Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Il pleuvait des torrents. Tu frémissais alors de froid, de peur, et tu comprenais encore que ton familier t’avais mis dans une merde monumentale. Tu ne savais pas comment faire, ni comment réagir autrement qu’en lui courant après.
Jusqu’à ce que finalement, tes jambes s’accrochent quelque part, et que tu tombes. Ton pantalon salit, trempé, mais surtout troué et effleurant ton genoux. Du sang, un peu partout devant toi. Tu commençais à voir flou à cause de la migraine. La zone neutre n’était pas si loin derrière et pourtant, les larmes inondaient ton visage sous cette pluie battante.
“Pickles !”
Ton chat, finalement, après tes demandes incessantes, finit par revenir en courant, ayant eu peur de l’orage. Tu le serrais alors fort contre toi, avant de le mettre dans ton sac, et te redresser, les jambes tremblantes.
Observant autour de toi, rien de familier. Tu savais pourtant que la zone neutre n’était pas loin. Tu sens que tu perds l’équilibre de cette douleur qui te prend l’esprit, et la raison.
“Ah...”
Tes mains tiennent ta tête alors que tes larmes ne cessent pas, mais tu ne veux pas paraître faible, même si personne n’était là pour le constater. Tu continues alors de marcher dans la direction que tu penses être la bonne... Alors que tu prenais totalement l’opposée. Tes migraines s’intensifiaient alors, et la douleur devenait intense, te faisant trembler les jambes. Tu ne pouvais pas faiblir pour autant. Tu n’abandonnais donc pas, malgré la mauvaise direction, luttant contre ton propre corps et la douleur émanante, les cheveux trempés et les vêtements terriblement sales. Alors que les éclairs vibraient dans le ciel, et la pluie ne cessaient sa course vers le sol.
Il pleuvait tant et Comet n’avait d’autre choix que de rentrer chez lui avec un tel torrent. Il inspirait doucement, prenait son courage a deux mains. Il sortait d’une entrevue avec ses pauvres wilds obligé de rejoindre d’autre camps. C’était une évidence qu’il tenait a garder le contact. Alors, il avançait doucement mais surement, le QG n’était plus très loin, il connaissait le chemin par cœur.
La pluie était violente. Ca brouillait sa vue et pourtant, il continuait a avancer : il n’avait pas le choix. Il avançait et finissait par percuter quelque chose ou plutôt quelqu’un …
Coup de jus qui passait, il grimacait. Merde, une étrangère au territoire.
Evidemment, aucun wild ne pouvait se retrouver dans une situation similaire a la sienne. En général par ce temps, ils se hâtaient de rentrer ou évitaient de sortir. Mais là, en regardant la silhouette il constatait.
Ce n’était donc pas une wild. Elle semblait tant souffrir d’être dans ce territoire. Et puis, il ne l’avait jamais croisé. Il avait appris a reconnaitre les siens.
« Je peux savoir qu’est-ce qu’une non wild fait en ce territoire ? »
Il lui tend la main doucement, la poussant a se redresser. « Vous semblait beaucoup trop souffrir pour rester ici, si votre objectif était de nous espionner laissez-moi vous dire que vous avez échoué, c’était parfaitement idiot de venir maintenant alors que le mal de tête gronde. »
Il ne comprenait pas. Et doutait qu’elle était là pour espionner, elle semblait tant en souffrir. C’était tout bonnement improbable : mais autant le confirmer avec des mots.
Tremblante, trempée, tu pensais bien que tes jours allaient peut-être se terminer, si un coup de jus soudain ne t’avais pas ramené à la raison. Serrant ton animal de compagnie, tu vérifiais que son état allait, mais il ne semblait pas avoir été victime du petit coup d’électricité et cela te rassurait. Moins, quand tu réalisais que tu étais alors en présence d’un “ennemi”.
“Je me suis perdue.”
Les yeux pleins d’espoir et le regard suppliant, tu étais face à ce qui semblait être ton sauveur du jour. Du moins, tu l’espérais. Tu avais si peu de connaissances envers les personnes des autres factions, que tu pourrais tomber sur le connard le plus fini de tout les Wild sans t’en rendre compte. Tu n’hésitais cependant pas, car tu donnais le bénéfice du doute - et l’espoir - dans toutes les personnes que tu pouvais croiser. Une confiance première donnée, avec une bonne volonté et de l’optimisme. Tu essayais d’ailleurs de sourire malgré ta peine visible.
Tu poses alors son regard sur sa main tendue, mais te hisses seule.
“Je ne voudrais pas vous blesser, monsieur. Vous êtes gentil, merci...”
