Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Elle pensait qu'il arrêterait de faire le malin suite à l'intervention de ses camarades, mais visiblement ça n'allait clairement pas lui suffire.
Et il faut croire qu'elle était devenue sa cible favorite.
Pensait-il vraiment réussir à l'avoir ainsi ? Il pouvait être mignon mais il en fallait plus pour que Flower oublie... eh bien, à peu près tout le reste.
Bon, puisqu'il voulait jouer à ce jeu-là. Elle pouvait suivre, même si elle n'aimait guère faire ce genre de cinéma avec un ennemi.
Elle lui sortit son plus beau sourire.
« Joli, en effet. Puisque c'est toi, tu n'as qu'à m'appeler Aphrodite, mon chou. »
Mieux valait ne pas lui donner son vrai nom au cas où son alter repose sur la connaissance de cette information.
Elle s'approcha de lui, promena doucement sa main droite sur l'épaule de Cerbère, approcha lentement son visage du sien puis lui sussura à l'oreille :
« Tu sais, j'aurais apprécié te rencontrer dans d'autres circonstances... Mais il n'est pas trop tard pour arranger ça, pour peu que tu nous fournisses quelques informations. »
Entre nous : elle n'était pas certaine d'assumer ce qu'elle était en train de faire.
[www. réussite critique je ne comprendrai jamais ces dés]
Face au clown qui leur sert de prisonnier, Osiris n’a qu’une envie, lui flanquer une bonne raclé. Mais il reste calme car il sait que ce n’est pas ainsi qu’il le fera parler. Au mieux il peut le torturer.
« Très bien. Tu l’auras cherché. »
Et il invoque son eau, une petite bulle se forme, cette dernière tout droit sortie de la bouteille qu’il porte toujours sur lui. Mais. Il n’a pas le temps d’aller plus loin. Un garde arrive, paniqué.
Il range l’eau. « Quoi encore. »
Ca parle discrètement. Ca prononce un nom qu’il connait bien. Son sang ne fait qu’un tour. « Je m’en occupe. »
Il se doute qu’on va pas le laisser aller juste seul mais lui est bien déterminé a affronter l’ennemie en premier. Surtout qu’il s’agit d’elle.
« Reste avec et continue de l’interroger je compte sur toi. »
A l’attention de Flower. Un dernier regard vers Mars. « Tss. »
Il sait que ce dernier fera ce que bon lui chante de toute façon.
Osiris trace. Arrive devant la porte qu’il ouvre, mais ne laisse pas pour autant entrer Sekhmet. Les gardes le refusent évidemment.
Quelle surprise. Je ne te pensais pas aussi imprudente au point de revenir sur le territoire que tu as trahi, petite sœur. »
Le regard méprisant : car c'est comme ca qu'on lui a dit d'agir. Il la ramènera a la raison un jour, mais pas maintenant.
« On m’a dit que tu as parlé d’une guerre, mais ne penses tu pas qu’en nous envoyant un énergumène pareil c’est déjà une déclaration de guerre ? »
Il inspire. La fixe de haut en bas.
« Je te laisse 1 minute pour expliquer la présence de cet espion et ensuite j’aviserai. »
L’eau qui sort doucement de la gourde. Il ne compte pas lui faire de cadeau.
Tu observes. Tu te demandes si c’est un interrogatoire ou une table tournante d’un nouveau speed dating entre Flower et l’invité surprise. Tu hausses un sourcil devant la tournure des choses, Quand Osiris semble appellé ailleurs.
“Je m’en occupe”, qu’il dit.
Un soupir rapide du nez en guise de réponse, mais sa provocation est de trop. Tu fronces les sourcils, et suis ses talons. Pense-t-il réellement se débarrasser de toi avec ce regard dédaigneux et cette attitude ostentatoire ? C’était mal te connaitre.
Tu suis donc les pas, laissant Flower gérer la situation - ou bien continuer son date, on ne sait plus trop à ce stade là.
