Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Son excuse, t’importais peu. Tu l’avouais ouvertement. Il n’avait pas à louper un entrainement, Que ce soit pour se refaire les ongles ou parce que monsieur avait ses périodes.
Tu l’attendais le pied ferme à la salle de sport, Libre pour la matinée. En tenue de sport, short et torse nu pour ta part, Tu avais mis des vieux gants usés pour te permettre de frapper.
Fronçant les sourcils, tu attendais le pied ferme le lanceur d’eau. Tu avais envoyé un random le chercher, et il ne tarderait pas. La menace de ton nom suffisait à lui faire passer un sale quart d’heure s’il ne se pointait pas.
Claquant ta langue en le voyant arriver, Un sourire était à moitié présent sur ton visage.
“Ozizi, ça faisait longtemps.”
Ton sourire s’élargit alors que tu frappes dans tes mains,
“Une matinée d’entrainement avec ton coatch préféré. Ah, et pas d’alter pour ce matin. A la rude, comme dans des temps ancestraux. Tu sais toujours te battre, rassure-moi?”
Et te voilà déjà à t’étirer pour ne pas te claquer un muscle, Tu attendais qu’il en fasse de même, A moins qu’il ne sache plus quoi faire et que la colère soit déjà trop montée pour résister à l’idée de t’attaquer, auquel cas, tu répondrais sans plus attendre, avec un grand plaisir.
Au fond, ce mec, il te faisait l’effet d’une dose de dopamine.
Rater un entrainement ca n’avait rien d’exceptionnel. Ca arrivait a beaucoup. Alors, Osiris avait du mal a comprendre pourquoi Mars lui colle autant au basque au moindre faux pas. Se dirigeant d’un pas rapide vers la salle d’entrainement. Il a râlé Osiris quand on l’a réveillé de ses songes pour ca.
Mais pas le choix. Mars reste un supérieur : même si ca agace Osiris il doit prendre sur lui. Quelle plaie vraiment.
En arrivant, il constate la présence de Mars. Et ce surnom ridicule.
« Epargne moi les gestes d’affection, tu viens de me tirer de songe fort passionnant, alors j’ose espérer que tu as au moins de quoi me divertir. »
Il inspire. Soupire a la mention de l’entrainement.
« Et ce ne pouvait vraiment pas attendre ? Je vois, je vois. »
Roule les yeux. Enlève son haut, imite Mars au niveau de la tenue. S’avance vers lui.
« Evidemment que je sais me battre, tu me prends pour qui franchement ? »
Les doigts craquent, et puis il place ses poings devant lui. Il fait un léger signe de tête, en fixant Mars. Pas question de le perdre du regard à présent.
Tu grognes devant ses bla-bla-bla. Tu n’aimes pas qu’il joue avec les mots, Et pourtant... Pourtant, il est toujours présent. Toujours là, quand tu le demandes.
“J’espère que tes songes parlaient de tes entrainements.”
Un rire moqueur, Alors que tu te mettais en position. Tu étais content d’avoir atteint son égo, Au moins,il n’en serait que plus redoutable.
Tu tentes alors une attaque sur lui. Tu n’es pas passif, et tu ne lui laisses pas trop de répit, ni le temps d’y réfléchir. Tu avances quelques pas rapides, Puis ta jambe part en direction de ses côtes, alors que tu profites de le déstabiliser, pour lui envoyer ton poing dans le ventre dans la même action.
Tu grondes fort, Ton regard cherche le sien, Tu as mis beaucoup trop de force dans ce poing, Comparer à ton pied et ta jambe qui étaient là juste pour le déconcentrer, Ton regard est haineux, et en même temps, un fin sourire se dessine alors que tu attends une réprésailles, ou pire encore, une résistance quelconque.
Tout ton être était présent pour lui dire, “montre moi ce que tu es capable de faire, prouve moi que j’ai tord de te sous-estimer, Osiris, Montre moi l’allié que je peux voir en toi.” Des mots silencieux, bercés par un regard, et des actions. Le jeu politique était déjà enclenché, en silence, dans cette salle d’entrainement.
