CARBONE'S POSTBOX

Disponibilité : always chaud patate la tartiflette

Salut toi.

Je ne sais pas trop pourquoi j'envoie ça, à vrai dire, après toutes ses années. Une part de moi se disait qu'il valait peut-être mieux tout oublier et devenir de parfaits inconnus... J'ai essayé, comme tu m'avais conseillé de le faire. J'ai vraiment essayé, je te le promets. C'est facile finalement, de ne plus penser à quelqu'un lorsque toute trace de la personne est effacée de ton quotidien. Le temps fait son œuvre, c'est vrai.

Mais ce qui est tout aussi vrai c'est que te voir aux HS m'a fait un choc. Tu m'as semblé appliquer ton propre conseil à la lettre - tu n'as absolument pas sourcillé en me voyant. Cependant au moment de porter le coup, ta main s'est arrêtée. Pourquoi ? Tu as raison tu sais, on est ennemis maintenant. Il ne faut pas avoir de pitié pour quelqu'un qui pourrait te frapper (ou pire) à tout moment. Et maintenant, je ne sais pas. Moi qui pensais avoir tourné la page, je n'arrête pas d'y repenser. A ce qu'il s'est passé, aux HS et avant. J'aurais aimé que les choses se passent autrement...

Alors j'écris ça pour me vider la tête, dans l'espoir de réellement passer à autre chose ou de renouer avec toi. Je ne sais pas trop. Je ne suis même pas sûre d'envoyer cette lettre à vrai dire. Ah, je parle vraiment trop par écrit. J'ai peut-être un peu trop bu aussi, oups héhé.

J'espère que tu vas bien en tout cas.

Flower

A moins qu'il n'y ait un clone de toi-même quelque part, non, c'est bien à toi que je m'adresse.

Tu ne te souviens pas ?! Il faut que tu m'expliques, là. Je ne comprends pas qu'on puisse oublier toute une partie de sa vie ainsi (j'ose penser qu'on ne peut pas m'oublier aussi facilement, ha)...

Si c'est vrai, tu m'enlèves même le luxe de te reprocher ta fuite.

Si c'est vrai, sache qu'on était amis, à une époque.

Si c'est faux... C'est une drôle de façon de me dire d'arrêter de te parler. Je t'ai connu plus franc, même si t'as jamais été un modèle.

Flower

Je comprends. Rendez-vous demain à 14h à la frontière entre Ephèse et la terre rouge, ce serait bon pour toi ?

Flower

Carbone.


Ne prends pas non plus compte des tâches humides sur ce papier.


Je comprends sache le.
Je comprends que tu sois partit.
Je comprends ton départ au vu de ce qu’il se passe.
Mais je t’en prie, ne m’écris pas comme si nous n’allions plus jamais nous revoir.

Ne t’excuse pas d’avoir pris de l’importance dans ma vie non plus, je t’ai accueillie à bras ouvert et je le referais tout autant si jamais j’avais le choix de recommencer. Tu es important, tu resteras important quoi qu’il arrive. Je savais qu’un jour, tu t’en irais. Je ne me doutais simplement pas que cela serait dans ce genre de condition. Tu es une famille pour moi aussi Carbone, même si ce n’est pas par le sang. Et j’aurais toujours ce besoin de te protéger, c’est devenu plus qu’une habitude. Disons un devoir. M’assurer que tu ailles bien, t’as la sale manie de te fourrer facilement dans le pétrin après tout.

Tu m’en parleras de vive voix Carbone.
Parce qu’on se retrouveras, j’en suis persuadée.
Je te reverrais, c’est une promesse.

Je sais aussi que je t’ai perdue, que j’ai perdue tout le monde d’une certaine façon. Mon cœur se serre en pensant à toi, Hysteria ou encore December. Comme si c’était la dernière fois que… Bref.

Carbone.
Mon meilleur ami. Mon soutien indéfectible.
Tu es devenu un pilier sur lequel je me suis accrochée ces dernières années. Tu dois être celui qui me connaît le mieux avec Hysteria et pour cela, je t’en serais à jamais reconnaissante de m’avoir accordé ton temps et ta présence.
Je ne te laisserais jamais tomber, quoi qu’il arrive.

