Do it All the time

Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.

Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes.
Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
HysteriaFonda
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Invité Sam 6 Avr - 17:18
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Invité Mar 21 Nov - 16:07
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Invité Mer 15 Nov - 12:01
Invité Sam 21 Oct - 15:26
Invité Mer 11 Oct - 16:06
Drake Mar 3 Oct - 22:16
Celsius Mer 27 Sep - 0:08

« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »

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[FB] A nos débuts, à nos fins (ft. Persephone)
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Ven 3 Fév - 20:32
A nos débuts, à nos fins
pv.  @Persephone  
Vagabonder était dans ses habitudes, poussées dans les vices d'une errance silencieuse. Elle peut prendre plusieurs formes, selon l'humeur d'Oblivion, mais aujourd'hui, ce qui l'anime plus que tout n'est ni le rôle qui l'incombe, ni le regret de son amnésie.
C'est l'espoir de retrouver un élan de dopamine dans cette vie miséricordieuse. Un être d'une douceur inegalée, et au regard qui ne cesse de le faire chavirer.
tu la désires.
Les paupières mi-closes, il avance d'une démarche rêveuse, souffle l'espoir d'un bonheur caressant, son être bordé de papillons dans le ventre et de frissons agréables.

Passé les minutes à claquer nonchalant le sol vide du quartier général, il la cherche des yeux, du nez, d'instinct. Que sa main frôle le mur, que ses coups d'oeil daigne la croiser au hasard, ou que les effluves de son parfum lui chatouille le nez.
Chanceux est-il alors lorsqu'une fois son corps droit devant les portes d'une bibliothèque de fortune, à défaut de celle des trappers, il la voit, au loin, ses longs cheveux noirs en cascade de soie qu'il souhaiterait faire couler entre ses doigts.

Candide, tu es, naïf et niais.

Il traverse sans honte ou timidité la pièce car il ne connait ces sentiments ridicules. Seule l'appréhension du débordement de ses propres émotions lui ressert les trippes.

- Persephone.

Il arrive, toujours vêtu de la même façon : costard cravate à la toile noire, armé dans son dos de sa seule amie capable de le sauver de la faucheuse. Il est coutume chez lui de se montrer très avare en gestuelle, ou en une quelconque démonstration d'amour, mais son regard nuiteux ne cesse de la fixer elle, et pas une autre âme dont pourtant elles ne cessent jamais de fourmiller dans le QG.

- Tu aimes les fleurs ?

Un pas toutefois, pour se détacher du personnage qu'il ne cesse d'enrôler, en lui baisant tout simplement le front avant de reprendre sa place initiale, et d'attendre sa réponse.
.  


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Invité
Dim 19 Fév - 14:28
eros
à nos débuts et à nos fins
w. Oblivion
Eros a percé de sa flèche le cœur d'un mortel.
Eros l'a fait amant de la femme d'Hadès.
Mais yel n'est pas la femme d'Hadès.
Amour doux, silencieux.
Qui sans un mot arrive à elle.
Mais l'Espion entend et voit tout.
Espion l'a entendu et vu.
La chaleur de son baiser s'éternisant sur son front.
Suintant d'émotions que l'Espion ne connaît pas.
Stoïcisme presque perturbé.
Cœur de métal vibrant.
Est-ce l'amour, vraiment ?
Ce serait impossible.

Et toi, doux Oblivion, toi non plus tu ne l'aimes pas.
Persephone n'existe pas.
L'Espion ne vit pas.  
Il n'y a rien à aimer ici.
Pourtant...

Oblivion, tu es là !

Agitation enthousiaste.
Mensonge pour mieux berner.

La chaleur de son baiser s'éternisant sur son cœur, glacial.
Faisant usage de ses charmes charnels,
Cherchant l'information.
Qu'es-tu vraiment, Oblivion ?

Mascarade terrible.
Une douce expression peint le visage,
Imitant l'amour et la passion.

Oh oui Oblivion, j'aime les fleurs !... Si tu savais comme je les aime…

Aux pieds de la déesse du printemps, naissaient les premiers bourgeons,
Mais Persephone n'est plus cette déesse.
Persephone ne fait plus naître les fleurs.
L'Espion n'en a pas les capacités.
Encore un mensonge couvre ce changement d'alter.

Deux personnes.
Deux pouvoirs.

Expression peinée.
Prenant ses mains, dans ses mains.
Air désolé.

Oh, si seulement je pouvais encore les faire pousser, j'aurais pu t'offrir les plus belles !... Malheureusement, ce n'est plus possible désormais...

C y a l a n a


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Invité
Invité
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Invité
Sam 25 Fév - 12:35
A nos débuts, à nos fins
pv.  @Persephone  
Le scintillement de ses grenats l'hypnose. Balancé par le doux son du silence, il se laisse bercer des regards dont ils ne cessent de dévorer des yeux. La beauté qui en émane égale au plus beau joyaux du monde. La tentation de prendre entre ses doigts les siens le taraude alors un peu plus, mu d'un sentiment inconnu et à la fois douillet. Mais de pudeur il n'attend de Persephone qu'un mouvement pour trahir ses propres désirs.

Avec autant de retenue que d'audace, Oblivion lève ses phalanges vers son oreille, et reglisse par derrière elle les quelques mèches brunes et indisciplinées.

Le regard bienveillant et souriant, il se murmure dans cette accalmie onirique :

- Tu demeures déesse du printemps aux yeux des nôtres. En douterais-tu ? Le pouvoir n'est-il pas celui d'y croire ?

D'un mouvement aérien, les pas sont de quatre pour laisser libre de mouvements leur altière carcasse, quand d'un sourire timide, son menton se bouge vers l'extérieur :

- Veux-tu me suivre ? J'ai envie de t'emmener quelque part.
Pourrais-tu fermer les yeux ? Serais-tu capable de me faire confiance ?


Qu'importe s'ils sont encore des inconnus l'un pour l'autre, l'homme aspire à jouer le violon du mystère, et à espérer qu'elle s'adonne aux limbes frivoles d'une balade doucereuse.
.  


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