A hostile romance begins

Grossière erreur née des impulsions insensées, mu par le seul désir de trouver en tout jeu la faille. Un déroulé de vie que tu aurais aimé te défaire en trouvant la mort si tu n'avais pas été couronné Reine il y a de cela quelques années déjà.

Nuit de vanille parfumée de rose piquante, la chaleur de ses bras est un baume dont tu as le luxe de te repaître en dehors de cette affreuse mascarade.

Le cadavre exquis de l'un des tiens est brandi devant vos yeux ébahis, et tu espères alors à une mise en scène. Ebranlée par la demesure de l'I.A. ou de ce qui compose le monde mystérieux derrière ce système, tu déplores l'intérêt des tiens, ou le choix de l'autre.
Un échange de regard vers l'hellebore qu'on désire, et un autre pour la gueule-de-loup qui toujours, marche à tes côtés.
Et enfin Fahrenheit.

Sans mot dire, tu t'adonnes à l'observation la plus élémentaire, noyé dans l'impossibilité de traquer un faux coupable.

Jusqu'à tenter une forme de provocation dans l'espoir de dénicher une vérité :

- Celsius a la fâcheuse habitude de clamer haut et fort ses désirs de quitter le monde. Ne lui en tenez pas rigueur. En revanche, je voulais simplement vous annoncer que je suis capable de déterminer la mort d'Essentia.
A bon entendeur, soyez plus discret la prochaine fois.

resumé :
• passe la nuit avec fahren
• couve du regard desire
• tacle celisus donc il est las de ses elans de suicide
• provoque, sans savoir si ce qu'il dit est vrai ou faux

C’est la curiosité qui a amène Nicotine à participer, un manque d’action qui depuis quelques temps chatouille ses nerfs - un peu plus chaque jour, c’est exponentiel. Et le début s’était plutôt bien annoncé.
Figure patibulaire, un nom dégoulinant de mystère, des rôles à jouer et puis…
Et puis rien. Arrivé devant la maisonnette, Nicotine était resté sur sa faim.
Enquête et huit-clos. Dans le genre palpitant, on est à zéro.

Il a le vague souvenir d’un cri perçant la nuit. Le vague souvenir d’être allé voir en baillant, de constater les faits et de retourner dormir. C’est ainsi que, le lendemain matin une fois le groupe rejoint, il se retrouve avec une belle trace d’oreiller sur la joue - elle va de pair avec ses yeux encore gonflés par la torpeur que même la vue d’un cadavre déjà froid ne chasse pas.

« Ah. »

Cela rend les choses un peu plus intéressantes, cependant. Ajoute un peu d’adrénaline au cocktail.

« Il a presque une aussi sale gueule que toi, » dit-il à Moka en désignant la figure gisant au sol du menton, accompagnant son compliment par une accolade sous la forme d’un petit coup de coude alors qu’il la rejoint.

Bref, les autres se mettent à parler et Nicotine se contente au début d’écouter et de regarder. Difficile de désigner quelqu’un aussi tôt dans le jeu, mais certains sont plus louches que les autres. Surtout celui aux bras croisés et au regard énervé et l’autre qui demande aux monstres de la dévorer au prochain tour.
Ses épaules ses haussent lorsqu’une femme-chèvre (stylé) avance son invention. En réalité, sa curiosité est piquée en plein dans le mile, donc il s’approche d’elle. Dans les faits, il n’est pas d’humeur à ce que l’on injecte un fluide en lui (titre) mais c’est une idée comme une autre.

« Bah vas-y on t’écoute, » fait-il, un peu excédé lorsque le roi des trappeurs annonce qu’il peut déterminer la cause de la mort sans effectivement le faire, exactement comme le ferait une personne en manque d’attention. Ok la drama queen.

« Et puis qu’est-ce qu’il fichait dans un grenier ? »

Résumé : Nico a pioncé toute la nuit comme un bébé, n’est pas vraiment ébranlé par la mort d’Ess parce qu’il ne le connaissait pas. Il commence par aller voir Moka puis écoute les autres. Il trouve Hysteria et Celsius bizarre. Il va voir Goat et sa machine avant de demander à Alastor de d’arrêter de faire son mystérieux. Ensuite il commence à se poser des questions.

