Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Virevolte dans les bois, perdue comme une petit fée. Errance dans la nature, tu ne sais pas comment retrouver ton chemin. Est-ce que cela t’importe réellement? Des larmes perlent sur tes joues, car tu es esseulée. Seule dans tes pensées, trop seule dans ton étreinte. Ta petite robe de soirée, est tâchée et abimée. Tes larmes ne cessent de gonfler tes joues, abimer ton regard.
Tu te sens si seule, et pour une raison obscure, tu sais que tu le seras encore longtemps. Comme si personne n’allait venir entourer ton corps frêle de ses bras protecteurs. Aucune homme, aucune femme, aucune personne digne. Car ta famille, tu leur donnais tout. Tu leur donnais tout, et ils ne donnaient pas assez. Tu te sentais égoïste d’exiger inconsciemment quelque chose. Pourtant, c’était le cas. La douleur de ne pas recevoir ce que l’on offre, était présente. Tu ne te sentais pas aimée, Calypso. Pas comme tu aurais aimée l’être. Ton frère t’aime, tes amis t’aiment. Mais... l’Amour, ne t’aime pas. Tu avais un manque de quelque chose que tu avais à peine effleuré des doigts.
Est-ce mal ? Tu ne sais pas. Cependant, tes larmes sont là, alors que tu t’assoies à la frontière, la migraine te prenant, te faisant presque réalisée que tu n’étais pas sur tes terres. Est-ce réellement important ? Pas pour le moment. Tu avais en réflexe rejoint les Terres Wilds, alors que ton frère ne s’y trouvait plus maintenant. Mais sous la détresse passagère, il t’étais difficile de réaliser cela. Visage enfouis au creux de tes genoux serrés contre toi, tu attends que le temps engloutisse tout ce qu’il reste de toi.
December aimait bien s’accorder quelques instants a vagabonder dans son territoire. Depuis que les maux de tête sonnaient a chaque fois qu’on avait le malheur de se rendre dans un autre territoire, il n’avait pas d’autre choix que de tourner en rond au sein du territoire des wilds. Vraiment, ca le gavait mais bon. Il ne voulait pas souffrir. Sa relation avec Dolly se passait bien, aussi bien qu’une personne qui pouvait souffrir de la perte d’un frère de cœur et du retour de son frère de sang. Bref. C’était chaotique.
Alors il aimait prendre du temps pour lui, pour réfléchir, pour regarder le ciel et se demander si cette situation allait durer éternellement. Il n’aimait pas rester enfermé December, il voulait sa liberté de déplacement comme beaucoup.
Il avance a l’aveuglette et ne se rend pas compte qu’il s’approche d’une frontière. C’est au moment où il la voit accroupis, en train de pleurer qu’il devine. Il n’est pas très loin d’un autre territoire car cette fille, elle n’est pas wilds.
Elle n’a même pas été la cible de son alter encore. Alors, qui est-elle ? Il penche un peu la tête.
S’approche doucement.
« Euh bonjour ? »
La fixe attendant qu’elle le remarque. « Pourquoi toute ces larmes, t’es poursuivi par des gens pas cool ? On a tué quelqu’un qui t’es cher ? Ah non, je sais ! Tu as du perdre un frère appartenant a une autre faction de base ? »
Oui c’est forcément ca ! Après tout Dolly avait dû vivre la même chose, ce n’est pas facile. December ne se doute absolument pas qu’il se trompe lourdement.
Tu entends une voix encore inconnue, qui s’avance vers toi. Tu inspires, expires,redresses ton regard emplit de larmes. Tu ne souhaites pas les cacher, pourquoi et comment d’ailleurs? Il est trop tard pour ces détails. Tu détournes simplement le regard, sans être impolie pour autant.
“Bonjour...”
Tu souhaitais être seule, mais finalement, ce n’était peut-être pas un mal d’être accompagné. La migraine est présente, mais ta peine est plus grande. Tu la combats pour le moment.
“Non je... Je me sens seule.”
La vérité éclate et fait mal. La vérité brûle encore ton esprit et tes larmes recommencent, mais silencieuses.Tu n’es pas bruyante dans ta peine, tu es juste bruyante dans tes remords et tes regrets. Ton sourire pour une fois, n’illumine pas les lieux.
“Je ne sais pas si je connaitrais un jour l’amour.”