On se fera un duo au piano quand tout sera réglé.
Je jouerais toutes les nuits en t’attendant, mon précieux ami.

Merci d’exister et surtout, survis.
Survis Carbone.



Je t’adore aussi. Plus que tu ne peux l’imaginer.

Carbone,

Ton message me surprend, oui.
Je… N’ai pas l’habitude de recevoir la moindre attention et je ne saurais mettre un mot sur ce sentiment que je ressens en te lisant.
Je ne sais pas m’y prendre pour être honnête, je ne parle pas de moi, jamais.
Mais tu as su déceler cette peine nichée au plus profond de mon être.
Alors… Je vais essayer d’en parler.

Je ne veux pas y retourner.
Je ne peux pas y retourner.
Ou je mourrai.
Car en essayant de les tuer tous j’y perdrai la vie.
Car ce qui se trouve à l’intérieur, je ne peux pas le contenir.
Ça me bouffe, ça me ronge, ça me hante.
Je ne suis fait que d’une haine et d’une rage sans limite et je ne sais pas si les restes de mon cœur un jour seront propice à ressentir un autre sentiment.

Je protègerai toujours les Wilds car vous êtes les seuls à jamais m’avoir tendu la main.
Et malgré tout ce qui se passe, nous sommes toujours les mêmes.

Je n’y retournerai pas, pas tant que je n’y serai pas forcé.
Peut-être trouverons-nous un autre moyen…

Carbone.
J'ai pris conscience bien trop tard que je n'allais pas te rejoindre.
Bien-sûr, je vais retrouver ma soeur. Ma jumelle.
Retrouver tous ceux que j'ai perdu, il y a deux ans.

Je me sens vidé par ces derniers évènements. Je suis détruit, perdu, et j'ai la sensation de devoir tout refaire.
Tout recommencer.

Parce que tu ne seras pas là.
Et Ivar non plus.

Quel sens à ma vie, dis-moi ? Je t'ai choisi ce soir dans la loge pour que tu survives, mais est-ce que tu survivras chez les Legendary ? Quand je t'ai vu la première fois chez nous, tu étais plutôt timide, en retrait, et malheureux. Je me trompe ?

Carbone. Je me rends compte que je t'aime, mais que je ne sais rien de toi. Pas assez pour t'être digne.
Suis-je digne de toi ?
Il faut que tu tiennes le coup.
Pense à moi. Garde le hoodie sur toi. Et cette lame surtout.
Quand tu es au fond du trou, pense à moi.
Pense à notre seule nuit. Aux regards qu'on s'est échangés.

Je sais que tu seras toujours là. J'ai confiance en nous, car j'ai vu en toi une volonté hors norme, une volonté d'aimer et d'être aimé. Mais n'aime pas trop le monde non plus, sinon je n'existerai plus. Et j'ai besoin d'exister dans ta vie, car toi, tu es tout pour moi.

Le sais-tu ?

Sache que je serai capable que de t'aimer ou de te haïr.
Tu ne me laisseras jamais indifférent.

On trouvera une solution. Je vais occuper ta chambre en attendant.
Mais attend-moi. Carbone.

Je reviendrai.

stellaris

Carbone.


mes mains tremblent alors que je t'écris. si j'aurais su si j'aurais pu. merde. pardon je gaspille du papier, mais j'aurais tellement pouvoir faire plus pour toi. j'aimerais tellement pouvoir venir te chercher peu importe où tu es maintenant. merde pardon le papier va être dans un sale état à cause de mes larmes, mais je te le promets. CARBONE JE NE LES OUBLIERAIS PLUS.

mais s'il te plaît, reviens. je n'ai pas envie que hier soit la dernière fois et ne t'inquiète pas, je prendrais soin d'howlite même si je dois me mettre devant elle si elle est en danger.

et merde, prend soin de toi !!!!! car je n'ai pas envie de mourir pour te revoir à nouveau.