C y a l a n a

J’eus une goutte de sueur sur le front en constatant le silence à la suite de mon intervention. Mes efforts allaient-ils être balayés si simplement ? À quoi bon toute cette préparation si à la fin, personne ne voulait tester l’expérience. Je vécus comme un profond soulagement lorsqu’une personne finalement fendit la foule pour se porter volontaire. Une autre Vigilante. La FAMILLE. Tandis que la joie embrassait mes traits, je fus rappelée à l’ordre par les questionnements d’une autre participante. Mais qu’à cela ne tienne, je ne manquais pas d’arguments.

– Élémentaire ma chère car la science est impartiale ! Et je vais te le prouver !

Sur ces mots, je posais l’engin par terre, m’en éloignant avant d’inviter ma compère à la tester par elle-même. Heureusement, j’avais anticipé ce genre de verrous qui aurait pu entraîner d’éventuels investisseurs à me challenger. Aucun actionneur ne déclenchait l’appareil dans la mesure où j’avais incorporé une charge énergétique rendant l’appareil autonome et fonctionnel passivement. Grudge devait simplement attraper le premier fil d’une main et le deuxième de l’autre.

À leur bout, un peu de cuivre qui permettait au fluide très léger de traverser son corps comme je l’avais expliqué plus tôt. Une dose suffisamment anecdotique pour que ce soit même imperceptible, mais suffisante pour faire bouger l’aiguille sur le curseur et indiquer une vague mesure que j’analysais par-dessus de son épaule.

– Hmmm… ça me semble correspondre aux valeurs normales que je pus tester à l’issue du prototypage. Tu es donc, je dirais, scientifiquement INNOCENTE !

Intérieurement, j’éprouvais une profonde fierté à constater que l’appareil produisait des résultats, même légers. Je m’interrogeais à présent sur la réaction de l’aiguille le jour où le fluide traverserait un monstre. Ma théorie se vérifierait-elle ? Je ne devais pas en douter. Dans ces circonstances, notre pire ennemie était la passivité et il me fallait tenter tout ce que je pouvais tenter. Je devais donc ignorer les remarques négatives sur mon invention et prendre sur moi dans un contexte où nous étions tous sous tension. La meilleure illustration de cet état de fait serait mon tressaillement à l’instant où je crus voir un chien me bondir dessus. Heureusement, sa maîtresse me sauva in extremis du danger, de quoi m’arracher un nouveau soupire de soulagement. À Target, je lui répondais avec une mine plus grave.

– Si même moi je ne devais plus croire en ma science, alors qu’est-ce qu’il me reste…

Et au regard porté sur mon appareil, je me rendis compte que déjà, il était déchargé. Ainsi, je ne pouvais pas l’utiliser trop légèrement. Une observation que je garda pour moi cette journée et à quoi j’allais réfléchir cette nuit. Heureusement, j’avais prévu un dispositif qui me permettait de le réalimenter en énergie cette nuit grâce à l’huile de coude. J’étais encore loin d’approcher du niveau technologique des infrastructures de l’IA Carcosa, mais au moins, je commençais à produire des résultats.

Au réveil, il semblait qu’aucune victime n’était à déplorer. Une chance de plus de nous sortir de cet enfer et de prouver mon utilité. D’autant plus que ce jour, une élection aurait cours. Maire ? Un poste à responsabilité ? Une chance d’enfin briller après avoir passé une existence dans l’ombre du placard ?

– Compagnons ! Je vois bien que les Hunting Sports et ceux-là en particulier n’animeront pas en nous le feu de la confiance ! Pour autant, on nous demande aujourd’hui de choisir un maire ! Il n’est pas venu le moment de se cacher et de broyer du noir même si le vent souffle semblablement sur nos volets chaque nuit ! Si ça doit être bref, alors qu’au moins ce soit intense ! Si la superstition divise les esprits, la science saura nous réunir ! J’en ai l’intime conviction ! Et si vous la partagez, alors votez pour moi ! Votez pour la science en votre âme et conscience !

Si je savais ce que je faisais ? Dieu seul le savait. Et en entendant les discours de mes concurrents, je frissonnais intérieurement. Au jeu des tirades, j’étais inexpérimentée et je le sentais bien en comparant nos développements respectifs. Pour autant, je me convainquais intérieurement que ma passion eut touché quelques esprits à gauche à droite. Seulement, à mesure que se distribuaient les votes, je sentis les larmes me monter aux yeux. Une nouvelle fois, j’allais être cette pauvre marginale que personne ne voulait prendre au sérieux ? Une pauvre chèvre condamnée à n’être qu’un élément de décoration sans importance ?

