Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Le regard rivé sur toi. Comme s’assurer que tu ne tombes pas. Que tout va bien. Napalm te voit. Comme toujours il te regarde. Quand tu es là, il n’y a que toi. Même quand tu disparais, son esprit boucle. Sur des instants passés. Qui ne cessent de l’assaillir. Comme pour lui rappeler qu’il est si seul. Sans toi.
Mais si tu savais comme il se sent rassuré. Quelque part, encore une fois, tes mots le touchent. Avec tant de force que tu ne peux l’imaginer. Encore une fois, tu lui fais comprendre. Qu’il compte pour toi. Comme il l’espère. Que tu le regardes comme il le fait. Qu’il n’est pas le seul à se l’imaginer. Encore une fois, tu lui rends ses désirs. Ses sentiments et quelque part ses attentes.
Celle où tu es le seul à l’avoir fait. Comme si depuis toujours, il t’attendait. Comme si tu étais le seul. Le seul pour lui. Comme une putain d’évidence.
Peu importe ce qui t’entoure. Il se vautre dans cette pensée. Que ça ne peut être que lui. Et bordel il se sent bien. Dans ce monde chaotique. Il se sent si bien.
Peu importe ce que diront les autres, ça ne compte pas.
“ J’suis vraiment là. ”
Qu’il répond d’une voix calme. Les yeux néons accrochés à toi. Il te voit redescendre et se redresse. Restant près de toi. Sa réponse est immédiate.
“ J’venais te voir. Enfin… Disons que ça fait un moment que j’viens aux frontières des leg. Tu m’as dit d’pas venir et d’puis ta missive c’est compliqué d’le faire alors… J’viens pas, mais j’viens le plus près possible. Comme ça j’ai l’impression d’être proche d’toi ? D’une certaine manière. ”
Une main se perd dans sa crinière. Peut-être que tu vas le trouver fou. Et il l’est sûrement tu sais. Il va te le dire puisque tu veux savoir.
“ J’dors pas bien, ça m’travaille. J’arrête pas d’penser à c’que t’as dit et… J’sais pas, j’me sens seul ou quelque chose comme ça. Non… j’me sens vraiment seul maintenant quand t’es pas là. Donc j’sors et j’viens errer jusqu’à c’que j’me dise que je peux pioncer. Un truc comme ça. Et toi, qu’est-ce que t’fous là dans cet état ? ”
Il espère aussi que c’est lui. Que c’est son absence qui te rend comme ça. Alors il saura que toi aussi, tu tentes de te débattre contre le silence. Contre cette absence.
Ses mots te rassurent. Il est vraiment là.. Mais en même temps, ça te trouble. Il n’a aucune raison d’être là. T’as envie de retourner la terre entière juste parce qu’il pourrait être là pour quelqu’un d’autre que toi. Tu ne t’aimes pas dans ces moments là, car tu sais. Tu sais que cela signifie que tu t’attaches trop à cet homme. Qu’il prend une place trop importante. Qu’il est... Aussi instable que toi. Tu plisses les yeux, et il continue de parler, alors que toi, tu cherches à ôter ta paranoïa et les effets secondaires de ces foutues plantes. Tu détournes le regard, quand tu comprends. Tu comprends que tu peux lui faire à nouveau confiance, Et ne pas avoir été déçu à ce niveau là est une première pour toi. Tu inspires alors, et passe une main sur ta nuque.
Tu n’es pas doué pour parler de ce que tu ressens. Pourtant, lui, il te dévoile tout pleins de trucs, quand tu lui demandes, il te réponds et te le dit. Peut-être que tu devrais aussi faire l’effort? Tu ne sais pas, et cela te tue de l’avouer que faire des efforts t’emmerdent, mais. Mais. Mais c’est Napalm. Il affronte tes pires cotés sans broncher, il revient toujours malgré les larmes et les peines, la déception que tu peux lui offrir.
Alors, tu pouvais. Tu pouvais tenter, essayer de t’ouvrir. Un peu, rien qu’un peu, pas trop. Mais assez pour qu’il voit. Qu’il comprenne que tu veux encore faire un pas vers lui ; et non plus le fuir.
“J’ai... fumé des plantes. Pas très bonnes, assez hallucinatoires je crois parce que.”
Tu serres la mâchoire. Tu inspires, marques des pauses. Pourquoi c’est si dur?
“.. Parce que tu me manquais.”
Et quand il y a manque, Il y a attachement. Il y a sentiments. Et ça, putain. ça. Bordel, que ça fait peur. Même si tu l’as déjà dit, Même si t’as presque oublié déjà les dingueries que t’as sorti, Là, la peur et les doutes reviennent encore.