Mars n’est pas du genre a reculer face a la confrontation, maintenant que l’entrainement est lancée, Osiris se doute qu’il va en avoir pour un moment.
Il s’apprête a frapper Osiris car il sait qu’a se stade, Mars ne perdra pas de temps. Et lui non plus ne veut pas perdre de temps. Alors, il commence a encaisser un premier coup par chance car il est préparé. C’est sans compter sur ce coup de poing qui lui arrive directement dans le ventre. Il grimace. « Sérieusement … »
Et de sa jambe, il tente de balayer son adversaire. Qu’il finisse à terre ! – crie t-il intérieurement. Mais c’est pas non plus une chose aisé. Alors pour s’assurer de sa victoire sur l’action, il assène un son tour un coup de poing dans les cotes. Retour a l’envoyeur.
Enfin on espère. Il se recule un peu. Inspire. Se remet de son coup. Poing devant lui a nouveau, il le fixe, de son regard emplis de défis.
Lui aussi sait se défendre, Mars va le constater bien rapidement. Osiris ne veut pas faire ses preuves, il n’en a pas besoin, mais il veut montrer à Mars qu’il a eu tord de l’agacer. C’est un fait indéniable.
Tu grognes devant son attaque, et encaisse le coup. Tu n’as d’ailleurs pas réellement de mal à voir venir sa riposte, mais tu admires qu’il se recule et soit prêt à nouveau à une nouvelle attaque.
Tu souris alors, amusé par la situation. Il faut dire que même si tu es debout, et que tes côtes te font légère douleur, tu n’en négliges pas moins les efforts.
Tu te redresses alors et lui lance un regard charmeur, Jouant avec ta langue sur tes dents et un long soupir alors que tu passes ta main derrière ta nuque et que ton regard se fait plus langoureux.
“Tu me donnerais presque envie de finir ce ring, ailleurs qu’ici...”
Un grand sourire alors que tu reprends une position d’attaque, espérant l’avoir déstabilisé, même si tu en doutes.
Tu t’avances alors à nouveau, mais sans agressivité, cette fois, tu fais le tour de l’homme, attendant que ce soit lui qui t’agresses en premier. Tu passes une main dans tes cheveux en continuant ton numéro de charme à le dévisager sous tout les angles.
“Hm, vraiment. Osiris, as-tu quelqu’un dans ta vie ?~”
Tu souris, presque moqueur et sérieux. C'était ton jeu à toi, ça. Jouer avec la limite, de ce que tu es capable de faire, dans les rêves. Car en réalité, toucher quelqu'un est plus complexe que tes mots pour toi.
Osiris assène balayette, coup de poing. Mais Mars est fort, il esquive. Ca l’agace. Osiris a encore plus envie d’en découdre. C’est certain.
Il le fixe. Et remarque son numéro. Plus de coup de poing, plus de coup de pied. Seulement un regard langoureux, un rapprochement certain. Osiris ne sait plus quoi penser. Il le fixe, interloqué. L’entend aussi alors que Mars le provoque délibérément. Enfin ca, c’est comme ca qu’il le prend.
« Quoi ?? Qu’est ce que tu espères mec … »
Il se mord la lèvre. Les poings toujours devant lui. Et entend cette question sortie de nulle part. COMMENT. Osiris se croirait dans une séance de psy de son père. Et dieu sait que ces séances l’agace. Il soupire.
« En quoi ca t’intéresses ? Et mieux encore en quoi ça te regarde mec ? »
Sa gourde non loin. Osiris sort l’eau a l’intérieur, et la jette sur Mars. « Ca va te réveiller un peu. On est censé s’entrainer je crois non ? »
A voir si l’eau atteint sa cible. Osiris est loin d’être un pro surtout que la question l’a quand même déstabilisé. C’est peut-être ca que cherchait Mars, a le déstabiliser. Au moins ca, ca a marché.
Tu es amusé, Jusqu’à ce qu’il te balance de la flotte. Que tu te prends sans vergogne sur le coin du nez. Tu serres la machoire.