– Je… Je vote Seraphin…

Sans plus expliquer mes choix, je prenais sur moi le restant de fierté pour ne pas perdre la face. La vérité ? Ses mots m’avaient touché plus profondément que je n’aurais voulu l’admettre. S’il était une personne qui me semblait digne de nous diriger, alors ce devait être elle, même si les autres possédaient également une aura que je ne pouvais ignorer. Quelque chose qui visiblement me manquait… Jusqu’à ce que quelques voix se lèvent pour me soutenir. Relevant ma mine jusqu’alors déconfite, mes yeux mouillés s’illuminaient d’étincelles de joie. Finalement, je serais épargnée de l’humiliation de ne recueillir aucun vote !

De quoi me remonter le moral, un peu. Quand bien même, je restais intérieurement profondément affectée par ce que j’interprétais comme une autre marque de rejet. Ce pourquoi, au contraire de la première journée, je me fis plus réservée, gardant en main l’appareil qui m’avait permis la veille d’innocenter une personne. De toute manière, qui voudrait faire confiance à l’une de mes inventions ? Qui encore pouvait croire que mes ambitions scientifiques changeraient profondément le visage de l’IA Carcosa ?

En tête, je ruminais les mots du médecin portés sur le cadavre. Qui pouvait bien être le coupable ? Un alter ? Je n’en connaissais aucun parmi tous les gens ici réunis. Alors, comment pouvais-je travailler dans mon enquête, sauf à analyser qui s’étaient rapprochés la veille et qui s’étaient tenus à l’écart. Des considérations qui me faisaient surveiller quelques visages restés trop longtemps en retrait. Pour ce jeu sordide, la réserve deviendrait-elle l’arme la plus redoutable ? D’un autre côté, je ressassais l’information d’un innocent changé en monstre. Je remarqua la veille que des personnes avaient dormi ensemble cette nuit. N’était-ce qu’une coïncidence ?

-Teste le fluidomètre sur Grudge qui semble l’innocenter en se montrant convaincante auprès de ses détracteurs.
-Réalise que son fluidomètre n’a pas suffisamment d’autonomie pour l’appliquer à plus d’une personne par jour.
-Est blessée par la remarque de Target.
-Le lendemain, se présente comme une candidate au rôle de Maire.
-Vote pour Séraphin qui l’a touchée avec son discours, même si elle ne développe pas pourquoi.
-Se met un peu plus à l’écart avec son fluidomètre en main, très affectée par ce qu’elle interprète comme des marques de rejet.

- C'est n'importe quoi.

Ces histoires de plumes, de maladie, de vote stupide. C'est n'importe quoi et pourtant t'es là à les écouter. La veille puis le lendemain, après une nuit passée à veiller sur le toit d'une maison prise au hasard. Si tu n'as dormi que d'un oeil au moins tu t'es reposée. Mais qu'importe puisque personne n'est mort aujourd'hui et qu'il n'y a, vraisemblablement, aucune guerre où combattre.

À la place l'heure des votes et des discours pompeux.
Personne ne veut tuer personne, quelques âmes qui votent contre elles-même sans que tu n'en saisisses la subtile logique mais qu'importe finalement puisque personne ne meurt -une fois encore. Non pas que tu rêves de sang mais leur pseudo pacifisme t'ennuie. Tu as connu la plupart d'entre eux bien plus sanglant que ça. Pourtant ils continuent, cherchent un leader, se présentent d'eux-même aux élections et-

Il y a Seraphin.

Seraphin que tu observais doucement avant qu'il n'ouvre la bouge, capte l'entièreté de son attention et les paroles hypnotisent pourtant pour Seraphin tu n'as que de l'affection, aucune compassion. Pourtant Seraphin tu n'approuves pas mais c'est son nom que tu prononces sans parvenir à prononcer celui de ton Roi ou de ta Major en laquelle tu crois. Alors le mot est doux mais brute et le regard que tu lui lances est noir de colère, d'amour, de haine, de tendresse. Parce que tu sais, toi, ce qu'il a osé te faire sans honte ni remord. Tu le sais. Mais qu'importe, c'est trop tard maintenant.

