ALTER:
Résurrection (capacité à ramener quelqu'un à la vie sous certaines conditions) = Maîtrise à 40%.
Nombre d'utilisations :
Une fois par personnage (joueur ou non joueur).
Contraintes :
Le mort doit être "entier", tout du moins, il doit au moins avoir son coeur, ses intestins, etc ainsi que sa tête. Pour ce qui est des jambes et des bras, si n'en possède plus, il ressuscitera sans.
Le mort ne doit pas l'être depuis plus de 3 jours maximum.
Doit resté bien conserver.
Utilisation :
Hadès doit toucher le mort et rester en contact avec. Cela peut mettre plus ou moins de temps (entre 15 à un peu plus d'une heure) selon la date de la mort.
Contrecoup :
Hadès aura des pertes de sang (nez, bouche, yeux et oreilles) plus ou moins importantes selon le nombre de jours où le macchabée est resté mort. Une fatigue se fera ressentir suite à cette perte d'hémoglobine.
Il ne peut ressusciter un mort qu'après 3 à 4 jours de repos.
Contrepartie (victime) :
A bonheur la chance, en discussion avec moi-même, cela peut être de tout. Régression ou amplification à l'extrême d'un pouvoir ; perte de sensibilité, caractère amplifié ; ou tout autre idée. A gardé en tête que cela laissera forcément des séquelles un tant soit peu psychologique.
++ :
Hadès ne contrôle pas les morts ressuscités. La personne reste maître de son corps et de son esprit même s'iel n'en a pas l'impression.
Lore & Résumé10 années
- il y a de ceux qui fêtent la naissance d'un être cher ; d'autres qui fêtent la mort d'un autre. voir ce corps défiguré était beau ; s'approcher comme un papillon vers sa propre destruction (de flamme) - et juste tirer sur cette corde rouge. essuyer ce liquide pour en répandre toujours plus sur ton visage tandis qu'on te fixait sans mot dire : horreur et fascination. fuir avec sa propre mère : pauvre dieu de la mort. tu venais de faire ta première victime.
16 années
- fuir ce service médical ; un seul avait suffi à te donner des sueurs froides sur ta propre personne. gagnais-tu ce pouvoir par volonté d'autrui ou acquérir celui-ci par pure malchance ? côtoyer celle-ci toujours plus au front, cette faucheuse bien-aimée dont l'amour n'était réciproque - prendre ses récompenses n'était pas cadeau. et se faire haïr de ne pas accepter ses pots de vin, ces menaces, de ne penser qu'à ta propre pomme (point celle qu'aphrodite "gagna").
20 années
- et elle frappa, cette déesse ; bien plus tôt que tu ne pensais. une beauté farouche, les plantes à ses pieds grandissant à son bon vouloir ; cuisinière de cette peuplade. que tu aimais qu'elle t'apprenne tout cela ! que tu aimais le temps à ses côtés ! fuir pour se ranger dans ce domaine scientifique, ne toujours pas céder à cette morgue tant attendue. ton royaume.
25 ans
- qu'il était dur de donner la vie quand toi-même tu ne pouvais la redonner qu'une seule et unique fois : aussi bien dieu que cruel. mais ne pas t'apitoyer, soutenir cet être aimé et réussir ! gloire ! qu'on aurait bien ri de ce bonheur qui tombait trop bien : il ne dura pas. n'en déplaise aux naïfs. enfant qui ne pleura guère dans les bras de sa mère qui elle-même s'affaiblissait malgré tous les bons efforts du monde, n'est-ce pas ? quand ce choix tombe, lequel auriez-vous fait ? un enfant qui n'aurait plus jamais vécu une "vie" normale, ou l'être aimé qui "survivra" tant bien que mal ? le jugement tombe dans la précipitation et tu mis toutes tes forces pour elle. elle ne t'a jamais compris.
27 ans
- c'était trop dur à supporter, c'était trop dur à simplement vivre dans cette culpabilité constante et ce deuil persistant, rien ne fut plus "comme avant". ce simple pouvoir qui devenait fou tout autant que ta propre femme ; ne rien pouvoir faire tandis que les plantes se déchaîner, juste pouvoir regarder l'exécution se faire. et ne rien pouvoir faire. strictement rien. juste pouvoir espéré enterrer dignement : même pas.
28 ans
- trop demander que de se laisser pourrir dans son coin ; non, trop demander que de consommer les maigres miettes de pain pour succomber. non. il fallait une belle et bonne marionnette contrôlable ; il fallait trouver un successeur qui inspirerait crainte et un tant soit peu de respect. squelettique maitre des morts, qui de mieux que toi-même ? tu n'avais strictement rien à faire de la précédente ; comme on parle du beau temps, tu prononces une sentence qu'un murmure t'avait fait parvenir. ne pas chercher plus loin, simplement prendre cette place, retranscrivant par simple mot ou geste ce qu'on te suggère. lasse, quitte à s'auto-détruire, autant le faire bien et fort.
30 ans
- deux ans de trop que cette sombre mascarade dure à tes dépens. deux ans de trop que tu ne fais qu'être sans vraiment être présent - simplement enfin te mettre debout : simplement enfin posséder ce sourire machiavélique avant de balancer une bombe abrupte, devant bon nombre de témoins. le roi bouge sur l'échiquier et participera aux prochains huntings sports. entre consternation, effroi, stupeur ou tout simplement jubilation : une seule t'appartient, la dernière. et que par pitié : tu ne sois pas le dernier debout.
les marionnettes ne sont qu'artifice qu'on veuille transmettre : pitié ou effroi, tout peut être utilisé à outrance ; dieu ou hommes ; monstres ou anges - l'histoire n'est écrite qu'à la portée de l'interlocuteur, ne vous y trompez point : si artémis tire sa flèche, vous ne sortirez vos panards que de votre propre tombe. si au bon vouloir de ce propre dieu vous laissera-t-il sortir de son domaine ? priez, hurlez, n'en faites rien ! tuez-le. hadès n'a de patience qu'avec thanatos en face - si l'un souhaite concéder à l'autre cette fragrance de vitalité.