“... J’arrive pas à être serein, sans doutes, et complètement en confiance. J’essaye, mais. J’crois que c’est surtout en moi que je manque de confiance.”
Tu te mords la lèvre jusqu’à t’en faire presque saigner.
Tue-moi si on ne finit pas ensemble. Jusqu’à la fin de nos jours. Au-delà même de la mort.
Il n’existe pas un instant. Où il ne s’emballe pas. Lorsque tu es là. Lorsque vos yeux se croisent. Il sentait l’ardeur et le besoin. La violence et l’envie. Aujourd’hui il sent l’amour. Et des désirs incontrôlables. Il vouait déjà une obsession étrange. A ton existence. A présent, il voue un attachement. A chacun de tes mots.
Le moindre de tes souffles. Il s’enfonce, Napalm. Dans votre monde. Celui qui voit le jour. Peu à peu, à mesure que tu oses.
Et tes efforts ne cessent de le faire chavirer.
Retenant toujours ses élans d’affections. Gardant ses mains qui lui brûlent, pour lui. Inspirant longuement en t’observant. Alors que c’est pour lui que tu es là. Dans cet état comme il est là. Pour toi.
“ Merde… Toi aussi tu m’manquais. Tellement. Et j’t’en veux pas de ne pas savoir. J’t’en veux pas d’douter. J’sais pas, moi non plus je me suis jamais retrouvé dans c’genre de situations. J’essaye d’garder bonne figure, j’crois ? Mais j’sais pas, j’dis juste tout c’qui me passe par la tête pour pas t’fuir. Parce que j’veux pas le faire. Alors fais comme t’veux, Mars. Fin j’veux dire… t’obliges pas, j’compte pas partir. ”
Parce que tu as dit que tu l’aimais. Il s’en souvient encore si clairement. Que tu l’aimes différemment. Qu’il est unique finalement. Il l’entend encore. Lorsqu’il ferme les yeux.
“ Juste… t’en vas pas. Si un jour t’as des doutes ou qu’tu flippes, t’en vas pas. Parce que…”
Il ne le supporterait pas. De te voir partir. Mais tu le sais, pas vrai. Tu le sais si bien, Mars. Qu’il déteste te voir de dos. Sauf quand il a le droit de te suivre. Sauf quand tu le guides.
“ Parce que j’crois que j’le supporterais pas… ou plus, plus maintenant. ”
Et parfois, il ne se reconnait pas. Parfois il doute lui aussi. Parfois il se demande. Ce qu’il est devenu. Mais ce qu’il sait, c’est que c’est pour toi. Qu’il est là, à te dire tout ça. Ce qu’il sait, Napalm, c’est que c’est toi. Qui lui permet de ressentir tout ça.
T’as l’impression d’avoir déclenché quelque chose, une boite à paroles d’amour pour toi. Là où ça t’effraie, le plus souvent. Là où ça t’effraie, avec les autres. Que tu prends la fuite et du recul, car tu as peur, de ça. De ces mots. De ce que ça représente, parce que tu sais comme c’est destructeur d’être attaché à quelqu’un comme ça. Aussi fort et puissamment. Ca peut détruire, ça peut anéantir. Ca peut devenir quelque chose de mauvais, comme de bon. Tout peut en découler. D’un amour à la haine, il n’y a qu’un pas. Et tu es bien placé pour le savoir. Mais souhaitais-tu revivre ça? Cette douleur, cette peine de la perte ? De la trahison ? Tu soupires alors, tourmenté, mais écoutant. Ecoutant ses mots qui pourtant de font tellement de bien.
“... J’ferais en sorte de pas m’casser.”
Même si c’est dur. Même si tu te bats contre toi même pour pas lui tourner le dos. Tu espères un jour que ce ne soit plus un combat. Que tu puisses simplement profiter, à ses cotés, sans avoir à te dire qu’il pourrait partir ou te tromper. Ou juste, juste t’abandonner mort sur le champ de bataille. Bien qu’il pourrait en être la cause, car maintenant, maintenant... Les choses étaient plus compliquées.
“Tu fais quoi si les tiens m’attaquent sur le champ de bataille ? Si ton roi t’ordonne de me tuer ? Si j’attaque les tiens ? Qu’est ce que tu feras, Napalm ?”
Car cette question est importante. Car il faut que tu saches, si tu dois faire abstraction de tout ce que tu ressens sur le champ de guerre...et qu’il soit juste ton ennemi à nouveau.
La question reste en suspens. Rien qu’une seconde. Rien qu’un bref instant. A vrai dire, elle le choque peut-être. Mais il connaît déjà cette réponse. Tant elle est évidente. Tant il sait parfaitement. Ce qu’il ressent. Ce qu’il craint au fond. Mais qu’il a décidé d’accepter.