Tu hausses un sourcil devant la surprise qui vous attend, mais tu restes silencieux derrière le maitre de l’eau. Tu plisses les yeux, admirant la créature en face de toi. Elle est séduisante, mais c’est aussi une traitre. Une traitre qui vient visiblement “sauver” l’un des siens ? Voilà que les choses commençaient à être amusantes.
Tu penches la tête sur le coté et t’avances un peu plus, regardant Osiris faire mumuse avec son eau.
“Glisse pas dessus, cette fois-ci.”
Un murmure, sans le regarder, toujours le regard fixée sur Sekmet. Tu esquisses un sourire moqueur, de tes bras croisés et avec ton assurance à toute épreuve.
Elle attend quelques minutes, toujours assise sur son cheval avant que la porte ne s’ouvre de nouveau. Laissant voir son frère, Osiris. Son grand-frère, celui qui a été le plus présent pour elle.
Et qui dégage une froideur incomparable.
L’expression de jeune fille reste neutre et implacable, ne laissant entrevoir aucune émotion malgré son cœur serré. Non, ça ne sert à rien de se montrer émotive, elle n’est pas là pour ça. Ses yeux se posent ensuite sur celui qui le suit, un grand homme musclé qui a l’air confiant tout en la regardant étrangement.
… Mars ? Si elle s’en souvient bien ?
Attention reportée sur Osiris quand il prend la parole, elle le détaille rapidement et le fait qu’il ouvre sa gourde pour laisser de l’eau s’échapper afin d’utiliser son alter ne lui échappe pas.
« Je n’ai pas été informée de la mission qui lui a été confiée. Je dois juste le récupérer en vie. »
Comme une parfaite petite soldate. Les détails lui importent peu, elle n’a pas le droit de les demander au Roi. Simplement d’exécuter ses ordres.
Son ton reste neutre quand elle reprend.
« Si vous souhaitez vous battre, faites. Mais sachez que des renforts suivront si je ne suis pas rentrée au quartier général avec mon camarade. »
Lentement, elle descend de son destrier et lève ses deux mains qui font naître deux flammes bleues aux creux de ces dernières.
« Arrêtons de perdre du temps. Plus vite vous nous rendrez notre compagnon, plus vite nous repartirons. Je n’ai pas d’autres informations à vous transmettre. »
Le temps est long. Tu avais déjà joué un ou deux coups d'avance si ce cher Cerbère échouait. Sekhmet sur les pas de ton adorable espion si peu discret, et l'idée d'envoyer un autre de tes élements en guise de surprise. Seulement, au fond de toi, une envie secrète et irrepressible qu'il se fasse prendre avait jusque là sommeillé en toi. Sans doute pour mieux approcher Atum. Ces fourbes Legendarys. Car si ta Major ne les portait pas dans son coeur, toi tu voyais en eux un intérêt.
Mais avant de choisir, il fallait toujours jauger l'ennemi. Après tout, on n'aime pas son ennemi, mais on le respecte.
Tu sommes aux deux meilleurs gardes de t'accompagner, et de partir en premiers. Toi, rien que toi tu t'affaires de ton côté à orner ton corps de tes brassards de métal, de plusieurs parures en or et de tes éternelles cornes pourpres. Tu sors alors par l'un des balcons du quartier général, et les ailes pointées vers le ciel, donnent l'élan vers un vol ascensionnel.
Peut-être qu'une vingtaine de minutes s'égrènent avant que tu ne poses tes princiers pieds sur le seuil de la porte des Legendarys. Elles sont puissantes ces portes, et terriblement bling bling. Et se trouvent alors ta jeune prunelle et ...
- Oh, tiens... Osiris.
Un ange déchu et venu des cieux se tient dans le dos de la belle Sekhmet. Plus proche encore, tu glisses tes doigts dans ceux de la jeune femme. Comme pour calmer ses élans flamboyants.
