Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
« Tendue au départ mais la personne que j’ai vu juste avant vous a aidé à me faire sentir à l’aise. » Peut-être même qu’elle s’autorisera à lui envoyer un message pour la remercier plus tard.
La réponse à sa première question ne se fait pas attendre. Il liste comme s’il y avait déjà réfléchis des dizaines de fois… Ou peut-être que c’est normal de savoir exactement ce que l’on cherche et que c’est elle qui n’y pense pas assez.
Ses questions à lui sont encore plus osées que les siennes et elle ne peut empêcher le rose de lui monter aux joues. C’était donc ce genre d’interrogations qui intéressaient vraiment les gens dans ce genre de rassemblement. Elle devait paraître bien naïve avec ses questions sûrement trop mignonnes. Elle allait devoir faire un effort.
Imagine que tu es en mission pour ta faction Calliope.
« Je dois avouer ne jamais réellement avoir pris le temps de réfléchir à cela. Peut-être que je passe trop de temps à lire et observer et pas assez à m’intéresser à moi-même. , elle prend une gorgée - la dernière - dans son verre. Il en va de même pour une quelconque relation amoureuse. Je suis désolée de ne pas pouvoir vous donner de réponse satisfaisante. » Elle lui adresse un sourire, même si les questions sont plus gênantes que celle précédemment posées, elle n’est pas mal à l’aise et c’est tout ce qui importe au final.
« Si votre soirée ce passe bien jusqu’à présent, j’imagine que votre rendez-vous juste avant celui-ci était agréable ? , elle avait remarqué Celsius s’éloigner un peu plus tôt. Cette personne n’a-t-elle pas réussi à faire battre votre cœur un peu plus vite ? »
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Event St Valentinpourquoije suis ici round 2 : Calliope
Tu es rassuré quelque part, qu’elle ne soit pas si gênée que cela. Le reste du temps aurait pu être embarrassant sinon, pour vous deux.
Elle ne semble donc n’avoir connu que peu, ou pas, d’expérience. Tu es piqué, à nouveau, à te demander ce que sont les tiennes. A part tes désillusions amoureuses, il semblerait que tes expériences ne soient pas bien hautes non plus. Serais-tu vierge? Il est dur de t’en souvenir, car au delà d’être un soldat, les souvenirs deviennent de plus en plus flou, loin de toi la vie normale que tu idéalisais plus jeune. Tu chasses donc ces pensées rapidement.
La curiosité de la jeune femme le fait hausser les sourcils.
“Je vous demande pardon?”
Le ton presque comme si un parent réprimandait son enfant d’avoir dit une grossièreté trop précocement. Il se reprend rapidement en buvant à nouveau dans son verre, regardant du coin de l’oeil la bellâtre déjà effacée par la foule.
“La discussion était agréable, et la danse aussi. Savez-vous danser ? Voulez-vous essayer, avec moi ?”
Ton regard se pose alors à nouveau sur elle, espérant que cette demande chasse sa curiosité mal placée. Pensais-tu alors que tu venais de poser des questions beaucoup trop intimes juste avant, idiot que tu étais, la différence était telle pour toi que le sexe t’intéressait moindrement que les émotions et sentiments, qui étaient des choses beaucoup plus intimes encore selon toi. Des choses... que tu avais effacé de ta vie, avant ce soir.
Une réaction espérée, pas assez rodée néanmoins. La situation se veut de plus en plus desenchantée, devant la paresse de sa combativité. Pourquoi Mars ne le repousse-t-il pas sur le champs ? Que cherche-t-il donc à défier dans cette lutte sensitive ?
L'agonique plaisir ressenti à l'égard de ce goujat s'intensifie à mesure que les secondes s'épuisent, et la frustration s'accompagne en reine parmi les autres émotions diffuses. A-t-il déjà ressenti pareille envie pour la seule femme de laquelle il s'était amouraché l'espace de plusieurs mois ?
- Tes questions n'ont aucun sens légitime, ni intime. Personne ne désire mourir de quelconque façon, ni même se prostituer aux ordre de l'ennemi.