Peu importe les conséquences.
Alors c’est un regard sérieux. Qu’il pose sur toi. Un regard que tu lui connais à présent. Parce qu’il te le montre souvent. Parce qu’il lui sied maintenant. A chaque fois qu’il te parle. Que cela compte pour lui. Et il y a tant de choses qui comptent aujourd’hui. Tant de t o i.
Rempli son monde encore. Enferme le tous les jours. Garde le à tes côtés. Pour qu’il ne puisse jamais t’échapper. Jamais se défiler.
“ J’resterais à tes côtés.”
Il y a le silence. Parce qu’il sait ce que ça signifie. Il sait ce qu’il est en train de dire. Et ce n’est pas anodin. Jamais il n’aurait cru cela possible. Songer un seul instant à partir. A trahir sa faction de naissance. Jamais il n’y avait réfléchi. Et jamais il ne l’avait ressenti. Ce besoin de se poser la question. D’y songer si profondément. Mais tu fais partie de sa vie.
Et Napalm est un chien dont la laisse est tenue maintenant. Elle se traîne dans tes doigts. Il veut que tu la serres encore. Tire dessus Mars. Qu’il puisse venir plus près. Sans se poser la moindre question. Montre lui que tu comptes la chérir.
“ Merde… J’sais ce que j’dis d’accord… J’sais… J’sais bien c’que j’suis en train de dire et… Putain j’aime ma faction, ok ? Je l’aime vraiment et c’est l’endroit où j’ai grandi. C’est l’seul endroit qi m'reste de lui et nos souvenirs. Vraiment j’sais… tout ça, mais j’l’ai pas choisi. ”
De t’aimer. Il ne l’a pas choisi. Et il sait bien qu’il devra pourtant trancher. Il arrivera ce moment où il ne pourra pas reculer. Où il devra choisir entre son chez lui et toi. Mais il sait aussi ce qu’il est incapable de perdre. Et ce qu’il sera capable de surmonter un jour. Il survivra à la douleur, mais pas à la souffrance.
Et la souffrance c’est lorsque tu t’en vas.
“ … Alors juste… J’sais pas c’que je ferais si tu t’en prends à eux… mais j’sais que j’serais pas ton ennemi, j’veux pas l’être. J’veux plus l’être. Pourquoi... Pourquoi ça doit être si compliqué...”
Et c’est la seule chose dont il est certain. Seulement voilà, il ne sait pas. C’est trop dur pour lui. De choisir entre son amour et leurs vies. Il ne sait pas et il ne veut pas l’imaginer. Mais il n’a pas le choix.
Lui aussi… il doit y penser. Encore et encore. Qu’est-ce qu’il fera si tu poses la main sur eux. Mais il sait aussi que vous êtes tous responsables. De la mort de quelqu’un. Vous avez tous détruit quelqu'un, un jour, en le privant d’un être cher. Aucun de vous ne peut prétendre être mieux que les autres.
Napalm ne sait pas quoi te dire. Il sait seulement qu'il restera. Près de toi.
quand l'inattendue arrive, et te prend les tripes avecnapalm
Tu réfléchis, Mars. En l’écoutant parler, trop comme toujours, Tu réfléchis. As-tu réellement des gens qui tiennent à toi. ici, dans ta faction. As-tu réellement des gens qui aimeraient te voir au pouvoir, ici, dans ta faction. As-tu réellement des gens qui diraient quelque chose si tu disparaissais, ici, dans ta faction.
La réponse est évidente, et tu le sais sûrement au fond. Cela fait quelques temps maintenant, que tu le sais. Que tu n’oses pas le dire. Car, de toute façon, ce serait frapper ton égo. Ton égo si grand et si dimensionné, qu’il te permettait de tenir jusque là tête à tout ceux qui t’emmerdaient. Ton égo qui te permettait de vouloir vivre au delà de tes moyens, pensant trouver le bonheur dans la conquête. L’esprit même de ta faction... Aujourd’hui, tu ne t’y reconnais presque plus.
"Rester à mes cotés."
Entre égo et amour. Entre douleur et souffrance. L’égo est celui qui perd, car, maintenant cela t’importe. Arrêter le rêve d’une vie, Tu ne pensais pas cela possible. Mais qu’importe le royaume que tu diriges, s’il est perdu dans ce peuple qui n’est pas le tien.
...
Et merde. T’as complètement craqué.
“On peut le faire chez toi, ça.”
Abandonner tes rêves, C’est plus important que de le faire souffrir lui. Car les rêves, peuvent rester des rêves. Ils sont changeables. Ils sont éphémères. Sa douleur, sa souffrance, peuvent ne pas l’être. Et c’est le choix que tu fais, regardant le ciel parsemés de branches d’arbres.
