Ce forum tient ses inspirations de divers oeuvres dystopiques telles que Hunger Games ou encore Shingeki No Kyojin. Son identité visuelle frôle l’anachronisme parce que la fiction s’articule autour d’un monde retro-futuriste.
Aussi, la particularité de Do it n’est autre que son système de relative monarchie constitutionnelle permettant à tous les membres d’être importants, de par leur rôle ou leurs actes. Néanmoins, au vu de l’aspect évolutif du forum, nul doute que cet équilibre sera très vite balayé par l’appat du pouvoir...
20/10 LE FORUM DO IT (all the time) EST ACTUELLEMENT FERME. Il ouvrira de nouveau dans les prochains mois !
18/06Mise à jour des informations ICI. Les Missions sont en cours !
20/08MAJ 3 du forum ! Chapitre final enclenché et lancement des dernières missions ♥
05/02L'Ordre de mission a été mis à jour : finissez toutes les missions pour débloquer un Event et 100 golds par participants !
04/12Do it all the time, Survival, est de retour : On ouvre le forum !
« Félicitations chers participants, vous ne manquez pas d’audace. Plein de grâce, j’aurais pu accorder la victoire aux gagnants . Mais ma bonté à des limites. Vous m’avez déçu, par deux fois. On dit souvent qu'il faut couper le membre avant de le voir gangréner.Méditez sur ça... si vous en avez le temps. »
La zone lunaire est cet endroit si calme, si désert. Là personne n’ira le déranger. A l’aide de cet instrument qui l’aide a respirer, Melancholy peut regarder l’horizon et se dire : là personne ne pourra venir l’importuner. Et il profite de ce calme.
Et il regarde le ciel qui semble si différent. Et il se dit : est ce que le monde a l’extérieur de l’arche est si désolant ? est ce qu’il ne pourrait pas y avoir pire ou mieux ? Melancholy porte bien son nom tant il réfléchit dans le vide et semble penser a trop de chose pour son propre bien.
Il marche sans réellement savoir où il va, profite de ce calme comme le messie. Le regret d’être maintenue en vie grâce a un équipement est présent, il ne peut pas profiter pleinement de l’endroit mais il n’a pas envie de mourir. Alors il accepte sa condition de mortel. Se contente de glisser son regard sur le désert tiquant en voyant une ombre au loin.
Etrange. Il ne devrait pas y avoir âme qui vive. Approche un peu, comprends que là, il n’est plus seul. Une dague a la main.
Il laisse l’ombre s’approcher. Reconnait la personne ne face de lui : un trapper. Un de ces trappers qui l’a vu tenter d’entrer dans le territoire par le passé, mais celui là n’est pas de ceux qui l’ont viré. C’est surement un des plus sympathique mais aura-t-il envie d’être plus agréable pour autant ? non. Evidemment que non.
« Toi. »
Il a sa dague devant lui au cas où. « Tu fais quoi ici. »
Comme si c’était SON territoire. Alors qu’il sait très bien que cette zone n’appartient a personne. Etrange sensation de ne plus être seul dans un endroit si désert.
le calme n'est jamais complet un moment de melancholy
Tu avais besoin de solitude. D’un moment de paix, d’un exutoire.
Tu pensais être seul en ce lieu, bien que la présence des autres ne te dérange pas, elle semble pourtant prendre une place souvent trop importante pour toi. Tu inspires alors, le Vagair sous le museau, marchant en regardant le ciel, sa voix te rappelle qu’il existe un monde où la solitude est reine... mais qu’il n’est pas ici.
Ton regard se pose sur ce visage que tu connais. Comment pourrais-tu oublier tel visage, si charmant et agréable à regarder. Ce n’était pas la sympathie qui le dépeignait pourtant, de part sa dague qui te pointes. Tu lèves alors les bras avec étonnement, n’étant toi-même, nullement armé.
“Ola, doucement l’ami. Je ne compte pas me battre ici. Je viens seulement admiré le paysage, avant qu’on nous l’enlève encore.”