Les eaux troubles de cette envie prennent essence en lui, et le reste n'a plus son importance. C'est le point de non-retour qu'il veut chasser, en se glissnt hors de sa portée, roule sur le mur, éperduement épris des effluves insupportables de cet homme, irrémédiablement attiré par ce carcan de volupté sur lequel il veut abattre sa hache mentale.
Mais comment le pourrait-il, lui, le sans-alter.
Oblivion ne s'estime pas assez pleutre et faible pour s'ériger en victime. Il préfère encore devenir un martyr, quitte à tout perdre dans sa dignité. Il marche, titube plutôt, jusqu'à la porte des toilettes, ne souhaitant donner la moindre étincelle de satisfaction à son bourreau des chairs, et ouvre à la lumière du bal pour retrouver une once d'humanité pure et civilisée
event st valentinavecla populasse round 2 : Oblivion
Il cherche à te fuir. Tu as gagné ? Tu aurais gagné parce qu’il fuit ? Tu ris, ouvertement, promptement, alors que tu puises dans tes forces pour l’attraper et. Instaurer un contact. Ta poigne qui se referme sur son bras alors que tu l’empêches de partir. Une poigne qui, lorsqu’elle n’est pas vouée à donner lieu à un combat, est tremblante derrière les muscles tendus.
“Reste là. Ne me fuis pas. Lâche.”
Ton visage est déformé par la haine.
“Tu souhaites retrouver la présence de ma soeur ? Que ton regard de lâche se pose sur elle à nouveau ? Que ton corps à ses cotés ne soit qu’une insulte à son innocence ?!”
Tu le tires vers toi. Attrapes l’un des papiers présents, ou l’une des serviette, pour lui essuyer ce qu’il lui sert de front. Avant de presque vomir réellement, le combo des deux sensations est assez magique, il faut l’avouer. Tu jettes l’outil sur le sol alors que tu l’observes, ne lâchant pas ta poigne qui ne fébrile pas, mais qui fait vibrer tes muscles de défense automatique.
“Qui est-elle pour toi ? REPONDS-MOI !”
Infâmie et jalousie qui te dévorent... font perdre ton regard sur ses lèvres que tu viens brusquement mordre, animal, manquant de sensualité mais bordé de colère alors que, de part ce contact, une peur s’installe brutalement en toi, des flashs de ton passé torturé s’imposent. Comme si ton alter même te disait qu'il fallait que cela cesse. Que cela faisait trop longtemps. Et donc, avec cette peur... ton alter s'éteint. Te laissant le regard hagard, la proximité trop évidente, et...
Tu le repousses brusquement avant d’aller ; semble-t-il ; vomir dans les toilettes juste à coté.
Elle ignore à quoi la réaction est due. Sa question était-elle simplement mal venue ? Était-il inconcevable pour lui d’avoir un début de sentiment positif envers quelqu’un à l’instant présent ? Ou se passait-il réellement quelque chose entre eux ? Elle n’insiste pas, se faire des ennemis n’étant pas son intention mais elle note dans un coin de son esprit d’aborder le sujet avec Celsius si l’occasion se présente. Toute information est bonne à prendre.
« Je suis désolée si la question vous a paru trop intrusive, même s’il me semble que les vôtres l’étaient plus encore, elle pose son verre. J’ai les bases pour ne pas vous écraser les pieds, ce serait un plaisir de danser avec vous. » Elle s’approche un peu plus de lui et lui tend la main, prête à se laisser guider.
Ils dansent lentement, elle se concentre, voulant être certaine de ne pas faire de faux pas, au sens propre comme au figuré. Le silence allait finir par être pesant.
« Voulez-vous que nous passions à des discutions un peu plus basiques ? Comme… Votre âge, votre famille, les derniers hunting sports… » Votre alter, votre poste, vos potentielles faiblesses…
Si elle ne pouvait pas avoir de conversation en rapport avec l'évènement, autant essayé de récolter quelques informations...
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Le nom d'une autre personne caresse tes oreilles : Celsius. Tu as une vague idée sur son identité ; par contre, tu avais bien fait tes devoirs, c'était une major. Et tu trouvais admirable qu'un tel poste hiérarchique se trouve en ces lieux pour venir cueillir des coeurs, ou du moins apprécier la frivolité de ces instants éphémères.
