Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
And all I've done for want of wit To memory now I can't recall
calm downcalm down calm down
THÈME – Il y a trois choses en ce monde qui peuvent ruiner Carbone ; trois. Seulement trois petites choses qui peuvent le mettre en pièce, le détruire à petit feu et lui briser le coeur. Il ne pensait pas, qu’en cette soirée normalement joviale ; il en verrait deux se concrétiser ici même. La haine d’Hysteria à son encontre, la souffrance d’Howlite et les larmes de Dolly. Si dans un premier temps, son regard scrute le faciès de celle qu’il considérait encore aujourd’hui, malgré les doutes qu’il peut susciter chez elle, son amie ; il voit Thanatos à ses côtés, il l’a sait soutenue ; mais il ne peut s’empêcher malgré lui Carbone, de l’interroger du regard. Dans un mouvement lent, de lui demander silencieusement, si ça allait. Sa main quant à elle, se resserre sur celle de sa tendre amie. Ce qu’il peut lire dans ce regard qui s’assombrit, qui perd de sa splendeur, de son éclat, commence déjà à commettre son méfait. Les paupières se plissent, les sourcils se froncent ; il détestait la voir dans cet état.
Inquiète. Toujours inquiète. à le soutenir envers et contre tout. Et surtout, contre tous.
Vouloir amorcer un mouvement de recul alors que sa main vacante s’approche de son visage, mais ne pas en être capable. Souhaiter s’enquérir de cette caresse, bien aussi légère qu’éphémère, pour un moment de volupté passager. Les yeux sont fermés, pour ne pas avoir à affronter de nouveau cette peine lisible dans ce regard si vivant d’habitude, mais si éteint en l’instant. La gorge est nouée, la fumée de sa cigarette reste comprimée dans sa trachée ; n’osant plus respirer de peur de craquer. Il ne pleurerait pas, mais pèterait très probablement les plombs ; car il sait que Dolly se sent souvent responsable de son état, comme une culpabilité qu’elle s’inflige et qu’elle ne devrait pas. Dans un mouvement lent, il vient coller sa joue dans le creux de sa paume, soufflant les yeux mi-clos. Shhhhh, doucement Dolly. Tout vas bien. Ce n’est rien, d’accord ?
Le voir dans un état pitoyable ? C’était déjà fait. Un bras manquant, des cicatrices à en damner son corps, à le cacher aux yeux du monde pour ne pas dégoûter qui que ce soit ; se contenter d’histoire sans lendemain pour ne pas voir la pitié dans les yeux de ses partenaires… Pour ne rien regretter. Les choix ont été faits, il n’y avait plus de retour en arrière possible. Et quand bien même il le souhaiterait, Carbone était réaliste ; peut-être même fataliste. Sa mémoire lui faisait défaut et jamais, ô grand jamais, il ne retrouverait le fin mot de ses maux. T’as pas à faire ça ma belle, je vais bien. Sonate d’un rire, pour la réconforter ; pour que cette mélodie, quoique bien fausse dans l’instant, agisse malgré lui, comme un baume. Y’a pas mort d’homme, c’est qu’une éraflure. Il caresse cette main, qui essuie sa plaie avec douceur, s’y colle un peu plus pour en récolter la chaleur.
Il peut lire les émotions de cette femme, il croit même avoir toujours réussi à déceler ce qui allait et ce qui n’allait pas ; pourtant Carbone misait ça sur le compte de la chance, sur les affres du passé qui les ont forcés à se connaître de la sorte. Les prunelles s’humidifient, Carbone le voit tout de suite et le verre qu’est son coeur normalement barricadé derrière des couches de métal se met à fondre, à s’écouler comme les gouttes qui perlent de ses cheveux mal coiffés. Non…Non, s’il te plaît, pleure pas ; rit Dolly. Ne pas être capable de dire cette phrase à voix haute et se contenter de dissimuler aux yeux des autres cette facette ; la conservée pour lui, pour la préserver du monde. Son bras se resserre, sa joue se calant sur son épaule, un léger baiser se perdant à l’orée de sa tempe. On va jouer et ça va aller, d’accord ? Son regard dévie aussitôt sur Howlite ; et c’est avec lenteur, sans lâcher son amie, qu’il s’avance tant bien que mal, attrapant le jeu de cartes trônant sur la table.
D’une main habile, il coupe le jeu un premier temps ; puis, en enveloppant Dolly, c’est avec lenteur qu’il mélange le jeu. Un poker tout court serait plus judicieux tu ne penses pas ma chère Howlite ? Nous ne voudrions pas que les gens regrettent leur mauvais bluff le lendemain. Il sait qu’il regrettera d’avoir bu comme un trou pour rattraper le “peloton”. Qu’il regrettera d’avoir embrassé des gens pour qu’il n’éprouve au mieux que du respect… D’avoir laissé parler son cœur, plutôt que sa raison pour certaine. Je distribue, qui joue ?