Voix fluette, serrant ton chat tout autant mouillé que toi, que tu empresses de remettre dans ton petit sac pour qu’il se lèche et se sèche et n’attrape pas autant froid que toi par la suite. Tu reprends ensuite ton attention sur le jeune homme -fort charmant, tu dois l’avouer. Tes joues rougissent, et elles seraient visibles ainsi si le temps n’était pas si détestable.
“Je cherche la sortie du territoire.”
Que tu pensais prendre, mais visiblement, ce n’était pas le cas. Tu frémis et soupires, fermant les yeux, tenant alors ta tête momentanément. Comme des lames qui traversent ton esprit, on te rappelle continuellement que tu n’avais rien à faire là.
“Je n’espionnais pas, je suis désolée, je cherchais mon chat qui courrait ici.”
Cet idiot. Parfois tu regrettais que tes invocations aient une volonté propre.
Comet serre les dents au courant électrique. Il sait a présent de source sur que cette fille n’est pas une wild. Elle doit terriblement souffrir d’un mal de tête maintenant. Il inspire doucement en la fixant alors qu’elle s’explique. Elle avoue qu’elle est bien sortie du territoire mais aussi qu’elle ne voulait pas le blesser. Elle ne faisait que cherche son chat.
« Votre chat ? Ici ? »
Il avait du mal a y croire. C’était rare que des personnes s’encombrent d’animaux. Il penchait un peu la tête. « Et vous l’avez trouvé ? »
Il avait l’impression que non. Et pourtant, quelque chose lui soufflait que derrière cette recherche de chat alors peut être se cachait-il un alter. « Quelle est votre faction dites-moi. »
Il était curieux pour le coup Comet mais aussi pour être sur de savoir a qui il avait affaire. Et puis au moins s’il se retrouvait blessé par sa faute, il pourrait diriger sa colère vers la bonne faction. Eh oui, méfiance est mère de sureté. La fille avait un aspect angélique mais Comet restait sur ses gardes. Il attendait patiemment ses réponses, les bras croisés.
Tu l’écoutes, malgré la douleur. Tu hoches alors doucement la tête, reniflant en essayant de garder contenance malgré ta détresse.
“Oui.. Je l’ai...”
Tu ne savais pas quoi dire de plus, car tu ne voulais pas qu’il fasse du mal à ton chat que tu gardais contre toi, dans ce sac. Tu ne voulais pas qu’on lui fasse du mal, et tu avais peur qu’il te prenne aussi pour une idiote à faire ce genre de choses. Tu étais perdue, frigorifiée, et tu ne savais plus comment sortir de là.
Tu te concentres malgré le mal de crâne sur la conversation, et tu te redresses malgré tout un peu plus, les jambes tremblantes et la tête qui allait explosée.
“Vigilante. Je suis une vigilante, mais les miens n’y sont pour rien, je vous le promet. Je ne veux pas de problèmes, je.. je venais vraiment chercher mon chat. Je peux vous le montrer mais lui faites pas de mal, par pitié.”
Tu espérais qu’il te croit, et tu serrais alors doucement ton sac contre toi. Et tu espérais aussi qu’il te sorte de cette situation, car ta tête te faisait un mal de chien, mais tu n’osais pas insister sur l’urgence, tu n’osais pas t’imposer Calypso, car tu pouvais le regretter, et provoquer des colères par ton égoisme, alors tu souffrais en silence et patientais, sagement. Tu te mordais l’intérieur de la joue pour ne pas tourner de l’oeil et rester concentrée.
Comet fixe celle qui se tient devant lui. Réellement intrigué par cette dernière qui ne vient de toute évidence pas de sa faction. Elle admet. Elle est une vigilante. Ah. Ok. En soit, Comet comprend bien que l’idéalisme des vigilants peuvent amener ce genre de comportement imprudent : ca ne l’étonne qu’à moitié. Enfin, il attentif au moindre de ses gestes.
La raison de ce comportant est d’autant plus surprenant. Elle cherche son .. chat ? Il a pas l’habitude d’entendre ca. Il inspire doucement. « Comment vous croire … »
Il passe ses doigts sur l’arret du nez, réfléchissant un petit moment. Il finit par la fixer a nouveau.
« Mh. Je suppose que vous devez souffrir en ce moment même n’est ce pas ? »
C’est une évidence, après tout, elle n’est pas sur son territoire. Il inspire. Reprend rapidement. « Très bien. Je vais vous accompagner dans vos recherches. A quoi ressemble ce chat ? »
Ca ira plus vite. Et puis ainsi, il pourra la surveiller. Au fond Comet se doute bien que ce n’est pas une menace, elle a l’air de souffrir le martyr, les vigilants n’enverraient pas quelqu’un peu préparé pour les espionner, n’est ce pas ?
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