Hypothèse, mais tu verras bien si elle se confirme ou non avec le temps, de toute façon. Tu replaces tes mains dans tes poches sans attendre son aval pour le faire, après tout, il n’avait pas d’ordres à donner, ni toi à recevoir. Tu étais protecteur et friendly avec les gens, pas non plus un paillasson. Il y avait des limites.
Tu tournes cependant ce regard curieux vers celui-ci.
“Je t’ai déjà vu, toi. Non?”
Question dont tu connais la réponse, mais espères des précisions.
Oh Mel aurait aimé être seul encore un moment. Jusqu’à ce que son oxygène manque, il aurait profité de cette plénitude, mais voilà, quelqu’un se montre. A la vue de la personne, il se crispe, il questionne. Agacé. Il est insupportable. Il pourrait bien le regretter : lui qui n’a pas l’habitude de cet endroit, se retrouver pris au piège serait fort possible.
Mais voilà, il a de la chance, son interlocuteur est sympathique, pacifiste sur le coup, l’idée de combattre n’est pas au menu. Alors, Mel baisse légèrement ses dagues. Inspire. Signe de tête vers l’avant l’air de dire : et donc ? Il attend des réponses. Ca parle de regarder le paysage.
« Enlever le paysage ? Encore ? Je veux bien croire que c’est la merde mais pas a ce point quand même, si ? Tu sais quelque chose en plus ?? »
Il s’approche, le fixe droit dans les yeux. A l’impression de l’avoir déjà croisé et en plus, le mec semble aussi le reconnaitre. Mais d’où ? Mel peut être sur d’une chose, c’est que ce n’est pas un ami, il n’en a pas. Il n’est pas non plus legendary.
Alors. Ca y est, ca lui revient. (en partie)
« Oh ? J’ai un visage qui marque autant les esprits ? »
Il roule les yeux. Observe sa dague un court instant avant de le regarder à nouveau.
« Trapper n’est ce pas ? Oui ca ne peut être que ca. »
Forcément, c’est ceux qui l’agace le plus. Mel inspire un grand coup. Termine d’un ton sec et un peu trop confiant.
« J’ai retenu les visages de ceux qui ont osé me faire chier a me virer de votre territoire mais toi … tu n’es pas de ceux-là. »
Regard légèrement de haut. Il attend des réponses.
le calme n'est jamais complet un moment de melancholy
Savoir quelque chose de plus, pas réellement. Tu lui souris légèrement, amusé de sa question. On dirait un enfant qui veut avoir tout ses cadeaux d’anniversaire d’un coup. Tu observes le ciel saturnin.
“Je ne sais rien, je profite juste de l’instant. Qui sait ce que l’avenir réserve.”
Et c’est un fait. Tu avais l’impression que hier encore, I.A. était une déesse ou l’équivalent. Voilà maintenant qu’il suffisait de la débrancher comme une vulgaire machine, ça t’en bouche un coin pour ainsi dire. Maintenant, la nouvelle est encaissée, mais que dire de votre quotidien qui n’est plus le même que depuis votre naissance ?
“Effectivement, Trapper. Et ta faction est... je suppose?”
Tu l’observes maintenant en coin, toujours ce sourire charmeur et amusé. Tu n’es nullement agressif ou moqueur, tu ne veux pas combattre, tout simplement. Tu ne te défendras donc éventuellement pas, jusqu’à une certaine limite. Il ne faut pas déconner, et si tu dois le remettre à sa place, tu le feras.
Tu inspires alors, te souvenant de lui, un peu plus maintenant que le temps passe.
“Je ne suis pas de ceux qui aiment ... les méthodes fortes. Je préfère largement être celui qui guide, et aide. En toutes circonstances.”
En guerre, comme en paix. Ton regard s’ancre dans le sien, dans l’attente qu’il range enfin sa dague. As-tu réussit à le convaincre au moins un peu ? Il semble d’être un sacré phénomène.
Melancholy l’écoute, lui et ses belles paroles. Il inspire doucement. S’agace intérieurement car ce genre de bonne âme est voué a finir piétiné il le sait. C’est comme ca, c’est le monde qui le veut. Alors oui, il est agacé de voir que certains ont encore la patience d’être si calme.
