Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Tu tournes et tournes et te retournes dans ta couchette. Le sommeil te fuit ? Non, pas spécialement. En revanche, le bruit de la personne qui hésite à frapper à ta porte t'ennuie. Tu sais qu'il y a quelqu'un. Tu sais ce qu'elle va vouloir. Un service, un simple service. Sauf que tu n'es pas le marchand de sable. Tu devrais faire payer les heures de sommeil que tu offres à autrui. Pourquoi tu avais toujours été vers des travaux manuels alors que tu aurais pu gagner une fortune en temps que marchand de sable pour une bonne sieste garantie... Finalement, la personne frappe et tu lui ouvres avec un sourire faux, qui se devine à peine dans la pénombre des lampes de nuit. Tu l'accompagnes pour lui rendre ce service avant de regagner ta chambre et pouvoir sombrer à ton tour, sans être réveillé cette fois.
Réveil matin : dix heures. Tu n'as pas de réveil, mais ça ne fait rien. Quoique... cela aurait été mieux si cela avait été le cas. Tu te réveilles comme une fleur, mais beaucoup trop tard. Lorsque tu vois le soleil déjà haut dans le ciel, tu sais. C'est trop tard. Tu hausses les épaules. Ce n'est pas si grave. N'est-ce pas ? Ton sommeil est plus important. Mais tu sais déjà qu'une réplique qu'on pourra te sortir est que toi, tu n'es pas aussi important que ce que tu sembles vouloir le penser. Et cela t'agaces déjà d'avance. Pourtant, c'est en prenant ton temps que tu fais ton train train du matin. Tu te rafraichis, tu manges un bout et lentement tu te diriges vers les salles d'entrainement.
Est-ce que ton absence à été remarquée ? Ou bien est-ce que c'est passé inaperçu ? Tu aurais du te faire porter pâle pour ne pas avoir de remontrances. Mais jouer avec le feu était... Ce n'est certainement pas ta plus brillante idée, mais tu voulais voir ce qu'il allait advenir. Tu fais comme si de rien n'était, comme si tu avais toujours été là, avec un éternel sourire conciliant sur le visage.
Mars
Legendary
Messages : 365
Date d'inscription : 08/01/2023
Groupe : Legendary
En couple : Dans son chaos avec Napalm.
Mars
Dim 2 Avr - 19:09
Retard moratoireavecmorpheus
Tu en avais foutrement marre de ces retardataires. Entre Osiris et Morpheus, à croire que les choses ne pouvaient tourner qu’à leur avantage. Pour quelle raison ? L’un était le chouchou de maman, et l’autre, était stupidement endormi avec son propre alter? Tu rongeais ton frein.
L’entrainement est quasiment terminé quand Morpheus fait donc son entrée. Oh, tu le remarques. Tu ne fais cependant aucune à voix haute, pour le moment.
Une demi-heure après, Quand tout le monde part, tu lui attrapes l’épaule. Tu le pousses en arrière, et retires ton haut.
“Entrainement supplémentaire, pour le retardataire.”
Ton regard est mauvais, méfiant. Tu as envie de lui faire payer ces moments de retard, encore et encore, jusqu’à ce que son souffle soit une supplice pour toi, implorant ta pitié.
“10 pompes.”
Qu’il pense que ce soit facile, car tu comptes bien t’asseoir sur son dos quand il commencera à s’allonger. S’il refuse de s’allonger, tu comptes bien te rapprocher pour l’inciter à le faire, et, Si là encore, il te défie toujours, Tu comptes bien utiliser ton alter pour le faire ployer à tes désirs.
Car s’il y a bien quelque chose que tu détestes, Mars, C’est qu’on ne respecte pas ton autorité, ça oui.
L'entrainement se passe sans remarque apparente. C'est bien, penses-tu. Avec de la chance, le départ de la salle sera tout aussi fluide et discr....-
Tu te fais attraper, la phrase est lancée. Mars est bien plus attentif ce matin que ce que tu as pu penser. Tu lui offres un sourire entre conciliation et conflit. Quoique... vu comme il retire son haut, peut-être une ombre d'intérêt ? Bien que intérieurement, tu sais pertinemment que cela n'est pas du tout un bon signe. Tu ne te fais pas prier et tu acceptes le supplément, qui ne fait que remplacer tes heures de sommeil gagnée.