Et toi, tu veux seulement t'amuser, à défaut de te faire eviscérer du regard, comme la jeune brune s'était évertué à faire tout le long de votre conversation. Ca ne t'a pour autant pas dérangé, ni même blessé. Car le seul maître mot de la soirée était "divertissement". La vengeance s'en est allée, esseulée par ses indignes pairs ennemis, pour retrouver finalement un jeu frivole.
En plein milieu de la salle, tu entends le son d'une femme pleine d'assurance. Tu tournes la tête et la fixes dans le silence le plus complet, d'abord observateur. C'était elle. En plus de faire le premier pas, elle te proposait un verre. Jackpot. Tu sors alors le grand jeu, parce que t'es comme ça, un homme qui se veut cynique ou séducteur, mais surtout entreprenant.
- Un major qui empoisonne son valentin d'une heure pendant une fête supervisée par l'I.A.. ça s'appelle du suicide. Ce serait dommage pour une personne de votre rang.
T'attrapes la coupe, et bois à ta bière regrettée. Tu te concentres enfin sur ses paroles, le tout enivré d'un intérêt grandissant. Sa classe n'était plus à refaire.
- J'admire votre spontanéité. Je suis pour les deux, qu'importe le champagne, pourvu qu'on ait l'ivresse.
Ton regard s'affûte ; le sourire s'aiguise.
- Et vous ? Etes-vous plutôt femme au coeur de glace mais, de braise lorsqu'on vous captive, ou bien femme de trempe qui attire nos oies les plus blanches de Carcosa ?
C'est pas tant ton genre de faire dans la métaphore, mais ce soir, l'envolée lyrique avait de ça d'amusant que tu te laisses guider.
Visiblement, certains n’avaient pas besoin de December pour pimenter leur soirée. Il le constatait en observant la plupart des duos.
Il se faisait discret Dec. Il regardait le monde, un verre a la main, seul, dans un coin. Voir chacun des duos lui rappelait un peu plus que lui, il n’aurait jamais droit à ca. Il aurait beau essayer de faire la conversation, de tenter d’être sympathique, ca n’irait jamais très loin.
Car Dec ne croyait pas en l’amour pour lui.
Et alors que le premier tour se termine, que tous commence a entamer leur deuxième entrevue. Dec soupire. Ca le gave de voir ca.
Il ne compte pas simplement rester là, dans son coin à regarder bêtement.
Cette soirée aurait besoin d’un petit coup de pouce. Oui c’est ca.
Alors il s’avance en toute discretion. Passe a côté de différente table. Et fini sa route auprès d’une vieille connaissance.
Grand sourire.
Oui c’est ca.
Il passe son bras derrière les épaules d’Hysteria. « Eh salut l’ami ! Je ne pensais pas te croiser ici ! C’est cool de voir que tu sors un peu de ta grotte, surtout après le dernier Hunting Sport ! »
Clin d’œil.
L’alter est activé.
Hysteria tombera amoureux de celle qui lui fait face, c’est certain.
December se décolle de ce dernier et attrape la main de Celsius.
« Désolé je ne voulais pas vous déranger, enchanté ! »
Grand sourire, le regard droit dans les yeux. Il a mis toutes les chances de son côté. Les deux tourtereaux sont désormais liés pour 24h maximum.
Il lâche Celsius. Commence a s’éloigner :
« Bref amusez-vous bien ! »
Là ce sera plus intéressant a observer n’est ce pas ?
résumé : - Dec observe depuis le début de la soirée et il s'emmerde donc il décide de ship Hyst et Celsius en toute discrétion - Il repart dans son coin après cette intervention oklm
Invité
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Dim 12 Fév - 18:00
Event St Valentinpourquoije suis ici round 2 : Calliope
Tu inspirais doucement et passais un regard compatissant sur la demoiselle.
“Nous n’avons pas la même approche des choses, mais ce n'est pas grave. Les erreurs, c’est comme cela qu’on s’apprivoise avec le temps. Deux personnes qui ne font jamais d’erreurs ensemble ne se connaitront jamais vraiment.”
Tu bus à nouveau, légèrement. Tu ne souhaitais pas non plus te mettre à mal pour cette soirée. Enfin, pour le moment... Aucune raison apparente de ne plus être maître de quoi que ce soit. Il eut un début de sourire à la remarque de la demoiselle et posa son verre qu’il vida sur la table à coté et tendit son bras pour l’emmener danser.