- Tu nous ferais entrer, pour que je m'entretienne avec ta Reine ? ...
Avant qu'il ne l'ouvre, tu renchéris.
- A moins que tu ne souhaites pas savoir la raison de ma venue. Mais tu as toujours eu un faible pour les mystères n'est-ce pas ? Comme pour les hommes de goûts.
Tu lèves le menton, assassin de provocation et de jeu.
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Mar 11 Avr - 23:11
Osiris se retrouve là, devant la porte du QG des trappers et pire encore, il se retrouve devant sa sœur. A ce stade, il se dit bien que la situation ne pouvait pas être pire tant en plus, il se prend une remarque de Mars.
Agacé. Il lui lance un regard des plus noir. L’air de dire : c’est pas le moment. L’air de lui demander de se taire.
Il inspire. Ecoute sa sœur qui n’a pas l’air de vouloir reculer. Osiris plisse les yeux. « Parce que tu penses très sérieusement que je vais te laisser cet espion au nom de cette fameuse missive. Tu sembles oublier que tu n’es pas en territoire allié. Tu n’es plus des notres alors ne pense pas qu’il sera si facile de nous retirer ce qui a pénétrer sur notre territoire sans vergogne. »
Il a peut être des informations importantes de la faction. Non. Osiris ne peut pas le laisser partir. Il s’apprête a combattre. L’eau et le feu. Ca n’a jamais fait bon ménage, il sait de quoi est capable sa sœur et il aurait aimé éviter ca. Il serre les dents.
Et là. Du ciel atterri cette personne qu’il n’aurait pas cru revoir un jour en de tel circonstance.
Alastor. Le roi en personne se présente. Souvenir d’un passé qu’il aurait aimé laisser de côté en tel circonstance. Osiris doit garder la face, surtout alors que Mars est a côté.
« Roi Alastor, quelle surprise de vous voir en ces lieux. »
Inspire. Soupire. Sa mère sera-t-elle d’humeur a l’accueillir ? Pas le choix.
Cette affaire le dépasse a présent.
« Je vais vous escorter jusqu’à sa majesté. »
Un regard vers Mars. L’air de dire : si tu as quelque chose à dire : c’est maintenant.
------ résumé : - Osiris s'apprête a se battre contre sa soeur mais capte la présence de Alastor : ca se corse - il propose donc d'escorter ce beau petit monde jusqu'à la reine ......
Tout le monde part, sauf elle. Tu rougis. Tu n’as pas l’habitude d’un tel comportement à ton égard. Tu y crois peu, en réalité. Personne n’est intéressé par le fou que tu es, pourquoi le seraient-ils, ces gens? Tu doutes quand même. Elle semble convaincante, et ton regard légèrement fuyant montre qu’elle réussit à te déstabiliser légèrement. Car au fond de toi, bien au fond, réside encore surement quelque chose... de profondément humain, qui résiste au monstre antipathique que tu es devenu.
Ton regard se pose sur elle, et maintenant que vous étiez -presque- seul, tu t’autorises à parler d’une voix beaucoup trop calme.
“Je suis venu vous espionner.”
C’était une vérité, et tu l’avouais enfin. Mentir ne servirait à rien pour ce moment là.
“Parce que c’est mon rôle.”
En partie.
Tu fronces les sourcils et inspire.
“Aphrodite, vraiment?”
Tu penches la tête, le regard presque inquiet. Il semble qu’une partie de ta personnalité soit mise au grand jour, celle que tu ne montres pas souvent. Le doute, l’insécurité. Mais rapidement, ton sourire dément revient, balayant cette humanité passagère.
“Tu portes bien ton nom.”
Nom que tu ne savais pas faux, mais il fallait bien que tu combles le vide.
“Un petit conseil...”
Tu murmures presque, toujours souriant.
“Cachez vos miroirs mieux que ça.”
