Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Une heure. C’est tout ce que tu avais. Pouvais. Soudoyant l’un des gardiens, tu avais juré sur l’honneur de ne rien tenter contre ; ou pire ; pour fuir. En réalité, t’avais juste besoin de sentir la liberté à nouveau. Sentir quelque chose d’autre, que simplement l’air enfermé de cet endroit.
Ton premier réflexe avait été ; quelques jours plus tôt ; d’envoyer une missive, une seule. Tu avais le droit ; et même si elles étaient contrôlées, rien n’était compromettant. Juste un lieu ; une date. Tu aurais pu choisir ton frère ; mais non. Tu avais choisi quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui avait un sens de l’honneur ; Quelqu’un qui brillait par sa liberté ; Quelqu’un dont tu avais besoin, Pour partir.
Alors tu l’attendais. En terre neutre ; Tu t’y étais rendu. En courant. Ne perdant pas de temps ; sans prendre le risque de te changer. Même s’il pouvait te résonner, tu n’étais pas prêt à perdre de précieuses minutes en ours. Tout comme on ne t’avait pas prêter de cheval - évidemment - pour te balader.
Tu étais surveillé ; tu le savais. Qu’importe. Deux ou trois gardes Legendary à distance - ta raclée quelques semaines plus tôt avait suffit pour qu’ils se méfient - ne t’empêchaient pas de le revoir ; Et tu avais besoin de lui désespérément.
“Figaro.”
Ta voix était grave ; Fatigué. Tu avais peut-être même maigri légèrement. Tu semblais réellement désabusé ; mais que pouvais-tu faire de plus ? Ton regard en disait long.
“Merci d’être venu.”
Et merci d’être discret aussi. Un seul regard aussi, pour le comprendre, un qui se dirigeaient vers les gardes non loin ; jugeant de loin en pensant probablement à une retrouvailles entre amis. Etait-ce le cas ? Tu ne saurais le dire. La tension était palpable, en tout cas. Il allait falloir que tu choisisses bien tes mots ; et les siens aussi.
nightmare
Figaro
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Figaro
Mer 28 Juin - 0:29
C’est étrange. Quelques semaines sans nouvelle, des semaines pendant lesquelles le quotidien de Figaro n’avait pas grandement changé mais quand même : il s’était demandé ce qui était arrivé a Bjorn. Celui avec lequel il avait fait connaissance : étrange de se dire qu’un membre d’une autre faction puisse avoir autant de sympathie. Pour le moment c’était une énigme pour Figaro.
Et quand la lettre arriva chez lui, il l’ouvrit avec grande attention. Le visage de l’homme lui revint rapidement en tête. Voilà donc des nouvelles après des semaines a se poser des questions. Figaro comprenait. Il savait que Bjorn était dans une situation délicate. Ça l’avait inquiété. Mais en lisant, il savait que quand bien même sa situation était délicate, alors il pourrait le revoir : voilà le principal.
Alors, il s’était rendu au lieu de rendez vous sans se faire prier, une réponse simple et concise, il n’a jamais su si cette réponse est arrivée entre les mains de Bjorn ou un autre legendary. Par prudence, il était venu armée au rendez-vous, une lame l’accompagnait.
Au fond, il ne voyait pas ce qu’on pourrait lui vouloir au vu de la situation actuelle : son esprit trapper lui dictait d’y aller car les pièges n’étaient plus d’actualité, les territoires étaient beaucoup trop impactés par les nouvelles règles.
En avançant dans le territoire neutre, il remarquait rapidement la présence de l’être imposant, fier, mais terriblement différent. Figaro sentait la fatigue dans sa voix. Il sentait que ce n’était pas la joie. Il n’était assurément pas au meilleur de sa forme.