« Legendary. C’est dommage, tu n’as pas l’air de te souvenir de notre première rencontre. »
Car ce n’était pas la première fois. Il hausse les épaules finalement. « Mais je ne peux pas t’en vouloir, ce n’était que furtif. »
C’était un court moment où celui-là n’a pas agi pour le virer du territoire, un simple moment de surprise pour Mel. Lui s’en souvient. Il inspire doucement alors que celui qui lui fait face semble confirmer qu’il n’est pas adepte de la violence. Il préfère s’ériger en guide.
Ca le fait hausser un sourcil. « C’est beau d’être si idéaliste. »
Le fixe droit dans les yeux. Point son doigt vers son torse. « Mais c’est ce genre de chose qui va causer ta perte, ce monde n’a que faire des belles pensées crois moi. »
Il roule les yeux, se demande bien pourquoi il est aussi sympa a donner des conseils. Il inspire doucement. « Il faut savoir regarder la réalité en face. »
le calme n'est jamais complet un moment de melancholy
Tu esquisses un sourire. Tu le laisses confirmer sa faction, et répond avec l’assurance que tu possèdes.
“Je me souviens des gens, pas des factions.”
Car cela t’importe peu, leur faction. Pour toi, tout les êtres humains sont bons à prendre, mauvais ou bons, mais il faut faire avec les capacités et les limites de chacun. Tu ne seras nullement pour le combat, jamais, en toutes circonstances.
“J’espère que ma parole ne sera pas la seule dans ce monde, et je suis persuadé que c’est déjà le cas.”
Tu ne peux imaginer que parmi toutes ces personnes, certaines ne se dressent pas comme toi pour une paix, ou pour chercher simplement l’entente avec autrui, sans pour autant les détruire mentalement ou physiquement.
Tu observes son doigt sur ton torse et continue de sourire avec douceur, car tu connais ce genre de pensées aussi.
“Peut-être est-ce simplement ta façon de penser qui n’est pas prête pour ce cheminement.”
Tu ne lui en voulais pas, de penser à sa survie d’abord. Après tout, qui ne le ferait pas ? C’était instinctif, humain, peut-être plus humain que de vouloir la bonté et la paix, peut-être plus humain que d’être comme toi. Parce qu’au fond, même si l’humanité prône l’altruisme haut et fort, il n’y a rien de plus humain que de penser à sa survie et celle des siens, avant de tendre la main à son prochain. Nous sommes des êtres égoïstes, mais tu essayais de tendre à changer cela, petit grain de sable dans l’océan.
“Je la regarde, mieux que personne. Je vois les horreurs, je vois les souffrances et les douleurs. C’est pour cette raison que tout ceci me parait absurde.”
Tu t’approches, et poses à ton tour ton doigt sur son torse.
“Aussi absurde que de rentrer dans le territoire d’une faction ennemi en pensant tomber sur des gens comme moi. Tu as eu de la chance, tu sais, ce jour-là.”
Et tu te rends compte, enfin, que tu ne reçois aucune décharge pour ce toucher. Te laissant perplexe quelques secondes.
Melancholy hausse un sourcil alors que Edelweiss lui répond. Il a l’air si sur de lui. Ca le prend un peu de court. En général les gens n’osent pas en dire plus en entendant Mel si négatif. Ca décourage assez rapidement. Mais ce n’est pas le cas de Edel. Il l’écoute donc attentivement.
« Pas prête ? Elle ne le sera jamais vu le contexte actuel et passé. »
Il soupire. Le laisse continuer alors qu’il lui dit qu’il voit cette souffrance, qu’il voit l’absurdité de ce monde. Et il termine par une phrase qui le vise directement. Mel tique. Mel claque la langue contre son palais : agacé.