Au fond, peut-être qu'elle avait réussit à t'amadouer un peu plus. Le bruit que tu entendais de l'autre coté de la pièce te mit la puce à l'oreille ceci dit. On venait te chercher ? Cette voix.. Tu la reconnaitrais entre cinquante personnes parlant en même temps. Tu étais presque trop excité de la nouvelle. Alors, comme un veau appelant sa mère, tu hausses la voix et hurles.
Tu étais là pour le surveiller lui, voilà maintenant qu’il perdait son sang froid face au sang de sa famille. Tu fronces les sourcils. Tu comprenais que trop bien la rage de Osiris. Toi qui détestait le contact, voilà que ta main se glisse sur son avant-bras au même moment qu’un pigeon royal rentre dans la piège. Gros pigeon, d’ailleurs. Le Roi.
Ta prise se resserre, brièvement, avertissement quant à l’utilisation d’un quelconque alter en présence, maintenant, de cette autorité. Ta main quitte sa poigne et retrouve le croisement de tes bras. Ta machoire se serre alors que tu fixes les individus rentrant tout bonnement à leur aise dans le QG, ce qui fait monter ta propre tension.
Tu ne comprends pas les sous-entendus. Tu n’es pas sûr de vouloir les comprendre, en fait. Tu n’en demanderas jamais la nature, c’est certain.
Osiris se plie à sa demande, que pouvait-il faire. Serais-tu l’élément dérangeant ? Non. Pas cette fois. Tu regardes Osiris et hoches la tête, mais tu restes sur place. Tu n’allais pas laisser sans surveillance Flower et le prisonnier. Juste au cas ou, derrière cette porte, avec la vache beuglante là.
Tu inspires. Sacré phénomène.
Tu continues cependant de fixer Osiris. Tu ne sais pas si c’est une bonne idée, mais tu pourrais juste les convaincre de partir... En te suivant. Volontairement ou non. Tu hésites. Alter, pas alter. Aucun intérêt, non ? Non... Tu serres la machoire, et ne bouge pas.
Tu attends le départ ou l’éloignement des deux autres, sans grande surprise, et à moins que la chasseresse bouge, tu l’interpelles cependant quelques secondes.
Ton regard glisse vers Sekmet, et un sourire amical et un peu charmeur se présente sur tes lèvres. Tu t’avances alors vers elle, avec un calme certain. Un murmure venu se glisser entre tes lèvres, un regard doux alors que la proximité vont incombent.
“Ta présence est surprenante, mais je suis content de voir que tu ailles bien... Tu es vraiment venu chercher cet idiot pour rien, ou il y a une autre raison?”
Flower était partagée entre le soulagement et la panique en voyant pratiquement tout le monde partir. Soulagement, parce qu'elle n'assumait pas vraiment son petit numéro ; panique, parce qu'elle n'avait pas envie d'être seule à seul avec le prisonnier, face aux conséquences de son action. Bon, pas tout à fait seule puisque Perséphone était à peu près là, mais quand même.
Elle fut extrêmement surprise de constater l'efficacité de son "interrogatoire". Le Cerbère était devenu un véritable petit toutou.
Ce n'était pas déplaisant.
Cependant, l'expression passagère de l'interrogé l'avait un peu déstabilisée. Ce type qui semblait un peu (beaucoup ?) dérangé avait laissé passer un rayon de sensibilité. Très fugacement.
« Tu portes bien ton nom. »
Sourire en coin et clin d'œil. Il fallait jouer le jeu jusqu'au bout. Même si elle commençait à culpabiliser un peu de se jouer de lui ainsi.
Elle avait presque envie de lui donner son vrai nom pour compenser tout ça. Presque.
« MAITRE, UNE GAZELLE ESSAYE DE ME SOUDOYER ! »
Elle ne put s'empêcher de rire en entendant ça.