Mon cher Carbone,

Je me souviens encore du jour où on t’as rencontrés avec Hysteria. Je me souviens d’à quel point tu étais timide mais surtout, de cette crainte au fond du regard. Celle d’être rejeté. Je l’ai compris immédiatement. Alors oui, j’ai tout fait avec Hysteria pour que tu te sentes bien avec nous. Même si nous étions duos, devenir trios ne me dérangeait pas, pas plus que lui d’ailleurs.

Tu es et tu resteras quelqu’un de notre famille.
Enfin, plus avec Hysteria j’imagine.
Il va vraiment falloir qu’on en parle, mais l’heure n’est pas à cette conversation.

Ne rentre pas chez les Legendarys, parce que si tu te fais tuer là-bas, j’irais moi-même arracher la vie à celui ou celle qui a osée prendre la tienne. Alors reste en sécurité. Mets-toi à l’abri, pense à ta survie avant d’essayer de trop planifier les choses. C’est comme ça que les Wilds fonctionnent, tu le sais. Une chose à la fois, ne te prends pas la tête. La situation est compliquée mais ne te met pas en danger.

Tu te souviens de tout ? …
Je ne sais pas si je suis soulagée de l’apprendre.
Cela a l’air de te perturber, est-ce une bonne chose pour toi Carbone ?

Je veux être optimiste.
Ces soirées vont recommencer, je garde espoir. Il y aura de nouveaux ces soirées à jouer et à boire, ces soirées où l’on jouait et l’on inventait des morceaux sous les effets néfastes de l’alcool qui pourtant, nous permettait d’oublier nos soucis pendant quelques instants. Ces moments simples nous reviendront, même si pour l’heure cela semble à la fois un passé lointain et un présent inatteignable.

…
Oui, je le sais Carbone.
Je t’ai aimée aussi, plus que n’importe qui. Plus que tout être que j’ai pu connaître. Je t’ai aimée au point de te choisir à mon frère. C’est un secret que je n’ai jamais osée avouer à qui que ce soit, mais c’est la vérité. Et je peux enfin te le dire Carbone, mais tu as été la personne la plus importante de ma vie pendant plusieurs années. Mais Hysteria aussi a nourrit ce sentiment à ton égard, je n’ai donc jamais osée dire quoi que ce soit. Parce que je savais que cela le ferait souffrir, cet imbécile ne savait même pas ce qu’il ressentait. Et pourtant, il suffisait simplement de voir la façon dont il te regardait… Mais tu te souviens de cette nuit. Sache qu’elle m’a aussi sauvée d’une chute dont je ne me serais jamais relevée.

La personne… Que l’on cherche.
Est-ce que tu parles…
Carbone.

Carbone.
Je te l’ai dis.
Je serais toujours de ton côté.
Même face au monde, je serais ton bouclier.
Je te fais confiance.

Alors reviens en un seul morceau. Même si tu changes à cause de tes souvenirs passés, surtout n’oublie pas ceux qui font que tu es la personne que tu es actuellement. Le passé doit être un avertissement et non pas une définition.

Je… Verrais avec Hysteria.
Mais puisque vous avez l’air de… vous aimer.
Je ne vais donc pas le tuer tout de suite.

Nous attendrons ton retour, sache-le.
Et quand tu reviendras, sache que tu ne pourras plus repartir.
Déjà parce que mon imbécile de frère ne va certainement plus te lâcher, mais surtout parce que tu as ta place parmi nous. Et que de fait, c’est ta maison. Ton foyer.

Prends soin de toi Carbone.
Parce que si j’ai échouée une fois à te protéger, je retournerais le monde si jamais quelque chose t’arrivait.

Carbone,

Je n’ai aucun ami.
Pourquoi en aurais-je ?
J’ai toujours été rejeté pour ce que je suis et je suis bien placé pour savoir que c’est mieux ainsi. Tout est brisé. Et tout ce que je touche, je le détruis.
Alors je dois avouer que je ne comprends pas ce que tu ressens à mon égard. Je n’ai jamais parlé et… Peut-être que c’est mieux ainsi. Ce que tu risques de t’infliger en soulevant les ruines de mon être n’en vaut pas la peine.