So fill to me the parting glass Good night and joy be to you all
Il essaye de la rassurer, elle le sait. Culpabilité qui lui ronge le cœur parce qu’elle l’inquiète. Non, c’est à elle de se soucier de lui, de le protéger de tout pour que rien ne lui arrive.
Alors pourquoi. Elle a échouée. Contre un simple éclat de verre.
Il dit aller bien mais elle sait au fond qu’il dit ça pour l’apaiser. Pour ne pas qu’avec l’alcool elle se mette à tout saccager. Parce qu’un monde où il est blessé ne devrait pas exister. Et cela l’attriste d’autant plus qu’elle soit la seule à le penser.
Son bras l’enlace, elle sent de nouveau son contact sur un coin de son visage tandis qu’elle se repositionne pour glisser ses bras sur sa nuque, cuisses sur les siennes, bouclier sur son torse qui prendra le moindre coup. Personne ne le touchera jusqu’à ce que l’alcool les sépare. Les larmes dégoulinant sur ses pommettes, elle redresse légèrement la tête afin de lui souffler quelques mots dans l'oreille.
Puis. Sans pour autant se retourner, elle regarde de nouveau December depuis l’épaule de son ami. Veillant au loin à ce qu’il ne lui arrive rien malgré le flou de sa vision mouillée. Cœur serré, étreinte forcée, elle ne compte pas lâcher tant que son humeur n’aura pas changé.
« Je veux jouuer… Je vais gagner... Et je m'en fous de me déshabiller... »
Ça lui changera les idées. Enfin, c’est ce que disent ses pensées embrouillées.
Qui a dit que les deux n’allaient pas ensemble? Venant à la fête après la guerre, tu n’as aucun mal à passer la porte, ta masse imposante ne passant surement pas inaperçue alors que tu poses ton regard sur Howlite, t’assurant de son bien être, avant de finalement, t’installer non loin. En entendant que les esprits s'échauffaient quelques secondes plus tôt, tu faisais cependant mine de ne rien avoir capté, après tout, ça ne te regardait pas.
“J’ai entendu poker?”
Tu esquisses un sourire et un regard malicieux, Le bluff ? Tu connais. Maintenant, il ne restait plus qu’à savoir si tu étais le bienvenue ici. Après tout, même si ça faisait seulement 4 ans que tu avais rejoint les Wild pour ton ex-compagne, celle-ci était morte il y a deux ans et peut-être que certains se demandaient encore ce que tu foutais là. Pour toi, il était hors de question de retourner chez les Legendary, ces gros connards égocentriques. T’avais même honte d’avoir fait parti de leur famille, faut avouer.
Laissant tes pensées de coté, tu attrapes une des rares bouteilles disponibles pour te servir un verre et commencer à boire. Ton regard se pose sur Howilte à nouveau, l’air interrogateur, lui demandant implicitement si tout allait bien.
Tu fais également le tour de la table par la suite, et remarque que certaines sont dans un état proche de Valhalla. Ce qui t’arraches un sourire moqueur, cette fois-ci. Tu as une bonne descente, et une bonne retenue d’alcool. Le fait que la plupart soit des gamins qui se bourrent la gueule jusqu’à vomir au bout de trois verres, te fait juste sourire. T’inspires grandement, prêt à commencer la partie si on veut bien de toi.
nightmare
Invité
Invité
Invité
Dim 9 Avr - 12:15
Afterwork
Je vais te confier mon plus gros secret J'ai toujours eu un peu d'mal à m'aimer
afterwork ft. les Wilds
la tension redescendit et avec celles-ci tes deux bras, te laissant quand même le soin de laisser encore ton regard dériver d'un côté ou de l'autre, prêt à réagir au moindre mouvement suspect - l'imprévisibilité règne en maître dans le sang de chacun et chacune et les gouttes qui perlent sur tes poignets ne reflètent qu'obstinément cette semi-vérité. écoute la proposition de ceux-ci et les laissent à leur délire de faire ce jeu - tu n'en connaissais pas les règles mais tu pressentais que cela s'annonçait particulier.
tu recules, deux doigts face à tes pupilles avant que tu ne les retournes vers howlite et dolly - tu continuais à les surveiller et le ferais de loin, reprenant ta place contre le mur. tu n'es pas dupe, tu avais très bien entendu la phrase d'howlite, la question, sa posture - tu n'avais jamais utilisé ainsi l'alter d'autrui, jamais non plus pour ton propre plaisir puéril ; plutôt pour la faction. si cela avait vraiment dégénéré, tu aurais dû faire ce choix - celui de l'imposer, celui de lui dire de sauter, de répandre son souffle encore une fois pour repartir de zéro. tu l'aurais fait, tu aurais perdu un peu plus de ton humanité, un peu plus de tes sentiments - un jour, finiras-tu par devenir tyran pour assouvir tes propres instincts sans penser à autrui ?