Le souffle coupé. L’étonnement. Sans aucun doute la surprise. Et l’incompréhension qui peint ses traits. Pendant une brève seconde, il croit rêver. Il se croit malade. Imaginant ce que tu viens de dire.
Parce qu’il ne l’aurait jamais imaginé.
Il n’aurait jamais pu imaginer un seul instant. Que tu puisses dire ça un jour. Il n’aurait jamais pu imaginer un jour. Que tu prennes cette décision. Pour lui.
Et si tu savais, Mars. Comme tu viens de lui dire. A quel point tu l’aimes. Si tu savais, Mars. Comme il pourrait presque en pleurer. Un rire lui échappe d’ailleurs. Il est nerveux. Détournant le regard pour le poser sur le ciel. Lui aussi, il regarde les branches d’arbres. Tentant vainement de retenir ses sentiments.
Parce que tu viens d’apaiser sa peur. Si simplement. Tu viens de lui enlever un poids. Alors qu’il ne te demande pas de venir. Il ne le fera pas parce qu’il sait. Ton rêve, il le connaît. Et il ne te demandera pas de l’abandonner. Ni même de t’en détourner.
Parce qu’il ne veut pas le faire. Et pourtant…
“ Arrête d’me faire tomber amoureux d’toi encore. ”
C’est le cas. Il ne cesse de tomber amoureux. Encore et encore qu’il se demande si c’est possible. De t’aimer plus qu’il ne le fait déjà. Et tu lui prouves toujours le contraire. Se mordant la lèvre pour se retenir. Tant de choses lui prennent la gorge là, maintenant.
“ Pourquoi… Pourquoi tu… Merde putain. J’resterais avec toi, évidemment. Même si c’pas chez moi, même si tu m’dis de venir avec toi, mais… si tu m’dis que tu viens avec moi je. J’sais ce que t’veux faire alors… J’sais pas quoi répondre parce que j’veux autant que tu n’abandonnes pas tout c’que t’as fait jusqu’à aujourd’hui que… j’veux que tu me suives… Je. J’sais pas quoi dire, Mars. ”
Il ne sait pas, Napalm. Ce qu’il doit dire. Ce qu’il doit te dire. Ni même ce qu’il doit répondre. Pourtant sa poitrine se réchauffe. Alors qu’il entend encore tes mots.
Il se débat entre sa raison, ses pensées et son coeur. Pour t o i.
quand l'inattendue arrive, et te prend les tripes avecnapalm
Ses paroles. Te terrifient, autant qu’elles te donnent envie de le posséder si fort. Tu es confronter à ses deux états de façon si brutale, souvent. Tu serres alors ta machoire et détournes le regard. Tu hausses alors les épaules.
“On verra l’moment venu.”
Parce que rien ne pressait. Surtout avec toi. Toi qui pouvait tout foirer d’un coup d’un seul. Toi qui pouvait faire demi-tour en pleine love story, parce que t’as peur de l’amour que tu portes, de toi-même surtout. De ta rage et de ta colère, de ta violence, de tout ce qui te compose.
Tu inspires alors, et tournes à nouveau le regard vers lui.
“Tu me donnes la force de continuer à être qui je suis, comme je suis. Sans changer, sans me perdre. Tu m’aides à trouver un chemin, et peu importe la gueule de ce chemin Napalm. Je sais que tu marches avec moi, et, je pensais jamais dire ça un jour mais. Ca me va, si tu marches à coté de moi, aussi chaotique ce chemin est et sera. Tu me donnes une direction, alors, ce serait stupide de ma part de prétendre que je peux continuer d’avancer sur un chemin si tu m’éclaires pas la voie.”
Tu étais rarement aussi introspectif sur la situation, encore moins capable de parler avec autant de sincérité, ouvertement. Pourtant, là, tu le faisais, presque trop naturellement. Tu aimerais accuser les plantes, mais elles ne sont plus. C’est simplement une partie de toi que tu ouvres, mais que tu ne sais que trop bien refermé. Rares sont ces moments où tu te livres, et pourtant, tu le fais. Parce qu’il compte. Parce qu’il est suffisant. Parce qu’il doit comprendre, encore et encore, ce que tu fais pour lui. Lui montrer que c’est différent. Qu’il l’est.
Ta voix. Ta voix. Tes sentiments. Tes révélations. Ce que tu offres. Ce que tu donnes. Tes efforts.
Il est impossible de le nier. Impossible de le réfuter. Alors que tu es là. Juste sous ses yeux. Que tu te livres. Encore. Lui offrant cette forme d'importance. D'appartenance qu'il cherchait tant. Alors que tu lui donnes un endroit. Où rentrer, où retourner. Alors que tu lui donnes tant. Qu'il ne sait plus comment recevoir plus. Napalm ne dit rien. Il écoute.
