Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
La marque lui brûle encore. Elle reste sur sa peau, indélébile. Mais elle est symbole de tes sentiments. De ce que tu ressens, de ce que tu as ressenti. Du goût amer de la trahison et de l’incompréhension. Il t’en veux, oui, Napalm. Parce qu’il n’oublie pas la raison de tout ça. Mais il comprend aussi, tu sais.
Il comprend la peur d’être planté dans le dos. Lui qui a peur d’être abandonné, il comprend. Alors ne te ronge pas les sangs, Mars. Parce qu’il survivra à tes blessures.
Lorsque tu lui demandes s’il est bien. Qu’il te voit esquisser un sourire. Qu’il te voit hésiter et prendre tout cela très sérieusement. Il manque de chavirer encore et probablement, oui. Qu’il est fou, Napalm. Sûrement que quelque chose ne va pas chez lui. Qu’il a disjoncté un câble. Que les HS ont brûlé ses neurones. Sûrement que cette vie l’a rendue comme ça.
Mais si cela lui permet de panser tes plaies, il sera encore plus cinglé. Parce qu’il aime plus que sa propre vie et si Séra ne l’avait pas arrêté. Il l’aurait donné il y a sept ans pour le sauver lui, alors ne doute pas, Mars. Qu’il fera n’importe quoi pour toi, qu’il donnera tout pour rester près de toi. Maintenant que c’est toi qui lui permet d’avancer et de se relever. Si tu savais comme il t’aime, tellement qu’il ne peut rien y faire. Incapable de le gérer comme à cet instant où il te montre. Soulevant son t-shirt, il te rappelle ton nom sur lui. Qu’il a accepté de son plein gré. Qu’il a d e m a n d é.
“ C’est la preuve que j’veux rester avec toi. L’oublie pas, j’t’ai demandé de revenir le graver. Arrête de t’prendre la tête, Mars, j’t’ai dis que j’suis ravagé de toute façon et … J’aime ça, j’avoue. La douleur. ” il détourne les yeux alors qu’il l’avoue pour la première fois. “ Si c’est toi, ça m’va. J’sais pas quand j’ai commencé à aimer ça ? … J’crois qu’à force d’vouloir vivre ou crever, j’sais pas trop…”
Il se tait alors que ça lui semble stupide. Ne comprenant pas bien où il veut en venir. Laissant une main se perdre dans sa crinière. Râclant le fond de sa gorge pour effacer ce moment.
“ Bref, ouais j’accepte c’que tu es, c’que tu m’fais. J’l’ai déjà dit aussi. T’sais pas peut être que demain moi aussi j’vais péter un câble et t’planter ma dague encore une fois, qui sait et j’sais que c’serait pas normal pour plein d’gens mais… c’est aussi ta façon d’me dire les choses. Enfin comment dire… J’suis pas doué pour ça, mais… J’savais déjà tout ça, ok ? J’suis jamais parti et c’toi donc… J’le savais depuis l’départ et pourtant on est là. ”
Et pourtant il t’aime.
Il doute de ce qu’il dit. Ne sachant pas bien comment l’exprimer. Mais Napalm ne te demande pas de changer. Seulement de lui laisser le droit d’être avec toi. De savoir que tu l’aimes, toi aussi. Peu importe si tu dois le frapper. Le marquer ou le mordre au sang. Si c’est ta manière de le posséder. Alors continue jusqu’à ce qu’il rende son dernier souffle.
“ J’m’en branle si c’pas normal, c’que j’ai choisi, c’est toi. Si j’voulais pas, j’avais l’temps d’fuir ou j’t’aurai laissé crever. Alors ouais, j’t’avoue que là j’suis peut-être un peu en colère, mais… malgré c’que t’as cru, t’veux m’croire et plus que la brûlure, c’est qu’tu doutes d’moi qui m’a fait le plus mal, mais… Moi aussi j’t’ai déjà blessé, pas vrai ? C’juste qu’on est pas doué alors j’abandonnerai pas jusqu’à c’qu’on arrive à s’comprendre. ”
Parce que ce gamin est têtu. Insolent et rebelle. Alors il n’écoutera que lui. Et viendra dormir entre tes bras chaque nuit.
“ Reviens pas sur ta parole, j’reviendrais pas sur la mienne. J’viendrais dormir avec toi. ”
Et il sourit alors qu’il tend la main. Mais qu’il sait qu’il ne peut pas encore t’atteindre comme il le voudrait.