“J’avais dis pas d’alter.”
Tu es agacé, Pas ce que tu vois comme une tricherie, Alors qu’un sourire mauvais se déplace sur ton visage, Pour venir attraper le menton du brun dans une rapidité présente. Tu te retiens de déployer ton alter.
“Tu veux vraiment que j’utilise le mien sur toi, Osiris? Je ne suis pas sûr que ton eau te sauvera si je perds mon calme.”
Tu serres encore la machoire, et ne tente donc pas de l’utiliser. Tu fermes les yeux quelques secondes avant de t’éloigner, et te remettre en position, passant une main dans tes cheveux mouillés et te mettre en position de défense.
“Attaque. C’est si compliqué à comprendre, ce que je te demande ? Ou finalement, tu es peut-être un raté comme ton père.”
La haine était présente, cette fois-ci. Tu n’aimais pas la tricherie, et tu lui ferais payer. Tu serras les poings et était prêt à prendre sa foudre, puisque tu sais qu’il n’aimait probablement pas être comparé à son père. Qui aimerait être comparé à ses parents, ici, de toute façon.
Osiris a réussi a le réveiller. Il le voit bien, son eau a atteint sa cible. Il le regarde de haut, attend sa réaction. Soupire aux mots de Mars. Pas d’alter mais il faut dire que Mars l’a gravement agacé. Alors dans ce cas là, la fin justifie les moyens non ? Il roule les yeux.
Se retrouve rapidement proche de Mars a nouveau qui lui attrape le menton. Il fronce un peu les sourcils.
Le fixe. « Tu n’as pas intérêt. Le mien ne t’a qu’un peu mouillé, tu es encore en état de combattre, le tiens est plus emmerdant. »
Grimace rien qu’a y penser. Jamais il ne se laissera humilier de la sorte. Alors il le regarde s’éloigner. Tique sur ce qu’il ose dire de son père. « Comment oses tu insulter mon père. »
Son très cher père qui a toujours été là pour eux. Il est loin d’être faible. Il est juste dévoué, profondément dévoué. C’est noble. Mais c’est visiblement mal vu.
Osiris est en colère de l’entendre ainsi. Alors il fonce, il assène un coup de poing en plein dans le visage de Mars. Il est gavé. Vraiment gavé de ce comportement. Lui prouvant ainsi qu’il SAIT attaquer.
Tu accuses le coup. Il te sonne, te fais saigner la lèvre. Tu n’as pas envie de riposter, car c’est ce que tu attendais. La violence est telle que tu recules, et qu’un rire franc sort de tes lèvres.
“ENFIN!”
Tu fonces droit sur lui pour le sonner avec un poing aussi fort que lui.
Tu souris de toute tes dents, crachant par terre le sang qui coagules entre tes lèvres. Tu es content qu’il se réveille enfin, et malgré la douleur de ta machoire, tu espères lui avoir infligé la même. Tu hésites même à profiter de son inattention pour lui mettre une fessée, mais tu te retiens. Tu ne voudrais pas qu’il utilise encore son alter par frustration, et tu n’aimerais pas à avoir utiliser le tien sur lui. Car tu perdais souvent confiance dans les gens qui avaient percutés ton alter, à savoir si leur intérêt était réel ou non. Bref. Qu’importe; Tu te prépares à une riposte et une fois que vous seriez deux cons à terre, finalement, tu pourrais peut-être être satisfait de cet entrainement.
Le poing qui arrive vers lui. Osiris esquive de justesse. Il fronce doucement les sourcils face a Mars. Mars qui a l’air de se prendre au jeu. Mais pour Osiris c’est différent, on insulte pas son père : il ne le permettrait pas. Il sait a quel point son père peut être critiquer et ca l’a toujours agacé, il a besoin de défendre l’honneur de sa famille coute que coute.
Alors il se recule un peu. Plisse les yeux.
« Evidemment ! QUI AIMERAIT CA HEIN ? »
Il crache ses mots. Le souffle court. Il exige.