Parce qu'il a apprit à être avec toi. Parce qu'il a apprit, lui aussi, à ressentir.
Et il esquisse un mouvement. Pendant une brève seconde. Il s'approche de toi. S'arrête parce qu'il se souvient. Qu'il ne peut pas te toucher. Mais il en rêve comme un camé en manque.
" J'vais essayer... Enfin, j'resterais celui que je suis maintenant. Tout c'que je sais c'est que j'veux pas m'écarter de toi. Alors reste comme t'es, ça me va."
Il s'assoit sagement. Sans jamais te lâcher des yeux. Sans jamais se détourner. Parce qu'il a choisi de te suivre. Peu importe où tu vas. Il veut encore t'écouter. Te voir et endurer s'il le faut. Il en veut plus, Mars. Toujours plus de toi.
Parce qu'il ne s'en lasse jamais.
" Est-ce que tu t'sens mieux ?"
Il ne sait pas s'il parle des plantes. Du manque ou de tes peurs. Il ne sait pas, mais en même temps... Il veut tout savoir.
quand l'inattendue arrive, et te prend les tripes avecnapalm
Rester comme tu étais. C’était si facile, quelque part, de dire ça. Car ce que tu étais, ce que tu représentais, n’était pas toujours une raison d’être pour tout le monde. Pourtant, tu avais envie de croire ses paroles. Tu avais envie de croire, que les choses pourraient prendre une belle tournure, un tournant qui ne finirait pas en accident.
Et qu’il souhaite te toucher encore, Sans que ton corps ne réagisses, t’assailles de frissons. Tu ne peux pas t’empêcher. De respirer au même rythme que lui. Et ça te fait serrer les dents d’être si faible, parfois. Si... vulnérable, face à lui. Alors, dans tes nuits solitaires, t’avais commencé à boire. Et tu savais que ce n’était pas la solution, Mais tu n’arrivais pas à faire autrement pour te sortir de la tête quelque chose qui te faisait peut-être peur. Angoisse naissante. Fuite irrémédiable. Pourtant, t’étais là. Lui aussi, et, Quelque part t’avais promis. De pas le laisser fuir. Autant qu’il ne te laisserait pas fuir.
Alors ton regard croises de nouveau le sien, et tu esquisses un sourire que tu ne lui offres que rarement ces derniers temps. Car les temps sont durs. Pour tout le monde, et surtout les âmes esseulées.
“Je me sens mieux.”
Dire que c’était grâce à ses mots, était inutile sur le moment. Car quelque part, tu le sais. Ce sont ses mots, ses actions, sa présence, son combat. Qui te maintenait sur le tien. Qui te maintenait droit.
Tu ne sais pas si tu étais prêt à t’ouvrir autant qu’il pouvait le faire, tu n’avais pas cette facilité. Pas tout le temps. De plus en plus peut-être, mais que serait l’avenir. Que serait ce moment où tu n’aurais plus rien à dire. Que tes secrets seraient connus. Que ton antre serait ouverte et pillée ;
Quand il se rendra compte que tu n’as rien de fabuleux. D’extraordinaire. De “plus” ; Oh oui. Tu n’es pas différent, de ceux qui ont essayés. Tu n’es pas différent, de ceux qui vont essayer.
Et ça te fait serrer la mâchoire et observer au delà des branches, Pour ne plus penser à demain. Car demain, demain... Pourrait-être sans lui. Et c’est bien ce qui te dérange, mais que tu terres et tais au fond de toi. Car qui pourrait bien s’en foutre, au fond.
Tu fermes les yeux sur tes maux, Tu fermes les yeux sur la forêt, Tu fermes les yeux sur lui ; Profitant simplement de l’instant présent.
Tu sais Mars, Napalm est comme un fou. Le chien qui n’avait aucune attache. Qui a tendu la laisse pour trouver refuge. Pour que toi, tu puisses l’attraper enfin. Alors il sait, il n’oublie pas. Qu’il reste des barrières et des freins. Il sait tout cela et pourtant c’est plus fort que lui. Tendant à agripper ta main pour remplir la sienne. Pour qu’elle ne reste pas solitaire. Mais il ne le fait pas.
Parce qu’il sait, oui.
Il n’est pas dupe et lui-même doute. Lorsque ses yeux se posent sur toi. Des questions viennent l’assaillir. Car votre monde est délabré. Éparpillés en milliers à même le sol. Et qu’il sera difficile à réparer. Mais il veut toujours. Toujours être avec toi.
Malgré tout. Peu importe.