Je crois qu'il y a un truc qui brule en moiavecnapalm
Tu l’observes faire. Relever son haut, voyant la marque que tu lui as infligé. C’est vrai que vous n’en étiez pas à vos premières douleurs, Mais celle-ci était différente. Celle-ci était voulue. Tu aurais pu le tuer, et il se serait laisser faire. T’avais, au fond de toi, envie de savoir pourquoi, mais tu retenais cette question, car tu avais la réponse. Ne pas vivre sans toi. Tu le comprends, maintenant, qu’il ne mentait pas. Les morceaux se recollent, ceux de ton coeur avec. Tu t’en veux maintenant, encore plus qu’avant. Moins, quand il te dit aimer la douleur, mais tu aimerais lui faire comprendre la nuance, car... Pour toi aussi, c’était important, cette nuance.
“N’accepte pas... la douleur mauvaise que j’te donne. Quand c’est pas un jeu, quand c’est pas impulsif. Quand c’est mauvais, quand tu vois que j’vrille, que j’ai plus rien dans le regard qui m’accroche à toi... Te laisse pas sombrer. Car si tu meurs, pour ça. Pour ce moi là, tu mourras pas pour l’homme qui t’aimes. Tu mourras pour un homme qui te déteste sur l’instant T. Alors, ne refais pas ce que t’as fais... Et plante-moi, si y’a une prochaine fois. Plante-moi que je recule, plante-moi que je réalise à qui je m’attaque. Parce que...”
Tu inspires, soupires.
“J’ai plus envie de te voir comme un ennemi. Tu n’es pas mon ennemi.”
Tu esquisses un sourire presque doux.
“Je compte bien te voir dans mon lit, et dans ma vie, pour un bon moment Napalm.”
Tu es plus calme, plus serein. Tu t’assois même soudainement sur tes fesses et lâches un soupir, avant de t’allonger sur le sol, observant la luminosité artificielle.
“Bougeons-nous pour changer les choses.”
Car le temps pressait. T’allais finir par comprendre ce que c’était que le manque, à force.
Ses yeux accrochés à toi. Comme si tu étais sa seule vérité. Et tes mots qui lui arrachent le palpitant. Renforçant ses sentiments pour toi. Si cela lui est encore possible. Alors qu’il ne cesse de chavirer à chaque fois. Chaque fois qu’il te voit. Napalm est faible. Si faible face à toi. Et il t’aime tant. Qu’il est prêt à tout. Si c’est pour t’entendre dire encore une fois. Que tu es heureux.
Il t’observe t’allonger et en fait de même. Rejoignant tes côtés sans jamais te toucher. Parce que ce n’est pas encore aujourd’hui. Que vous pourrez dormir ensemble. Comme vous vous le promettez dans le futur. Et un soupir passe ses lèvres alors.
Il n’a jamais souhaité quelque chose à ce point.
“ J’le ferais. Si c’est c’que tu veux, j’le ferais. J’te planterais la prochaine fois pour que t’ouvres les yeux pour… pour qu’on puisse rester ensemble.”
Parce qu’il crève d’envie de rester avec toi. Chaque jour, chaque heure, chaque minute. Chaque nuit pour avoir la chance de vivre. De respirer encore plus profondément qu’il ne le fait. Il n’aurait jamais pensé désirer quelqu’un à ce point. Plus que son propre égoïsme et ses propres peurs. Il n’aurait jamais cru possible que quelqu’un dépasse ça.
Pourtant tu l’as fait, Mars. Pour t’insinuer si loin. Que son coeur meurt sans toi. Ivre de l’amour qu’il te porte.
“ Hum… J’sais pas ce qu’il faut faire pour ça… Est-ce qu’on va d’voir la remettre en route t’crois ? Est-ce qu’on s’ra obligé de retourner s’entre-tuer ?... Est-ce que t’crois que c’possible d’enlever cette merde sans la relancer totalement ?”
Il a tant de questions. Et tu n’as aucune réponse. Mais il le sait bien. Alors dis lui simplement. Que tout ira bien. Que vous vous retrouverez. Comme tu lui promets. Qu’il pourra venir à toi. Comme il se le promet.
“ Est-ce que t’vas participer à tout ça, toi ? J’veux dire si on doit aller en mission ou autre ?...”
Il se redresse sur un coude pour te voir. Penchant légèrement la tête. Attendant tes réponses. Est-ce que tu vas risquer ta vie ? Alors qu’il sait déjà que lui, oui. Est-ce que tu lui en voudras ? Mais il ne veut pas rester sans rien faire.