Les questions suite au blanc instauré, te rendant perplexe. Tu te demandes si ses questions sont sincères, ou si elles servent juste à combler le vide. Tu regardes la jeune fille danser, et rester concentrée, attendant quelques secondes, avant de finalement soupirer doucement.
“Je n’ai personne, et j’ai 35 ans.”
Au moins, peut-être que l’annonce de son âge la refroidira, bien qu’elle semble déjà refroidit. Tu sembles réellement pas doué pour ça, c’est terrible.
“Écoutez, je suis désolé de ma maladresse. Les émotions, les sentiments, sont pour moi quelque chose de... complexe...”
Ton regard se pose sur Celsius et Hystéria, et... Décember. Tu connais ce loustique. Tu connais son alter. Tu connais ce qui en découle lorsqu'il en use, et le peu de battements de coeur que tu avais s’estompent, morts, dans ta poitrine. La muraille reprend forme. Le soldat.
A quoi tu pensais, idiot. Ce n’est qu’un jeu. Pour tout le monde.
Ton regard se pose alors sur la demoiselle en face de toi, et la tristesse de tes émois trahis et passés s’installent dans ton regard, dissimulés par quelque chose de neutre au possible.
“... à raisons, de toute façon. C’est inutile, ça ne sert à rien, et ça nous fait perdre du temps de notre véritable objectif.”
Ft. Hysteria Event Saint Valentin Seconde rencontre
Si l'alcool peut influencer les états d'âme, il est sûrement trop tôt pour en attribur la faute à quelques grammes de trop dans son sang. Celsius est sobre. Elle le sait. Elle ironise, et voit son comparse en faire tout autant. Il est vrai ; c'eut été dommage d'interrompre les festivités sur un assassinat. Dommage mais pas si inconnu. La seconde gorgée qu'elle dérobe patiemment répond à Hystéria tout autant que son regard pétillant d'une certaine malice.
"Si tu savais", crie son silence.
Et elle repense aux moments de paix. Plus petite, c'était Celsius et ses "petits démons" - un surnom certes affectueux mais plein de reproches que les anciens Trappers avaient adopté pour décrire les chiots - qui saccageaient la tapisserie et bousculaient les convives dans leur folle course.
Aujourd'hui, elle avait pris de la maturité et du grade. S'était assagie, oui. Mais cette passion pour les règles brisées n'est pas un feu totalement éteint.
La major s'apprête alors à répondre à Hysteria avec autant de malice quand, soudain, un autre brun s'interpose brutalement dans leur conversation. Il tapote l'épaule de l'un, prend énergiquement sa main. Un froncement de sourcil, circonspect, s'empare de la dompteuse : elle n'est pas friande du contact forcé et retient de justesse des réflexes trop hostiles pour une telle soirée.
Mais, tout de même ! "Eh bien, pour les prochains Hunting sports, je saurais éventuellement qui traquer."
Agacée, elle croise le regard d'Hysteria. Son coeur manque un battement. Celsius peine à comprendre pourquoi sa rencontre avec Nothing semble désormais un peu flou et la salle, si vaste mais peu importante en comparaison du Chasseur qui lui fait face.
"Je..."
Elle ne sait choisir ses paroles. Elle oublie les paroles ironiques et se prête au jeu de sa poésie. Ce n'est pas son fort ; Celsius danse avec des mots plus directs et passionnés.
"Pour te répondre sur ta question...Va savoir. C'est à toi de le découvrir, non ? Mais tu as raison sur un point, je suis là aussi pour apprendre à faire connaissance. Tuer l'ennui..."
Ses doigts se dérobent cette fois-ci plus facilement en direction de son col, l'époussette du pouce en un contact plus coquin.
"Et la soirée me surprend de plus en plus. J'ignore si ton langage est toujours aussi charmant, que ce soit au quotidien ou dans une situation plus...intime."
Elle-même se surprend dans ses avances. Ce n'est pas elle. C'est une évidence. Seulement, plus qu'en tout autre instant, elle ressent le besoin de capter l'attention d'Hysteria. Bientôt, la major se perd de nouveau dans l'alcool et l'incite à en faire de même.
