Do it All the time

Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.

Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes.
Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
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« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »

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FB | down we go | CARBONE
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Ven 12 Mai - 2:28



impulse


— the beast was awake.

encore et encore.
plus fort à chaque fois,
plus dangereux à chaque instant,
il y avait de ses moments où tout était perdu d’avance.
et aujourd’hui était l’une de ces journées.

de par une maladresse,
un oubli banal qui pouvait être facilement perçu comme non-important,
c’est pourtant tout le contraire qui se déroule alors que le déclic se produit dans ton esprit.

alors que tu étais en plein entraînement,
alors que tu voulais faire l’effort de devenir plus fort,
la flamme alluma le gaz.

geste violent,
perte totale de son contrôle,
tu perd rapidement ton jugement et c’est sans retenue que tu réagis alors que l’on tente de te calmer.

alors il fut appelé.

encore.

alors que tu perdais de plus en plus la tête,
ton regard doux et détaché s’étant transformé en haine bouillante de violence.
et elle devait sortir de ton être.

de n'importe quelle façon, mais pas avec n'importe qui.




NC
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Ven 12 Mai - 3:32

We live in a cold dark world with venom in it's fangs.
You can spit it in my face but I know I'll be ok
MUSIQUE – Un corps vautré sur son lit totalement défait, une main derrière la tête en guise d’oreiller, en train de lire encore et encore les lignes de son carnet, encore un carnet à souvenir qui vient d’être terminé ; il pourrait écrire un roman avec tout ça, il en était persuadé. C’est en se redressant et en regardant à droite que l’homme constate que la nuit commence à tomber. Dans une lenteur à en faire pâlir un hyperactif, Carbone approche de son bureau, dépose le carnet sur la bibliothèque qu’il avait construite, avant d’entendre que l’on tambourine à sa porte. Sourcils arqués, la personne n’attend pas pour débouler sans s’annoncer, la panique dans le regard.

Et il sait du coup, de quoi il s’agit.

Profond soupir qui transperce la barrière de ses lèvres, c’est en rattrapant son long manteau rouge et des plaques de métal qu’il fourre dans sa poche, que Carbone tapote l’épaule du gars en face de lui en signe de bienveillance. Tout allait bien se passer. Vous y êtes habitué maintenant ; pas vrai Never ? Les pas sont lents, le rythme cadencé, il ne se presse pas Carbone, car il sait que tu resteras à l’endroit où tu es, que tu y restera tant que quelqu’un suscite ton attention et à l’arène, tu devais avoir trouvé de quoi faire.

Sa main de métal vient masser sa nuque endolorie, de source certaine Carbone le sait, cette nuit qui n’a même pas encore réellement commencée, allait être longue, très longue. Il ne lui faut pas plus d’une dizaine de minutes pour pénétrer dans l’arène et que ton regard finisse par croiser le sien ; sa présence s’imposant à toi de façon autoritaire. Les gens s’agglutinent autour de Carbone et c’est dans un geste rapide de la main qu’il donne son ordre. J’m’en charge, laissez-nous, ça va bien se passer. Certains n’osent pas bouger, mais le sourire bienveillant de Carbone achève de les convaincre.

Il vérifie bien que tout le monde est sorti et quand cela fut fait, c’est avec rapidité qu’il retire son manteau, les plaques de métal tombant au sol. Bon… Un mouvement de la main, les plaques viennent entourer son corps, changer de formes pour un revêtements au niveau de son dernier bras intact ; endroit le plus propice à des attaques à répétition. C’est entre toi et moi maintenant, mon corps est prêt à te subir Nevermore ; alors explose, vas-y.

C’était son rôle, celui qu’il t'avait imposé plus d’une fois ; pour te faire culpabiliser plus tard. Plusieurs de ses cicatrices, c’est à toi qu’il les doit ; mais Carbone, il ne t’en veut pas ; loin de là.  