Je crois qu'il y a un truc qui brule en moiavecnapalm
Tu es rassuré et un soupir d’aise passe tes lèvres. Tu préfères qu’il te plante, qu’il frôle encore la mort à cause de toi. Dans ces circonstances là, du moins. Il sait te réchauffer.
Tu l’écoutes ensuite, plisses légèrement les yeux. La remettre en route, toi, ça te dérange pas. Surtout si c’est pour arrêter ces conneries. Les Hunting Sports n’ont jamais été un problème pour toi. Mais maintenant, le tuer avait une tout autre saveur entre tes lèvres, dans les siennes. Un gout amer.
“J’sais pas. Peut-être trouver une autre solution... Déjà, défoncer les portes de ce truc. Voir ce qu’il y a de l’autre coté. Et on verra, avec les autres, ce qu’on fait.”
Tu le regardes, intense. Perdu un peu dans tes pensées, mais elles se bousculent trop pour qu’elles puissent passer tes lèvres. Jusqu’à ce qu’une plus que les autres viennent percuter.
“J’irais. J’irais, et j’irais avec toi.”
Tu ne voulais pas que quelque chose lui arrive. Il prenait cette place qu’elle avait laisser, petit à petit. Il comblait le vide qu’elle avait laissé. Sans la remplacer, il perfectionnait les courbes de ton coeur. Remplissant ce moment. Cet instant, comme personne.
“Mais, quoi qu’il puisse arriver dans le futur...”
Tu inspires, regardant à nouveau ce ciel voilé électrique, lumière tamisée artificielle.
“... C’toi et moi contre le monde. Ne l’oublie pas.”
Toi et moi contre le monde. Plus que tout le reste c’est cela qui le percute. Qui le remplit de ce sentiment de bien-être. Alors que tu confirmes encore que c’est vous. Vous deux ensembles et qu’il ne rêve que de cela. Savoir qu’il compte pour toi. Encore et encore. Avide de ressentir. Toujours plus. Que tu le fasses vivre.
Qu’il regrette d’avoir un jour pensé à en finir.
Ah si tu savais, Mars, comme il se sent bien. Peu importe la douleur qui erre sur son cou. Peu importe les traces et les cicatrices. Tant que tu l’aimes toujours. Tant que tu as besoin de lui, dans ta vie. Rien ne compte plus à ses yeux. Que ce que vous avez là, maintenant. Que ce que vous êtes en train de construire. Petit à petit en faisant des efforts chacun.
Si tu savais, oui, comme il se sent privilégié. Il ne s’en vante pas bien sûr, il le savoure. En secret pour le garder pour lui. Pour que personne ne sache. La chance qu’il a.
“ Est-ce que ça veut dire que j’peux rien faire sans toi ?”
Un petit sourire le prend. Insolent et satisfait. Il s’amuse à nouveau. Mais il veut surtout savoir. De l’entendre dire encore une fois. Qu’il ne peut pas mourir sans toi.
“ Alors on ira défoncer cette porte ensemble et voir ce qu’il y a de l’autre côté. J’veux qu’on puisse être ensemble comme promis alors si on doit la rallumer pour ça…” il hésite tout de même, fronce les sourcils. “ Bien que j’avoue que ça m’fasse chier de d’voir retourner sur le terrain des hs … parce qu’on a d’jà trop perdu, tous, mais… si c’est c’qui faut pour que j’puisse être avec toi alors… j’imagine que je n’ai pas l’choix. ”
Mais encore une fois, il ne veut pas. Il ne veut pas retourner dans cette guerre. Prendre le risque de se blesser. Et de te blesser par la même occasion. Il ne veut pas blesser non plus. Il veut seulement vivre avec toi. Sans personne pour vous séparer. Hors les hs le peuvent. Sans que vous ne puissiez rien y faire.
Alors il refuse, Napalm. Et son regard tombe sur toi. Inquiet et incertain.
“ J’veux pas… qu’on s’blesse, j’veux pas savoir qu’il t’ait arrivé quelque chose dans cette merde alors… j’espère qu’on s’ra pas obligé d’y retourner. ”
Parce que lui aussi, il refuse que tu sois blessé. Loin de lui, sans qu’il ne puisse te voir. Sans qu’il ne puisse te protéger. S’il le peut.
“ Mais… j’imagine qu’on choisira pas et qu’on aura pas l’choix si on veut… dormir ensemble un jour. ”
Quelque chose se serre au fond de son coeur. Entre la détermination et l’hésitation. Entre la douleur et le bonheur. Il réfléchit trop, pour changer. Et cela se voit.