Pour prendre un peu de distance, car cette attirance l'effraie autant qu'elle ne l'attire.
" Doux ou passionné avec tes amants ?"
Une chose est certaine : elle ignorait que les Vigilantes pouvaient avoir tant de charme. Il demeure néanmoins cette hésitation, cette terrible sensation que quelque chose lui échappe et un sentiment de culpabilité exacerbé...
La poigne est telle une serre qui déchire tout espoir de sortie, tandis que l'être doit subir une fois de plus le courroux d'un homme frustré par l'ingérance des mouvements de sa soeur, tant scientifiques qu'Oblivion trouve risible l'humiliant harcèlement que Mars s'évertue à lui faire subir. Il est arrivé des fois le désir secret de l'enlever loin des terres d'or des Legendary, et le laisser pantois et seul parmi l'ennemi. Il est arrivé d'autre fois de savourer les gonds céder sous le jeu de regards qu'ils ont coutume de nourrir. Parce que, pour le brun, il ne s'agit que de cela et de rien d'autre. Colère et jeu.
La haine alors qu'il lit sur son faciès détonne alors : que cherche-t-il à faire une fois de plus, si ce n'est l'humilier dans le creux des toilettes secrets d'un bar en plein essor? A quoi bon, si ce n'est qu'il entend enfin le véritable propos de ce sombre guet-apens, tout affairé à donner du sens à sa colère. .. N'est-ce que ça ? Sa soeur n'a jamais été qu'une précieuse amie à choyer dans le cocon de ses propres mains, que lui-même érigé en grand frère supérieur, ne sait lui laisser le temps de souffler comme de l'en émanciper.
Il n'apprécie pas que ce rustre le touche, essuie sa seule tare sans son aval, et montre ô combien il est rebuté davantage. Peut-être valait-il aller en ce sens et lui donner encore plus envie d'être nauséeux en sa présence ; ainsi Oblivion serait libéré de cet animal. Mais malheureusement, le factice désir insatiable ressenti à son egard va en contrastant avec ses ambitions. Et en l'état actuel, il desire plus chercher le contact avec lui tout en lui crevant les yeux.
Oui... c'est ça.
Il regrette tout de suite ses pensées par le mouvement de ses yeux fuyants. Au lieu de quoi, il veut appuyer sur la blesser. Alors, il ravive la tempête :
- Elle est peut-être ma future amante. Qui sait.
Malice et provocation ne font jamais bon ménage avec la colère, mais il sait être plus dévastateur ainsi qu'en l'embrassant. En parlant d'embrassade, ses lèvres se font malmener, mu par un comportement indescriptible chez l'ours aux oreilles dressées.
Et enfin, il rend tout ce qu'il a semé par le balcon de ses lèvres.
- Quelle merveille
Il se rapproche, lui-même irrité, pour ne pas dire exaspéré des folies de cet être, avant de lui rendre la pareille en plaquant sa soierie souillée sur la bouche impure, et d'en essuyer les restes de vomissures. Il lui sourit, presque tendrement, et se penche pour venir lui mordre les lèvres. - Je fais ce que je veux de mes ambitions relationnelles. Et tu n'es rien pour m'en empêcher sinon quelque chose d'exaspérant. Sais-tu au moins embrasser, car ce n'est pas avec les dents qu'on s'attelle à baiser une bouche, mon pauvre hère.
Un hère, dont l'attirance ne s'était toujours pas estompée.
event st valentinavecla populasse round 2 : Oblivion
Tu rinces ta bouche. Un minimum. Ce qui arrivait ensuite, était pire pour toi que les provocations à l’égard de ta soeur.
Il vient reposer ses lèvres, arracher les tiennes. Tu plaques alors tes oreilles, t’attendant à ce qu’il dégage, maintenant que ton alter avait cessé son effet ; comme pétrifié par ses gestes.
La peur, la traîtrise, la soif de sang. Depuis des milliers d’années, c’était les forces qui gouvernaient votre monde.
Ce comportement te terrifie.
