Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
entre les angesUn rai de soleil filtre entre ses volets et caresse tendrement son visage, cercle ses yeux d’un halo divin — l’ironie s’enroule autour de son crâne lorsque ses paupières se soulèvent, douloureusement consciente qu’au creux de la nuit s’était déchaîné un bien vil démon. Dans une plainte paresseuse, elle délie ses membres endoloris et pourlèche des lèvres encore rougies de baisers et de morsures ; son regard se pose sur toi, glisse le long de la courbe qui soulève ses draps. Ses plumes frémissent.
Elle en a perdu quelques-unes, éparpillées sur la soie, trônant sur un oreiller qu’elle avait fiévreusement agrippé. Nulle honte ni regret ne se loge dans sa trachée, le fantôme malicieux d’un sourire osant même illuminer son visage. Pantin de ses propres désirs, Séraphin se presse flâneusement contre toi, se love entre tes bras et murmure quelque prière muette à la jonction entre ta gorge et ta clavicule, tentée de laisser le sommeil la reprendre.
Indolent, bercé par les jeunes heures du jour, il laisse un index danser le long de son art — les vestiges de ses griffes et de ses crocs rougissent et bleuissent entre tes muscles, et il s’en gorge sans amour mais chargé d’orgueil. L’exotisme de la situation vibre jusque dans ses os, et la fraîcheur de ton corps en apaise le tumulte. Il marmonne. Un véritable glaçon. Tu parais mort, et lui ne s’est jamais senti si vivant.
Il n’y a rien de beau, lorsqu’il s’y attarde, dans votre triste situation ; c’était un moyen d’assouvir quelque frustration fiévreusement tue, d’ignorer l’immonde désespoir qui semble s’emparer de toi dès lors que les prescriptions sont dénigrées. Séraphin s’est donné, non pas par désir mais par affection, nécessité — ce n’est qu’un rituel de plus. Et en dépit de la topique des regrets qui s’emparent usuellement après ces “erreurs”, l’angelot fait peser sur ta gorge si gentiment offerte le soupir d’une morsure taquine. Réveille-toi ! Je m’ennuie.
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