« Bjorn, je suis agréablement surpris d’avoir vent de tes nouvelles. J’avais fini par penser que peut être tu n’étais plus de ce monde, me voilà fort soulagé. »
Il ne cachait rien Figaro, il souriait légèrement. Autour d’eux rien. Peut être au loin deux silhouettes que Figaro surveillait du regard, il savait que tant qu’elles ne s’approchaient pas, alors tout irait bien.
« J’ai peur de te demander comment tu vas, je le vois a ton visage que beaucoup de chose te sont arrivé en ces temps troubles. »
Il inspire doucement. Il ne peut rien faire de plus que de rester devant Bjorn, l’esprit embrumé, il aimerait pouvoir en savoir plus et l’aider.
« Alors, dis-moi, as-tu besoin de mon soutien, je suis venu seul mais pour toi, alors je suis prêt à te prêter main forte. »
Car le voir dans cet état le trouble, il a peur d’entendre les réponses de Bjorn sur ce qui s’est passé au cours des dernières semaines. Il n’aime pas être impuissant Figaro face a la cruauté de ce monde : en particulier envers ceux qui lui sont cher.
Tu inspires, et tu ne sais pas par où commencer. Peut-être le début. Ton regard ambré se pose sur la silhouette de l’homme en face de toi, qui malgré lui, commence à t’apprivoiser.
“J’ai été occupé, car j’ai dépassé mes limites.”
Limites animales. Qu’il connait bien. Tu n’avais pas besoin de lui faire un dessin.
“Je crois que l’environnement dans lequel je me trouve est trop métallique pour moi.”
Tu serres ta machoire, ne sachant pas si on t’entend, si on t’écoute. Ton regard lui ne le quitte pas. Essayant de parler à travers des gestes, des regards, et non que des mots. Tu ne sais pas comment faire autrement, qu’être totalement rigide. Beaucoup trop tendu par rapport à d’habitude. Beaucoup trop sur la défensive, mais pas envers lui. Tu espères qu’il s’en rende compte.
“J’aurais besoin de changer d'air.”
Besoin vital. Tu te demandais réellement s’il pouvait faire quelque chose. Là, comme ça, sans préparation. Sans réellement lui devoir quelque chose. Sans qu’ils ne se connaissent en profondeur. C’est comme un inconnu demandant un toit et un souper, au lieu de juste un feu pour allumer sa cigarette. Il y avait des dimensions à ne pas franchir, et pourtant, tu les franchissais toutes, ce moment même. Tu lui demandais si tu pouvais compter sur lui. Parce que dès le premier jour, Tu l’avais senti, que tu pouvais lui faire confiance. Malgré toi. Instinctivement, Et un ours ne se trompe pas.
nightmare
Figaro
Trapper
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Figaro
Mer 28 Juin - 19:32
En regardant Bjorn, Figaro s’attend a tout type de nouvelles : mais pas forcément très bonne. La tension est présente et le brun entend que l’environnement dans lequel il repose est bien métallique. Une prison ? Il n’y a pas de doute. Alors, Figaro plisse un peu les yeux, le fixe.
Et puis la phrase tombe :il a besoin de changer d’air. Comme un appel a l’aide, comme une supplique silencieuse. Le regard vers Bjorn dérive vers les ombres a l’arrière. Celles qui restent là, a observer car Figaro n’est pas dupe, il ressent pleinement cette pression supplémentaire. Ca le mettrait presque hors de lui tant il sait de quoi il en retourne.
« Tu m’as l’air d’avoir en effet, un fort besoin de quérir d’autres environnements. »
La main passant sur sa lame sans la dégainer. Il penche légèrement la tête : Figaro a beau avoir l’habitude de réfléchir pour arriver a ses fins, quand il s’agit d’agir dans l’urgence, il sait se montrer particulièrement actif. Figaro est un justicier dans l’âme. Il fixe Bjorn, un léger signe de tête vers ceux qui attendent.
« Dois-je me battre pour ta liberté ? »
Il inspire doucement. S’approche sans pour autant le toucher. Il parle plus bas.