Je crois qu'il y a un truc qui brule en moiavecnapalm
T’as même pas besoin de réfléchir pour répondre,
“Oui.”
Il peut rien faire sans toi. Maintenant, c’est acté dans ton esprit. Tu as du mal à voir au delà de ce simple fait. Tu en deviendrais presque dépendant, mais l’avouer? C’était encore une étape de plus. Pas à pas. Chaque chose en son temps, Ce qui était sûr maintenant, c’est que l’apaisement était mis en place. Pour combien de temps encore? Tu ne sais pas. Après tout, tu étais beaucoup plus chaotique que ton rôle dans la hiérarchie ne te le permettait en réalité.
“On trouvera une solution.”
T’étais pas parmi les têtes pensantes, et Napalm non plus. Des gens sauraient quoi faire. Toi, tu savais que t’étais les muscles et la férocité, le pouvoir, l’avidité. Un bon petit cliché de ta faction, en somme. Mais les Trappers, ouais. Y’en aurait surement quelques uns qui pètent plus haut que leur cul qui trouveront une solution. Pour une fois qu’ils serviront a quelque chose.
“Sinon on y retournera ensemble. J’serais volontaire à chaque fois.”
Parce que tu refusais de voir un seul HS qui allait se dérouler sans eux. Juste au cas ou. Juste au cas où il y serait sans toi.
“On dormira ensemble un jour.”
Tu étais déterminé comme jamais. Tu te redresses et souris, amusé plus qu’autre chose.
“C’est moi qui te remonte le moral et qui broie ton pessimisme ? C’est un comble, tu trouves pas? Je suis donc l’optimiste de la bande ? On est mal barré dis-moi.”
Tu tends la main pour lui ébouriffer les cheveux en électrocutant au passage, regardant sa tignasse rester statique.
“Intéressant comme coiffure.”
Tu ricanes et ne le quitte pas des yeux. Bordel, que tu pourrais le dévorer. Tu inspires alors et soupires un peu, te disant que t’allait devoir rentrer. Encore. Après tout, t’étais parti en trombe du QG quelques instants plus tôt. Une heure ou deux maintenant? Hm. Que le temps passait trop vite, entre vous.
Ce n’est pas souvent. Que vos échanges sont aussi calmes. Qu’il y a ce sentiment qui erre. Celui qui lui ferait croire que tout va bien. Que rien ne peut vous atteindre. Et peut-être qu’à cet instant c’est le cas. Peut-être qu’il y a une chance que le futur soit ainsi. Que vous puissiez être ensembles. Sans personne pour vous séparer. Il y pense.
Il l’espère.
Il espère que son “un jour, qui sait” soit possible. En train de se réaliser juste sous ses yeux.
Il l’espère. Si profondément. Alors que tu lui promets d’être là. Pour lui, pour le protéger, il le sait. Affichant un sourire qui ne devrait pas l’être. Mais qui est satisfait. Bordel qu’il tombe un peu plus. Un peu plus à chaque seconde. T’offrant cet air stupide collé à ses traits.
Il se croirait subitement intouchable, Napalm. Mais il n’est pas dupe quant à l’avenir qui attend. Dévoilant ses pensées et ta réponse le fait sourire. Encore si aisément il se sent apaisé. Fermant les yeux sous le coup de jus. Riant légèrement à ta réplique. Et il sait au fond que tu dois partir. Encore une fois.
Mais il ne veut pas. Il voudrait te demander de rester. Mais il sait que tu n’as pas son temps. Ni même sa liberté. Il sait que vous allez commencer à vous sentir mal. Trop loin de vos factions. Alors il se résigne. Se redressant pour te fixer.
“ Ok on trouvera une solution et on dormira ensemble… c’est une promesse, s’tu changes d’avis j’te tue, c’est clair ?... Alors j’pourrais te demander d’rester avec moi la prochaine fois. ”
Ses doigts frôlent les tiens. Rien qu’une seconde. Comme pour graver ses mots. Vos mots et vos projets. Ne t’en détourne pas, Mars. Parce qu’il a besoin de toi. Il a besoin de ça pour continuer. Pour changer peu à peu. Jusqu’à se sentir libéré.
“ J’suis désolé de t’avoir dérangé aujourd’hui… J’avais b’soin de t’voir mais… J’ai prévenu un peu tard, j’serais moins impulsif à partir d’maintenant. Enfin… j’vais essayer. ”
Mais de ça, il ne peut pas te promettre. Parce qu’il suivra toujours son coeur. Maintenant que tu es venu le réveiller.