Ah, l’amour. Ce sentiment qui brise des vies et des coeurs, mais en fait renaitre d’autres. Ce sentiment que tu idéalises, et que tu penses ne jamais ressentir, car souvent, tu te dis que cela ne vaut pas la peine de l’espérer si fort s’il ne vient jamais. Alors, autant ne plus rien attendre n’est-ce pas? La vie est trop courte pour en pleurer, mais pourtant, malgré toi, les larmes sont là. La douleur aussi.
Rien ne semble venir consoler ton visage d’ange de ce trou béant dans ta poitrine.
December était bien surprise de voir une fille sortie de nulle part a la frontière des territoires. C’était risqué, très risqué. À tout moment elle pouvait franchir la limite et être pris de migraine. Il haussait un sourcil alors qu’elle captait sa présence. Elle semblait si triste. Elle le saluait et expliquait qu’elle se sentait seule.
Il pencha un peu la tête. La fixait.
La cerise sur le gâteau, elle amorçait le sujet de l’amour sans plus attendre. December clignait des yeux. « Sérieux ? »
Il rigolait un peu. Venait s’asseoir non loin d’elle, juste assez loin pour ne pas être pris d’un mal de tête insupportable. « Ecoute, je n’ai jamais cru en l’amour pour moi-même et pourtant aujourd’hui je l’ai trouvé, alors crois moi, ne doute pas de ca. »
Il hoche doucement la tête. Quelle ironie que ce soit lui qui donne ce genre de conseil. Il inspire doucement. « Et pourtant je reste toujours aussi paumé dans le fonctionnement de ce sentiment, mais bon. »
Il lève les yeux au ciel. Réfléchit un court instant. La fixe de haut en bas.
« Si tu veux en être sur je peux te trouver quelqu’un de sympathique, j’ai un alter très pratique pour ces choses-là. »
Clin d’œil.
Mais le truc, c’est que son alter ne créé que des sentiments artificiels. Alala… Quelle maladresse.
Tu l’écoutais, lui et ses paroles réconfortantes. Il semblait gentil, pour un inconnu et un ennemi, mais qui sait. Peut-être était-ce juste un moyen de t’atteindre? Tu t’en fichais pas mal, pour le moment, car ton coeur était triste.
“J’essaye de pas douter mais...”
Tu renifles, inspires, cherches tes mots.
“Les gens parfois, je ne les comprend pas. Je suis gentille pourtant, j’essaye de rien faire de travers, de les aimer avec tout l’amour possible mais... Mais... Ils font surement de leur mieux pour me le rendre mais... J’aimerais tellement... un jour... Avoir quelqu’un qui m’aime autant.”
Tu trembles, livrant tes envies et ton coeur, Tu te trouvais étrangement très égoiste, de demander cela comme ça. Comme si la sensation d’amour était ta seule raison d’être. Pourtant, toi qui n’avais jamais connu la guerre ou les traumatismes, qui ne vivait que dans les alentours du QG si ce n’est la muraille elle-même, tu n’avais rien d’autres à penser que tes relations sociales et le bien-être de tes animaux. Alors, oui, cela prenait une grande place pour toi.
Tu le regardes alors avec curiosité, les larmes aux yeux.
“Un alter pratique...?”
Tu te demandais si ton sauveur venait d’arriver devant toi, malgré lui. Tu étais curieuse, et intriguée et surtout... envieuse et désireuse, d’en savoir plus, et d’être sauvée.
December est proche de cette fille qui semble dans une si triste humeur, ca le travail. Et il apprend qu’elle doute. Et il essaie de la conseiller comme il peut. Ah, il a bonne mine le cupidon maintenant ! Il la laisse s’expliquer alors qu’elle parle de son propre comportement, de son incompréhension vis-à-vis de tout ca. Il inspire doucement. « Ah ca… »
Roule les yeux. « J’admet que beaucoup de chose m’échappe aussi, c’est pour ca que je m’obstine a utiliser mon alter a maximum, car ca m’aide a comprendre. Je peux ainsi observer les ficelles de l’amour en action. »
Léger rire. Il en oublie de préciser quel alter il a. Et elle lui rappelle bien en lui demandant directement. Il cligne un peu des yeux.
La fixe. « Il faut croire que je ne suis finalement pas si connu que ca. »
Léger sourire qui reste fixe sur son visage. Il poursuit rapidement. « L’alter du cupidon voyons ! »
Lève ses bras grands ouvert, inspirant les multiples possibilités que lui souffle son pouvoir. « C’est ainsi que je peux lier n’importe qui d’un amour fou pendant 24h ! C’est pas génial ?? »
Ouais lui en est persuadé. Mais bon, ca règle pas tout les problèmes de cœur en soit.
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