« A si bien regarder, ils semblent être deux, alors cela pourra être l’affaire de deux duels de gentilhomme, crois moi ce genre de chose peut être vite réglé mais en faisant cela, j’en suis désolé mais tu t’exposeras à une vie de cavale au sein de ce territoire ou ta tête ne te tourmentera pas. Me voilà fort embarrassé de ne pas pouvoir faire plus … »
Il est impuissant face a la toute-puissance du système. Ca l’agace tant il aimerait pouvoir en faire plus.
Tu es rassuré qu’il soit réceptif. Tu l’observes, et sa loyauté envers les demandes des autres n’est qu’une noble cause que tu peux comprendre... sans réellement l’appréhender. L’aurais-tu fais, pour lui ? Tu doutes. Mais tu ne peux refuser la main qu’il te tend, et qui prend la tienne. Mentalement toujours, car sinon, c’est probablement une grosse décharge qui vous unira.
Tu le regardes s’approcher en silence. Regard qui dévie sur la lame. Regard qui dévie sur ses lèvres. Frisson. Regard qui dévie sur le sien, de regard. Tu analyses, tu essayes de comprendre ses envies, mais malgré toi. Toujours cette voix qui te dit de ne pas le mettre en péril.
“Que feras-tu ? Pourrais-tu mettre la paix des tiens en danger pour avoir aider quelqu’un comme moi à changer d’air, Figaro?”
Quelqu’un comme toi. Un traitre. Un homme qui n’écoute que son coeur, son instinct. Animal parfois même. Un homme qui n’a pas de loi, que la sienne. Qui aimerait retourner sur ses terres, les Wild. Quand cela cessera-t-il ? Tu lèves la main pour le toucher, mais te ravises. Pourquoi tu aimerais le prendre dans tes bras ? Comme si c’était la dernière fois que tu pourrais le voir.
“Je voulais te faire part de la situation et, te revoir.”
Parce que son regard te reste. Ses ambitions aussi. Sa hargne, son sens de la justice, pourtant si éloigner de toi. De tes propres valeurs. Tu avais le camp de la folie de ton coté, Et lui celui de la raison. Vous étiez opposés, et pourtant, oui. Cela te touche. Ce qu’il souhaiterait faire.
“Merci.”
Ton regard doré ne le quitte pas. Presque trop attendri par cet homme depuis que tu le connais.
nightmare
Figaro
Trapper
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Figaro
Mer 28 Juin - 20:19
Figaro était prêt a aller très loin. Evidemment ce n’était pas sans risque mais il comptait bien sur le fait que les factions n’étaient pas faites pour faire ami ami. Il n’avait pas l’intention de tuer, mais simplement d’offrir la liberté à Bjorn. Ce dernier le regardait et semblait assez troublé par sa proposition. C’était compréhensible. Il le fixe droit dans les yeux.
« Les miens sont déjà en danger depuis des temps lointain. Ce qui semble limpide c’est que depuis le début de ce monde c’est que les factions n’attachent aucune affection les unes envers les autres. Les conflits font malheureusement partie de nos vies. »
Il soupire doucement. Admet cette triste réalité et écoute la suite alors que Bjorn semble hésiter a le toucher. Figaro le voit bien et lui aussi aimerait pouvoir partager ce moment avec lui en passant une main sur sa joue et en allant poser une main rassurante sur son cœur.
« Ne me remercie pas, je ne fais rien qui mérite tant de reconnaissance, me voilà impuissant face a la dure réalité. »
Il roule les yeux. Essaie de reprendre, le refixe, sent que Bjorn est réellement reconnaissant. Alors, il poursuit.
« J’aimerai pouvoir t’offrir plus qu’une simple entrevu, tu mérites d’être heureux Bjorn. »
Fonctionner par impulsivité, guidé par ses sentiments : ce n’est peut-être pas le crédo de Figaro mais il trouve ca tout de même admirable.