« Excuse toi pour ca. »
Le regarde un peu de haut. Il n’en manque pas une Osiris. Incorrigible jusqu’au bout. Il ne ferait qu’empirer la situation probablement et pourtant, il ne peut pas s’en empêcher : sa fierté l’oblige a exiger. Il s’avance. Reprend son attaque.
Un coup de pied dans les genoux, toujours a chercher a le déséquilibrer. Il sent que cette fois il peut toucher.
Il a l’impression d’être porté par sa colère. Plus rien d’autre n’a d’importance en cet instant que d’obtenir des excuse de ce très cher Mars. Il ne le quitte plus du regard. Ca en devient une obsession.
C’était vraiment la fin. De ton égo. De ton ambition. Tu étais vraiment réduit à rien, en quelques coups. Il ne fallait pas l’énerver, mais bordel, Malgré tout ça, Qu’est ce que tu étais fier de lui. Tu transpirais la fierté, et même si t’avais du en arriver là pour ça...
T’avais même pas envie d’esquiver ses coups, que lorsque son pied arriva sur ton genou, tu le ployais à terre pour le regarder. Tu avais une certaine modestie, et savais reconnaitre quand tu avais échoué un combat, Mais celui-là, il t’avais impressionné.
“Osiris, je t’embrasserais si tu me dérangeais pas autant, mais...”
Tu finis par inspirer lentement, esquissant un sourire.
“Tu n’es pas trop mon genre.”
Tes yeux se plissent, et à nouveau tu te redresses et croisent les bras.
“Tu m’as montré ta valeur, je suis fier de toi.”
Tu passas une main dans tes cheveux et reculais donc.
“Amusons-nous un peu, veux-tu ? Autorisons les alters.”
Sur ce terrain, tu savais que tu allais t’amuser. Parce que, oui, tu avais perdu cette première bataille, mais pas la guerre. Et tu avais presque hâte de le voir t’attaquer avec ses sentiments contradictoires qui allaient naitre en lui. Une épreuve supplémentaire. Et tu déclenches ton alter qui se répand sans vergogne jusqu’à Osiris, l’entourant de son emprise chaleureuse et accueillante, mais surtout, de cette envie irrésistible d’abuser de ton corps et de ses douceurs.
Osiris atteint sa cible. Il est fier. Il se sent victorieux. Il a enfin pu montrer qu’il n’est pas un moins que rien comme a l’air de le penser Mars. Enfin ca, c’est l’impression qu’il a. Alors, Osiris se redresse, droit, fier. Il fixe Mars qui admet. Il admet aussi que Osiris n’est pas son genre. « Tant mieux, c’est partagé. »
En réalité, c’est a cause de l’agacement plus qu’autre chose. Entre les deux ca, n’a jamais été une histoire d’amour. Osiris inspire doucement. Il se dit que peut être, l’entrainement va s’arrêter là. Après tout, il a fait ses preuves non ? Problème. Mars lance une nouvelle règle.
« Quoi-… »
Il fronce les sourcils Osiris. Il refuse d’être la victime de son alter, oh ca jamais. Mais c’est trop tard. Il n’a pas le temps de réagir que le voilà sous le contrôle de l’alter de Mars. Son esprit de répond plus a la raison. C’est pourtant évident que Mars l’agace alors POURQUOI. POURQUOI ne peut-il pas s’empêcher de le regarder.
Il grimace. Il arrive pas a détourner le regard. Une main sur sa bouche.
« Tu l’as vraiment fait …. »
Il aimerait s’éloigner mais son corps ne répond plus. Ou plutôt, son corps se rapproche par réflexe. Osiris se plante a deux pars de Mars.
Se mord la lèvre. « Arrête le. »
Se montre autoritaire tant qu’il le peut encore car il sent ce désire monter. Il le sent monter et il ne pourra plus se contrôler dans les prochaines secondes. Quel enfer. Et pourtant, il en a conscience de ce risque a se confronter a Mars : il s’y était préparé.
Tu es amusé, d’abord. Parce que tu vois qu’il est réceptif. Le pire, dans tout ça, c’est qu’il ne cherche même pas à lutter contre. Tu fronces de plus en plus les sourcils.
