton de ta phrase qui se veut ironique.
Oh je sais, tu vas me dire que tu comprends pas ce qu'il t'arrive, que tu ne sais pas ce qu'il se passe... Un peu de volonté, bon sang ! Ca n'a jamais fait de mal à personne. Où est ce petit con...
Tu parlais évidemment de December, mais il n'était pas présent dans ton champ de vision. Tu ne le louperais pas la prochaine fois. Tes lèvres goutent encore cet alcool dont le goût t’échappe car tu es trop occupé à juste conserver ton état d’alcoolémie, plus qu’à en savourer la saveur.
Tu te rappelais alors que tu te devais de lui poser deux questions, et non une seule.
T’es qu'une grosse blague, Hystéria.
C’était pas une question, ça.
Tu le regardais comme on regarde un ami qui vous a fait mal. Sauf que la douleur, tu ne la ressentais plus. Déjà, parce que tu avais tout verrouillé, ensuite, car tu étais trop alcoolisé pour ressentir autre chose que... le vide, et les émotions négatives et tristes qui l'accompagnaient.
Tu repousses alors l’épaule du type qui se trouve en face de toi, ne le reconnaissant plus sous les traits de celui que tu avais connu. Aveuglé par une boisson lente dans tes veines, par la tristesse d’un passé refoulé, tes dents s’étaient serrés et ton corps, crispé. Tu lui tournais alors le dos pour attraper une énième coupe.