Tu l’écoutes, et pour la deuxième fois, il se déprécie. Tu fronces les sourcils.
“Arrête. Tu fais bien plus pour les autres qu’ils ne font pour toi. Ton impuissance n’est que de l’imagination. Tu es beaucoup plus puissant que tu penses l’être. Je le vois.”
Tu le sens, même. Instinct animal. Il ne trompe pas, n’est-ce pas? Tu ne sais quoi dire de plus, tu sens que tes émotions t’ont emporté. C’est ses dernières paroles, qui finissent de te faire froncer les sourcils un peu plus, pour les dérider ensuite. Tu te redresses en prenant une grande inspiration. Et puis, finalement, tu sembles lâcher prise.
Tu te rapproches encore. Sans le toucher, Mais presque. Ton regard est toujours aussi luisant.
“Et que veux-tu m’offrir de plus, Figaro?”
La voix rauque, Une demande qui n’attend rien. Pourtant... Pourtant tu la poses quand même. Parce que tu n’as rien à perdre. Tu as déjà tout perdu. Depuis bien trop longtemps.
Les gardes au loin se demandent bien ce que vous foutez. Ils doivent même parier si oui ou non vous alliez vous taser. Ou juste continuer à vous regarder. Une chose était sure, ton temps était limité. Et ça, ils n’allaient pas oublier de le rappeler.
nightmare
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Figaro
Mer 28 Juin - 23:49
Figaro le sent bien, il est impuissant face a la situation. Même s’il voudrait faire plus, Bjorn est condamné a retourner dans les terres legendarys pour y errer ou bien finir en prison, encore. Les deux derrières les observent toujours et Figaro entend ces mots, emplis de bienveillance. Il est un peu plus calme. Assez pour hocher doucement la tête.
« Je vois, si tu penses ainsi, alors j’accepte, tu sembles ne pas avoir eu beaucoup d’affection jusqu’ici, c’est bien malheureux et cette carapace que tu t’es tissé, j’espère en avoir percé au moins un petit bout. Merci pour tes compliments, ca me touche. »
Et il le laisse s’approcher, continue de poser son regard sur lui, inspire doucement, il ne doit pas céder a la tentation de vouloir le toucher : sinon ils en souffriraient. Alors, il déglutit Figaro, semble rester calme alors qu’intérieurement la dernière question posé le fait beaucoup réfléchir. Et si il arrêtait de réfléchir un instant ? Et si il donnait simplement la première réponse qui lui vient l’esprit ?
« Ce que j’aimerai t’offrir ? Plus d’amour Bjorn. J’aimerai que tu sois a nouveau heureux. »
Il lâche un léger sourire. C’est presque dramatique tant c’est difficile de mettre cette offre en place. Il soupire doucement.
« Cette situation est des plus embêtante. »
Car il ne peut rien faire de plus a part le regarder.
Tu l’observes, sans reculer. On pourrait presque sentir la tension électrique entre vous, tellement tu te joues de I.A. et ses conséquences merdiques. Tu grognes, animal. La réponse, te satisfait, sans être assez précieuse. Tu en veux plus, Bjorn. Tu en veux plus et tu te fais gourmand. “De l’amour ? Tu penses que j’mérite de l’être, aimé?”
Toi, tu ne penses pas. Et tu dirais que t’en as pas besoin, car c’est plus facile. De vivre sans, Que de vivre avec.
“Pourquoi ?”
Pourquoi c’est embêtant, Figaro? Tu veux tout savoir. Les moindres détails de ses pensées. Les accaparer pour être les tiennes. Tu sens que ton alter s’anime en toi, mais il ne doit pas craquer, pas ici. Pas là. Et puis, tu repenses aux rumeurs derrière les barreaux. Comme quoi des Legendarys auraient pu se toucher. Au delà du Dome.
“... T’as entendu la rumeur sur l’au delà du Dome?”
