Je n'ai jamais laissé de traces en marchant sur des pantins.
Lore & Résumé0 ans
- Il naquit sous l'oeil de l'aurore, dorloté dans les bras de ses deux mères
6 ans
- Son alter se déclenche pour la toute première fois lorsqu'un piège trapper va pour l'embrocher. Les extensions de metal l'ont suffisamment englobé pour le protéger de la mort, pas de la force du coup néanmoins.
8 ans
- Ses deux mères trépassent au combat lors d'un hunting sport
8 ans
- C'est l'amant de l'une de ses mères qui le prend sous son aile. Ce père de substition qui ne jure que par l’Homme, le bien bâti, le sempiternel cliché viril
14 ans
- Son père est un soldat, un fier soldat puissant qui ne juge que par le combat, la force brute. Il entraîne son fils comme un guerrier, et le bat jusqu'à évanouissement
16 ans
- Ark est déjà assez musclé pour son âge et se rebelle contre son père. Ark est fort, ark est un fier assaillant, mais il n'utilise que peu son alter, et ca le frustre. Il le projette de plein fouet loin de lui. Le père est sonné, il accepte finalement la voie de son fils, et en est rendu fier.
20 ans
Ark gravit les échelons en s'imposant par la force de son alter. Il n'a peur de rien, et surtout, il devient le protecteur de ses vigilantes.
28 ans
Un jour pourtant, alors qu'il brille en tant que Major obsédé par l'entrainement, il ne fait pas attention, et décoche la tête de l'un des siens par l'une des extensions de metal.
Il subit 10 coups de fouet pour la sentence et, se voit être retrogradé de Major à Caporal.
29 ans
Il regarde d'un mauvais oeil le nouveau Major, et s'ambitionne de prendre sa place. Pour mieux attraper par la peau des fesses tous ces branquignols de vigilantes qui se la coulent douce.
T'aurais aimé tout oublier du passé.
À l'intérieur de ce cocon aqueux et feutré, rien ne peut troubler ton repos. Tes poumons subissent le poids de l'abandon. L'air s'extirpe de ton corps, et tes veines se contractent.
Tu ne ressens pourtant aucune peur à frôler la mort.
C'est comme si tu étais né pour nager. Tu as peut-être regretté dans tes plus lointains souvenirs un alter de respiration sous l'eau.
Tu emerges du lac en happant l'air à pleine gorge . Cinq minutes d'accalmie ne suffisent pas à taire la colère qui résonne en toi.
Tu ne peux te résoudre qu'à retourner dans ce seul lieu propice à la méditation.
Car dehors, tout appelle en toi le désir de ruine. Des élans de père protecteur aux envies de destruction massive, plusieurs fibres au paradoxe dissonant résonne en ton être.
Buter.
Détruire.
Ecraser.
Couper. Couper. Couper.
Tu ressors de l'eau, et cette fois-ci, la quittes avec fermeté. Ton corps est ruisselant, comme tes rêves de combat.