Ton alter n’est plus actif, et au lieu de laisser tranquillement ta tête décuver le dégout d’immondices que tu venais de faire, aussi de t’imposer et de lui imposer une paix, il reste. Pire encore, il te touche. Il te mord. Il continue d’agir comme s’il était encore sous ton emprise, et ça te laisse totalement con. Con, et terrifié. Terrifié, et de ce fait, violent.
Tu le repousses encore. Moins gentiment, plus brutalement, plus loin aussi. Tu recules de quelques pas.
“Dégage. Pourquoi tu restes là ?”
Tu ne comprends pas, Mars. Tu ne comprends pas et ça te sidère.
Pourquoi parle-t-il de baiser ? Pourquoi te mord-t-il les lèvres à son tour ? Le rouge carmin qui se noit sur les tiennes, mélangé au sien à présent, te rend stupéfait. Le son d’un sifflement de mort résonne dans tes oreilles, tel le loup assoiffé de sang qui n’attend qu’un faux pas pour te dévorer. Un pas de trop.
Ton coeur s’affole. Tes poings se serrent. T’avais envie de crier le nom de Jupiter, juste pour te sentir respirer à nouveau et calmer tes frayeurs.
Comment cet être pouvait-il te terroriser autant rien qu’en continuant de te porter de l’intérêt ? Il te détestait, c’était réciproque, pourquoi continuer à faire semblant que l’inverse serait une option ? ... C'était pas une option, non ? Ton cerveau s’est arrêté, et muté dans un coin des toilettes, comme un animal sauvage apeuré et coincé dans son propre jeu, tu es prêt à lui mettre une droite s’il s’approche encore.
L'ambiance avec elle est tout autre, c'est même agréable. Tu ne te forces pas pour sourire, ni même pour lui parler.
- Allons prendre un verre, alors. Nous pourrons échanger quelques pas après si cela vous dit.
Tu sens qu'elle te fixe et tu ne gênes pas pour faire de même. Oh. Mars donc. Tu hoches la tête.
- En effet. Je dirais que le courant est ... bien passé ? Même s'il est parti en vitesse une fois qu'il fallait changer de partenaire, mais bon. Je ne suis pas là pour parler de votre frère, mais pour en apprendre plus sur vous.
Tu lui proposes ta main pour l'accompagner jusqu'aux boissons.
- C'est bien ça, oui. Jupiter, je peux vous tutoyer ?
Tu attends sa réponse alors que les boissons sont devant vous.
- Je me demandais... Qu'est-ce que vous regardez en premier chez une personne qui vous intéresse ? Quelle qualité vous attire le plus et qu'est-ce qui vous rebute le plus chez quelqu'un ?
Hysteria
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Hysteria
Dim 12 Fév - 20:57
Shall Never Surrender
I never surrender
Never Surrender
Ton regard rencontre celui de December. Oh putain de fumier. Tu serres déjà les dents à t'en péter les molaires, prêt à le recadrer, mais c'est déjà trop tard ; et tu le sais avant même de la revoir, elle. Tu jures à plusieurs reprises, agacé qu'il t'ait gâché tes chances de profiter d'un moment de totale spontanéité, là où finalement il n'est question que de ...
C'est presque à regret que tes onyx retrouvent celle de Celsius. Regret ? Fichu alter, t'étais en train de prendre ton pied. A ressentir de nouveau cette chaleur intérieure, ce chamboulement émotionnel. Tu restes un moment aux prises du silence, trop épris pour savoir comment réagir. Et quand même tu sais combien l'alter de December est un fléau, tu te souviens avoir énormement apprécié ce qu'elle dégage : un femme sûre d'elle, et joueuse en plus. Ton coeur rate un nouveau battement. T'es peut-être un peu amoureux. Et dans ses états, tu perds toujours tes moyens. Tu tiques, tu claques légèrement la langue, tu regardes ailleurs...
Mais elle tue ton embarras intérieur par une nouvelle question, et t'es trop captivé par ses lèvres pour céder à l'appel de fuir.
- Je...
Articule, Hysteria, articule. Un mot après l'autre.
- Hummm. Je suis charmant qu'en pareille compagnie.
Tu ferais bien tinter ton verre mais tu serais trop maladroit pour ça. Au lieu de quoi, tu lui proposes :
- Je reviens deux minutes, je vais prendre de la bière.