- Vos maladies, il saura ce que c'est, lui.

D'un mouvement de tête désigne Fahrenheit tranquillement.

- D'ailleurs, vous avez pas une clope, colonnel ?

Avant de t'approcher doucement de ton maire aux maux si fourbes pour lui glisser à l'oreille.

- Si tu trahis je te tuerai moi-même.

Puis d'ajouter pour l'assemblée.

- Si ces monstres nous infectent réellement comme le pense le médecin, même les plus innocents sont suspects. Alors arrêtez vos beaux discours à la con et trouez-vous plutôt le cul à chercher une réelle solution -quelque chose de viable, pas des hypothèses.

La fin ciblée pour Goat, malgré que la chèvre soit néanmoins la seule à avoir tenté quelque chose ici.



Résumé : - ce jeu c'est nimp
- passe la nuit sur un toit pck même pas en rêve partager sa piaule
- elle écoute, elle est un peu blasée mais elle note le moindre petit détail de ce qu'il se passe, même si elle le mentionne pas forcément
- ça vote blanc c'est un peu nul
- les élections elle comprend pas mais bon de toute façon y a seraphin il fait de la magie alors elle vote pour lui mais elle veut le tuer ^^
- quand ça parle maladie elle fait comprendre que fahren peut aider pck c'est un expert tmtc
- du coup elle profite pour taxer une clope
- petit mot doux à l'oreille de son maire ♥
- petit mot doux pour le reste de l'assemblée aussi tant qu'à faire
- c'est pas elle le cerveau de l'équipe, elle c'est l'observatrice et l'esprit logique ok (non)
- goat elle tacle mais elle a foi en toi ok

JJ’écoute les hypothèses sans fondement de cette petite sotte. Voilà un moment parfait de contrôler le savoir : lui donner l’aspect de la science. Il est facile après, de donner ainsi sa propre vérité. Je connais ce procédé, je m’en suis servi plusieurs fois. Mais je ne dis rien, je garde les informations pour moi et le lendemain sera suffisamment, de tout façon, animé alors, espérons que la nuit, elle, sera plus agréable…

Et voilà le matin, mais personne n’est mort et voilà maintenant que nous devons choisir un chef pour nous encadrer. L’idée est tentante, la marge de ma manœuvre qu’un tel rôle offre, mais je préfère rester en arrière et écoute les discours. Évidemment, mon coeur au final, balance uniquement entre trois participants : Séraphin, mon roi ou Celsius. Je me demande ce que viens faire le premier dans la liste. Ce qui rend le choix encore plus difficile qu’il ne l’est. Aucune raison pourtant, qu’il y figure, à moi que... Mais mon vote va vers Alastor. D’autres informations viennent s’ajouter à ce qu’on avait déjà engagé. Visiblement, quelqu’un repend des maladies. Je tends d’un soupir une cigarette à Desire avant d’en prendre une pour moi et de faire quelques pas en avant.

« - Oui, je suis un scientifique spécialisé dans l’étude biologique des formes de vies microbiennes. Mon alter m’aide à en produire certaines, selon des conditions fixes, que je n’ai pu remplir ici, nous respirons le même air alors, j’aurais contaminé tout le monde, y compris les gens que j’aime… »

Une bouffée de cigarette.

« - Mais nous devons maintenant aborder quelque chose : nos pouvoirs. J'ai fait le premier pas. C’est le moment de vider son sac, que chacun explique ce qu’il sait faire. Ces camarades ou les gens qui ont déjà l’information pourront confirmer. Cela devrait déjà nous aider à faciliter nos réflexions. »

NO
THING IN
MODERATION

Oh, beauty is a beguiling call to death and i’m addicted to the sweet pitch of its siren.

››MONTY‹‹

TLDR : - Reste un peu en retrait pour les élections, mais fini par voter Alastor.
- Explique qu'il peut aider pour les maladies
- Explique dans la foulée son pouvoir
- Propose aux gens d'expliquer, tous, leurs pouvoirs.

Quand Nicotine se réveille, c’est avec un poids dans la poitrine et une sensation de mort imminente. Sensation de faiblesse.
Il n’y a pas que des monstres à débusquer. Bordel de merde.