- Un entrainement privé, que rêver de mieux.
Tu aurais pu t'abstenir de commentaire, mais cela avait été plus fort que toi. Il t'annonce le menu. Dix pompes. Tu hausses les sourcils. Il est sérieux ? Ce n'était pas vraiment difficile. Elle est où l'arnaque ? Toutefois, cela se lit sur ton visage que tu trouves cela facile.
Tu ne discutes pas. Au mieux, il ne s'agit que d'un avant-goût, une préliminaire, un échauffement. Tu te mets en position et tes bras actionnent le mouvement pour te soulever et te baisser. Jusqu'à sentir un poids sur toi. Sur ton dos. Est-ce qu'il sait à quel point il est lourd sur ton dos ??!!
- Bon sang, Mars t'es lourd... !
Les mots sont soufflés. Il a certainement entendu, mais... tant pis. Tu t'efforces de faire les pompes demandées. Plus fébrile, plus tremblant. Descendre est difficile pour ne pas s'écraser complètement. Remonter est tout aussi compliqué, car ce n'est pas une masse que tu as l'habitude de soulever.
- Si tu voulais me grimper dessus... Tu pouvais le demander aussi...
Parce que tu penses que ça va alléger la situation d'essayer de plaisanter ? Mais qui ne tente rien n'a rien.
Tu souffles sous l'effort. Tu tentes de continuer. Mais tes bras cèdent et tu t'écrases au sol, rendant les armes, aux trois quart du quota exigé.
Mars
Legendary
Messages : 365
Date d'inscription : 08/01/2023
Groupe : Legendary
En couple : Dans son chaos avec Napalm.
Mars
Sam 15 Avr - 16:06
Retard moratoireavecmorpheus
Tu ne relèves pas son sarcasme. Tu te contentes de l’observer en croisant les bras, plissant légèrement les yeux. Tu es satisfait qu’il semble trouver cela facile. Car tu ne comptes pas minimiser ses efforts. Et c’est avec plaisir que tu t’installes sur lui, sans forcé. Juste avec ton poids, qui rajoute déjà une certaine dose de kilos il faut l’avouer. La faute à tes muscles.
“Moins lourd que ton arrogance, à l’évidence.”
Bras croisés en tailleur sur son dos, tu esquisses un sourire amusé de la situation.
“Te grimper dessus, hm ? N’est ce pas une place que tu rêves plutôt d’avoir ? Laisse-moi te montrer, ingrat, à quoi servent les entrainements.”
Tu te redresses en lui attrapant la nuque pour le relever et te mets en position de pompe.
“Assis.”
Ordre non discutable, alors que tu te mets à faire les dix pompes avec une facilité déconcertante. Comme s’il ne pesait rien. Comme s’il n’était rien. Tu ne pensais pas être autant en forme, mais à croire que la haine des retardataires te prend aux tripes.
Tu te redresses ensuite sans attendre qu’il se relève. Tu le regardes avec colère et presque mépris.
“Maintenant, encaisse ou riposte.”
Et tu envoies directement un crochet du droit dans son ventre. Tu attends quelque chose, une révélation. Parce qu’à ce niveau, vous allez perdre le prochain HS.
Ton arrogance ? Mais ton arrogance est légère ! Un véritable poids plume, pas comme lui ! Sa masse de muscles est écrasante. Est-ce que tu rêves de lui grimper dessus ? Ah... Plutôt de le battre. ça, oui. Cela te motiverai bien. Mais comme tu t'es écraser au sol, toutes tes ardeurs se sont calmées.