cela se pourrait, cela était une option - cela pourrait le devenir, cela pourrait t'être utile pour mourir plus vite - au détriment d'autrui, cependant. en fanfare, entouré d'autrui, quand ta tête ne serait que sur pique. serait-ce une mort honorable ? loin de là. tes pensées dérivent et ton regard tout autant quand une stature s'impose dans l'encadrement de porte et s'engage, pour répandre un peu plus de tracas, te laissant passer une main sur ton visage déjà fatigué par tout ça.
un énième coco, un énième individu qui risquait d'être tout aussi chiant s'il perdait le contrôle de son propre alter. et que tu es tenté de lui dire de déguerpir et d'aller voir ailleurs si tu y étais ! mais créer une énième tension alors que la précédente s'était tue et tarie, te suffisait pour ne pas laisser tes paroles sortir de tes lèvres.
tu préférais continuer à surveiller, ne rentrant pas dans ces jeux dangereux. un baiser volé t'avait suffi.
Ce son ? C'est le bruit de ma paille trop vieille qui sirote brièvement le fond de mon verre...
J'arrive en retard, et laissez-moi vous dire que dans les quartiers, l'ambiance est au relâchement. Non sans mal, je suis parvenue à tracer un chemin parmi les saoulards et dalleux du moment ; ça pousse, ça s'adonne à des jeux de poings, ça fait des paris...
"Ca s'fendrait la gueule pour un p'tit cocktail préparé par la main du petit ange !", comme diraient les habitués. Leurs paroles, bien entendues, ne volent jamais très haut. Je les connais bien, moi ! D'ici trois heures, ils confondront ma personne avec celle de l'I.A, tiens...
On ne tarde pourtant pas à me murmurer que le Roi a organisé une fête. Sans hésitation, je m'y dirige dans un premier temps, arpentant les couloirs un à un, puis m'invite dans la pièce, repère le "peloton de guerre" et parviens même à reconnaitre quelques têtes notables. Je constate - comme les autres - qu'il n'y en a pas un pour rattraper l'autre ; le spectacle est si infligeant que je me permets de juger ce que je peux en silence...
"Bonsoir...Voilà une bouteille en plus, j'ai réussi à la troquer à un soldat Wild au passage."
C'est prononcé chirurgicalement. Avec tout le sourire froid et plein de retenu que je peux exprimer.
Je ne compte pas intervenir, quand bien même les mots d'un "poker" me vient à l'oreille. Pas pour l'heure. Ce n'est pas que je déteste mon entourage, mais je le connais mal :
Le fait est que je n'éprouve pour l'heure aucune sympathie en particulier, pour ces frères et soeurs d'armes...
Alors je surveille. De loin.
Icarus
Wild
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Icarus
Dim 16 Avr - 17:55
Afterwork ft les Wilds
Icarus travaillait. Il y avait cet ouvrage qu'il voulait finir de lire, et une histoire dans la tête qu'il souhaitait écrire.
Sauf qu'il n'arrivait à rien, ce soir. Alors il se leva, quitta son antre pour aller chercher une énième tasse de café. Il savait qu'il y avait une fête de prévue, avait hésité à s'y rendre... mais il avait peur. Peur de croiser le roi, de s'amuser devant lui.
Difficile d'oublier ses soucis quand ces derniers t'observaient.
Cependant, entendant le brouhaha à peine sorti de sa chambre, il ne put s'empêcher d'aller jeter un œil. Voir dans quel état finissaient ses camarades. Confirmer que c'était une bonne idée de ne pas les avoir rejoints. Pour se conforter dans son idée.
Ou alors, juste trouver une excuse pour les rejoindre.
A l'embrasure de la porte, il sentit que l'atmosphère était étrange.
Curieux, il s'approcha un peu, concentré sur le groupe au centre de la pièce.
Allait-il troquer le café pour un autre breuvage ?
C'était l'occasion de comprendre un peu plus les gens qu'il côtoyait depuis des années après tout. Même s'ils ne semblaient pas se comprendre eux-mêmes, au vu de la scène.
Il alla se prendre un verre. Remarqua Hadès, sursauta intérieurement, lui adressa un signe poli de la tête en guise de salutation. Il ne pouvait se pousser à faire plus.
Il eut envie de fuir, mais maintenant qu'il était dans la pièce, avec un verre en plus...
Il s'approcha de Moka puisqu'il ne sentait pas assez à l'aise pour se mettre au poker. Il avait envie d'observer plus que de participer ; voir des gens s'amuser.
« Devrions-nous parier sur qui sera le gagnant ? Vu leur état, la partie devrait être pleine de rebondissements. »