Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
Praise the one who left you, broken down and paralyzed pv. @winter
Perché sur les branches d'un futur tombeau, il regarde avec avidité la batisse. Ombre noire parmi les ombres, elle avance telle la mort tenant entre ses mains sa faux. Prête à abattre son énieme jugement sur une proie au hasard.
Parce que je suis comme ça.Je ne peux m'arrêter.
L'âme en peine s'amoncèle aux relacs humains, prête à troubler davantage les rejets du monde.
I did it all for you
Les fils s'élancent vers le firmament, et s'accrochent aux remparts altiers d'un quartier général en exploration. La silhouette s'arrache à la gravité pour escalader les murs calleux. Une fois arrivé au sommet, le vent l'accueille avec une douceur qui le rend pantois d'émotions.
A peine prend-il appuie sur ses pieds qu'une autre obscurité prend forme à ses côtés. Elle vogue et se rapproche de lui dans une lenteur presque indiscernable.
Sans même lui laisser le temps, ses cordes invisibles jaillissent du sol pour épouser le corps de l'inconnu et tirer sur les dermes, les chairs, le sang, les os, jusqu'à craquer sous le joug d'une force souveraine.
L'extase alors prend possession d'Oberon, s'infiltre dans l'ensemble de ses pores, de ses veines pour le malmener d'un plaisir indiscible. Un tant soit peu essoufflé de cette émotion délicieuse et violente, il traine les pieds jusqu'à sa prochaine proie. Plus petite. Plus enfantine.
Le sourire s'étend à l'infini, creuse les joues au point d'en défigurer le faciès. Et ce rire, si distinct empreint d'une folie obscure et impénétrable, s'échappe encore de ses lèvres. Une étrange couche de pâte noirâtre s'éteint le long de son front, si gluante qu'elle laisse échapper quelques gouttes sur ses joues.
Et alors que la sentence s'apprêtre à s'abattre sur une énième victime, les fils ne répondent plus à son appel.
Aux prises d'une interdite surprise suivi d'incompréhension.
Les nuits sont parfois trop longues pour Winter. Beaucoup trop longue quand l’esprit fonctionne a plein régime. Alors il ressent parfois l’envie de se balader de voir les étoiles. De s’imprégner de ce rare moment c a l m e. Le voilà donc sur les remparts a marcher. Le regard en l’air sans se soucier que à côté pas loin, une agitation sourde sonne.
C’est au moment où la silhouette sera toute proche que Winter le remarquera. Il se reculera brusquement.
« WOOOH T’ES QUI ?? »
Mains sur sa hache qu'il a toujours sur lui.
Il sait Winter, ce n'est pas n o r m a l. Il est dans la merde. Il reste interdit devant cette silhouette qu’il peine a discerner dans l’obscurité.
Son esprit réfléchit a tout rompt, il doit trouver un moyen de faire diversion. Il doit savoir pourquoi ce type est là.
Mais il se doute Winter. Ce n’est surement pas pour partager un café. Pas en pleine nuit.
« Dégage d’ici. »
Ou il criera pour que ceux qui sont pas loin viennent a son aide. Et par la même, ca fera une diversion pour l'attaquer.
Praise the one who left you, broken down and paralyzed pv. @winter
Le froid ainsi déposé sur son derme est plus glacial que la déchéance elle-même. Il est vrai que face à lui, ne subsite qu'une essence minime, un grain de sable parmi les grains de sable qu'on ne peut écraser d'un seul doigt. Où est la chaleur de sa peau alors, si elle ne peut en faire fondre la matière.
Cet être à la petite allure armée d'une hache le regarde avec un entrain amusant. Le sourire redresse les plis de ses lèvres, tandis qu'il l'analyse avec ce même entrain.
Une fois de plus, son alter prend possession de lui, ses orbes scintillant de l'éclat d'un trépas désiré.
- ... Je suis....
...Ravi d'un rire tonitruant, sans prévenir. Sa cage thoracique se secoue alors des spasmes hilares. Cela durant des secondes interminables. Avant que, de se prêter à l'accalmie enfin, il ne se souvienne de la portée de sa suffisance, écaillée ni du temps, ni d'une force supérieure. Qu'en est-il alors de cet être d'insipidité.
- Oohhh... tu vas m'assaillir... ... toi !
Oberon approche brutalement, sans crier gare. Un pas. Deux pas, puis il s'arrête brusque. Il le surplombe de sa hauteur, les cheveux balayés par le léger souffle des sommets du quartier général.