« Ce jour là je n’étais pas venu a l’aveugle, je devais retrouver quelqu’un mais ca ca vous dépasse vous les gens d’autre faction bref. »
Il roule les yeux. Reprend rapidement. « Mais tu as raison, c’est absurde, c’est bien pour ca qu’on ne m’y a plus repris, les factions ne font que s’entre déchiré et ca continuera jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus que un debout : comment voir du positif là dedans ? Je le vois pas perso. »
Il rapproche son visage du sien, le fixe droit dans les yeux. « Alors tu vois, ce genre de cheminement de pensée idéaliste, c’est de la naïveté pure, rien de plus. Ca te perdra. »
le calme n'est jamais complet un moment de melancholy
Tu comprends l’esprit fermé parfois de certaines personnes, notamment ici de Mel. Il ne semble pas prêt pour une ouverture plus grande, et c’est ok pour toi. Tu n’es pas du genre à forcer les gens. Tu préfères les accompagner dans leur démarche, avec une bienveillance présente sans te faire marcher sur les pieds pour autant. Tu restes alors attentif à ses faits et gestes.
«Je peux comprendre les raisons de ta présence, mais cela restait imprudent. Si cette personne ne t’a pas rejoint, c’est qu’elle ne souhaitait peut-être pas te voir, non ? Une rencontre à la frontière ou en terre neutre n’est pas exclue. Il n’y a donc aucune raison de ta présence sur nos terres. Tu le sais, je pense, derrière ce caractère qui semble borné.»
Tu essayes de faire entendre raison à ce jeune homme, mais il semblait très têtu. Tu soupires finalement.
«Peut-être juste arrêter de se battre pour rien. Pour quelque chose que l’on ne connait pas, contre nos familles et nos amis. Ce serait une solution, mais il semblerait que certains d’entre nous tirent un plaisir à la douleur et le pouvoir. Comme l’humanité elle-même, il semblerait que cela se répète, encore et encore.»
Tu souris doucement devant son rapprochement et ses paroles qui se veulent blessantes, mais qui ne te blessent pas au final. Car tu sais que cela peut paraître pour de la naiveté quand on a perdu tout espoir. Tu murmures alors, puisqu’il peut t’entendre de si proche.
«A quel point as-tu perdu tout espoir de vivre pour penser ainsi?»
L'une de tes mains vient se perdre dans une de ses mèches pour caresser sa joue du dos de ta main avec douceur.
Melancholy fronce un peu les sourcils alors que Edelweiss semble affirmer l’évidence même. Il le fixe en plissant doucement les yeux.
« Borné ? Ah. Oui évidemment. Sans ce caractère borné comme tu dis je ne serai pas là ou j’en suis aujourd’hui. Il n’y a que ca qui marche dans ce monde si tu veux pas crever dans l’indifférence. »
Il roule les yeux, le laisse poursuivre alors qu’il parle d’arrêter de se battre pour rien. Et Mel l’entend bien avec ses belles phrases et ses principes impeccable soue entendre de se calmer. Il soupire doucement. Il ne sait pas trop quoi penser, a ses yeux il n’y a pas de solution parfaite et dans ce monde c’est encore plus difficile d’être simplement heureux. Alors il hausse les épaules.
Le fixe alors que la proximité est de mise. « Ceux qui tire du plaisir a faire souffrir les autres sont les pires mais pour moi ce sont surtout ceux qui ont perdu la tête dans un monde qui déraille bien assez. Mais c’est comme ca, c’est ce dans quoi on vit. »
Et oui, pour Melancholy tout ceci n’est que fatalité. Il cligne des yeux au moment il le sent caresser sa joue. Arque un sourcil. Pose un doigt sous le menton de Edelweiss.
« Je n’ai pas perdu espoir de vivre, j’ai perdu espoir que notre monde aille mieux nuance. Et tu sais, il n’y a que ici où nous nous trouvons que j’ai l’impression que tout est un peu mieux car ici c’est le vide, il n’y a rien. Pas de joie, pas d’amour, pas de construction mais surtout pas de guerre. »
Il continue de le fixer droit dans les yeux. Termine sur sa lancée. « Et ne va pas me dire que depuis que l’IA n’a plus donné signe de vie, tout va mieux. »
Au moins avant il y avait un semblant de contrôle dans tout ca. Un semblant de logique instauré par l’I.A.
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