Et en cinq secondes tu lui reviens déjà armé de deux chopes de bière, au plaisir d'une téléportation rapide et pratique. Pas dit qu'elle apprécie le goût amer de cet alcool, mais tu lui en tends une au hasard.
- Je ne suis pas tout à fait charmant, plutôt ... rentre dedans ? C'est comme ça qu'on me qualifie. Quant à savoir si je suis doux ou passionné...
S'enfile une rasade alcoolisée, et s'enjaille sur le goût.
- Bestial.
Tu penches la tête en la fixant sans te cacher de l'admiration qu'elle t'inspire. Tu mets un temps avant de tuer la distance entre vous, et de mieux observer ses deux emeraudes, le tout agrémenté d'un sourire aussi taquin que sincère.
- Qu'est-ce qui te rebute le plus, que je ne sache pas l'incarner ? ... et... puis-je t'embrasser ?
La réponse est brève. Elle devait être vraiment mauvaise pour ce genre de chose. Il s’excuse, alors qu’elle n’avait pas pour but de le faire culpabiliser. En d’autres circonstances, elle aurait surement joué là dessus pour obtenir quelque chose, mais cette soirée était faite pour passer du bon temps, pas pour démarrer plus de querelles.
Elle suit son regard et elle retient un sourire. Pour quelqu’un qui affirme avoir du mal avec les sentiments et qu’il n’y a rien avec la partenaire précédente, il a l’air un peu trop intéressé par cette dernière. Elle a l’impression que quelque chose change avant de redevenir le centre de son attention. La fin de son explication la laisse avec un léger sentiment de tristesse. Pouvait elle vraiment accepter une vision aussi sombre ?
« Vous n’avez pas à vous excuser. Comme vous l’avez dit plus tôt, chacun est différent et il est normal de ne pas toujours savoir ce qui va décontenancer l’autre, elle prend une grande inspiration avant de reprendre. Mais si je puis me permettre, même si vous avez bien signalé que parler de sentiments n’est pas votre tasse de thé, il me semble que votre vision est bien trop sombre. Je ne dis pas que ça doit ressembler à un roman où tout est beau à la fin, mais l’aventure en vaut la peine. Et qui sait, peut être qu’un nouvel objectif bien plus beau que celui d’origine s’imposera à vous si vous décidez de vous laisser porter un peu. » Elle avait peut être parler un peu vite, elle avait l’impression d’être essoufflée.
« Tout ça pour dire qu’il serait dommage de passer à côté de quelque chose de beau à cause d’une vision peut-être trop morose. »
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Le recul n'est rien comparé à la scène qu'il lui a imposé, quand lui avait seulement daigné laver sa propre souillure corporelle. Le regard est torve, bien qu'empreint de pitié. Oblivion n'a jamais ressenti autant de haine à l'égard d'un autre, si ce n'est la cible de toutes ses pensées : le tueur en série des legendary.
Un instant pensif, il se repait de sa réaction qu'il juge disproportionnée, quand bien même il décèlerait presque une souffrance insoupçonnée, dont il est incapable de composer avec en l'état.
Il glisse ses iris saphirs sur le robinet sous lequel il peut dresser enfin son tissu de soie pour le caresser du pouce et chasser sa propre écume. Sans donner le change à leur conversation, il préfère retrouver les faveurs de l'I.A. en lui posant trois questions qui donnent un nouveau ton à leur conversation, car, Oblivion le savait, il ne pouvait se substituer à cette présence lourde de conséquences.
- Es-tu amoureux de ta soeur ? Sais-tu seulement aimer ? ...
D'un mouvement preste, tu claques le morceau de tissu dans l'air pour expulser les restes de gouttes d'eau, sans lâcher du regard la part impure des Legendary.
- Tu es un très mauvais observateur. Ou alors, es-tu mu seulement par le désir de m'importuner ? ... Comment se fait-il que tu ne te sois pas rendu compte de la nature de la relation que j'entretiens avec ta soeur ? Tu donnes l'impression d'un enfant qui a trop vite grandi, incapable d'aimer, d'être touché et de réflechir.
Impitoyable, il l'était, et son envie première ne semble se ternir de l'humilier à son tour. Il continuerait jusqu'à la violence des actes.