Il veut te montrer ? Qu'il fasse donc ! Sauf qu'il te surprend à te relever de la sorte. Tu as la sensation désagréable d'être un chaton entre ses pattes. Il te soulève et te remet sur pieds comme si de rien n'était. Tu te frottes l'arrière de la nuque quand il te lâche. C'est frustrant. La force ne fait pas tout, chef. Tu le lui aurais bien balancé, mais la situation ne s'y prête pas. Quand il t'ordonne de s'asseoir, tu ne te fais pas prier, prenant une position similaire à celle qu'il avait lorsque vos positions étaient inversées.
- Avec plaisir.
Puis tu fronces les sourcils en voyant la faciliter avec laquelle il les fait. Tu te plains en te relevant rapidement pour ne pas te retrouver à terre quand il se redresse.
- C'est juste que je suis un poids plume.
Tu cherches une excuse. Oui. Car tu refuses le verdict. En croisant son regard, tu comprends trop tard que tu aurais du te taire. ça s'annonce pas. Tu n'aimes pas son regard. Un fauve en cage dans son corps. Il était dans cet état juste parce que tu étais en retard ? Tu fais claquer la langue sur ton palais. Tu te prépares à réceptionner son coup, mais mal. Le poing fonce et se loge dans ton ventre, douloureusement dans l'estomac. Il te coupe le souffle. Heureusement que tu n'as pas pris le repas du matin... Tu te plies en deux sous le choc et tu te tiens le ventre, les genoux chancelant suite au choc qu'ils ont encaissé pour ne pas reculer... Mais l'un cède et tu tombes, un genou au sol.
Il est trop tôt pour crier grâce, alors tu mords sur ta chique. Tu ne lui feras pas le plaisir de t'avouer vaincu. Pas tout de suite. Tu relèves la tête et, au lieu d'un sourire, c'est une grimace que tes lèvres dépeignent.
- C'est bien envoyé... Je suis d'accord.
Tu reprends ton souffle et te relève, prêt à subir ses mots et ses autres coups.
Tu ricanes de son commentaire. Il n’était pas un poids plume, et tu le sais. Il n’assumait juste pas de n’avoir aucune force. Pour toi, être un Legendary, c’était aussi avoir du pouvoir, de la force, terrasser les autres par cette puissance.
Lorsque tu l’attaques et que cela le rend presque K.O., tu hésites à continuer ainsi. Il ne semble pas décider à faire quoi que ce soit pour s’améliorer.
Alors une bonne leçon est toujours profitable.
Tu continues donc sur ta lancée, sans aucune pitié pour ce jeune homme qui pense pouvoir se reposer sur ses acquis. Après tout, de la pitié, on n’en avait pas pour toi.
“Fais quelque chose, ou tu mourras sur le champ de bataille.”
Car tu en avais aussi la responsabilité. Tu l’observes le genou au sol, mais il se relève. Tu peux au moins lui offrir le bénéfice du doute sur ses intentions. Tu ne le laisses cependant pas se reposer sur ses lauriers, et tu continues sur ta lancée.
Crochet du droit dans le ventre, et s’il a le malheur de se blesser, tu lui enverras ton genou aussi directement sur le menton.
Avec moins de force que prévu, ou voulu. Car tu n’étais pas là pour le tuer non plus... Le champ de bataille s’en chargerait.
Ce qui était sûr, c’est qu’il ne faisait pas le poids face à toi pour le moment, et que tu semblais bien avoir gagné ce combat face à lui. Au moins ce combat d’égo, ou bien, lui faire comprendre que tu étais supérieur et qu’il devait respecter cela. Tu voulais aussi le meilleur de tes soldats, et cela t’attristait de voir ça.
Tu sais bien que tu peux mourir sur le champs de bataille. Tu n'as pas besoin qu'on te le répète, penses-tu, cries-tu même dans ton esprit. Tu te redresses, malgré ton ventre qui geint silencieusement de douleur. Tu te prépares à la suite... en vain. Les coups pleuvent sur ta personne. Le ventre se fait assaillir à nouveau par son poing. Tu te plies en deux, pour te manger son genou sur le visage. Ton nez te souffrir. Bientôt il risque de se mettre à saigner.