Et toi ?
Toi tu es juste paumé. Comme nous tous. Perdu dans les méandres de cette vie que tu n’as jamais demandé.

Pour ce qui s’est passé… Je ne t’en tiens pas rigueur, c’était un jeu. Un jeu dont je ne comprenais pas les règles. Un jeu dont je ne comprendrais jamais les règles. Mais ça n’a pas d’importance.

Ton passé te regarde. Car ce n’est pas ça qui te définit, pas quand tu es Wild. Ils t’ont tendu la main comme ils l’ont fait pour moi. Et jamais je n’ai vu en toi autre chose qu’un Wild.
Les Wilds… C’est juste une bande de types perdus qui essayent de s’entraider et de trouver leur place dans ce monde pourri. Et je veux juste les y aider sans qu’ils se fassent buter. Ton amnésie… Ton histoire… Elle t’appartient. Et si tu n’as rien dit c’est que tu as tes raisons. Je suis le premier à ne jamais évoquer mon passé.

J’ai tué ma sœur, leur Major. Je me suis vengé. Ils m’ont trahi alors je me suis vengé. Je n’ai pas peur des Vigilantes, j’ai peur de tous les tuer. De continuer à répandre la mort.

Toi et moi nous sommes Wilds. Au diable les Legendary et les Vigilantes.

Je resterai seul. Comme je l’ai toujours été. Quand j’ai quitté les Vigilantes, l’enfant que j’étais a erré seul, perdu, persuadé qu’il est la pire abomination que le monde ait jamais connu. Et ça recommence. Je m’en sortirai. Seul. Mais… J'attendrai ta lettre. Au moins… Au moins pour savoir que tu vas bien.

Peut-être avais-je tort…
Peut-être t’ai-je au moins toi.

Carbone,

N'a t on pas des médecins, pour certains avec des alters médicaux, qui peuvent te soigner régulièrement et t'aider le temps que l'on trouve une solution ?

La vie ne sera pas facile, je le conçois, toi qui est si tactile, mais peut être moins douloureuse que de quitter ta famille. Car oui, c'est ici ta famille.

Réfléchis-y.

Nothing

Cher Carbone,

Suite aux événements étrange, j'ai eu vent que tu devais retourner dans ta faction mais que tu ne le pouvais pas car trop risqué, et que tu risquait de devenir vagabond. Cela m'attriste, si je pouvais, j'utiliserais mon alter constamment sur toit pour que tu restes... Mais je n'en suis pas capable... Désolée...
Mais je me disais que tout au moins je pouvais t'aider d'une autre façon! J'ai de l'expérience pour ce qui est de survivre seule dans les rues et sans travail! Avec presque dix ans d'expérience, je ne veux pas me vanter, mais je suis un peu une turboclocharde! Bon la donne change un peu avec l'absence d'eau de pluie, mais j'ai quand même quelques conseils!

Dis-moi si ça t'intéresse!

Pour moi tous les chasseurs sont ma famille :)

Aion, la masterclocharde

Oh non... Je ne peux pas vraiment parler pour les autres mais je n'ai jamais vraiment eu de famille donc pour moi vous êtes un peu tous des frères et sœurs! Je crois...? Même Pandore, même si elle me fait peur et qu'elle me traîne par les pieds dans le QG dès que j'essaie de m'enfuir! :)

Ok! Déjà pour l'abri, ne sous-estime pas le carton. Mais pas le carton pour emplier des boîutes, essaie plutôt de l'aligner et d'en faire plusieurs rouleaux en tubes : plus solide et stable ! Il ne fait pas très froid de toute façon, et visiblement pas de risques de pluie. Tu peux souvent trouver des vieux élastiques pour attacher le tout - c'est un très bon isolant aussi. Essaie de trouver des boîtes pour faire la fondation. Les commerçants en ont souvent quand il se font livrer dans les villages de factions vers 5-7h selon le commerce. Ils sot souvent si occupés à ranger leur boutique qu'ils ne remarquent rien hé hé hé. Évidemment si tu peux utiliser ton alter pour renforcer la structure c'est jackpot! N'oublie jamais, le vol n'est un crime que si tu n'as pas besoin de ce que tu prends!