« T’es un sucre, je te revaudrai ça, » dit-il à Moka avec un sourire en croquant dans une chouquette. Si l’effet est immédiat, cette impression d’épée de Damoclès ne s’en va pas.
L’idée de paniquer ne lui vient même pas. Au contraire, les événements deviennent de plus en plus intéressant et s’il doit mourir… c’est que c’était son heure.

Il déconnecte totalement de la réalité, perdu dans ses pensées, au moment des discours. Lorsqu’il faut voter, sa voix va directement à la femme-chèvre. Il ne sait même pas si elle s’est présentée. Bah, peu importe, elle ne gagne pas de toute façon.

« J’ai aucun moyen de le prouver mais j’ai dormi comme un bébé. Assez pour tomber malade, visiblement. Mais euh du coup ça nous fait quoi, trois monstres ? Genre, trois personnes avec trois gabarits différents ou… ? » Ses yeux glissent sur le chien qui accompagne la rousse mélodramatique. Puis sur le Maire qui vient de leur demander leur alibi. Ses sourcils se haussent, un sourire se dessine sur ses lèvres. « Ah ouais donc j’imagine que si tu gagnes, tu redemanderas à ce que l’IA reviennes, non ? Je me demande quel rôle l’autre là, comment il s’appelle - Cristalline ? Je sais plus, bref - a bien pu te donner pour que tu ait l’avantage. Autrement je trouve qu’en tant que Maire, tu aurais pu commencer pas nous donner ton alibi au lieu de commencer à nous questionner directement, hm ? »

Un scientifique s’approche et à défaut d’avoir un manteau blanc, ses cheveux le sont. Et il est un peu suspect. Il peut créer des maladies, leur petit village cozy est infecté mais soudainement ce n’est pas lui ? Nicotine ne peut pas se mettre à questionner tout le monde alors il hausse les épaules.

« Je peux manipuler les ombres et les rendre tangibles. » Un filament sort d’entre ses pieds et au bout apparaît une petite main qui, une fois arrivée au niveau de sa tête, fait coucou au groupe. Il ajoute ensuite : « est-ce qu’on devrait monter une garde ce soir à quatre ou cinq ou quelque chose comme ça ? Je suis déjà pestiféré donc je me porte volontaire si ça vous dit. »

Résumé :
- Nico accepte la chouquette de Moka
- Il regarde les chiens de Celsius mais la soupçonne pas vraiment pour l’instant
- Par contre qui soupçonne de ouf Seraphin
- Il montre vite fait son alter
- Propose de monter une garde à quatre ou cinq personnes

the city holds my heartÇa me fait de la peine, de voir Goat comme ça, mais il y a trop. Cet endroit n’est pas fait pour elle, pour ses inventions, pour ses tentatives. Elle n’aurait pas du venir, elle aurait dû rester au chaud à la base. Je ne sais pas trop quoi dire, si ce n’est de baisser un peu la tête d’un soupir. C’est trop tard pour rentrer, je suis désolé, petite chèvre. Je prends donc ensuite une partie de la nuit pour expliquer le bordel qui se déroule à Grudge, c’est plein de métaphores et d’images, ses points faibles ! Autant essayé de lui permettre de se battre à armes égales avec le reste de nos ennemis, ou de nos amis. Qu’est-ce que je déteste ça, de me dire, que, peut être, mes proches sont ceux que je dois tuer ou qui veulent me buter. Est-ce qu’ils vont hésiter à le faire ? C’est vraiment l’un des plus horribles HS auquel j’ai pu participer.

J’ai ruminé le reste de la nuit, convaincu de trouver un cadavre au réveil, et me voilà soulagé de ne pas en croiser. Mais bon, voilà que notre tranquillité n’est que de courte durée, car nous sommes obligés de choisir un gestionnaire et c’est un post de merde. Soit on fini par se faire tuer vite, soit on arnaque tout le monde. Très peu pour moi ! Alors j’écoute les discours avec attention. Celui de Goat me fait de la peine, mais je ne voterais pas pour elle. À défaut de ne pas pouvoir la renvoyer à la maison, je dois pouvoir lui éviter ce fardeau. Ce Séraphin, semble convaincant… Un peu trop pour être honnête, faut toujours se méfier des gens trop compétant ! Le roi des Trappers est déjà roi, alors un peu plus ou un peu moins mais c’est finalement la major à gros seins qui fini par emporter mon vote.