Car tu veux pas passer pour un con qui croit à des conneries. Et tu cherches aussi, peut-être. A le tester, Tester ses pensées et ses envies. Envers toi. Parce que tu es encore sur un fil, tortueux, plein de réflexions, et d’intensité. Tu ne sais pas où tu vas, Mais l’as-tu seulement su un jour ?
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Figaro
Jeu 29 Juin - 0:12
Figaro hausse un sourcil alors que Bjorn répond, il semble manquer tant de confiance en cet amour. Le brun se dit bien que ce n’est pas sa propre volonté le problème mais le passé de l’ours vis-à-vis de l’amour. A force ils ont appris a se connaitre et Figaro sait que c’est un sujet délicat.
« Tout le monde mérite d’être aimé, surtout en ce monde où la violence est omniprésence, je me surprends a espérer qu’un jour chacun trouvera la paix auprès d’être cher. »
Il hoche doucement la tête. Laisse un moment l’ours réagir, évidemment il se demande pourquoi. A ces mots le brun inspire doucement.
« A-t-on besoin d’une raison concrète pour aimer quelqu’un ? Je ne le pense pas, cela arrive souvent naturellement et c’est là toute la poésie de ce sentiment. »
Il sourit légèrement, réfléchit a cette rumeur de l’autre côté du dome, comme quoi, peut être il y aurait une chance pour entrer en contact les uns les autres.
« C’est probable mais je n’ai jamais essayé cette théorie je dois bien l’admettre. Néanmoins en tant que trapper je peux affirmer que c’est une possibilité non négligeable : l’autre côté du dôme recèle tant de mystère n’est ce pas ? »
Il penche la tête sur le côté, le fixe. « Aurais tu une idée en tête par le plus grand des hasards ? »
Tout le monde ne méritait pas d’être aimé. Les hommes qui brisaient des vies, non. Les hommes qui étaient volontairement malsains, non. Les hommes qui ne méritait pas d’être aimé, ils existaient. Ceux qui détruisaient des vies, par leurs paroles ou actions. Ils ne méritaient rien. Pour toi, ils ne méritaient même pas la vie. Tu ricanes doucement alors à son utopisme, et le provoques.
“Tous, vraiment ? Même ceux qui agressent leurs gosses et brisent leur vie donc?”
Tu as un regard puissant sur lui. Tu veux lui faire comprendre la gravité de ses mots, malgré toi. Malgré son espoir, malgré que tu saches qu’il pensait pour toi.
“Aimes-tu, toi ? Quelqu’un.”
Tu étais curieux de la réponse, Tu aimerais connaitre la réponse. Elle te torturait, la réponse. Tu soupires alors, t’éloignant doucement, détournant le regard. La bête en toi n’est pas loin, prête à bondir. Tu rêvais trop de liberté pour ton propre bien.
“Ouais. Pourquoi pas y aller.”
Tu glisses ton regard sur lui à nouveau.
“Si j’dois toucher quelqu’un avant de mourir, j’te choisi toi.”
Et les mots dépassent ta raison; Tu fronces les sourcils et t’éloignes d’un pas encore. Tu ne sais pas pourquoi, mais l’idée de la mort omniprésente dans ce cachot, dans ce chaos, te donne des raisons de te pousser à vivre. A vraiment vivre.
nightmare
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Figaro
Sam 1 Juil - 20:29
Figaro entendait Bjorn qui le contredisait sans aucune hésitation. Alors, peut être que certain n’avait pas le droit d’être aimé mais Figaro persistait. « Bien entendu chaque personne est amenée a évoluer mais n’oublions pas qu’au début de toute vie se cache un enfant innocent qui mérite d’être aimé. »
Une pirouette comme une autre. Il se laisse le temps de réfléchir a tout ça alors que la question tombe. Est-ce que Figaro aime quelqu’un ? Il cligne un peu des yeux. Surpris par cette question. Inspire doucement.