// here comes the drama ?? ;w; ♡
@AZRIA
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Mar 30 Mai - 18:23



impulse


— he was angry, he was furious.

son coeur battant,
ses pulsions se débattant,
le cadre est absurde et gras alors que l'huile fait briller le cramoisi de mille éclats, mais tout change alors qu'un nouveau médium s'ajoute.

comme une surprise,
comme une événement inattendu,
c'est toujours avec une certaine surprise que tu le captais sans réellement en prendre compte,
mais au fond,
tu te demandais pourquoi il le faisait à chaque fois.

si ton état actuelle ne te donnait pas la liberté de prendre des décisions sensé,
ce sera lorsque les dégâts seront déjà dans les chairs que tu culpabiliserais,
mais,
actuellement,
alors qu'il te fait maintenant face et qu'il était prêt,
c'est avec un mélange de violence et d'aveuglement que tu te précipite vers ton frère de cœur et c'est tel une bourrasque d'hiver que tu lui fais maintenant face alors que ta glace impardonnable se cogne contre son métal.

et c'est un cri de rage qui te glisse de la bouche alors que la haine sur ton visage est loin d'être la réalité.




NC
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Jeu 1 Juin - 19:20

We live in a cold dark world with venom in it's fangs.
You can spit it in my face but I know I'll be ok
MUSIQUE – L’habitude ; c’est se lever le matin et boire le café hebdomadaire, c’est se griller une clope dès le réveil, de regarder le courrier. C’est avoir cette routine dans la salle de bain, de rincer la brosse à dent et de mettre le dentifrice ensuite, de se passer un coup de brosse. Mais l’habitude, c’est aussi reproduire le même schéma, et dans votre cas Never’ ; d’user de son corps pour contenir ta rage.

Les gens n’osent pas dans un premier temps partir, alors c’est quand la première vague de givre fonce que Carbone s’interpose en dressant un mur de métal, non pas sans galérer. Il y avait de quoi faire dans l’arène, les particules fines dans l’air, mais le temps que ça prend est plus long, naturellement. Et c’est avec rage qu’il contemple sa lenteur, voyant sa prothèse se congeler à vue d'œil. J’vous ai dis de vous barrer ! Il n’aurait pas le temps de protéger tout le monde et il n’avait aucune envie d’avoir des colporteurs, cela rendrait la tâche encore plus ardue pour la suite.

Appuyant sur un endroit spécifique à sa prothèse, le givre se fait littéralement éradiquer comme un mauvais rêve. Ingénieur de talent, réminiscences d’un passé, il sait qu’il a apprit auprès de quelqu’un Carbone, dommage que ça ne soit que poussière dans les méandres de sa conscience. Son regard scrute tes mouvements, ta charge vers lui le fait réagir d’instinct, attrapant tes bras pour les emprisonner de ses filaments de métaux. Mais la morsure du givre se fige dans sa peau, le forçant à lâcher prise de la main droite. NEVER PUTAIN CALME TOI !

Si seulement
Si seulement les mots étaient suffisants
Il n’est qu’un piètre homme arrogant
Qui va apprendre ta haine à ses dépends

Le cri de rage le fait tituber d’inquiétude, t’es plus vraiment là Nevermore, t’es qu’une bête qui a oublié l’importance de rester un homme ; t’es juste pétri dans ta rage, dans ta peine, dans ta haine et ça le fait tiquer, ça lui rappelle ses moments de désespoir dans sa chambre, face à l’ombre qui plane au-dessus de sa tête comme une putain d’épée de Damoclès. Son poing de métal grossit à vue d'œil, se fracassant contre ta glace pour la briser d’un coup précis, son front percute le tien avec violence. Et les cordes de métal viennent s’enrouler de parts et d’autres de ton corps pour te contraindre, la magie de la constriction. Va falloir que tu te calmes mon frère, j’veux pas t’faire de mal.

Mais il ne capte pas tout de suite les engelures sur sa jambe droite, il ne capte pas la morsure du froid à cause de l’adrénaline. Il essaye d’être bienveillant, de subir et de faire face en même temps ; cependant, ce n’est pas en agissant ainsi, qu’il te sortira de tes tourments.