Mais il sait aussi que demain sera différent. Que les choses changent et que toi-même… Tu changes souvent mué par tes déboires. Il ne le craint pas parce qu’il a promis. Cherchant cependant à arrêter ses gestes à temps. Pour ne pas dépasser une barrière qu’il ne devrait pas. Qu’il ne peut pas.
Il a peur. Mais il ne fuira pas. Parce que son coeur bat. Avec tant de puissance que ça l’étouffe. Que sans toi, il se sent vide. Il se sent si seul.
Lorsqu’il te voit fixer le ciel. Sans jamais se détourner. Son expression devient sérieuse. Bien trop sérieuse pour être heureuse. Il se demande sans cesse ce que tu penses. A quoi tu réfléchis. A quoi tu t’accroches ou pire, avec quoi tu t’effraies. Se surprenant à prendre peur. Que cela puisse te ronger jusqu'à le regretter.
Il ne t’en voudra jamais. Si tu changes d’avis. Si tu reviens sur tes paroles. Mais il y a une chose certaine. Et probablement celle qui vous attend. Un jour proche.
“ Mars… Promets moi seulement… d’être là quand c’sera la fin. ”
Tes promesses, ce n’est pas qu’il n’en veut pas. Qu’il n’y croit pas ou qu’il préfère les ignorer. Se disant que tu n’es pas toi-même maintenant. Ce n’est rien de tout ça, mais il ne veut pas être ton fardeau. Alors la seule chose qu’il souhaite.
C’est que tu sois là quand il rendra son dernier souffle.
Parce qu’il y pense. Peut-être que vous n’aurez jamais le temps. De réfléchir pleinement à vos factions. A votre avenir. Avec ce qui arrive, il y pense. Comme si la mort arrivait. Inévitablement. Il l’attendait tant et pourtant…
“ Réfléchissons à tout le reste quand… on s’ra sorti de toute cette merde. En attendant…”
Il n’y a jamais de cent pour cent. Napalm le sait. Tu le sais.
La seule chose qu’il ne pourra jamais changer pourtant.
“ Je t’aime. C’est tout c’qui est vrai et j’m’en branle d’ce que les autres en pensent, tant que toi… t’en doute pas. ”
Même s'il n'est plus là. C'est tout ce qu'il désire. Que tu le crois, Mars.
quand l'inattendue arrive, et te prend les tripes avecnapalm
Ton regard glisse jusqu’à lui à sa demande de promesse. Comment pourrais-tu promettre quelque chose que tu ne contrôle pas toi-même. Tu es songeur, Mars. Peut-être trop pour l’adulte que tu as peur d’être. Tu inspires et tends la main, mimant une caresse sur sa joue.
“La fin ? De toi ? Ou de moi ?”
Tu esquisses un sourire amusé, avant de ramener ta main vers toi.
“Je ne peux promettre quelque chose que je ne contrôle pas, tu sais. Un jeu, un combat, où notre absence serait reine. Mais, ce que je peux te promettre, c’est qu’une pensée et probablement la dernière, sera pour toi.”
Tu le regardes avec intensité, puis retourne regarder le ciel. Tu te sens étrangement apaisé, là, tout de suite. Mais pour combien de temps? Ton corps, ton coeur, ton être, a-t-il seulement accepté encore la nouvelle ? Assumer la nouvelle ? L’assumerais-tu même si on te confrontait à ce fait. Qu’il fait partie de ta vie. Qu’il a partager des choses avec toi comme personne. L’assumerais-tu, Mars.
Et tu entends encore son amour qui te frappe, comme une épée de damoclès au dessus de ton esprit. Tu te manges l’intérieur de la joue, alors que ton regard se fait plus sauvage sur lui.
“Tu cherches la merde, n’est-ce pas?”
Tu esquisses à nouveau ce rictus familier sur ton visage, alors que tes oreilles sont plaquées sur ton crâne, non pas par crainte ou colère ou peur, mais bien par frustration. Il sait comment te frustrer avec ses paroles et ses actes, mais aussi comment te faire peur. Car rien ne t’effrais plus que cet amour inconditionnel, mais aussi... ce qui t’attires le plus et te fascines si fort. Qu’un être te soit totalement dévoué, tu aimes cette sensation. Et, ça te va. Que ce soit lui.
Tu te laisses glisser sur l’herbe et observes encore le ciel.
“Profitons de ce moment.”
Le temps qu’il dure. A votre rythme. Il faudrait pas que le temps s’en mèle, ni les autres, ni la vie, ni les guerres... Ah, si seulement. Utopie du moment, quand tu nous tiens.