« Il est indéniable que j’ai des amitiés solides néanmoins, si la question sous entendant une passion certaine pour quelqu’un alors, je dois bien admettre que je n’en suis pas sur… »
Car en ce moment même son cœur s’emballe mais il ne peut l’admettre : pas pour le moment. Bjorn le fait réfléchir, Bjorn l’inquiète, Bjorn s’impose que trop souvent dans son esprit sans qu’il s’en rende compte.
C’est un fait. Alors, il hoche doucement la tête. « J’ai comme l’impression qu’il serait mal venu de te retourner cette question. »
Car Figaro sent bien qu’il y a un passif. Bjorn a subi la perte d’un être cher. Il inspire doucement. Reprend alors que l’idée d’aller dans une autre zone s’impose. Bjorn veut changer d’air alors qu’il en soit ainsi. Il penche légèrement la tête vers les deux suiveurs.
Le regard tournant a nouveau vers Bjorn au moment où il affirme que s’il doit être touché par quelqu’un alors il veut que ce soit par Figaro.
« J’en suis fort honoré… »
La gêne évidente. Figaro n’a pas l’habitude de recevoir ce genre de propos. Il sourit légèrement. « J’aimerai aussi m’assurer que tu vas réellement bien par le contact… »
Légère pause. Reprend.
« J’aimerai te tendre la main pour pouvoir te guider vers cette zone mais j’ai comme l’impression que nous serons obligés de prendre un chemin différent pour arriver a destination »
Car les migraines grondent et ce n’est pas la porte d’a côté. Et puis, il y a du matériel a chercher. « Puis je me permettre de te donner rendez vous où ceux présent non loin sont là pour surveiller que tu ne partiras pas trop longtemps ? Est-ce qu’espérer qu’il nous reste encore du temps te semble réaliste Bjorn ? »
Le fixe. Prêt à tout moment a faire appel a son alter pour qu’on lui ramène deux masque pour respirer l’air de leur destination.
Cela te fait sourire. Qu’il maintienne son état d’esprit et ses pensées. Qu’il ne change pas de route, ni de destinée. Il est peut-être plus têtu que toi, et cela promet pour certains débats à venir, mais ça à le mérite de te faire sourire amusé.
Il laisse cependant beaucoup de suspens dans la réponse à sa question et ça te fait légèrement plissé les yeux. Toi qui est sûr de ce que tu veux, souvent, et sans jamais y déroger, être dans un flou concernant des axes de vies, autant sentimentales qu’amicales, te rend presque perplexe. Certaines personnes se prennent trop la tête. C’est sûrement pour ça aussi, que tu correspond mieux aux Wild que jamais.
Tu souffles du nez en détournant le regard.
“Ce n’est pas malvenu, c’est une réciproque indéniable. Je pense que je suis prêt à aller de l’avant.”
Le dire, était encore plus étrange que le penser. Tu observes l’horizon quelques instants. Perdu, dans cet amas de souvenirs.
“Aller bien par le contact?”
Tu es curieux de la tournure de sa phrase, et pose un regard ambré insistant sur lui. Tu te demandes ce qu’il veut dire par là. Peut-être réellement mieux savoir si quelqu’un allait bien, par le contact? Cela te rester étranger, encore. A part pour ton frère, tu n’as jamais réellement eu de contact. Peut-être Howlite, en de rares embrassades.
Puis viens les questions, dont tu n’avais pas toutes les réponses. Tu observes les deux gardes et soupires.
“Je peux essayer de négocier.”
Tu réfléchis. Tu soupires, puis comprend que les migraines pouvaient déranger, et tu ne souhaitas aucunement en infliger d’autres.
“Nous pourrions nous donner rendez vous dans quelques heures, là-bas.”