“Lutte bon sang, Osiris !”
Comme si ton ordre allait suffire.
“Fais quelque chose.”
C’est à toi de le faire cesser, mais tu ne voulais pas qu’il soit ainsi absorber par toi. Bordel, tu ne comprenais pas pourquoi il ne luttait pas contre ton alter. Il pouvait lutter contre ses pulsions, non ?
“T’as dis que j’étais pas ton genre, tu te souviens?”
Non parce que t’avais de plus en plus de doutes au fur et à mesure qu’il se rapprochait. T’avais croisé tes bras qui faisaient au moins barrage entre vous.
Pour lui, tu ne faiblirais pas. Tu ne voulais pas avoir peur de ce contact, et il faut avouer que tes rapports avec le vigilante t’avais permis d’appréhender la chose avec plus de quiétude, mais tout de même. De là à voir Osiris sans aucun contrôle sur ton alter, à croire qu’il en pinçait pour toi depuis des années en silence et que ça le soulageait de prendre ton alter en partie.
Tu serrais fort la machoire, attendant qu’il daigne faire quelque chose. Quelque chose qui te rende fier, espérons-le.
Osiris aimerait vraiment pouvoir l’écouter. Pour une fois il aimerait lutter contre cet alter. Mais ca va trop vite, ca va trop loin dans son esprit. Il ne pense plus a rien d’autre que d’assouvir son désire. Il fixe son collègue legendary, déglutit alors que ses jambes bougent toute seule. Un pas supplémentaire. Il gueule.
« JE NE PEUX RIEN FAIRE J’AI ENVIE DE TOI. »
C’est dit. De base il voulait dire : je ne peux rien faire j’ai mon esprit qui ne répond plus. Et l’esprit a changé la phrase. Car la raison n’est plus. Il le voit alors qu’il croise les bras. Ca le tend. Quand bien même Mars fait barrière, ca ne fait pas reculer Osiris.
Il avance encore. C’est un automatisme bien ancré a présent. Deuxième pas.
Il se retrouve en face de lui. Tout proche. Il se colle a lui. Pose sa tête son épaule. Au diable ces bras qui font barrière.
« Je le sais … mais …. »
C’est terminé. Il ne peut plus résister. C’est définitivement terminé. Sa main remonte. Se pose sur la joue de Mars.
Et son visage se décolle pour se poser sur ses lèvres.
Ca hurlait dans ton esprit, mais tu te concentrais pour pas avoir peur. Que ton alter ne cesse pas. Tu n’étais pas un gosse. Tu n’étais plus un gosse. Tu n’avais pas peur. Tu maitrisais la situation. Il n’allait rien te faire, et au pire des cas, tu es plus fort que lui. Tu es. Plus fort que lui.
Tes sourcils se froncent alors qu’il hurle. Et ça te déstabilisent en plus, ces paroles. Qui l’aurait cru.
“Envie de moi?”
Quoi, parce que personne te l’avait hurlé en pleine face? Probablement, oui. Tous avait subis en silence, ou juste rien dis, juste fait. Lui, il avait mit les mots. C’est que c’était presque intéressant cette conn- Non. Non, non, non. Hors de question. Il se rapproche, et tu te crispes si fort que tes sourcils font finir par faire une marque sur ton visage et tes tendons se claquer tellement tu forces sur tes muscles.
Et il t’embrasse. t ‘ e m b r a s s e Outré. Tu es tout bonnement outré. Tu restes quelques secondes - de trop, bordel- dans ce baiser et tes yeux le fixent. Tu le repousses alors.
“Stupide idiot, résiste encore!”
Parce que t’insistes en plus. Tu grondes, plus féroce, alors que tu attrapes ses bras pour le tourner contre le mur derrière toi, ton regard planté dans le sien, furieux, tenant ses poignets au dessus de sa tête d’une main, tout tes muscles tendus.
“RESISTE. C’est un ordre.”
Juré que si quelqu’un rentre et vous trouve ainsi, des rumeurs de BDSM vont courir dans les couloirs.
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