Un sourire à ton geste. En réponse naturelle au tien. Un sourire comme seule réponse. A tes mots et à la promesse que tu lui fais. Encore une et bientôt il ne pourra plus les compter. Tant il y en a et qu’il y en aura encore, il l’espère. Parce que Napalm se suffit de tout cela.
De cette histoire aussi bancale soit-elle. De vos échanges aussi ardents soient-ils. De ces regards aussi brûlants soient-ils. De cet amour qu’il auquel il ne croyait plus. Mais qu’il espérait pourtant.
Retrouver ce sentiment. Le rencontrer pour la première fois. Si tu savais Mars comme tu lui offres. Ce que tu lui donnes. Alors que tu lui ouvres un endroit. Dans lequel il peut aimer. Sans compter.
“ La mienne est plus probable que la tienne j’crois… fin en première en tout cas. “
Il ne sera jamais dupe. Tu as plus de ressources pour survivre. Plus qu’il n’en a et qu’il n’en a jamais eu. Et soudainement il repense à ce qu’il doit faire. A ce qu’il doit apprendre encore. Et passe sa main sur ses blessures. Les cicatrices qui habillent ses poignets.
Suivant ton regard en laissant un rire lui échapper. Chercher la merde n’est-ce pas sa spécialité. Après tout, n’est-ce pas pour cela que vous êtes là. Ensemble, tous les deux, aujourd’hui. Parce qu’il a cherché à mourir. Une mort que tu lui as refusée. Pour finalement le prendre dans tes bras.
C’est pour tout cela, Mars, qu’il veut être avec toi.
Peu importe ce qu’il ne sait pas encore de toi.
Peu importe ce que tu lui montreras dans le futur de toi.
Peu importe si tu essayes de faire demi-tour un jour.
Il sera là. Il attendra. Il mourra si tu ne reviens pas.
Est-ce que tout cela est réel ? Napalm se le demande chaque jour. Chaque fois qu’il est seul. Est-ce que c’est tangible. Ou est-ce son imagination. Existes-tu ou bien est-ce lui qui se l’invente. Comme un dernier effort de survie.
Parfois il se le demande, oui. Et perdre ce monde là le terrifie. Peut-être que toi aussi, tu finiras par t’effacer. Malgré lui ça le ronge dans ses nuits noires.
“ Est-ce que j’dois me taire du coup pour t’laisser profiter d’ce moment ? T’sais que j’ai du mal à la fermer non ?”
Un sourire, encore. Pour taire le reste. Rester ce gamin. Loin d’être incapable de rester muet. Aspirant seulement à t’entendre encore. S’engouffrer dans la résonance de ta voix. Alors qu’il l’aime tant, elle aussi.
Il se tait pourtant. Relevant les yeux sur ce ciel. Profitant de cet instant. Oubliant cette réalité pesante. Ce monde en effervescence. Pour graver ta présence même dans le silence. Jusqu’à ce que vous soyez encore séparés.
quand l'inattendue arrive, et te prend les tripes avecnapalm
Tu te demandes, s’il le pense. S’il le ressent. Réellement. Autant que toi. Ce que ça représente, pour toi. Tout ça, et ce que ça représente, pour lui, ça. Un de plus, un de moins. Un de fin, un de début. Toi, t’aspires à être son début, et lui, que tu sois sa fin. Avez-vous les mêmes envies ? Les mêmes espérances, les mêmes ressentis ? Différents, peut-être. Obligatoirement. Il a déjà gouté à ce qui est nouveau pour toi. Il s’est déjà laissé allé. Il a déjà trouvé un refuge, autre que le tien.
Tous les jours je veux me réveiller près de toi, Si t'as besoin d'un refuge reste au creux de moi.
Tes doutes t’assaillent encore, Mais tu les fais taire sur ton visage. Restant de marbre, et calme. Ce qui, au fond, est plus inquiétant que le reste, quand on te connait. Toi et ton impulsivité. Si tu es gentil, adorable, et trop mignon. Cela ne peut signifier que deux choses. La première, Tu es bien, en confiance, et alors trop aveugle pour voir que rien ne va. La deuxième, Tu penses trop, tu réfléchis, tu doutes et tu te laisses couler, loin de ce qui te fait prendre conscience que quelque chose change.
J'effleure ta peau d'un seul coup tout me revient, Je sens toujours ton corps trembler sous mes mains.
Tu sembles proche, mais si loin, Mars. Tu glisses ton regard quand il parle de son incapacité à se taire, ah ça, tu avais remarqué. Tu lui souris légèrement en réponse. Toujours atmosphérique, au fond, par la drogue dans tes veines. Toujours perché, mais bien trop soucieux pour que cela ne transparaisse pas.
“Mourir en premier... Je ne sais pas si les choses se passeront comme tu le penses.”