Tu feras tout ce que tu peux pour les convaincre, quitte à leur promettre que ce sera ta dernière sortie, avant ta mort. Tu ne voulais pas décevoir cet homme qui s’était déplacé, et qui plus est, t’avais permit d’avoir encore un espoir de vivre.
nightmare
Figaro
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Figaro
Lun 3 Juil - 21:21
Figaro ne se rend pas réellement compte de la porté de ses mots, il les prononce sans comprendre pourquoi ca interpelle, alors il réaffirme. « Oui c’est cela. »
Il penche légèrement la tête, regard a nouveau vers les deux autres, ceux qui attendent depuis un moment. Ceux qui s’impatiente. Figaro arrive a déceler cela dans leur regard, dans leur mimique. Il inspire doucement en entendant Bjorn. La situation est délicate.
« Je suppose que je peux avoir confiance en tes talents de négociateur n’est-il pas ? »
Il sourit légèrement. Confiant mais inquiet. Il hoche doucement la tête a la proposition. « Très bien alors nous nous retrouverons dans quelques heures. Disons, dans 4h ? »
Ca laisse largement le temps a chacun de se préparer. Sur ces mots, il se tourne, voyant les deux autres arriver vers eux. « Je t’attendrai le temps qu’il faudra. »
--------------
Et voilà, Figaro se retrouve là, dans cette ambiance étrange. Si calme. Nul vie semble abriter ces terre. Ca le surprend un peu. Il ne se sent pas vraiment à l’aise dans cet espace mais il sait, c’est la seule solution pour pouvoir voir Bjorn correctement. Alors il attend là, debout comme un piquet.
Il espère le voir arriver rapidement mais il ne peut pas s’empêcher de se demander s’il a réellement réussi a négocier. Ce sont les legendarys, ce n’est pas chose facile. Alors oui, il s’inquiète.
Ca tourne dans sa tête comme ca, jusqu’à ce qu’il entende du bruit non loin de sa position.
« Bjorn ? »
Prononce le nom de l’être qu’il espère voir se montrer, main sur son arme, il reste méfiant.
Ses paroles. Tu ne t’y attendais pas. Encore une fois, le soutien qu’il t’apporte, et les risques qu’il prend. Tu restes sur la défensive, dans le fond, malgré toi. Pourtant, tu sais qu’il ne te trahira pas. Tu sais que les factions ne sont pas importantes pour lui, tout comme pour toi. Il a déjà démontrer son soutien, que ce soit dans cette rencontre fortuite où tu as évité un combat, que vos semaines d’entrainement à connaitre vos alters respectifs. Il est peut-être celui qui, en plus de ton frère, pouvait te résonner avec ton alter.
"Oui, dans 4h."
Pourtant, malgré ça, tu as toujours cette part de toi qui n’ose pas ouvrir les yeux. Qui n’ose pas aller de l’avant.
Tout simplement car perdre à nouveau quelqu’un te serait fatal. Tu revois encore les images du corps ensanglanté de ton ex-femme dans tes bras, mais ces cauchemars prennent d’autres tournures récemment. Avec le corps de Figaro. Et tu n’arrives pas à t’en remettre, d’imaginer cela.
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Tu avais réussi à négocier, en disant que ce serait ta seule et dernière sortie jusqu’à ta mort, ou bien ta libération. Tu étais prêt à endurer encore des semaines d’enfermement, pour ce moment.
Alors, quand tu passais le SAS, quand les soldats attendaient à la sortie, te laissant fouler le désert lunaire seul - de toute façon, tu ne pouvais pas t’enfuir et tu n’avais que une heure d’air -; le voir ici t’arracha un sourire amusé. Tu inspirais alors et levais légèrement les mains en l’air quand il sentait être sur la défensive.
“Figaro.”
Un son doux, chaleureux, pour répondre à sa question. Tu avais ce regard que tu poses sur ton frère, sur Howlite, sur les gens à qui tu tiens. Car tu le savais maintenant, Il faisait partie de ces personnes pour toi. Et cet instant, était peut-être le dernier que tu pouvais partager.
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