« Gazelle, vraiment ? Je ne sais pas comment le prendre. »
Intriguée par l'activité extérieure mais ne voulant pas ouvrir la porte tant que personne ne venait se manifester, au cas où, elle demanda à Perséphone :
Tu avais rétorqué d'office à sa remarque, aussi déplaisante qu'assez respectueuse pour que tu daignes laisser cette ombre de cynisme flotter autour de cet homme, qui fut par le passé ton amant.
Lorsque ce dernier t'offre l'opportunité de pénétrer cette demeure sans avoir à la forcer, tu ne te fais pas prier, et relâche la main de Sekhmet, bien assuré qu'elle saura se défendre, ou te défendre, en temps de contre-attaque.
Sur les pas d'Osiris, l'idée de discuter avec Atum avait effleuré ton esprit, mais tu la savais bien trop fantasque et volage pour espérer la voir assurément. Tu laisses filer entre tes lèvres violines quelques pensées pour le moins provocantes :
- Encore à la solde de ta mère. Quel dommage que tu ne m'aies pas rejoint, comme l'a fait ta soeur.
Tu es satisfait et amusé de la suffisance avec laquelle tu offenses tes adversaires, même si tu savais Osiris prompt à agiter sa langue pour rétorquer dans le même ton.
- Je te mets au défi de voir ta Reine en ma compagnie. De souvenir, elle préfère ...
"MAITRE, UNE GAZELLE ESSAYE DE ME SOUDOYER !"
... Tes propos sont arrachés à cette interruption que tu ne saurais même pas qualifier tant elle t'avait étonné. Tu reconnaissais la voix de Cerbère, d'autant que le contenu allait de pair avec son manquement aux ordres de se faire discret, néanmoins, cette manière de t'afficher ne fait que dresser un sourire embarrassé sur tes lèvres.
- .. une... gazelle, dit-il ?
Tu cherches une réponse dans le regard d'Osiris.
- Osiris !
Tu es foutrement fourbe et envahissant quand tu t'y mets. Qu'il ne s'imagine pas que tu l'es naturellement.
- Je t'autorise à parler au nom de ta grande Reine. Tu es après tout son fils, serait-ce un deshonneur pour elle que de traiter avec le Roi en personne, et de lui rapporter les raisons de cette intrusion étrangère ?
Mars
Legendary
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En couple : Dans son chaos avec Napalm.
Mars
Jeu 18 Mai - 11:49
mission espionnageaveclegend & trapper
Tu observes les hommes et finalement, tu entends leur conversation.
Le roi des Trapper semble faire comprendre que l’homme présent est un chien qui ne parvient pas à maitriser tout le temps, et qu’il avait comprit son ordre de travers. Tu es sceptique, mais tu n’es pas celui qui juge les actes, bien qu’il semble convaincant. Il semblerait que Osiris exige une contrepartie en échange de la présence du Trapper en ces lieux, ce qui te sembles normal et raisonnable, bien que tu lui aurais fais payé d’avantage cet affront. Alastor semble le féliciter de cette proposition, bien qu’il semble légèrement contrarié par celle-ci.
“Une information de quelle genre ? Si savoir que vous ceux pour qui je ressens une préférence pour cette alliance ? Ou alors je vous devoile la moitié des alters de mes sujets.”
Tu hausses légèrement les sourcils. Cette conversation semble intéressante finalement. Osiris semble répondre à son tour.
“Pour l'alliance je ne peux pas m'avancer, je ne suis pas celui qui doit prendre ce genre de décision..." Il regarde en ta direction et tu plisses légèrement le regard, "...mais pour les alters je pense que ca peut être un bon compromis.”
Tu acquiesces mentalement sur la chose. Tu n’écoutes ensuite plus la conversation, mais ils semblent parvenir à un compromis ; ainsi donc le trapper est libéré et tu sembles soulagé que les choses ne se soient pas envenimées d’avantage. Tu regardes alors le roi partir, avec son “chien”, et l’ancienne legendary. La guerre se rapproche.
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