// écouter du gros métal avec ce rp c'est l'ambiance de qualité ; j'espère que ça te conviendra bg ♡
@AZRIA
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Mar 6 Juin - 17:03



impulse


— anger is a short madness,

de par sa simple existence,
de par son commencement qui allait inévitablement prendre d'énormes proportions,
d'énormes conséquences,
c’est lorsque les traits s'adoucissent que la réalité nous rattrape.

mais toi,
tu es encore bien trop loin.

de ton mental qui explose,
ton trop plein qui déborde,
c'est avec tes gestes saccadés que tu es maintenant une menace pour les autres.

mais surtout pour lui.

lui qui se met toujours sur ton chemin,
lui qui a décidé de jouer le rôle le dompteur de bête,

mais il n'est pas assez attentif.

de par le froid de ton être lui courant sur l'épiderme,
le givre embrouille ton bon sens et c'est une réponse corporelle que tu lui offres alors qu'il te saisit.

lion mit en cage,
bête emprisonné par le métal le recouvrant,
tu te débat comme si ta vie en dépendait,
mais lorsque son crâne fit la rencontre du tien,
un déclic se fit dans ton esprit et ce fut avec bien moins de fougue que tu es maintenant prisonnier de son pouvoir .

froncent les sourcils,
clignotants plusieurs fois des yeux,
tu te plains de la brusque douleur que tu ressens,
mais c'est en étant aussi proche de toi que le froid commence à être plus violent sur ton frère de cœur.

et c’est la limite que tu imposes à ton pouvoir qui se glisse dans la jambe du blond.

petit cristaux,
l’eau présente dans son sang se congèle doucement alors que tu n’as pas conscience de ton geste et c’est dans ce tableau incertain que vous vous trouvez présentement alors que le sol sous toi ce couvre doucement de givre.

givre comme toi,
comme celui présent dans ton coeur qui manque un battement
et c’est avec un brusque sursaut que le froid mordant fait ce qu’il fait le mieux : consommé un peu plus ton être et c’est la douleur dans ta poitrine qui te calme d’un coup.

et c’est avec une expression de panique que tu observes où tu te trouves avant que quelques mots te glissent des lèvres.

... c-carbone ? ...CARBONE ?! AH NON PAS ENCORE ! CA VA ? JE T'AI FAIS MA- ....mal ? que tu t'exclame alors que la panique et la tristesse prennent la place de la colère insatiable.




NC
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Sam 10 Juin - 20:43

We live in a cold dark world with venom in it's fangs.
You can spit it in my face but I know I'll be ok
MUSIQUE – Victime de tes émotions, ça a toujours été le cas Nevermore, et malheureusement pour votre relation à tous les deux, y’a toujours un truc pour te le rappeler, les nombreuses cicatrices sur son corps. Les filaments se resserrent d’autant plus, mais le gel sur sa jambe le fait tituber et serrer la mâchoire, les muscles plus tendus encore que d’habitude. C’est douloureux, la morsure du gel se referme et vient s’incruster dans son sang sans qu’il ne puisse rien faire Carbone, pour y pallier. Dans un état de panique, tentant malgré lui de retrouver son calme olympien pour ne pas aggraver la situation, l’homme active son alter à nouveau, enveloppant sa jambe blessée d’un métal en espérant pouvoir y réchauffer cette partie, en vain. Les cristaux de sang se forment et éclatent, maculant le sol de ce liquide rougeâtre dès lors qu’il transperce sa peau.

C’est en chutant à moitié sous le poids de la douleur, en s’arrachant un morceau de peau de la lèvre qu’il sent battre dans ses temps et dans ses veines, cette drogue qui circule dès que son instinct l’informe d’un danger ; l’adrénaline. Ne pas faire attention, juste se focaliser sur toi, le reste, Carbone s’en souciera plus tard. Le givre prend encore plus de place sur le sol, des crampons de métal se figeant par automatisme sous ses bottes pour lui éviter de chuter ; sa prise se faisant encore plus forte autour de ton corps. PUTAIN MAIS REVEIL TOI BORDEL ! NEVER ! Le sang s’écoule à foison alors qu’il prend encore plus appui sur sa jambe blessée, son front percutant le tien avant de réaliser l’expression de panique qui te prend le visage une fois le choc passé.