Ensuite pour l'eau : le mieux c'est l'eau de pluie mais rip cette idée. Pense a recycler toute l'eau que tu utilises : avoir une bassine est indispensable! Ne néglige pas l'hygiène non plus, les maladies sont vite arrivées, personne ne te demande d'être bien coiffé sur ton 31 (de toute façon tu es comme moi tu as personne a pécho ha ha), mais un coup d'eau tous les 3 jours ets un minimum. tu récupères l'eau, tu la fait bouillir pour enlever les bactéries et voilàààà. En cas d'urgence tu peux toujours boire ton pipi maius quand tu fais ça tu bois tous les mauvais trucs que ton corps a bossé pour éliminer donc c'est pas tip top, seulement en cas d'urgence!

Pour la nourriture je pense que tu débrouilleras avec les espèces présentes pour la chasse, et pour les plantes je t'ai arraché une page des livres de Monsieur Icarus avec la liste de ce qui est empoisonné chez les legendary (j’espère qu'il ne m'en voudra pas trop). En cas d'urgence tu peux manger tes vieilles croûtes aussi.

Enfin, niveau sécurité : ne commence pas ton abri sur le territoire d'un autre clochard. C'est très mal vu dans le code des clochards et ça peut mener à ce qu'on appelait des "clochard wars". Donc scout bien la zone pour voir s'il n'y a pas déjà un collègue présent. Si jamais quelqu'un te disrespect et vient s'installer sur ta zone, évite la violence : après les gens appellent les gardes et vous êtes virés tous les deux au mieux, ou tu te fait arrêter. A la place, va faire l'aumône très bruyamment comme un fou furieux a toutes les personnes qui passent. L'autre sera intimidé et en plus les gens qui passent ne voudront plus aider et il sera forcé de partir. C'est un peu gênant mais très efficace!

Tu peux le faire go go go!
Tu as tous les atouts pour devenir un turboclochard aussi, je crois en toi! :)

Aion-sensei

Carbone,

Peut-être as tu raison… Mais la solitude me sied si bien. C’est une douce habitude… Je n’ai jamais eu personne dans ma vie mais… Pour vous… J’essaierai de m’y faire et… De vous le rendre.

Je pense que c’est mieux ainsi. L’ego des Legendary est misérable. Ce sont des idiots aveuglés par la soif de pouvoir et de gloire. Et malgré la souffrance qu’ils t’ont infligée, tu es tombé au bon endroit.

Je ne sais pas si je mérite de vivre mais… Je fais tout pour survivre en tout cas. Je chasse la mort car celle-ci ne vient trouver que les lâches. Je m’y accroche, à cette misérable existence, tel un parasite dont on ne saurait se débarrasser.
Mais là je ne suis pas d’accord avec toi. Ce sont eux qui nous ont trahi, ce sont eux qui nous ont rejetés, ce sont eux qui nous ont détruit. Le reste n’a été que les conséquences de leurs actes.

Et voilà que tu me perds, que tu serres ma poitrine et embrume mon esprit. Je ne sais pas ce que tout ça veut dire. Mais… pour te répondre. Oui. Oui je me sentais à ma place chez les Wilds, avec vous.

Tout le monde veut ma mort là bas. Tout comme moi je souhaite leur mort à tous. Et je sais que je ne parviendrai jamais à me contrôler. Au moment où je poserai mon pied chez eux, je détruirai tout. Comme je l’ai toujours fait.

Les conditions difficiles, ça nous connaît, c’est vrai. Nous y arriverons, à survivre livrés à nous même. Je l’ai déjà fait quand j’étais gosse alors ça ne peut qu’être plus facile aujourd’hui. Surtout si je suis avec toi.

Je n’y retournerai pas.
Jamais.
Retrouvons nous.
Survivons ensemble.