Ta soeur te manque. Votre relation aussi ; Impression de l’avoir remplacé. Même si c’est différent, tu l’aimais aussi. T’inspires, le monde tourne à l’envers. Tu sens la nausée venir, partir, et ton corps se calmer à nouveau. Peu à peu, cela calme tes folies passées. Tu as besoin de calme, et que dire de plus, que ce silence que tu lui offres. Encore. Bien que cela ne doit pas le rassurer, ou au contraire, le conforter dans ce qui se passe entre vous.
Douter de ton regard. De tes silences. De tes sourires. De chacun de tes gestes. Napalm ne veut pas faire tout cela. Parce qu’il a promis qu’il verrait. Qu’il regarderait et qu’il comprendrait. Qu’il essaierait. Tu es venu à lui, Mars.
Alors il essaye.
De voir au-delà de tout cela. D’appréhender chaque mot. D’analyser, mais il est toujours stupide. Il ne se croit pas capable d’être assez fort. Pour avoir l’audace de te porter. Mais lorsqu’il se souvient de ce jour-là. Il se revoit capable de mieux.
Parce qu’il ne craignait pas. De perdre ce qu’il n’avait pas.
Aujourd’hui il craint. Que tu lui tournes le dos.
Il refuse de s'y préparer. Ni même d’ y penser. Il se le refuse, mais il le voit. Malgré lui, il le sent bien.
Que quelque chose ne va pas. Pour toi, chez toi.
Et peut-être qu’il n’oserait pas. Peut-être qu’il aurait la clairvoyance. D’agir comme il le faut. S’il était quelqu’un d’autre. Mais il ne sait rien faire à part déblatérer.
“ T’peux pas crever d’vant moi, ni avant moi… J’te l’ai déjà dit et... T'rends pas compte de l'importance que t'as pour moi j'crois, mais… plus qu’ça, j’ai l’impression que… Enfin, qu’est-c’qui t’fais chier ?”
Ses mots, il ne regrette pas de les prononcer. Sans même y songer, sans même y réfléchir. Il ne le regrette pas et pourtant… Une main se perd dans sa crinière. Comme s’il cherchait subitement de la chaleur. Peut-être même de l’air.
“ T’es pas obligé d’me le dire encore une fois, mais…”
Si c’est moi ton problème, parle moi.
Ils se taisent étrangement. Comme s’il craignait une réponse. Alors qu’il sait que ce n’est sûrement pas le moment. Qu’il devrait se lover dans tes paroles passées. Dans tout ce que tu lui as dit.
Il devrait. Pour une fois, il devrait éviter de réfléchir. Sans jamais y parvenir. C’est plus fort que lui. Alors qu’il le voit. Si clairement.
Il a tant posé ses yeux sur toi. Que l’enfant a fini par remarquer. Il t’as tant observé à chaque fois. A chaque seconde. Que le gamin a fini par se rendre à l’évidence.
Il n’est pas assez aveugle aux autres. Pour ne pas te voir maintenant. Tout en sachant que c’est toujours trop. Trop pour toi.
Et il ne sait pas. Ce qu’il doit faire. Même s’il se souvient. Subitement, il se souvient, oui. D’avoir brisé l’une de ses promesses.
Il avait promis de ne pas trop t’en demander.
Alors maintenant il le regrette. Parce qu’il réalise que peut-être, il fait fausse route. Se donnant une forme d’importance qu’il n’a pas maintenant. Soudainement amusé de lui-même et pourtant. C’est parce qu’il te croit, qu’il croit en toi. Qu’il se la permet inconsciemment.
S’allongeant, détournant le regard de toi. Peu importe à quel point ça lui coûte. Peu importe à quel point il a besoin de se rassurer.
Peu importe à quel point il apprend sur lui-même. A quel point il pourrait en trembler à l’idée de te perdre.
Il attendra.
“ J’suis d’jà content d’avoir pu t’voir alors que j’pensais pas cela possible… mais putain le hasard est vraiment bien fait et promis, j’la ferme maintenant ! ”
Un rire. Léger.
Napalm n’oublie rien. Rien de ton histoire. De tout ce que tu es. Il attend seulement. Que tu en sois capable. Parce que ce qu’il désire. Ce n’est pas te forcer.
Mais d’être un refuge. S’il le pouvait. Comme tu l’es. A ses yeux. Peu importe comment ce monde te voit.
Et peut-être que c'est un stupide, agaçant et naïf gamin, mais c'est surtout un putain de chien trop fidèle. Alors accepte-le, Mars, tu le traîneras derrière toi jusqu'à la fin. Même si tu devais être la raison de sa perte.
Parce que sans toi, il aurait le coeur trop abîmé.
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