Un profond soupir vient s’échapper de ses lèvres alors que les filaments de métals te libère totalement ; lui permettant enfin de décompresser et de s’asseoir en tailleur sur le sol ; plusieurs gouttes de sueur perlent le long de ses tempes, l’adrénaline quittant toute trace de sa caboche. Tes paroles lui parviennent, mais Carbone doit se forcer à faire bonne figure, alors c’est en enserrant sa jambe, tentant vainement d’arrêter le saignement, qu’il lâche dans un sourire. Hé, pas de panique, je suis pas mort, c’est qu’une égratignure d’accord ? Non, ce n’était pas qu’une égratignure, ça avait clairement explosé de l’intérieur ; son biceps avait mangé, de façon sale ; marcher allait sans doute s’avérer compliqué pendant un temps.

((Un épisode qui le fera boiter pendant quelques mois ; mais pas de mal, il avait signé pour ça.))

Retirant son manteau rouge, cherchant à l’intérieur de sa poche de quoi se soigner, il en sort quelques comprimés qu’il t'envoie dans un geste lent. C’est parce que t’avais oublié ça, n’est-ce pas ? Jouer les grands-frère c’était devenu son quotidien te concernant, toujours là pour gérer et corriger les problèmes, ce n’était pas une corvée, car l’homme le faisait avec le cœur, de son plein gré. Te prends pas la tête Never’, c’est pas la première, ni la dernière fois. Est-ce que t’es vraiment calmé maintenant, ou j’dois encore te foutre un coup de boule ? User de son corps, pour calmer tes ardeurs ; un bouclier humanoïde qui se fout de subir ; les cicatrices sont là pour lui rappeler, elles servent de “memento” ; de souvenirs.

Des détails gravés dans la peau, qu’il ne peut pas oublier.

Attrapant un bandage après avoir déchiré son jean, c’est avec un léger soupçon d’inquiétude que Carbone commence à traîter sa blessure avec minutie ; il devrait se rendre à l’infirmerie dans la soirée, c’était une évidence…. Et il était persuadé d’être accueillis avec un grand sourire ((non ; la réalité est tout autre ; “putain, encore toi ? Mais c’est pas possible, tu le fais exprès ?”)) Les remontrances qui viennent déjà lui vriller les oreilles. Sa jambe est bandée, le sang coule toujours à flot, mais Carbone tente de ne pas s’en soucier, ses yeux d’un bleu perçant se posant de nouveau sur toi. Sois rassuré, à part moi, t’as eu le temps de blesser personne, alors te torture pas.

C'était dans votre contrat
Celui liant vos états
Pour ton bien, il se saignera
Avec de la chance, ça apaisera
son k a r m a

// jtm bro ♡
@AZRIA
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Dim 18 Juin - 3:23



impulse


— how do you live with yourself when the blood on your hand isn't yours ?

you don't.

parce que la réalité te gifle en plein visage,
parce que la réalisation est aussi douloureuse qu'une blessure en plein cœur,
c'est en mille miette que se trouve le tien alors que tout devient beaucoup trop clair dans ton esprit.

parce que tu avais oublié,
parce que tu avais fais le con, une nouvelle fois,
voilà que tu venais, de nouveau, de blesser quelqu'un qui t'était cher.

souffle qui se perd,
esprit qui s'évapore,
la panique s'installe dans le tableau et le regret prend toute la place.

de tes larmes qui roulent en chute sur son visage,
de ton expression de panique,
tu manques de souffle à force de constater ce qui en résulte et tu lui réponds lamentablement.

DE QUOI CA VA ?! CA NE VA PAS NON ! JE T'AI FAIS MAL ENCORE J-JE MERDE ... pourquoi tu souris à chaque fois alors je te blesse..... hnnn..... c'est moi qui te fait des bleues arrÊTE DE SOURIRE !

que tu bafouilles alors que tes mains tremblantes se posent sur ton visage.

car s’il soutient son regard,
toi tu fuis le sien.

tu ne voulais pas accepter tout ce qui venait de se dérouler et c’est en te maudissant intérieurement que tu fais ce que tu aurais jamais voulu faire : le soigner de toi.

...... laisse moi refroidir tes bandages, ca va calmer le flux sanguin.

que tu murmurre en posant tes mains sur sa jambe et c'est alors que tu uses de nouveau de ton pouvoir que tu ajoutes cette simple phrases en te mordant l'intérieur de la joue :

peut-être bien...... mais c'est ton sang qui se trouve sur mes mains, pas le leur.




NC
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