Et puis, toujours les trappers, le gringalet à cheveux blancs commence à raconter sa vie. C’est une bonne idée, en vrai, il a l’air plutôt malin, finalement, ce garçon. J’écoute donc son pouvoir, les maladies, c’est un peu sinistre ça… Puis le Wild parle de ses ombres et Light et bien, de sa foudre. A mon tour donc :

« - Je confirme pour Light, il est un peu… électrique. Mon pouvoir à moi, c’est de toujours mettre dans le mille. Je lance quelque chose et paf, il finit où je voulais le lancer, à chaque fois. Mais ça me rend aveugle petit à petit, donc l’usage est un peu… limité, puis on a pas le droit aux armes alors, je sers pas à grand chose... »

Mais bon, ça m’empêche pas d’en avoir encore une ou deux cachés sur moi, je préfère être prudent. Puis, Light fou tout sur mes épaules. Qu’est-ce que je peux répondre d’autres, maintenant ? J’ai passé ma vie à fuir les responsabilités, mais dans le feu de l’action, si je ne peux pas aider les miens…

« - Tu peux compter sur moi, chef. Mais s'il te plait, balance ta vie comme ça, on a besoin de toi. On doit déjà savoir si on peut se faire confiance les uns les autres... »

TLDR : - Est désolé pour Goat, mais HS is a bitch
- Passe le temps qu'il faut avec Grudge pour la mettre au niveau de la situation
- Vote pour Celsius
- Présente son alter
- S'occuper des Vigi si Light y passe, mais il lui dit que c'est pas une bonne idée

A hostile romance begins

Pas de retour probant, sinon un échange de regards.
Tu lis en ce jeu les fils du chaos, ficelés dans la seule optique de non plus séparer les factions entre elles, mais aussi de creuser l'écart de confiance au sein des membres d'une faction.

Le tout est de croire qu'il ne s'agit là que d'un jeu si le Second avait prétendu que ces Hunting Sports sont tout sauf létaux.
D'un mouvement de menton, tu adresses ta question au nouveau maître du jeu :

- Vous ne nous avez pas indiqué si le jeu était mortel ou non. Est-il possible de savoir ?

Avec un peu de chance tu auras une réponse déterminante du rôle à jouer parmi les tiens.

[...]

La nuit passe, sans un cri.
Il t'est difficile de t'adonner aux plaisirs de la chair, mais retrouver la chaleur de ses bras semble être ton unique salut actuellement.


Le lendemain matin, les faits se présentent devant vos yeux, et la turbine synaptique tourne bien vite pour devancer l'actuel Second.

Aux élections des maires, tu tentes une bien triste stratégie, qui n'a que pour but de couvrir la véritable. Tu sais que tu n'es pas monstre, alors il est toujours plus intéressant de te présenter pour contrecarrer leurs plans, et de baisser la statistique.

Quelle idiotie en revanche de réflechir au charisme que tu aurais pu déployer lors de ton discours.

Qu'importe. Seraphin est enfin voté, avec l'incertitude d'avoir bien joué.

Tu es aux côtés de Fahrenheit, et tu ne peux t'empêcher de tiquer, agacée par ton manque de discernement.
Alors il est mieux en tant que sage des trappers, de plonger dans le silence et d'observer.

D'abord Fahrenheit, et sa prise d'informations sur les alters, puis notre cher ancien Roi, Lightning. Sacrifice était le nom à donner à ce jeu.

A force de réflexions, tu ne trouves que cela à dire :

- Si nous faisons le point sur ce qui nous entoure, nous avons deux monstres assassins, un nouveau monstre derrière un masque de paysan, des paysans innocents, un pestiféré qui cible deux personnes par nuit ... hum, un médecin légiste et ... le rôle d'un pouvoir d'aveu en se sacrifiant.

... Oh, l'alibi ! j'oubliais. Je partageais ma couche avec quelqu'un.
... ne me dites pas que vous n'avez personne à chérir en ces lieux ?

resumé :
• demande au second si le jeu est létal ou non-létal
• passe la nuit avec fahren
• s'est proposé sans être réellement sérieux pour baisser les stats de chance des monstres
• observe, puis fait le point sur les rôles
• donne son alibi