Les fils demeurent davantage enterrés dans les méandres de son esprit, sans réagir à ses ordres psychiques. Enfer & Damnation.
- Que m'as-tu fait ? Qui es-tu ? Comment es-tu capable de me brider, moi? La lune se prêterait-elle à te sourire quand elle m'ignore ?
En voyant celui qui se tient en face, Winter plisse les yeux. Fichue obscurité qui lui bouche la vision, il a du mal a discerner la silhouette.
A moins que… il n’ai pas envie de réaliser que ce qu’il semble capter est bien réel. C’est étrange comme sentiment.
Toujours est-il que son interlocuteur s’exprime, il hésite, il fait preuve d’un suspens insupportable. Winter soupire, hache devant lui, prêt a attaquer a tout moment. Il ne mourra pas sans se défendre a minimum. Et alors qu’il s’approche, Winter serre les dents.
« PAS UN PAS DE PLUS ! »
Mais il est déjà si proche. Il le fixe.
« Qu’est ce que … »
Qu’est ce qu’il est. Winter secoue doucement la tête. Il se concentre sur les mots : les questions qui viennent agresser son esprit. Il penche un peu la tête.
« Tu devrai pourtant savoir qui je suis si tu avais l’intention de me tuer, a moins que tu choisis tes cibles au hasard ? Me dis pas que c’est ca, ce serait franchement ridicule. »
Comme toujours, il ne perd rien de son franc parler. Il roule les yeux.
« Ce que je t’ai fait est pourtant évident, tu le sens toi aussi ce manque. »
Car Winte sait. Il sait sur quoi son assaillant veut le questionner. L’absence d’alter, donc son annulation. Le plat de la hache vient percuter doucement le torse de son interlocuteur.
Praise the one who left you, broken down and paralyzed pv. @winter
De tous les êtres de porcelaine qui craquèlent sous ses fils soyeux il a fallu tomber sur le plus étonnant des petits monuments de Carcosa, pour autant voué à rejoindre les ruines d'un monde bientôt déchu. Oberon ne saurait dire si le plaisir fait pulser davantage un sentiment de satisfaction dans l'ensemble de ses veines ou s'il préfère encore lui arracher la gorge pour le faire taire définitivement.
De ses propos insensés pourtant, il désire avec ardeur lui répondre. L'amusement au rendez-vous de cet échange timide :
- La puissance d'un tel alter, s'il en est, semble engendrer la suffisance. Mais sais-tu petite curiosité qu'elle porte le déclin ? Si je ne te cherche pas alors, c'est que tu n'es même pas important.
Il est vrai que l'appel des fils lui fait défaut à chaque impulsion cognitive, mais le sabre dans son dos résonne dans ses oreilles tel un recours à l'appétence et à la violence.
Pareil à un enfant soumis aux besoins de s'investir dans une querelle joueuse avec son insecte favori, Oberon brandit l'arme dans une mélopée meurtrière, et l'abat de plein fouet sur le petit être. Mais voilà que la silhouette du plus jeune fait preuve d'une adresse telle qu'il esquive avec aisance le coup de la lame, ne tranchant alors que le vide. Sans lui laisser le temps de crier gare, son opposant se protège avec une hargne qu'Oberon n'avait que rarement cotoyé, et à corps défendant le plat d'une hache s'élance vers le poitrail, probablement dans l'idée de lui couper le souffle plus que de lui ouvrir en deux la cage thoracique. C'est dans un élan d'instinct primaire qu'Oberon fait tinter sa lame dans un hurlement metallique pour contrecarrer son assaut.
Il le repousse avec une brutalité sans nom, mais contre toute attente ses lèvres s'arment d'un sourire enjôleur.
- Quelles capacités remarquables, vigilante. Peut-être vas-tu être la toute première de mes cibles à survivre. Je serai ravi de te retrouver dans une nouvelle joute, si je ne peux mettre fin à ta vie par les fibres de mon être.
Winter ne s’attendait pas a une telle entrevue. Celui qui lui fait face est é t r a n g e. Un nouveau mystère a Carcosa. Comment était-il arrivé là ? Et puis, cette apparence. Avait-il mal vu a cause de la pénombre ? Fort possible. Oui ca doit être ca. Il s’en convainc intérieurement.
« Alors que cherches-tu ? »
Mais celui qui lui fait face n’a pas terminé, il attaque. Réflexe bien trouvé, Winter esquive. « Ok. C’est donc comme ca. »
Et sa hache se dirige directement vers le torse de l’autre. Mais l’autre arrive a parer le coup. Il grimace. Il est plus fort que lui, c’est indéniable. Il souffle. Le fixe a nouveau alors que les mots affluent de nouveau. Winter n’en perd pas une miette. Il plisse les yeux.