Tu es comme un enfant qui se fait malmener. Tu n'arrives pas à te défendre face à Mars. Il te domine par sa force, ton point faible. Alors que tu pourrais changer les règles du jeu, tu pourrais te battre autrement qu'à la force des bras. Tu pourrais attraper une des armes factices qui traine, tu pourrais user de ton alter, tu pourrais tenter de fuir ses coups... Cette dernière option est impossible. Car tu n'es pas un lâche. Les deux autres auraient été possible, si tu ne voulais pas garder une certaine forme d'honneur. Car tu aurais préféré gagner sur le même terrain de jeu.
Tu te redresses une nouvelle fois.
Ton regard est moins joyeux. Ton sourire n'est plus depuis la pluie de coups. Tu as le visage fermé et ... contusé. Pour lui montrer que tu n'es pas qu'un vulgaire punchingball, tu lèves le poing et, d'un coup droit, tu le frappes.
- C'est bon... J'ai compris... Tu l'emportes sur la force...
Ta phrase est entre coupée par ta respiration difficile. Le sang commence à s'écouler de ton nez. Tu es à bout de force d'avoir subi ses assauts. Tu fais pâle figure face à lui, mais tu n'es pas téméraire au point de risquer ta peau dans une salle d'entrainement.
- Je déclare forfait... Je m'entrainerai plus...
Car ton manque de force te laisse un goût salé sur la langue.
Tu étais déçu. Déçu de ses performances, et de lui. Cependant, tu lui prouvais bien qu’il n’avait donc plus aucune raison de louper tes entrainements, et cela te rendait fier, autant ton égo que le reste.
“J’espère donc que tu n’auras plus de retard. Aujourd’hui prouve bien que tu n’as en rien l’étoffe d’un guerrier.”
Tu plisses alors les yeux, maintenant que le combat entrainement était terminé, par ta réussite évidente. Tu saluais cependant son dernier coup qui avait stoppé les choses, rendant ainsi moins lamentable son échec. Tu caressais ta machoire, le coup prit à cet endroit là, et observait le jeune.
“Tu devrais simplement arrêter d’essayer, et peut-être partir comme ton traitre de frère.”
Les mots étaient dit. Durs, peut-être, mais réaliste. Au moins, son départ t’avais permis de monter les échelons, et tu attendais chaque départ pour le faire. Les déserteurs, c’était pas ton soucis. Tu esquissais un sourire presque mauvais avant de soupirer, lui tournant le dos.
Tu n’attendais pas de réponse, mais attendait tout de moi l’oreille attentive en t’éloignant, te demandant si une riposte viendrait. Tu étais prêt à dégainer ton alter au cas ou, mais qui sait, peut-être juste allait-il nourrir sa rancoeur sans rien faire et son silence prouverait une nouvelle fois qu’il pouvait peut-être servir de paillasson, plutôt que de soldat.
Tu mords sur ta chique. Tu grimaces presque. "Pas l'étoffe d'un soldat." ... Cela fait mal. Parce qu'en l'occurrence, aujourd'hui, maintenant, il a raison. Tu souffres non seulement de tes blessures, mais également de ses mots. Surtout quand il enchaine.
Ton sang se glace. Ton regard se fait noir. Les sourcils froncés, tu sers les poings. Tu sais qu'il est vain de lui sauter à la gorge. Tu es déjà affaibli et il t'a prouvé ta faiblesse. Tu ronges donc ton frein. Mais alors qu'il se retourne, les mots fusent.
- Je ne suis pas lui.
Tu essuies du revers de la main le sang qui s'écoule de ton nez.
- Et je te prouverai, à toi, à tous les autres, ce que je peux faire et que je serai le meilleur.
Même si tu manques de force.
Tu ne prends pas la défense de ton frère, bien que tu le voudrais. Cela te rend maussade, ce qu'il a dit, ce que tu ne peux pas faire pour ne pas être considéré traitre à ton tour. Tu sers davantage les poings, rendant tes phalanges blanches. Puis tu quittes la pièce. Tu pars, pour te rendre à l'infirmerie, afin de bander tes blessures. Apaiser les contusions, vérifier l'état de ton nez, soigner ton égo à l'ombre des autres.