« C’est la moindre des choses de savoir se défendre. »
Il recule un peu Winter, fait attention a ne pas tomber. Il ne veut pas combattre : il a bien vu la différence de force : il sait qu’il n’y survivra pas. Il inspire doucement.
« Je réitère ma question : qu’est ce que tu cherches en venant ici ? Tu n’es surement pas un des nôtres. »
Il essaie de gagner du temps. Mais aussi, il a besoin de savoir pourquoi il risque de mourir.
La hache toujours devant lui, prêt a s’en servir en guise de bouclier si besoin. Méfiant et en tension.
Praise the one who left you, broken down and paralyzed pv. @winter
Curieuses, furent les proférations proches de l'ineptie, prononcées par cette bouche à l'aspect enfantine. Il arrive alors quelques envies de disparaître tant il ne sait comprendre le cheminement normal qu'aurait un être lambda avec un autre être lambda. Dont seul l'alter se défend. - Que penses-tu que je vienne chercher, en tuant l'un des guetteurs du quartier, enfant étrange.
De puissance Oberon se sent soulevé en le sachant si perdu au coeur de l'inconnu. Car il est cet être qui a perturbé son sommeil et le linceul d'une vie de quiétude.
- Et si nous recommençions, finalement.
Car tel un typhon mortifère et loin des ombres de l'hésitation il espérait mettre fin à cette vie et continuer son chemin. Seulement, des pas enhardis et inconscients se dirigent vers eux, épris sans doute d'une folie indicieuse de défendre ces lieux déjà perdus.
Scrutant le ciel avec un flegme insolent, il attend que les abruptes arrivées n'écorchent son moment d'une sommation.
- Devons-nous intervenir, Archiviste ?
Pénibles, les intentions des soldats poussent à faire pivoter le talon de l'intrusion dangereuse. Il s'éloigne soudain. Il court, et court, si tant est que cet énergumène pas plus haut qu'un enfant se mette à lui aussi s'adonner à quelques envies de courir. A-t-il pensé seulement, aux intentions qui rongent l'inconnu ?
Intense alors est la célérité de ses pas, si bien qu'il parvient à creuser l'écart avec l'ennemi pour mieux saisir l'opportunité de retrouver le contrôle. Et de contrôle, les fils invisibles jaillissent des alliages méconnus du sol pour saisir l'une des deux cibles qui par surprise sans doute ne s'étaient pas donné la peine de le poursuivre, ou s'était arrêté sur le cadavre morbide échoué sur le rebord du rempart.
Peu importe.
De surprise, le regard de sa nouvelle victime se fige dans la mort ; quand son corps s'amoncelle sous le bruit exquis d'un tas de chairs sectionnés.
Le rire alors prend part à la partie, et il se montre si tonitruant qu'il pourrait réveiller tout l'étage d'en dessous. Oberon a jamais est heureux de trouver dans l'assassinat un plaisir diffus et apaisant. Et espère ainsi continuer son chemin.
Winter se dit bien qu’il n’aura pas vraiment de chance de s’en sortir. Il ne fait que gagner du temps en attendant que les renforts interviennent. Et qu’est ce qu’ils en mettent du temps les renforts ! Sauf que l’ennemi a une autre idée en tête. S’il ne peut pas atteindre Winter, alors il ira voir ailleurs. « NON NE FAIS PAS CA ! »
Crie t-il.
Winter n’est qu’un archiviste, qu’un pauvre archiviste avec un pouvoir d’annulation. Mais c’est plus fort que lui, il ne veut pas voir la mort devant lui. L’autre ne l’écoutera pas.
Les soldats arrivent. On lui demande s’ils doivent intervenir. Il crache Winter.
« EVIDEMMENT ! C’est un ennemi ! Attrapez le ! Tuez le mais ne le laissez pas tuer !! »
Et les soldats se mettront en mouvement. Winter aussi, tant l’autre bougre commence a s’éloigner.
Et là. Une silhouette. C’est la fin.
Son cœur manque un battement.
« Comment tu as pu … »
La mort. Devant ses yeux. Intense. Ca faisait si longtemps qu’il n’avait pas été au cœur de l’action. Il serre sa hache.
« Mais qu’est ce que tu cherches bordel ?? » crie t-il.
Winter ne comprends pas, Winter en a marre d’être impuissant. Le sang appel le sang, il sait qu’il ne tiendra pas longtemps a jouer sur la prudence. C’est trop.
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